Etre patient, lui faire confiance.

[Deckard2501]

Je dois faire preuve de patience jusqu'à aout pour qu’il soit plus disponible. Je dois lui faire confiance, lui laisser toute sa liberté afin qu’il puisse régler ses problèmes. Il ne me permet pas d’entrer dans son univers, je suis aveugle et je dois prendre le risque d’exposer mon moi profond de manière unilatéral. Le manque est une souffrance et une manière d’idéaliser l’être aimé. Mettre plus de distance aujourd’hui, c’est prendre le risque de laisser plus de place à l’aventure humaine au début d’une histoire naissante. Je dois me réjouir de chaque instant partagé avec lui et ne rien exiger d’autre, ne rien implorer pour ne pas dénaturé son individualité, mais aussi ne pas vivre dans les projections de l’autre, pour me permettre d’être moi-même.

Aujourd’hui il m’a oublié ! Et pour me préserver, pour ne plus être « l’oublié » je me suis rendu indisponible. En tout cas indisponible dans les fenêtres de temps ou il est libre, peut-être pour donner une valeur supplémentaire à mon temps, au temps que chacun prend pour l’autre, que l’on partage avec l’autre.

[tipoune]

Un jour, de perdre son temps en réflexions vaines nous abîme plus que de vivre le temps présent!
Cesse de te poser des questions sur un avenir qui est non-sens dont par corollaiere nous ne pouvons souffrir!
A trop chercher le bonheur, nous ne trouvons que la souffrance...
La vie est dure, alors franchement, pourquoi chercher à la durcir davantage?

[Deckard2501]

Un jour, de perdre son temps en réflexions vaines nous abîme plus que de vivre le temps présent!
Cesse de te poser des questions sur un avenir qui est non-sens dont par corollaiere nous ne pouvons souffrir!
A trop chercher le bonheur, nous ne trouvons que la souffrance...
La vie est dure, alors franchement, pourquoi chercher à la durcir davantage?

Je viens de lire un livre : « l’art de la simplicité ». Je suis en accord avec presque tout ce qui est écrit, j’aime lorsque j’arrive à appliquer certains conseils. Pourtant j’ai toujours cet inconscient qui me parle, qui parle aux autres …

Je suis, j’ai été. Auparavant je ne comprenais rien de moi … J’ai cherché j’ai trouvé souffrance et soulagement. En ne saisissant pas ce que mon inconscient dictait je dérivais vers les abimes. Aujourd’hui je souffre pour lui (pour moi aussi) et non plus pour rien, je trouve qu’il s’agit d’un progrès, d’un épanouissement.

[ExMembre L]

ici seront supprimés tous les posts n'ayant aucun rapport avec le sujet d'origine.

[Deckard2501]

Suis-je si compliqué que personne ne puise m’aimer, que personne ne puisse me comprendre, ne puisse tenter de me lire ?

[ExMembre10]

je vais répondre par d'une manière simple:

tu as une relation où chacun est un individu, où chacun vis sa vie (à ce que j'ai crut comprendre, dis moi si j'ai tort) une relation adulte, entre adulte, où on prend ce qu'un instant peut nous donner quand on est apte à le recevoir. bien sur cela comprend le risque d'un éloignement, mais il vaut mieux cela que d'être tout le temps ensemble par "norme", non?
Personnellement je rêve de ce genre de relation où on est avec l'autre non pas pour ne pas être seul, mais uniquement parce quand on a envie d'être avec lui.

te rendre indisponible car il a besoin de ne pas l'être lui, c'est une sorte de réaction infantile, je trouve. tu te venge: ça ne t'aidera aucunement à améliorer ton couple.

Ensuite, souffrir pour toi ou pour lui n'est pas mieux que de souffrir juste comme ça. la seule chose mieux que de souffrir pour rien est de ne pas souffrir.

Si tu veux réellement arrêter de souffrir, parle-lui. Simplement. Met des mots sur ce dont tu as besoin. Ne garde pas la position (confortable au fond) de celui qui se sacrifie et qui souffre dans son coin, et qui ensuite se venge sous couvert.

maintenant je suis peut être totalement à côté de la plaque, dans ce cas explique moi mieux la situation.

[ysambre]

Suis-je si compliqué que personne ne puise m’aimer, que personne ne puisse me comprendre, ne puisse tenter de me lire ?

du tout, j'ai pris mon temps ce qui n'est pas pareil : p

je vis quelque chose qui ressemble a ton histoire, attendre de pouvoir rentrer dans l'univers et là j'essaye de me rendre indisponible pour que la prise de décision ce fasse de son coté..je me retrouve exactement dans le terme " fenetre du temps" c est tout a fait ça, cette espece d'attente latente ou on espere que quelque chose va se declancher qu'on remplis avec de l'hyper présence, qui finis par rentre tordu le sentiment le plus simple , anarchie du sentiment qui se deconstruit et se reconstruit dans l'heure, et ça n'est pas de la vengeance que de stoper de se rendre disponible c est juste remettre l'autre à sa place, et eviter de tomber dans la passion destructrice ( c est souvent comme ça), l'hyper attente pour devenir hyper dépendance envers cet autre qu'on esperait plus mais qui gache tout, je crois qu'a la fin , il faut opter une espece de rennoncement pas dans le sens lacher l'affaire mais lacher prise ce qui n'est pas pareil, de stoper d'idéaliser la relation qui n'est pas encore née.


encore magnifique phrase ou tu dis redonner de la valeur au temps passé ensemble, et non plus essayé de rattraper l'affaire a chaque fois en sur-compensant , bref un trop de presence tue l'abscence, hors c est encore bien elle qui nourris ce sacro saint désir, qui fait tourné la clef de l'amour dans le bon sens.

merci, pour les bons mots.

[iorini]

et moi, en ce moment je n'arrive pas à me rendre disponible pour te parler, et pourtant, je pense bien bien souvent à toi.
je t'embrasse
iorini