ll m'a frappé !

[cici]

C'est sur, la première fois, ce n'est souvent "que" une gifle.....

Et la fois d'après , quand tu ne ressembles plus à rien, ce n'était "que" 10 gifles. Bon yen avait 10 mais ça restait des gifles...

Vous savez quand même que la gifle c'est le coup le plus humiliant qui soit ? ....

Après, ça ne veut pas dire rupture.... mais soit il assume ce qu'il a fait, coup de sang ou pas. Justifier qu'on tape l'autre parce qu'on est en pleine crise d'hystérie ne doit pas être acceptable. On tape parce qu'on tape. Point.

[Norma]

C'est sur, la première fois, ce n'est souvent "que" une gifle.....

Et la fois d'après , quand tu ne ressembles plus à rien, ce n'était "que" 10 gifles. Bon yen avait 10 mais ça restait des gifles...

Vous savez quand même que la gifle c'est le coup le plus humiliant qui soit ? ....

Après, ça ne veut pas dire rupture.... mais soit il assume ce qu'il a fait, coup de sang ou pas. Justifier qu'on tape l'autre parce qu'on est en pleine crise d'hystérie ne doit pas être acceptable. On tape parce qu'on tape. Point.

Je suis pas d'accord avec toi.

Ca m'est déjà arrivée de me disputer avec quelqu'un avec qui je suis, et, emportée par les sentiments très intenses que cela procure, surtout si y a eu un peu d'alcool avant, lancer un coup, le plus souvent une giffle ou un étranglement. Surtout si la personne ne me laissait pas parler ou me lançait des piques dégradantes. Mais je n'ai jamais "battu" quelqu'un. La giffle, c'est aussi le truc qu'on lance pour que la personne se taise quand ses mots deviennent insupportable. C'est pas forcément le "soufflet" qui humilie. Et avec les infos qu'on a, je serais bien incapable de savoir dans quelle logique elle a été lancée.

Maintenant c'est délicat ... Comme avec les agressions sexuelles ... il ne faut surtout minimiser la parole d'une victime, ni la conforter à accepter des choses pas acceptable. Mais il ne faut pas non plus dépeindre sous le trait d'un crime des gestes qui n'en sont pas, de peur et de décrédibiliser par la suite les actes qui le sont vraiment, de peur aussi de faire du mal à une personne qui a eu un geste certes inadapté ou excessif, mais ponctuel et pas "si" grave.

Or, le truc, c'est que seul les protagonistes (ou les témoins directes) peuvent savoir à quel catégorie appartient cette histoire.
On n'a que qu'un témoignage, qui de plus n'est pas radical. Dire que c'est l'un ou l'autre, c'est de la spéculation.

Or donc là, si Malik ne nous en dit pas plus sur le déroulé exacte de sa dispute avec Karim, je serais bien embêtée d’émettre un point de vue radical.

[cici]

et ben là je suis hyper choquée....

étranglement ? gifle ???

On peut donc accepter qu'un gamin impulsif qui ait un couteau sur soit donne un coup un l'autre sous prétexte qu'on ne lui laisse pas exposer ses arguments ? on dérive du sujet initial mais ça devient carrément excessif là.... 'fin bon, la "gifle" comme argument pour prendre la parole, c'est carrément...

Bref, j'suis outrée quoi.

Il faut apprendre à se maîtriser, à gérer la frustration... sérieux quoi... quitte à s'isoler le temps que la pression descende des deux côtés. Mais accepter de tels comportements, c'est carrément choquant.

Et pourtant, je suis quelqu'un d'hyper impulsif, j'ai fait des putains de crises à la con tout l'été et pas une seule fois je n'ai eu recours à la violence physique pour m'imposer. Et quand ça montait, je partais.

Ah. Et l'alcool ne justifie rien.

[Norma]

Les disputes entre deux personnes adultes sont parfois violentes, sans que la vie d'aucun des protagonistes ne soit mis en danger pour autant.

Après, y a des gens sanguins, d'autres non. C'est aussi pour ça que tout le monde n'est pas compatible avec tout le monde, notamment amoureusement.

Et qu'une personne qui trouve cette manière de se disputer et ce type de tempérament un brin violent pas acceptable pour lui arrête une relation parce qu'il ne s'y sentira pas à l'aise, c'est normal et légitime. Moi, personnellement, et ça ne concerne que moi, je ne tolère pas la violence morale, les vieux dossiers, les remarques insidieuses, les piques, les petites humiliation. Mais je comprend et tolère - toujours dans le domaine de l'exceptionnel et pas du "courant", cela va de soi - des réactions physiques impulsives et violentes.
Pour d'autre ce sera l'inverse. Pour d'autre ce sera aucun des deux.
Des réactions physiques violentes, j'en ai eu dans mes précédentes relations, j'ai moi-même un tempérament méditerranéen (aussi appelé "tempérament de merde"). Je suis avec quelqu'un de physiquement pas violent du tout (et ça vaut mieux vu la carrure) mais qui a toujours eu des copines avec ce tempérament de connasse hystérique, qui tolère tout à fait le miens et même qui aime bien ça. Je me vois pas jeter la pierre à une personne qui a donné une fois une giffle lors d'une dispute si à côté de ce coup de sang ponctuel la logique relationnelle n'est pas malsaine, et si son compagnon ne se sent pas prisonnier de sa relation et ne se retrouve pas a accepter des choses qui vont à l'encontre de ce qu'il souhaite vivre.


Après, faut être bien au clair sur ce qu'on trouve ou non nous même personnellement acceptable sans que ça aille à l'encontre de nous, sans que ça nous fasse du mal. Et qu'on ne subisse pas par amour quelque chose allant à l'encontre de notre volonté.

[irvel]

+1 @ Norma sur : http://et-alors.net/forum/viewtopic.php ... 14#p992414

le truc, c'est que seul les protagonistes (ou les témoins directes) peuvent savoir à quel catégorie appartient cette histoire.
On n'a qu'un témoignage, qui de plus n'est pas radical. Dire que c'est l'un ou l'autre, c'est de la spéculation.

Tout à fait d'accord, on peu aussi donner une gifle pour calmer quelqu'un ou le ramener au monde réel.

Même si je ne pratique pas je peux admettre que pour certains se soit envisageable dans certaines circonstances sans qu'il soit nécessaire, ni même pertinent de dramatiser.

PS : en fait jamais je ne frappe, mais dans des circonstances extrêmes et rarissimes je peux maintenir ou serrer contre moi quelqu'un afin de le calmer et on peut aussi considérer ça comme coercitif.
Ce n'est pas vraiment différent de la gifle dans les mêmes circonstances, le choix de l'un ou l'autre est surtout dépendant de la morphologie des intéressés.

[Norma]

+1 @ Norma sur : http://et-alors.net/forum/viewtopic.php ... 14#p992414

le truc, c'est que seul les protagonistes (ou les témoins directes) peuvent savoir à quel catégorie appartient cette histoire.
On n'a qu'un témoignage, qui de plus n'est pas radical. Dire que c'est l'un ou l'autre, c'est de la spéculation.

Tout à fait d'accord, on peu aussi donner une gifle pour calmer quelqu'un ou le ramener au monde réel.

Même si je ne pratique pas je peux admettre que pour certains se soit envisageable dans certaines circonstances sans qu'il soit nécessaire, ni même pertinent de dramatiser.

PS : en fait jamais je ne frappe, mais dans des circonstances extrêmes et rarissimes je peux maintenir ou serrer contre moi quelqu'un afin de le calmer et on peut aussi considérer ça comme coercitif.
Ce n'est pas vraiment différent de la gifle dans les mêmes circonstances, le choix de l'un ou l'autre est surtout dépendant de la morphologie des intéressés.

Oui voilà, c'est de ça dont je parlais quand j'évoquais la gifle là pour qu'une personne se taise :
La dernière en date que j'ai donné était là pour calmer mon +1 qui - alcool aidant - était parti dans un délire hystérique avec un flot de paroles ininterrompu qui s'alimentait lui-même dans un délire d'auto-flagellation. Et vu que je suis une petite chose frêle et qu'il fallait faire débrailler la machine avant que ça devienne vraiment grave ou dangereux, la gifle qui ramène à la réalité m'a bien aidée. Le dernier étranglement en date correspondait également à la même logique (et était venu après une gifle de rappelle à la réalité inefficace.

Entre gens modérés, y a pas besoin de force physique. Mais quand on choisi d'être avec des gens un peu timbrés ou qui ont une propension à partir en couille quand ça va pas, la violence physique peut arriver et cela sans que ce soit malsain.

Après, on est pas tous capable d'avoir des relations avec des gens qui partent en couille. Et on est pas obligé. Mais si on choisi pour des raisons x ou y d'être avec des personnes sanguines, hystériques, dépressives, excessives, psychosés ou névrosés ... Les mêmes règlent s'appliquent pas à tous les cas. L'important c'est la notion de consentement éclairé. De pas se sentir prisonnier de quelque chose. Je le répète parce que pour moi c'est ça qui est capital.