L'ennui
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Deckard2501
- Messages : 146
- Inscription : mer. mai 31, 2006 8:24 pm
L'ennui
Je m’ennui. Peut-on vivre pour soi-même ? Voila ce que j’ai dis à mon psy aujourd’hui. Il attendait une suite …
Dois-je passer d’addiction en addiction ? L’alcool, Les jeux, Les jeux en ligne, Le travail … La vie est une succession de choix, le choix est un renoncement …
Une flamme qui brille 2 fois plus, se consume 2 fois plus vite. Moi je suis la veilleuse d’un four électrique.
Comment trouver le gout de vivre dans un monde dont on se sent spectateur ? Un monde allergisant. Habituellement mon psy répond de la façon suivante :
Que pourrais t’on faire pour remplir ce vide ? En somme, agit pour résoudre ton problème. Maintenant je souris lorsqu’il me fait ce genre de réponse.
Aujourd’hui il à renoncer a ces théorie freudienne et m’a dit : « Pourquoi n’iriez vous pas à la rencontre d’une association ou d’un club de loisir ou autre appartenant au milieu homosexuel ? « Et à rajouter dans un second temps « il ne sera pas nécessaire que vous ayez des relations sexuelles de prime abor «.
J’hésite à interprété se qu’il me dit ! As t’il voulu dire que mon saint graal (c’est a la mode avec le Da Vinci Code ) était le phallus de « l’autre » OU allez donc voir comment vivent vos semblables et vous verrez qu’il est possible d’être heureux ! Surement un peu des deux voir un peu plus que cela même. Mais il à oublié de rajouter que toute part de bonheur est accompagné d’une part de souffrance (et oui c’est cela être humain) et je risque d’atteindre des abymes et des apogées destructifs !
Le néant n’est-il pas préférable ?
Dois-je passer d’addiction en addiction ? L’alcool, Les jeux, Les jeux en ligne, Le travail … La vie est une succession de choix, le choix est un renoncement …
Une flamme qui brille 2 fois plus, se consume 2 fois plus vite. Moi je suis la veilleuse d’un four électrique.
Comment trouver le gout de vivre dans un monde dont on se sent spectateur ? Un monde allergisant. Habituellement mon psy répond de la façon suivante :
Que pourrais t’on faire pour remplir ce vide ? En somme, agit pour résoudre ton problème. Maintenant je souris lorsqu’il me fait ce genre de réponse.
Aujourd’hui il à renoncer a ces théorie freudienne et m’a dit : « Pourquoi n’iriez vous pas à la rencontre d’une association ou d’un club de loisir ou autre appartenant au milieu homosexuel ? « Et à rajouter dans un second temps « il ne sera pas nécessaire que vous ayez des relations sexuelles de prime abor «.
J’hésite à interprété se qu’il me dit ! As t’il voulu dire que mon saint graal (c’est a la mode avec le Da Vinci Code ) était le phallus de « l’autre » OU allez donc voir comment vivent vos semblables et vous verrez qu’il est possible d’être heureux ! Surement un peu des deux voir un peu plus que cela même. Mais il à oublié de rajouter que toute part de bonheur est accompagné d’une part de souffrance (et oui c’est cela être humain) et je risque d’atteindre des abymes et des apogées destructifs !
Le néant n’est-il pas préférable ?
Le bonheur n'existe que parce que le malheur vit... La souffrance n'est pas seulement une entité négative. Elle se dompte. Partir d'un constat, c'est se vouer à un immobilisme patent, une incapacité à rebondir, à être résilient. La souffrance n'a aucun sens en elle-même. On sait ce qui nous fait mal, parfois l'objet est méconnu, mais le sens de cette souffrance n'est donné que par la vie. C'est la vie qui donne du sens à la souffrance, et non le contraire. In fine, c'est la vie qui donnr du sens à la vie.
Tu décris ici une anhédonie, une difficulté à t'ouvrir aux autres. As-tu déjà pensé à t'introspecter? Où en es-tu avec ton estime de toi? avec ton image de toi? Tu te résignes, te défonces même, dans des parades contraphobiques qui sont celles que tu décris. Aurais-tu peur des gens? Ce qui est paradoxalement étonnant eu égard aux occupations sociales que tu entreprends. Le problème n'est-il pas juste un problème d'acceptation? Ou peut-être éprouves-tu juste des difficultés pour t'assumer?
Apparemment, tu suis une thérapie d'inspiration psychanalytique, voire même une psychanalyse. Le souci avec ce genre de pratique, c'est que cela peut-être très long et qu'elle nécessite un investissement très important de l'analysé avec une libération franche de l'inconscient. Il existe d'autres méthodes qui pourraient aussi te libérer, mais je les laisse à ton libre arbitre. Effectivement, les théories freudiennes mettent en lumière les difficultés comme fruit du refoulement pulsionnel. La libido prend une place prépondérante dans le retour à l'équilbre psychique. Mais j'ai l'impression, et je me permets de l'écrire, que le problème ne se situe pas juste dasn un coup de bit***!
Si j'ai un conseil à te donner, c'est de rechercher le sens de ta souffrance. Quelle direction souhaites-tu donner à ta vie? Qu'attends-tu réellement de celle-ci? Continue de consulter si tu y trouves une aide précieuse, je t'y encourage. De même, n'hésites pas à consulter d'autres spécialistes si le besoin s'en faisait ressentir... Les problèmes ont toujours l'air simples ou désuets masi il faut également déterminer les encrages qui perdurent. Et n'oublie pas, aussi fou que cela puisse paraître, mais la souffrance peut-être bénéfique!!!
Tu décris ici une anhédonie, une difficulté à t'ouvrir aux autres. As-tu déjà pensé à t'introspecter? Où en es-tu avec ton estime de toi? avec ton image de toi? Tu te résignes, te défonces même, dans des parades contraphobiques qui sont celles que tu décris. Aurais-tu peur des gens? Ce qui est paradoxalement étonnant eu égard aux occupations sociales que tu entreprends. Le problème n'est-il pas juste un problème d'acceptation? Ou peut-être éprouves-tu juste des difficultés pour t'assumer?
Apparemment, tu suis une thérapie d'inspiration psychanalytique, voire même une psychanalyse. Le souci avec ce genre de pratique, c'est que cela peut-être très long et qu'elle nécessite un investissement très important de l'analysé avec une libération franche de l'inconscient. Il existe d'autres méthodes qui pourraient aussi te libérer, mais je les laisse à ton libre arbitre. Effectivement, les théories freudiennes mettent en lumière les difficultés comme fruit du refoulement pulsionnel. La libido prend une place prépondérante dans le retour à l'équilbre psychique. Mais j'ai l'impression, et je me permets de l'écrire, que le problème ne se situe pas juste dasn un coup de bit***!
Si j'ai un conseil à te donner, c'est de rechercher le sens de ta souffrance. Quelle direction souhaites-tu donner à ta vie? Qu'attends-tu réellement de celle-ci? Continue de consulter si tu y trouves une aide précieuse, je t'y encourage. De même, n'hésites pas à consulter d'autres spécialistes si le besoin s'en faisait ressentir... Les problèmes ont toujours l'air simples ou désuets masi il faut également déterminer les encrages qui perdurent. Et n'oublie pas, aussi fou que cela puisse paraître, mais la souffrance peut-être bénéfique!!!
Je pense pas que ce soit une question de vivre en société.
Certains sont plus ou moins sociables, on peut très bien vivre en ermite à garder des troupeaux dans un ptit coin perdu en restant souvent très seul et être pourtant épanoui, heureux.
Je pense par contre que tout analyser, toujours chercher à comprendre, proposer le bonheur comme une formule mathématique universelle, n'est pas bon.
Il est différent pour chacun et je ne pense pas que ce soit en le cherchant qu'on le trouve.
J'ai souvent remarqué que les personnes les plus cérébrales sont souvent les plus mal dans leur peau, les plus tristes, les plus torturées.Il faut parfois savoir vivre sans se poser toutes sortes de questions, vivre tout simplement.
Certains sont plus ou moins sociables, on peut très bien vivre en ermite à garder des troupeaux dans un ptit coin perdu en restant souvent très seul et être pourtant épanoui, heureux.
Je pense par contre que tout analyser, toujours chercher à comprendre, proposer le bonheur comme une formule mathématique universelle, n'est pas bon.
Il est différent pour chacun et je ne pense pas que ce soit en le cherchant qu'on le trouve.
J'ai souvent remarqué que les personnes les plus cérébrales sont souvent les plus mal dans leur peau, les plus tristes, les plus torturées.Il faut parfois savoir vivre sans se poser toutes sortes de questions, vivre tout simplement.
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Deckard2501
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- Inscription : mer. mai 31, 2006 8:24 pm
La verve de ta plume Tipoune, très plaisante à lire, doit provenir d’auteurs brillantissimes. J’adore
La souffrance nécessaire à la vie, poivre de l’existence, n’est pas égal au « bonheur » ? Par ailleurs ont ne peut les mesurer. La vie est la vie, la vie s’écoule et se transforme. La mort donne naissance à la vie. La vie est cannibale. Quant à lui donner un sens … Peut-on donner un sens au temps ?
La peur est un système d’autodéfense, nécessaire. Faire le mort permet de survivre. Ma peur des autres est nécessaire à mon équilibre. Equilibre peut envieux certes. L’homme est un animal social. Sans coopération l’humanité, l’espèce humaine n’aurais pas survécu. Héritier de cette évolution, je déroule mon code génétique et je dois non pas devenir un clone de celui-ci mais une mutation (évolution). Physiologiquement et socialement je dois produire un résultat.
Sans anesthésique (addiction), mon code exécute ses fonctions de destination : évoluer puis transmettre. Toutes récompenses n’est destiner qu’aux fonctions primaires du code ; l’illusion du choix n’est la que pour maintenir un équilibre (ou le facteur de la mutation).Notre société fonctionne sur ce même principe.
Mes souffrances sont l’expression conflictuelle de ce code. En faisant des choix, je renonce, je souffre. Mais l’absence de choix entrave mon évolution. Sans évolution je suis inutile.
La souffrance nécessaire à la vie, poivre de l’existence, n’est pas égal au « bonheur » ? Par ailleurs ont ne peut les mesurer. La vie est la vie, la vie s’écoule et se transforme. La mort donne naissance à la vie. La vie est cannibale. Quant à lui donner un sens … Peut-on donner un sens au temps ?
La peur est un système d’autodéfense, nécessaire. Faire le mort permet de survivre. Ma peur des autres est nécessaire à mon équilibre. Equilibre peut envieux certes. L’homme est un animal social. Sans coopération l’humanité, l’espèce humaine n’aurais pas survécu. Héritier de cette évolution, je déroule mon code génétique et je dois non pas devenir un clone de celui-ci mais une mutation (évolution). Physiologiquement et socialement je dois produire un résultat.
Sans anesthésique (addiction), mon code exécute ses fonctions de destination : évoluer puis transmettre. Toutes récompenses n’est destiner qu’aux fonctions primaires du code ; l’illusion du choix n’est la que pour maintenir un équilibre (ou le facteur de la mutation).Notre société fonctionne sur ce même principe.
Mes souffrances sont l’expression conflictuelle de ce code. En faisant des choix, je renonce, je souffre. Mais l’absence de choix entrave mon évolution. Sans évolution je suis inutile.
Mandieu... que de dramatisme.
Pourquoi existe-t-il des poulpes roses ?
Pourquoi ça fait mal à mon phallus la vie ?
Pourquoi l'incontienence spirituelle mène-t-elle à la décadence de la vacuité du post-néant, comme l'a écrit donzelle de St Brice d'Anne Nusse troisième du nom ?
La vie c'est fait pour être vécue, pas pour être pensée. Alors sors, rencontre des gens, fais toi des amis, partage des moment avec eux, découvre de nouvelles choses, vis de nouvelles expériences, avec leur lot de joie ou de tristesse mais bouges ton cul au lieu de t'enfermer dans ton esprit. La vie est une aventure, et il parait que c'est toi le héros.
Quant aux limities des bornes qui t'empêcheraient de faire tout ça, elles sont sûrement relatives. Y'a que les cons qui changent pas y parait. Après tout aller voir un psy c'est déjà un pas vers le changement. Après ça dépend uniquement (et j'insiste) de ta volonté.
Et viens à la Gay Pride avec Et-Alors ça te changera les idées.
Nox, épicurien, perfectionnsite, chieur et perpétuel insatisfait.
Pourquoi existe-t-il des poulpes roses ?
Pourquoi ça fait mal à mon phallus la vie ?
Pourquoi l'incontienence spirituelle mène-t-elle à la décadence de la vacuité du post-néant, comme l'a écrit donzelle de St Brice d'Anne Nusse troisième du nom ?
La vie c'est fait pour être vécue, pas pour être pensée. Alors sors, rencontre des gens, fais toi des amis, partage des moment avec eux, découvre de nouvelles choses, vis de nouvelles expériences, avec leur lot de joie ou de tristesse mais bouges ton cul au lieu de t'enfermer dans ton esprit. La vie est une aventure, et il parait que c'est toi le héros.
Quant aux limities des bornes qui t'empêcheraient de faire tout ça, elles sont sûrement relatives. Y'a que les cons qui changent pas y parait. Après tout aller voir un psy c'est déjà un pas vers le changement. Après ça dépend uniquement (et j'insiste) de ta volonté.
Et viens à la Gay Pride avec Et-Alors ça te changera les idées.
Nox, épicurien, perfectionnsite, chieur et perpétuel insatisfait.
Heureusement que les choix font parfois souffrir. La vie serait tellement monotone si elle était toute déterminé. Dis toi que tu fais toujours les meilleurs choix aux moments où tu les fais. C'est ça la liberté fondamentale! et puis, il faut aussi accepter de souffrir. Encore une fois, à chercher encore et toujours, sans cesse, le bonheur, on trouve la souffrance! Normal, l'un ne va pas sans l'autre!Mes souffrances sont l’expression conflictuelle de ce code. En faisant des choix, je renonce, je souffre. Mais l’absence de choix entrave mon évolution. Sans évolution je suis inutile.
Connais-tu d'autres homosexuels? Si non, viens à la Gaypride avec nous!
(dit-elle alors qu'elle ne compte pas y aller)
trop timide
Plus sérieusement, être seul, ça peut être bien, mais il ne faut pas en abuser. Même si le contact avec les autres peut faire souffrir, c'est nécessaire pour progresser dans la vie! Les autres sont là pour nous aider à avancer... et vouloir être heureux, c'est prendre un risque. Ca en vaut la peine, je pense.
(dit-elle alors qu'elle ne compte pas y aller)
trop timide
Plus sérieusement, être seul, ça peut être bien, mais il ne faut pas en abuser. Même si le contact avec les autres peut faire souffrir, c'est nécessaire pour progresser dans la vie! Les autres sont là pour nous aider à avancer... et vouloir être heureux, c'est prendre un risque. Ca en vaut la peine, je pense.
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ExMembre L
Mandieu!!! serais-tu schizophrène???La souffrance nécessaire à la vie, poivre de l’existence, n’est pas égal au « bonheur » ? Par ailleurs ont ne peut les mesurer. La vie est la vie, la vie s’écoule et se transforme. La mort donne naissance à la vie. La vie est cannibale. Quant à lui donner un sens … Peut-on donner un sens au temps ?
Va lire d'urgence Ghérasim Luca, collection NRF Le Chant de la carpe et autres textes.
Maintenant, je ne sais pas tu peux aussi changer de psy, tenter la méditation, le yoga, prendre des cours d'apnée, (ça alors, c'est fabuleux, c'est une addiction si tu veux mais qu'elle est libératrice!) ou je sais pas d'aikido, retourne vers la nature, cultive ton jardin, va vivre dans un village écologique, et réactive ton sens de l'humour,
et passe nous voir à la gay pride.
bon courage!