J'aimerais (vraiment) que la question soit si simple comme tu la présente. Mais je n'arrive pas à être d'accord avec toi, avant tout parce qu’il est impossible de « décider » rationnellement comment se comporter et quoi éprouver dans toutes nos futures relations. Ta solution, il me semble (mais ne le prend pas mal, je suis bien conscient que je pourrait me tromper), révèle plus de la fragilité que de la force : pour ne pas souffrir on se force à ne pas ressentir ce qui nous ferait du mal.New starting a écrit :Moi ça m'est jamais arrivé pour la simple et bonne raison que je l'avais autorisé (et je m'étais autorisé mais je l'ai pas fait), et que je m'en foutais. De toute façon je veux pas priver un mec de ce qu'il a à vivre.
En fait c'est un cercle vicieux : je me dis qu'en cas de tromperie je vais en souffrir, donc je l'interdis et y donne de l'importance, donc j'en souffre quand ça arrive, ce qui semble confirmer que j'avais raison, et ainsi de suite. Et donc mélodrame si il y a tromperie, mais un mec qui se retiens pourra être frustré et en vouloir à l'autre. Bref, c'est juste générateur de sentiments négatifs (et de crimes passionnels).
Alors que si on DECIDE de rompre avec ce cercle, on peut s'éviter tout ça. Pas en un jour mais à la longue ça vient.
Pour kouros : le secret fait souffrir quand il est découvert, oui. Mais si on supprime le besoin de secret on supprime le problème.
Je crois que les sentiments (et le sexe aussi) sont des questions complexes parce que personnelles : chacun y investit ses expériences, ses besoins etc. qui sont (jusqu'à une certaine limite) uniques. Les dynamiques psychologiques que tu décris ne peuvent pas s'appliquer à toutes les relations (au moins, j'espère