Fréquentations contre-natures, déraillement total de ma vie

Pour eux.
n0ze
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Re: Fréquentations contre-natures, déraillement total de ma

Message par n0ze »

Beaucoup de lecture d'un coup, ça fait plaisir !

Je pense qu'il y a du vrai dans tout ce que vous dites.
Nan je pense pas qu'elle confonde. Mais nous on n'a que ta manière de te comporter ici donc on peut pas se baser sur autre chose. Après, je trouve que tu te justifies beaucoup, comme si tu avais la "peur de ne pas être apprécié" et si tu voulais montrer à tout prix que tu n'es pas méchant. il ne faut pas te sentir agressé par les remarques, ce ne sont pas des reproches, mais des pistes de réflexion. Tu devrais voir ça comme une occasion de prendre conscience de l'image que tu renvoies. Qu'elle soit représentative ou pas, ça peut être utile pour toi de comprendre la manière dont les gens peuvent te percevoir. Même si ton comportement est différent in real life, ça reste toi avec tes idées et ta manière d'appréhender les choses.
J'ai été maladroit dans ma façon de m'exprimer, je voulais dire justement que j'exprime ici des choses que je n'exprime pas en vrai. Donc vous me percevez à travers quelque chose de très personnel et peu rationnel puisque alimenté de persécution. Je pense que les gens en cours me perçoivent comme quelqu'un de niais, qui ne sait rien de la vie et qui n'a aucune expérience marquante à laquelle s'appuyer pour être crédible dans ses positions. Ou peut-être pas, je ne suis pas dans leur tête et mon jugement n'est pas forcément rationnel compte tenu de mon état actuel.
Ton problème se situe je pense dans le fait que tu t'es construit au gré de tes réflexions une tour d'ivoire que tu claques à la gueule des autres sans t'en rendre compte. Je dis bien, sans t'en rendre compte. Et nan c'est pas facile de prendre conscience de ça et surtout de modifier ça, parce qu'on ne voit pas ce qui ne va pas.
Voilà, ça se rejoint avec la citation précédente. On a pas tous la même notion de la "supériorité" (ce n'est pas le terme le plus adapté mais je ne sais pas comment appeler ça…), surtout quand il s'agit de nous. Et peut-être que des choses que je ressens au fond de moi comme inoffensives ne sont pas perçues de la même manière par les gens.
C'est quand même un peu vicieux ton truc Norma : tu viens dire à un mec que c'est une tête à claques - le mec, forcément, se défend en disant que non il n'est pas une tête à claques - et toi tu reviens lui dire : tu vois, tu n'acceptes pas la critique c'est donc bien que tu es une tête à claques. Tu voudrais quoi ? : qu'il dise "ah oui, tu as raison, je ne suis qu'un gros con, merci de me révéler la vérité sur moi-même ?" Surtout qu'il t'a vraisemblablement lue consciencieusement et qu'il te répond point par point, ce n'est pas juste comme s'il t'envoyait chier en se fichant de tes commentaires.
C'est ça, je me soucie de la situation et je n'ai pas envie d'ignorer un avis, qui malgré son côté offensant n'est pas forcément faux non plus.
Tu as raison. Mes conseils sont nuls et mon attitude déplorable. De toute façon, je ne prend le temps de lui répondre que pour l'humilier un peu plus parce que ma vie et nulle.
Là c'est toi qui prend la mouche. Disons que je te reproche juste de me jeter des pierres alors que je m'en suis pris une tonne dans la gueule avant, ça ne fait pas de bien, ça ne soulage pas la plaie, ce n'est peut-être pas la meilleure solution pour me faire raisonner. En tout cas, je ne suis pas le genre de mec qui a besoin d'une claque dans la gueule pour se réveiller.
Bah oui ça fait un choc d'apprendre que je ne renvoyais pas l'image de celle que j'étais. Parce que pour moi, ma manière d'être n'étais pas fausse, je faisais comme je pouvais pour m'intégrer et puis en fait ça a pas marché. J'ai donc demandé à mes amis plus proches d'enfance si j'étais vraiment comme ça, j'ai demandé même à certaines personnes ici sur le forum... On m'a dit que c'était ma manière d'être qui passait dans certains cercles et pas dans d'autres. Autrement dit, je devais m'adapter à chaque cercle. C'est chiant, parce que moi ça m'allait très bien d'être la même partout, je pensais qu'être sans artifice c'était bien, puisque apparemment fallait être vrai tout le temps.
Bah non. Faut s'adapter.
C'est ça le problème, c'est toujours aux mêmes de s'adapter. Les autres ne se posent pas de questions sur leur façon d'être, tout va bien et pourtant ils ne sont pas forcément les plus sympas à fréquenter. Je vais reparler de cette bulle à laquelle je me raccroche, les gens avec qui je tourne un court-métrage…
Dans le lot, il y en a un qui est vachement sec, vachement froid dans sa façon d'être, c'est son tempérament. Pourtant c'est quelqu'un de très sensible dans le fond, il se soucie vachement de ses amis, il est attentionné. Son côté inaccessible, c'est son amure en quelques sortes.
Ensuite, il y en a un autre qui souffre de son handicape physique. Il a un problème aux jambes et n'hésite pas à revendiquer haut et fort son amour propre. Ça revient au même que pour moi et ma réflexion finalement. Rééquilibrer la balance pour ne pas se sentir inférieur. Par contre, c'est quelqu'un qui comprend facilement les autres. Il a beaucoup d'humour et un manque de tact volontaire dans sa façon de parler qui fait rire les gens. Sa différence l'a beaucoup fait réfléchir sur le monde.
Enfin, le dernier se fiche de blesser les gens, il est très personnel, il n'hésite pas à donner un coup de poing dans la gueule de ses "amis" parce qu'il n'est pas d'humeur à supporter leurs blagues. Je mets le mot amis entre guillemets car être capable de les frapper parce qu'on est irrité, ça ne correspond pas à la notion de l'amitié selon moi. À côté de ça il a ce côté très gamin qu'il assume complètement, et qui plait aux gens.

Le premier et le troisième ont perdu leur père étant petits, ça les a rapproché. Le deuxième, j'ignore tout de ses tragédies familiales mais les 3 ensemble ont un univers assez proche. Ils partagent les mêmes goûts musicaux, les mêmes intérêts graphiques. Ils ont un point commun, ils ont ce côté fier qui traduit un amour décuplé de soi. On dirait qu'ils ont tout vécu, qu'ils ont raison sur tout, qu'ils sont plus crédibles que les autres parce qu'ils ont des tragédies et des handicapes sur lesquels s'appuyer.

C'est pour ça que j'ai du mal à comprendre pourquoi je donne cette impression de prendre les gens de haut. Parce que je ne montre pas un amour propre de moi, je ne suis pas dans l'affirmation, et quand j'ai une conversation, je ne tue pas le débat en apportant un jugement mais au contraire, je laisse le bénéfice du doute à la personne.
Par contre, en écrivant ça, il y a un truc qui me vient à l'esprit et auquel je n'avais pas pensé : je suis tout le temps dans l'analyse, et j'essaye, je pense, sans m'en rendre compte, de mettre à nu les doutes et complexes des gens pour qu'ils se rapprochent de moi. J'ai cet air tout le temps pensif, ce regard presque radiographique. J'ai toujours fait ça, c'est quelque chose que je ne contrôle pas.

Ça rejoint ma réflexion, car c'est exactement comme ça que je fonctionne pour cerner le monde qui m'entoure. Je suis tout le temps dans l'analyse de tout, je remets tout en question, je retourne tout dans mon cerveau. Je vous laisse imaginer le bordel que c'est à l'intérieur.

Quoiqu'il en soit, et comme le disait Norma (une référence à Bates Motel ? Psychose ?), oui les gens ont leurs problèmes, oui les gens doutent… Et je suis persuadé qu'au delà de cet aspect "sûrs d'eux", ils cachent de gros complexes. Ça ne se répercute pas sur l'école, c'est tout. Et ça m'agace de voir que les gens ont des défauts, des doutes, des peines, qu'ils les refoulent et ne trouvent aucun prétexte pour travailler dessus. Je sais, ce n'est pas rationnel comme pensée, c'est presque de la jalousie quelque part, parce que moi je ne suis pas capable de me refouler et d'apprécier le monde sans tout remettre en question, sans tout analyser. C'est limite si ce n'est pas de la frénésie…

C'est pour ça que j'ai toujours le sentiment que c'est à moi de m'adapter, à moi de me remettre en question.
Bah, la bulle des rejetés, son expression était maladroite, mais sur le fond je crois comprendre l'idée. Non pas qu'il faut pas aller vers les gens rejetés parce qu'ils sont rejetés, par principe, mais qu'il faut pas non plus aller vers eux par défaut (dépit), parce qu'il ne "reste qu'eux", si ils ont rien d'attirant plus que les autres.
C'est exactement dans ce sens là. Heureusement qu'il y a des gens pour me traduire :).
Tous les rejetés ne sont pas des gros dégueulasses fainéants et inintéressants, merci pour eux. :ninja:
Pis tu es un rejeté à ta façon, donc le laïus sur les rejetés, fais gaffe quoi.
Comme je l'ai dis plus haut, le monde d'aujourd'hui est parano sur la stigmatisation et la généralisation. Même si je crois comprendre que tu dis ça sur un ton décalé :)

Oui je suis rejeté à ma façon, mais pas pour des raisons d'hygiène et de laisser-aller. Comme tu dis, tous les rejetés ne sont pas de gros dégueulasses fainéants (par contre j'ai pas dit inintéressants, mais repoussoirs = qui ne donnent pas envie de s'intéresser à eux). De toute façon, les gens rejetés ne le sont tous pas pour les mêmes raisons. De même que les gens intégrés ne le sont tous pas pour les mêmes raisons.
Tu reproches aux autres de ne pas creuser, mais toi même tu t'arrêtes aussi à l'image superficielle que te renvoient ces rejetés, que tu décris en losers. Je n'émet pas de jugement sur ta légitimité à le faire, ce n'est ni le lieu ni l'objet, mais juste, l'apparente (peut-être elle même aussi... superficielle ;)) incohérence entre ces deux faits.
Quand je suis distrait en cours, quand je fais des gaffes, on n'hésite pas à me mettre dans le même sac que ces gens qui sont rejetés parce qu'ils se négligent complètement. Et ça m'insupporte, car s'il y a bien une chose qui me caractérise, c'est que je suis très à cheval sur mon image. J'aime être bien sur moi, parce qu'à force d'être rejeté par mon frère, d'être pris pour une merde, je me suis idéalisé un opposé que j'ai envie d'atteindre. Ce n'est pas de la superficialité mais du perfectionnisme. Je suis perfectionniste sur mon image, je suis perfectionniste dans ma façon de travailler, dans ma façon d'imaginer ma vie et je refuse d'être mis dans le même sac que des gens qui se fichent de tout. Ça me blesse, parce que ça me renvoie à la façon dont mon frère me percevait.
Je rapproche les gens qui se fichent de tout à la merde que j'étais selon mon frère maladroitement, non pas parce que je les prends pour des merdes, mais parce qu'ils sont eux aussi, à des années lumières de l'idéal que je me fais.

Je suis content du nombre de réponses que j'ai eu, ça me permet d'avoir plus d'avis, de conseils, de pouvoir faire un plus grand travail sur moi. Même ça, ça s'apparente à du perfectionnisme parce que la situation actuelle est à des années lumières de mon "idéal" alors il faut absolument que je travaille sur moi pour l'atteindre. Je sais très bien que je ne l'atteindrai jamais, car la perfection n'existe pas. D'ailleurs c'est moche la perfection, c'est rigide (et je m'impose souvent de sourire et d'être polis pour ne pas le paraitre), ça n'a pas de charme, ce n'est pas humain (et je dois avoir un côté inhumain dans ma façon de tout analyser), mais ça me permet d'avoir un but.
n0ze
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Re: Fréquentations contre-natures, déraillement total de ma

Message par n0ze »

Bonsoir,

Mon dernier message n'a pas dû faire l'unanimité, mais je vous tiens quand même aux nouvelles.

La rentrée des classes a eu lieu hier matin. Je me suis rendu en cours avec une boule au ventre monstrueuse. Faire face à tous ces gens avec qui je n'avais rien à partager, avec qui je n'avais aucune affinité. Faire mon travail alors que je n'étais pas motivé. Relever le défis de m'affirmer auprès d'une classe avec qui je n'étais pas parti du bon pied... Bref, tout ce qu'il ne faut pas penser, j'y ai pensé.

En fait, le cours de TD a été très routinier. Les gens ont commencé à s'activer sur leurs devoirs, finissant quelques projets qu'ils avaient entamé pendant les vacances. Moi, je n'ai rien fait. J'ai passé 2 semaines de vacances à me remettre en question, à retourner le sujet dans tous les sens. Qu'est-ce qui va pas chez moi ? Que dois-je faire ? Que dois-je ne pas faire ? Toutes ces questions qui rendent encore plus complexe une situation déjà complexifiée. J'en suis conscient, je me suis pris monstrueusement la tête et je n'en suis pas fier. Durant deux semaines, j'ai apprécié de ne rien faire, puisque c'était l'état d'esprit dans lequel j'étais : ne rien faire, m'enterrer et oublier l'espèce humaine.

Pour en revenir à cette rentrée et à ce TD, j'ai commencé à me mettre au travail tranquillement. Tellement lentement que j'allais de toute façon ne pas pouvoir rendre mon boulot au cours de l'après-midi. J'entendais tout le monde autour de moi dire "hey, t'as fait ton travail ? T'as fait ça, ça, ça, et ça ? Tu peux me montrer ça ? Tu peux m'aider ?", une vraie fourmilière qui prenait vie autour de moi. Et moi, j'étais là, comme un zombie, dans mon coin, je n'ai même pas pris la peine de parler aux gens avec qui je traîne d'habitude, d'une parce que je n'avais rien à leur dire, que j'avais pas envie de balancer de la merde et me ridiculiser, et de deux, parce que j'avais envie de m'enterrer.

Le cours est passé, je suis rentré chez moi à midi. J'ai tenté de parler à 2-3 personnes sur la route, la sauce n'a pas pris. J'étais invisible.

Je ne suis pas retourné en cours l'après-midi, je n'avais pas envie de me justifier sur le travail non-fait alors que j'avais eu toute les vacances pour le faire. Aujourd'hui, je ne suis pas retourné en cours non plus. Je n'avais ni l'envie d'affronter cette situation à nouveau, ni l'envie de me justifier sur le travail à rendre que j'avais à peine entamé.

J'ai décidé d'arrêter les cours.

Je suis arrivé à un point où tout ce qui concerne mon école me donne envie de vomir. Les gens, le travail. J'en ai la boule au ventre, je stresse rien qu'en y pensant. Ce n'est plus vivable.

Cela fait quelques mois de toute façon que je ne prête plus une oreille attentive aux consignes des profs, que je suis distrait, que je me désintéresse de mes études. Cela fait également quelques mois que je commence à ramer dans mon travail, par besoin d'aide au départ, puis par découragement face aux personnes qui ont profité de mon besoin d'aide pour me descendre.
Quand les profs parlaient du métier, de leur expérience professionnelle, je n'arrivais plus à m'identifier, à me projeter dans l'avenir. Mes rêves pleins la tête de l'année d'avant s'étaient dissipés pour être remplacés par du malaise et de l'angoisse. J'ai complètement tourné le dos à cette filière, révulsé au point d'en avoir la nausée.

Je ne me vois pas me lever un beau jour et me dire "tiens, aujourd'hui je me sens mieux, je suis motivé, je vais me remettre au travail". Non. J'estime qu'arrivé à ce stade là, il n'y a plus rien à faire. Il faut changer d'orientation, redémarrer à zéro. Commencer une nouvelle vie avec des objectifs précis.

Mes parents sont sous le choc évidemment, ils sont les garants de mon prêt étudiant. Mais ils pensent que c'était la meilleure chose à faire. Ils me connaissent mieux que quiconque, ils ont vécus des périodes similaires dans leur vie... Je suis leur création après tout. Bien sûr, ils auraient voulu que tout se passe comme ce qui était prévu. Mais la vie réserve des surprises.

J'ai décidé de passer des concours d'entrée pour des écoles d'architecture. J'ai toujours eu ça au fond de moi, mais j'ai évité la filière pour des raisons mathématiques. J'suis parti dans le cinéma d'animation car c'est quelque chose de plus scénarisé, qui fait appel à l'écriture, mais j'ai quand même des maths. Quitte à faire des maths, autant en faire pour quelque chose qui m'attire vraiment. L'envie de concevoir, de voir mon imagination sortir de terre, de réaliser des projets du papier jusqu'aux finitions.

Oui mais voilà. Je suis sous le choc moi aussi. Parce que je dois recommencer les concours d'entrée, les recherches d'écoles... Parce que je vais passer 4 mois à me tourner les pouces. Je pense pouvoir trouver du travail pour les grandes vacances, et également pour les vacances d'avril avec mon BAFA, mais en dehors de ça je vais devoir lutter pour m'occuper. J'appréhende déjà, j'ai connu un épisode similaire après ma première année de lycée. J'ai arrêté les cours avant la fin parce que j'étais totalement démoralisé, j'ai passé 3 mois à ne rien faire.

À côté de ça, mes parents insistent pour garder la chambre étudiante, au cas où je retrouve une école sur Lille. Durant 4 mois, je vais faire des allers-retours entre ma chambre et chez mes parents sans but précis. J'ai du matériel qui ne se déplace pas facilement, un gros ordinateur que j'ai acheté pour mes études. Une connexion internet dont je dois justifier l'utilisation. L'entretien des lieux tout simplement... Alors oui, je suis content de l'avoir cette chambre étudiante, elle me permet d'avoir une certaine indépendance, beaucoup d'étudiants rêveraient d'en avoir une. Sauf qu'elle n'a plus d'intérêt actuellement, que je vais l'entretenir et que je vais croiser régulièrement des gens de mon école puisqu'une bonne partie habite dans le même immeuble.

Je ne sais pas comment je me sens. Soulagé, pessimiste face à ces 4 mois qui arrivent mais optimiste pour le plus long-terme. Actuellement, même si je sais que je vais m'en relever et trouver ma voie, j'ai l'impression d'avoir échoué, d'avoir perdu une partie de ma vie. J'ai besoin de digérer ma décision je pense, même si c'était la meilleure chose à faire. Je ne me vois pas affronter cette situation pendant encore 1 an et demi et finir avec un diplôme qui ne me correspond pas.

Voilà, je pense qu'il s'agit ici de la conclusion du sujet...
inconnu n

Re: Fréquentations contre-natures, déraillement total de ma

Message par inconnu n »

Du coup, tu vas travailler pendant ces 4 mois ? J'ai envie de dire, commence à envoyer des CV et LM dès maintenant, ça t'occupera l'esprit, déjà (ça plus les entretiens).

Perso, je serais bien en peine de te juger, car j'ai vécu un truc assez similaire en droit, me rendant compte pile au milieu de ma licence que c'était pas fait pour moi. Et que je me suis senti aussi assez invisible et décalé des gens de ma promo toute l'année dernière, et encore cette année, sauf une micro-poignée d'amis. Donc, comme tes parents, j'essayerais de dédramatiser le truc.

Maintenant, fonce, prépare tes concours, et si possible trouve toi un petit job.
n0ze
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Re: Fréquentations contre-natures, déraillement total de ma

Message par n0ze »

Merci pour ton soutien, ça fait plaisir :)
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