lulu galipette a écrit :Première chose : tu raisonnes environ vingt fois plus que n'importe qui sur le sens des choses.
Pas d'accord avec cela, beaucoup de personnes se posent des questions sur le sens des choses et cela est même normal
Mais le truc c'est qu'en faisant ça, tu ajoutes l'analyse de paramètres potentiellement érronés dont tout le monde se cogne en temps normal.
Que tu t'en cognes ! ne mets tout le monde dans ton panier
C'est ce qui se passe avec toi, sauf que toi tu enchaines "boulot, hierarchie, les autres, le bon dieu, la couleur de ses chaussettes, et le nombre de poils de menton de son voisin de gauche"
raisonnement qui me parait normal quand on s'intéresse un tant soit peu aux aux autres, au monde...
Tu t'égares donc un peu. Je ne pense pas que la montagne que tu fais et les cloisons que tu poses "boulot- hors boulot" aient une quelconque importance
désolé mais on n'a pas/on ne tiens pas le même comportement avec des collègues qu'avec des amis, qu'avec des relations/connaissances donc savoir dans quel domaine on est a son importance. De même que l'on ne se comporte pas/on ne parle pas/on n'est pas de la même façon avec un collègue quand on parle taff et que l'on parle de choses perso donc hors domaine professionnel
et "hierarchie" aient une quelconque importance.
le coté hierarchie a été introduit par une autre personne que specimen qui avait mal compris la situation
Personne ne se surveille à ce point la ni ne scinde naturellement sa personnalité au point de faire "jou - nuit" dans une relation humaine.
toi peut être mais on fait normalement la différence entre collègue et amis, connaissances.. même entre un subordonné, un collègue, un chef... entre famille et amis...
Cela devrait se borner à quelque chose de purement comment dire "instinctif" au sens où au lieu de traiter tout ça de façon raisonnable (ce qui t'éloigne visiblement de l'essentiel"
A l'instinct ! Au risque de se planter, tomber des nus... et Étonnant ta proposition car dans le cas de SPECIMEN, ce serait/pourrait être un désastre et le renfermerait complètement sur lui même et ne plus essayer de...
Ca me fait sourir l'énergie que tu dépenses pour mettre à plat tous les événements récents. C'est un travail que tout le monde ne fait pas, et qui se fait pour certains plus tôt dans l'évolution de la vie. Lorsqu'on se lance dans les relations.
on fait ce genre de chemin à chaque fois que l'on fait la connaissance de quelqu'un. que ce soit un ami comme un amant. on ne donne pas son amitié/amour, ne devient pas amis/amant avec le 1er venu, n'importe qui...
Un peu beaucoup de votre aide SVP, relation humaine inside
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toupten zangpo
- Messages : 209
- Inscription : mar. août 01, 2006 4:10 pm
Bon, j'étais pas la de la semaine, je vais reprendre le train en route.spécimen a écrit : Merci pour votre soutien acharné/indéfectiblemalgré mes humeurs plutôt en dents de scie en ce moment. C'est juste la traduction, le reflet de ce que je vis en ce moment...
En fait, ça fait très journal intime (interactif) ce thread...
Tu as visiblement besoin de ne pas te replier sur toi-même parce que sinon, tu fais fausse route, c'est pour ça que cette interactivité, malgré le côté journal intime, me semble bénéfique. Pour toi, et pour d'autres qui seraient comme toi mais n'oseraient pas le dire, maintenant ou plus tard.
Je n'ai pas grand chose à ajouter ici, mais je repasserai
Bon, j'ai tout relu. Il y a beaucoup beaucoup d'infos. Cela me permet en tout cas de prendre du recul sur tout ce qui vient de se passer depuis un peu plus d'une semaine. Vous êtes tous gentils
@Lulu Galipette,
ce n'est pas de ma faute (dans le sens où c'est constitutif/congénital) si je suis sensible à une tonne de détails de la vie courante quand je suis confronté à une situation de la vie courante. Rassure-toi, je ne prends pas en compte le nombre de poils du menton d'un collègue, ni la couleur de ses chaussettes pour en déduire quelque chose
Cette sensibilité aux détails, ça permet d'anticiper, comprendre beaucoup de choses qui peuvent passer inaperçues pour d'autres. Mais c'est vrai, du coup, tu ne vois plus la montagne dans son ensemble, ainsi que le meilleur chemin à entreprendre pour parvenir à son sommet. A méditer donc, grosse prise de recul et éviter de trop complexifier. Être plus dans le temps présent, dans la spontanéité. Ressentir les choses quoi, en profiter, plutôt que vouloir à tout prix les décortiquer... Mais spa ma faute s'il y a autant de petits indices de ci de là hein
@Toupten Zangpo : oui, tu as raison, j'ai mon patron qui est aussi très très tactile et pourtant il est papa de 2 enfants. Bon OK ça ne veut rien dire, mais je peux raisonnablement penser sans trop m'avancer qu'il est quand même hétéro hein. La différence c'est qu'il ne s'appuie pas sur moi comme le fait mon collègue
, ni ne s'affale sur mon épaule.
Sinon, oui je sais qu'il n'y a rien à voir entre l'empathie et l'affect hein. C'est juste que j'instille les 2 dans toutes mes relations, quelles soient professionnelles ou personnelles. Et en effet, l'empathie dans le taff, ce n'est pas top, mais là encore c'est constitutif/congénital. Cela m'a, et me joue, des tours... mébon... on ne se refait pas hein. Je suis le "bureau_des_pleurs" dans la boîte. Ça me prend beaucoup de temps, ça m'empêche aussi de m'imposer des fois, mais je m'applique à trouver des solutions et des consensus pour gagner en cohésion dans la boîte. Au bout de 9 ans d'expérience, j'ai, je pense, enfin trouvé la solution pour savoir quand être directif et m'imposer, quand être empathe.
Je suis d'accord avec toi sur le côté "amuseur_de_galerie" de ce joli garçon
Mébon, cela n'empêche pas de tâter le terrain quand même je pense.
@Tempérance
Oui, je vais souffler. Je vais me poser sur les marches de mon escalier comme écrit Ray-D 
Tu as raison, ça me permettra surtout de na pas avoir la tête dans le guidon pour mieux l'observer. Pour le reste, on verra bien. Ça se trouve, il n'est pas homo !
@ Ray-D, voui touche pause
grosse touche pause OK. Tu as raison également sur le fait que les autres collègues pourraient repérer le virage soudain qui s'opère. D'autant plus que je partage un très très grand bureau avec une collègue qui est également hypersensible. Nous nous sommes bien trouvés d'ailleurs, de suite, dès le premier jour
Et je sais qu'elle est très attentive, très sensible à ce genre de chose.
Mais ce n'est pas grave si elle repère quoique ce soit, parce qu'il s'agit de quelqu'un de très très bien, de très exceptionnel. Si je n'avais pas été pd, c'est exactement ce genre de femme pour laquelle je serais tombé amoureux
Douceur, brin de folie, décalage, très attentionnée, regard rempli de compassion (il y a un terme qui va très bien avec regard et qui résume toussa, mais je ne l'ai pas en tête désolé).
Bref, ce n'est pas impossible. On verra bien. Je ne suis pas en danger de toute façon dans cette boîte, du moins, j'en suis sûr dans les bureaux.
@ M-A, OK je comprends mieux ce que tu entends par "fuis-moi je te suis, suis-moi, je te fuis". Ce n'est pas désagréable en effet s'il s'agit bien de cela pour ce qui nous concerne. Mais j'étais vraiment perdu, car ayant fait le premier pas (bon d'un autre, c'est moi qui avait instauré une grande barrière entre nous 2, c'était donc à moi de la lever), je ne sentais rien venir de sa part. En pareille situation, c'est là que je perds pied. Mais maintenant qu'il "répond"
c'est un échange à 2, c'est déjà plus aisé comme approche. Comme l'a écrit Lulu, si entre 2 personnes, il n'y en a qu'une qui rame, c'est beaucoup plus difficile en effet.
Et pis ça se trouve il "rame" ou il me "suit" pas pour les mêmes raisons que moi je "rame" et je le "suis"
Donc oui c'est bon quand il y a un retour
@Moniiique
T'es toute gentille. OK c'est vrai il y a quelque chose de logique en fin de compte. Comme l'a écrit Zphyr également, j'ai dû installé un climat de confiance. Pour tout avouer, je ne pensais pas que ça existait un climat de défiance, ou de confiance
C'est quand même subtile en fait les relations humaines
J'ai bien compris également cette histoire de pallier, de non retour possible. Je suis en effet libre de souffler le chaud et le froid. Je préfère quand même le chaud pour ce cas là
Si ça va trop vite, je peux calmer le jeu en effet, le temps de reprendre pied. Il faut juste que je montre suffisamment de moi pour l'inciter à, pour lui suggérer de poursuivre
@Sandoval, je ne sais pas si c'est complice de s'affaler sur l'épaule d'un collègue. Faut que j'observe, mais dans mes souvenirs, je n'ai pas à l'esprit un tel geste entre mes autres collègues
En tout cas ce qui est sûr, c'est que je ne me sans pas capable de faire ça avec aucun d'eux, même avec lui, au boulot en tout cas. 'fin non seulement ce serait inouï (ceux qui me connaissent en vrai ici savent pourquoi j'écris ça), mais surtout j'aurai profondément changé ma nature et ma relation aux autres. Surtout, je me ferais capter immédiatement par mes collègues car ils connaissent tous ma réticence au contact.
Merci à vous tous encore une fois.
En tout cas, je me repose là, j'ai posé le cerveau là à ma gauche sur le canapé. Je le sature de musique et de papiers administratifs pour éviter qu'il ne travaille trop. Et naturellement, je sens déjà comment me comporter dès lundi matin, sans anticipation, sans futur, juste prendre du bon temps comme il vient, même si je souhaite des avancées bien évidemment

@Lulu Galipette,
Cette sensibilité aux détails, ça permet d'anticiper, comprendre beaucoup de choses qui peuvent passer inaperçues pour d'autres. Mais c'est vrai, du coup, tu ne vois plus la montagne dans son ensemble, ainsi que le meilleur chemin à entreprendre pour parvenir à son sommet. A méditer donc, grosse prise de recul et éviter de trop complexifier. Être plus dans le temps présent, dans la spontanéité. Ressentir les choses quoi, en profiter, plutôt que vouloir à tout prix les décortiquer... Mais spa ma faute s'il y a autant de petits indices de ci de là hein
@Toupten Zangpo : oui, tu as raison, j'ai mon patron qui est aussi très très tactile et pourtant il est papa de 2 enfants. Bon OK ça ne veut rien dire, mais je peux raisonnablement penser sans trop m'avancer qu'il est quand même hétéro hein. La différence c'est qu'il ne s'appuie pas sur moi comme le fait mon collègue
Sinon, oui je sais qu'il n'y a rien à voir entre l'empathie et l'affect hein. C'est juste que j'instille les 2 dans toutes mes relations, quelles soient professionnelles ou personnelles. Et en effet, l'empathie dans le taff, ce n'est pas top, mais là encore c'est constitutif/congénital. Cela m'a, et me joue, des tours... mébon... on ne se refait pas hein. Je suis le "bureau_des_pleurs" dans la boîte. Ça me prend beaucoup de temps, ça m'empêche aussi de m'imposer des fois, mais je m'applique à trouver des solutions et des consensus pour gagner en cohésion dans la boîte. Au bout de 9 ans d'expérience, j'ai, je pense, enfin trouvé la solution pour savoir quand être directif et m'imposer, quand être empathe.
Je suis d'accord avec toi sur le côté "amuseur_de_galerie" de ce joli garçon
@Tempérance
Tu as raison, ça me permettra surtout de na pas avoir la tête dans le guidon pour mieux l'observer. Pour le reste, on verra bien. Ça se trouve, il n'est pas homo !
@ Ray-D, voui touche pause
Et je sais qu'elle est très attentive, très sensible à ce genre de chose.
Mais ce n'est pas grave si elle repère quoique ce soit, parce qu'il s'agit de quelqu'un de très très bien, de très exceptionnel. Si je n'avais pas été pd, c'est exactement ce genre de femme pour laquelle je serais tombé amoureux
Bref, ce n'est pas impossible. On verra bien. Je ne suis pas en danger de toute façon dans cette boîte, du moins, j'en suis sûr dans les bureaux.
@ M-A, OK je comprends mieux ce que tu entends par "fuis-moi je te suis, suis-moi, je te fuis". Ce n'est pas désagréable en effet s'il s'agit bien de cela pour ce qui nous concerne. Mais j'étais vraiment perdu, car ayant fait le premier pas (bon d'un autre, c'est moi qui avait instauré une grande barrière entre nous 2, c'était donc à moi de la lever), je ne sentais rien venir de sa part. En pareille situation, c'est là que je perds pied. Mais maintenant qu'il "répond"
Et pis ça se trouve il "rame" ou il me "suit" pas pour les mêmes raisons que moi je "rame" et je le "suis"
Donc oui c'est bon quand il y a un retour
@Moniiique
J'ai bien compris également cette histoire de pallier, de non retour possible. Je suis en effet libre de souffler le chaud et le froid. Je préfère quand même le chaud pour ce cas là
@Sandoval, je ne sais pas si c'est complice de s'affaler sur l'épaule d'un collègue. Faut que j'observe, mais dans mes souvenirs, je n'ai pas à l'esprit un tel geste entre mes autres collègues
Merci à vous tous encore une fois.
En tout cas, je me repose là, j'ai posé le cerveau là à ma gauche sur le canapé. Je le sature de musique et de papiers administratifs pour éviter qu'il ne travaille trop. Et naturellement, je sens déjà comment me comporter dès lundi matin, sans anticipation, sans futur, juste prendre du bon temps comme il vient, même si je souhaite des avancées bien évidemment
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toupten zangpo
- Messages : 209
- Inscription : mar. août 01, 2006 4:10 pm
spécimen a écrit : Sinon, oui je sais qu'il n'y a rien à voir entre l'empathie et l'affect hein. C'est juste que j'instille les 2 dans toutes mes relations, quelles soient professionnelles ou personnelles. Et en effet, l'empathie dans le taff, ce n'est pas top, mais là encore c'est constitutif/congénital.
Es tu sur de parler d'empathie et non de compassion ? Tu ne serais pas le seul à confondre/mélanger, dans la majorité des cas, les gens inversent et se trompent donc sur la définition exacte des termes. La compassion est bonne mais pas l'empathie. Cette dernière peut t'amener très loin et surtout là où tu ne veux pas aller et avoir l'effet inverse de ce que tu recherches.
Je suis le "bureau_des_pleurs" dans la boîte. Ça me prend beaucoup de temps, ça m'empêche aussi de m'imposer des fois,
tiens, c'est marrant, je croirais presque que je me lis en lisant cela. Je connais la même chose et pas qu'au taff. Je ne sais pourquoi, les gens se confient facilement à moi et souvent me racontent leurs bobos, ennuis, malheurs...
mais je dois avouer que cela ne me déplait pas forcément même si cela prend énormément de temps. Heureusement que ne rentre pas dans l'empathie car je me serais suicidé depuis longtemps et au moins 50M de fois
Empathie : Du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qu'on éprouve. Notion complexe désignant le mécanisme par lequel un individu peut comprendre les sentiments et les émotions d'une autre personne voire, dans un sens plus général, ses états mentaux non-émotionnels comme ses croyances.
Compassion : Sentiment par lequel on est porté à percevoir ou ressentir la souffrance des autres, et poussé à y remédier. Le mot compassion provient du latin cum patior, « je souffre avec ». La compassion est une prédisposition à la perception et la reconnaissance de la douleur d'autrui, entraînant une réaction de solidarité active, ou seulement émotionnelle. Il s'agit donc d'une variante d'empathie axée sur la douleur.
Je ne fais pas d'amalgame. Cela m'a déjà amené très loin.
J'ai fait 29 à ce test Je ne sais pas ce qu'il vaut.
Compassion : Sentiment par lequel on est porté à percevoir ou ressentir la souffrance des autres, et poussé à y remédier. Le mot compassion provient du latin cum patior, « je souffre avec ». La compassion est une prédisposition à la perception et la reconnaissance de la douleur d'autrui, entraînant une réaction de solidarité active, ou seulement émotionnelle. Il s'agit donc d'une variante d'empathie axée sur la douleur.
Je ne fais pas d'amalgame. Cela m'a déjà amené très loin.
J'ai fait 29 à ce test Je ne sais pas ce qu'il vaut.
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toupten zangpo
- Messages : 209
- Inscription : mar. août 01, 2006 4:10 pm
non SPECIMEN, la compassion n'est une variante de l'empathie et l'un et l'autre peut être sur la douleur comme sur la joie
Dans l'empathie, on se se met à la place de, on prend pour soi, on perçoit... bref une sorte de transfert. bref on vit comme, en lieu et place... de l'autre
La compassion s'est aussi comprendre, prendre... les douleurs, les joies... des autres mais sans jamais se mettre à leur place. Souvent on voit "pitié" comme synonyme mais le mot n'est pas exact
Je ne sais si j'ai été clair dans mon explication, voici des définitions. no
Empathie :
- consiste à se décentrer pour se mettre à la place de son interlocuteur, imaginer ce qu’il peut penser, ressentir et ce sans projeter ses propres perceptions, ni jugement.
- (Psychologie) Capacité à comprendre, à ressentir les sentiments ou à se mettre à la place d’une autre personne.
* « Si le bébé est traité avec empathie, compassion et compréhension, ses propres capacités à développer ces qualités s'épanouissent en miroir. » — (Olivier Maurel Oui, la nature humaine est bonne)
- (Philosophie) Dans la tradition phénoménologique, appréhension immédiate de l'affectivité d'autrui
- Étymologie Préfixe en-, du latin in- et im-, « dans », devenu em- à cause du p qui suit, et -pathie, du grec -patheia, -pathês, de pathos « ce qu'on éprouve » Cette association sur le modèle de sympathie vient probablement de l'anglais empathy, où ce mot a été attesté dès 1904, vraisemblablement en traduction de l'allemand Einfühlung (1903). Employé en philosophie et en psychologie, le terme empathie désigne la capacité de s'identifier à autrui, de ressentir ce qu'il ressent. On parle aussi de degré de syntonie avec l'entourage.
L'empathie serait un processus cognitif par lequel un sujet s'identifie à quelqu'un, et ressent ce qu'il ressent, partage et éprouve les sentiments de l'autre. Hypothèse spéculative : chez le jeune enfant, la compréhension de l'état émotionnel d'autrui, à partir d'informations principalement non verbales, induirait un état cérébral similaire à celui de la personne qu'il observe, provoquant ainsi, de manière automatique et non volontaire, les mêmes états psychiques.
Compassion : compassion, nom féminin
Sens Sentiment de sympathie envers les maux d'une autre personne. Synonyme pitié Pitié, commisération, mouvement de l'âme qui nous rend sensibles aux maux d'autrui. Avoir compassion de la misère d'autrui. Avoir pitié et compassion. Avoir de grands sentiments de compassion. Être touché de compassion. Inspirer de la compassion. Être ému de compassion. Exciter la compassion. L'état où ces pauvres gens sont réduits, fait compassion, est digne de compassion. Sentiment qui incline à partager les maux et les souffrances d'autrui. Synon. apitoiement, commisération, miséricorde, pitié La compassion est l'attitude qui consiste à partager la souffrance des autres, à être attentif face à la douleur de son prochain, à partager ses peines. Autrement dit, la compassion est le fait pour un individu d'être pour son frère, un réconfort surtout après un malheur.
La différence est plus clair ?
Donc SPECIMEN, que tu ais de la compassion est une bonne chose mais attention à l'empathie et la frontière entre les 2 est assez infime

Dans l'empathie, on se se met à la place de, on prend pour soi, on perçoit... bref une sorte de transfert. bref on vit comme, en lieu et place... de l'autre
La compassion s'est aussi comprendre, prendre... les douleurs, les joies... des autres mais sans jamais se mettre à leur place. Souvent on voit "pitié" comme synonyme mais le mot n'est pas exact
Je ne sais si j'ai été clair dans mon explication, voici des définitions. no
Empathie :
- consiste à se décentrer pour se mettre à la place de son interlocuteur, imaginer ce qu’il peut penser, ressentir et ce sans projeter ses propres perceptions, ni jugement.
- (Psychologie) Capacité à comprendre, à ressentir les sentiments ou à se mettre à la place d’une autre personne.
* « Si le bébé est traité avec empathie, compassion et compréhension, ses propres capacités à développer ces qualités s'épanouissent en miroir. » — (Olivier Maurel Oui, la nature humaine est bonne)
- (Philosophie) Dans la tradition phénoménologique, appréhension immédiate de l'affectivité d'autrui
- Étymologie Préfixe en-, du latin in- et im-, « dans », devenu em- à cause du p qui suit, et -pathie, du grec -patheia, -pathês, de pathos « ce qu'on éprouve » Cette association sur le modèle de sympathie vient probablement de l'anglais empathy, où ce mot a été attesté dès 1904, vraisemblablement en traduction de l'allemand Einfühlung (1903). Employé en philosophie et en psychologie, le terme empathie désigne la capacité de s'identifier à autrui, de ressentir ce qu'il ressent. On parle aussi de degré de syntonie avec l'entourage.
L'empathie serait un processus cognitif par lequel un sujet s'identifie à quelqu'un, et ressent ce qu'il ressent, partage et éprouve les sentiments de l'autre. Hypothèse spéculative : chez le jeune enfant, la compréhension de l'état émotionnel d'autrui, à partir d'informations principalement non verbales, induirait un état cérébral similaire à celui de la personne qu'il observe, provoquant ainsi, de manière automatique et non volontaire, les mêmes états psychiques.
Compassion : compassion, nom féminin
Sens Sentiment de sympathie envers les maux d'une autre personne. Synonyme pitié Pitié, commisération, mouvement de l'âme qui nous rend sensibles aux maux d'autrui. Avoir compassion de la misère d'autrui. Avoir pitié et compassion. Avoir de grands sentiments de compassion. Être touché de compassion. Inspirer de la compassion. Être ému de compassion. Exciter la compassion. L'état où ces pauvres gens sont réduits, fait compassion, est digne de compassion. Sentiment qui incline à partager les maux et les souffrances d'autrui. Synon. apitoiement, commisération, miséricorde, pitié La compassion est l'attitude qui consiste à partager la souffrance des autres, à être attentif face à la douleur de son prochain, à partager ses peines. Autrement dit, la compassion est le fait pour un individu d'être pour son frère, un réconfort surtout après un malheur.
La différence est plus clair ?
Donc SPECIMEN, que tu ais de la compassion est une bonne chose mais attention à l'empathie et la frontière entre les 2 est assez infime
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Dernière modification par spécimen le dim. janv. 31, 2010 5:31 pm, modifié 1 fois.
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Merci Védra, tu as su rester calme...