Lorsque amour rime avec violence
Lorsque amour rime avec violence
Je viens poster ici en espérant trouver la réponse que je refuse d'affronter depuis des mois...
Ça fait plus d'un an maintenant que je suis avec C., et depuis tout ce temps il s'en est passé des choses.
Pour vous éviter un pavé qui ne serait pas forcément très utile, je vais aller directement au but.
Avec elle j'ai connue l'amour fou, passionnel, complet, comme je ne l'avait jamais connu. Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire sur le forum, elle m'a tirée de mon trou lorsque j'y étais bien tombée tout au fond, et je lui en serait toujours reconnaissante.
Mais avec elle, j'y suis aussi retombée, plusieurs fois. Nous avons traversé beaucoup de difficulté, que nous avons toujours surmonté. Mais j'ai atteins certaines fois des extrêmes que je me suis jurée ne jamais ré-atteindre...
En fait, je ne saurais comment l'expliquer, mais souvent elle a un comportement qui me rend folle. Je ne peut pas vraiment le décrire, c'est de l'ignorance, avec un certain mépris, et une moquerie qui me mettent en crises, plutôt violentes... elle est la seule à me faire ressentir ça, et a plusieurs reprise ça m'a poussé à me faire du mal physiquement et un jour je m'en suis même prise à elle...
Ça allé mieux depuis septembre, mais cette semaine ça a recommencé.
C'est en réalité à cause d'une histoire avec une fille, de laquelle je suis attiré, elle le savait et ne le supportait pas.
Résulta, elle m'a harcelé avec elle toute la semaine, ça en devenait dingue, crises de larmes, etc...
Je suis donc retombé dans mes crises, me faisant violence une fois. Et vendredi je l'ai giflé, le coup est partie tout seul lorsqu'elle m'a traitée de pute à cause d'une histoire passée. J'en vient à me haïr...
Bref autant dire que cette relation et plutôt violente, voir assez destructrice.
Mais je l'aime, et elle m'aime. Ce que ça peut paraitre c*n...
Pourtant je commence à saturé et me demande si ce n'est pas un peut le moment d'y mettre un terme. Mais je n'arrive pas à m'en convaincre, à cause de tous ces bons moment qu'il y a à côté, toutes ces choses que j'ai peurs de regretter, tout ce que j'ai construit avec elle, et la peur de perdre ce quotidien...
Alors voilà, besoins de vos conseils, comment me sortir d'une telle situation ?
Y a-t-il encore un espoir de sauver notre couple ?
Ça fait plus d'un an maintenant que je suis avec C., et depuis tout ce temps il s'en est passé des choses.
Pour vous éviter un pavé qui ne serait pas forcément très utile, je vais aller directement au but.
Avec elle j'ai connue l'amour fou, passionnel, complet, comme je ne l'avait jamais connu. Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire sur le forum, elle m'a tirée de mon trou lorsque j'y étais bien tombée tout au fond, et je lui en serait toujours reconnaissante.
Mais avec elle, j'y suis aussi retombée, plusieurs fois. Nous avons traversé beaucoup de difficulté, que nous avons toujours surmonté. Mais j'ai atteins certaines fois des extrêmes que je me suis jurée ne jamais ré-atteindre...
En fait, je ne saurais comment l'expliquer, mais souvent elle a un comportement qui me rend folle. Je ne peut pas vraiment le décrire, c'est de l'ignorance, avec un certain mépris, et une moquerie qui me mettent en crises, plutôt violentes... elle est la seule à me faire ressentir ça, et a plusieurs reprise ça m'a poussé à me faire du mal physiquement et un jour je m'en suis même prise à elle...
Ça allé mieux depuis septembre, mais cette semaine ça a recommencé.
C'est en réalité à cause d'une histoire avec une fille, de laquelle je suis attiré, elle le savait et ne le supportait pas.
Résulta, elle m'a harcelé avec elle toute la semaine, ça en devenait dingue, crises de larmes, etc...
Je suis donc retombé dans mes crises, me faisant violence une fois. Et vendredi je l'ai giflé, le coup est partie tout seul lorsqu'elle m'a traitée de pute à cause d'une histoire passée. J'en vient à me haïr...
Bref autant dire que cette relation et plutôt violente, voir assez destructrice.
Mais je l'aime, et elle m'aime. Ce que ça peut paraitre c*n...
Pourtant je commence à saturé et me demande si ce n'est pas un peut le moment d'y mettre un terme. Mais je n'arrive pas à m'en convaincre, à cause de tous ces bons moment qu'il y a à côté, toutes ces choses que j'ai peurs de regretter, tout ce que j'ai construit avec elle, et la peur de perdre ce quotidien...
Alors voilà, besoins de vos conseils, comment me sortir d'une telle situation ?
Y a-t-il encore un espoir de sauver notre couple ?
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- Messages : 31
- Inscription : dim. oct. 24, 2010 10:04 am
Re: Lorsque amour rime avec violence
Ow... C'est pas évident..
Lors de ces moments tu n'arrives pas à te contrôler?
Est ce que vous avez déjà essayé d'en parler?
Lors de ces moments tu n'arrives pas à te contrôler?
Est ce que vous avez déjà essayé d'en parler?
Re: Lorsque amour rime avec violence
Hum, je ne sais pas si je pourrais être fort utile, mais je vais te dire ce que ma psy m'a dit une fois, à l'époque où j'y allais encore :
J'y étais allée entre autre parce que c'était une période de ma vie où certaines personnes me rendaient digue : c'était une salle pase, et certaines personnes réussissaient avec quelques mots à me mettre hors de moi, en rage, et j'avais été un peu violente (contre des objets uniquement, je réussissais à me contenir ainsi mais cette facette de moi que je ne connaissais pas m'inquiétait tout de même).
Bref, elle m'avait expliqué que ces moments de violence étaient due à une incapacité d'exprimer par des mots, d'expliquer, quand quelque chose me frustrait.
Effectivement, j'ai fais un travail sur moi pour me forcer à verbaliser de nouveau ce que je ressentais dès le début des échanges frustrants dans lesquels je me sentais agressée.
Ça m'a aidé, je me suis débarrassée de ces moments de violence.
Donc deux conseils :
- verbalise
- et si ça va pas mieux va voir un psychologue, qui pourra t'aider mieux que quiconque à comprendre d'où vient cette tendance en toi, ce qui déclenche ces réactions, et comment désamorcer cela.
J'y étais allée entre autre parce que c'était une période de ma vie où certaines personnes me rendaient digue : c'était une salle pase, et certaines personnes réussissaient avec quelques mots à me mettre hors de moi, en rage, et j'avais été un peu violente (contre des objets uniquement, je réussissais à me contenir ainsi mais cette facette de moi que je ne connaissais pas m'inquiétait tout de même).
Bref, elle m'avait expliqué que ces moments de violence étaient due à une incapacité d'exprimer par des mots, d'expliquer, quand quelque chose me frustrait.
Effectivement, j'ai fais un travail sur moi pour me forcer à verbaliser de nouveau ce que je ressentais dès le début des échanges frustrants dans lesquels je me sentais agressée.
Ça m'a aidé, je me suis débarrassée de ces moments de violence.
Donc deux conseils :
- verbalise
- et si ça va pas mieux va voir un psychologue, qui pourra t'aider mieux que quiconque à comprendre d'où vient cette tendance en toi, ce qui déclenche ces réactions, et comment désamorcer cela.
Re: Lorsque amour rime avec violence
Hum... je citerais Nietzsche : "Il est plus facile de renoncer à une passion que de la maîtriser"
Courage à toi...
J'ai connu ça avec ma première copine ! J'ai fini par couper les ponts, je ne la supportais plus...En fait, je ne saurais comment l'expliquer, mais souvent elle a un comportement qui me rend folle. Je ne peut pas vraiment le décrire, c'est de l'ignorance, avec un certain mépris, et une moquerie qui me mettent en crises, plutôt violentes... elle est la seule à me faire ressentir ça
Courage à toi...
Re: Lorsque amour rime avec violence
Merci pour vos réponses.
Et oui on en a déjà parlé, je lui ai dis que je ne pouvais pas supporter quand elle faisait ça, que je voulais travailler dessus aussi car c'était inacceptable mais que j'avais besoin pour ça qu'elle ne me pousse pas non plus totalement à bout... mais bon, après un certain temps de calme, ça a recommencé...
La différence avec toi, c'est que ce n'est pas réellement que je n'arrive pas à mettre de mots, mais plus qu'il y a un moment où j'ai l'impression qu'ils ne servent plus à rien et qu'il n'y a plus de solution pour me faire comprendre.
Cette été c'était aussi arrivée, on s'était engueulée un soir, et alors que j'étais en larme elle m'avais laissée en plant en partant de la chambre, après quelque seconde j'ai fini par me frapper, c'est la seule solution que j'avais trouvée pour qu'elle ne m'abandonne pas, et le pire c'est que ça a marché.
Et que très souvent les seuls moyens que je trouve c'est soit les larmes soit ce genre de chose pour attirer son attention. Sur le coup c'est pas conscient, mais en y réfléchissant après, je m'en rend de plus en plus compte... Et c'est pas très saint.
Et sinon, je vois déjà une psy. Mais je ne l'ai vu qu'une fois il y a trois semaines, c'était la première fois, et je n'ai pas encore eu le temps d'y approfondir.
Mais là je crois que je sature et j'aimerais, je crois, réussir à faire comme toi.

Oui, dans ces moments là justement, c'est une perte de contrôle, c'est ce qui me permet d'évacuer ce que j'ai en moi.Lors de ces moments tu n'arrives pas à te contrôler?
Est ce que vous avez déjà essayé d'en parler?
Et oui on en a déjà parlé, je lui ai dis que je ne pouvais pas supporter quand elle faisait ça, que je voulais travailler dessus aussi car c'était inacceptable mais que j'avais besoin pour ça qu'elle ne me pousse pas non plus totalement à bout... mais bon, après un certain temps de calme, ça a recommencé...
Ça me semble être à peut près la même chose pour moi. En fait dans ces situations, j'ai l'impression réellement d'être bloquée, de ne pouvoir rien faire pour me sortir de situations qui me font souffrir, la dernière fois c'était la confrontation qu'elle m'imposer avec cette autre fille que j'avais dans la tête. Ça faisait au moins 40 minutes que je lui disait que je ne voulait plus en parler, des jours qu'on avait la même discutions, que je lui répétais les mêmes choses, elle me poussais alors que j'étais limite à la suppliée d'arrêter, et le seul échappatoire que j'ai trouvée ce fut de frapper dans le mur et de crier...Bref, elle m'avait expliqué que ces moments de violence étaient due à une incapacité d'exprimer par des mots, d'expliquer, quand quelque chose me frustrait.
[...]
- verbalise
- et si ça va pas mieux va voir un psychologue, qui pourra t'aider mieux que quiconque à comprendre d'où vient cette tendance en toi, ce qui déclenche ces réactions, et comment désamorcer cela.
La différence avec toi, c'est que ce n'est pas réellement que je n'arrive pas à mettre de mots, mais plus qu'il y a un moment où j'ai l'impression qu'ils ne servent plus à rien et qu'il n'y a plus de solution pour me faire comprendre.
Cette été c'était aussi arrivée, on s'était engueulée un soir, et alors que j'étais en larme elle m'avais laissée en plant en partant de la chambre, après quelque seconde j'ai fini par me frapper, c'est la seule solution que j'avais trouvée pour qu'elle ne m'abandonne pas, et le pire c'est que ça a marché.
Et que très souvent les seuls moyens que je trouve c'est soit les larmes soit ce genre de chose pour attirer son attention. Sur le coup c'est pas conscient, mais en y réfléchissant après, je m'en rend de plus en plus compte... Et c'est pas très saint.
Et sinon, je vois déjà une psy. Mais je ne l'ai vu qu'une fois il y a trois semaines, c'était la première fois, et je n'ai pas encore eu le temps d'y approfondir.
Pour moi c'est clairement l'inverse malheureusement, car ça fait un an que je reste avec elle en espérant qu'on arrive à stabiliser les choses, à les améliorer, et que je ne suis toujours pas parti.
Hum... je citerais Nietzsche : "Il est plus facile de renoncer à une passion que de la maîtriser"
Mais là je crois que je sature et j'aimerais, je crois, réussir à faire comme toi.
11 minutes et 46 secondes
11 minutes et 46 secondes.
1 an, 1 moi, 16 jours et 1 heure.
Mis comme cela, ces laps de temps ne semble pas avoir de liens. Et pourtant. Le premier et le temps qu'il m'a fallu pour détruire tout ce qui fut construit dans le temps second.
Plus d'un an de relation détruit en si peut de temps.
Je l'appelle (distance oblige), et je lui dis, je suis ferme mais pas méchante, je veux juste qu'elle comprenne : c'est fini.
Quelques phrases échangées, des larmes, pour elle, moi je ne veux pas craquer. Des explications, il y en as déjà eu, ce n'est pas la première fois qu'on avait connu des crises. Elle me dit qu'elle veut raccrocher, je m'exécute. Puis je regarde mon téléphone : 11mn 46sec. Et là je réalise : c'est fini.
Je ne regrette pas, il le fallait, j'avais besoin de changer d'air, tout devenez tellement malsain.
Puis les minutes passe, un regard pour mon portable, et 5 messages, tous d'elle. Je lui répond que c'est sans retour, que je ne répondrais plus. Puis encore des minutes, et encore un regard. Et 7 messages. 4 appelles manqués.
Et ils continuent, ne s'arrêtent que pour mieux reprendre.
Elle se sens mourir. Elle veux que je lui laisse encore une chance. Encore.
Je ne veux pas céder, je ne peux pas.
Merci pour ceux qui m'auront lu, je ne sais pas si j'attends réellement quelque chose de ce poste, à par exprimer ce que je viens de réaliser.
[J'ai fusionné tes deux sujets afin qu'on puisse suivre toute ton histoire sur le même topic. Mestic]
1 an, 1 moi, 16 jours et 1 heure.
Mis comme cela, ces laps de temps ne semble pas avoir de liens. Et pourtant. Le premier et le temps qu'il m'a fallu pour détruire tout ce qui fut construit dans le temps second.
Plus d'un an de relation détruit en si peut de temps.
Je l'appelle (distance oblige), et je lui dis, je suis ferme mais pas méchante, je veux juste qu'elle comprenne : c'est fini.
Quelques phrases échangées, des larmes, pour elle, moi je ne veux pas craquer. Des explications, il y en as déjà eu, ce n'est pas la première fois qu'on avait connu des crises. Elle me dit qu'elle veut raccrocher, je m'exécute. Puis je regarde mon téléphone : 11mn 46sec. Et là je réalise : c'est fini.
Je ne regrette pas, il le fallait, j'avais besoin de changer d'air, tout devenez tellement malsain.
Puis les minutes passe, un regard pour mon portable, et 5 messages, tous d'elle. Je lui répond que c'est sans retour, que je ne répondrais plus. Puis encore des minutes, et encore un regard. Et 7 messages. 4 appelles manqués.
Et ils continuent, ne s'arrêtent que pour mieux reprendre.
Elle se sens mourir. Elle veux que je lui laisse encore une chance. Encore.
Je ne veux pas céder, je ne peux pas.
Merci pour ceux qui m'auront lu, je ne sais pas si j'attends réellement quelque chose de ce poste, à par exprimer ce que je viens de réaliser.
[J'ai fusionné tes deux sujets afin qu'on puisse suivre toute ton histoire sur le même topic. Mestic]
Re: 11 minutes et 46 secondes
Tu as raison, si c'est mieux pour toi ne cède pas, ne craque pas ! D'après ce que j'avais lu sur ton histoire, c'est mieux ainsi et tu as eu le courage de le faire.


Re: 11 minutes et 46 secondes
Merci beaucoup. Heureusement, je ne la revois pas des vacances, ça me laisse un peut de répit. Mais à la rentrée, ça va être dur dur.
Allé, on se donne du courage !
Allé, on se donne du courage !
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- Messages : 3378
- Inscription : mer. août 26, 2009 10:29 am
Re: 11 minutes et 46 secondes
si c'est ce qu'il fallait faire, alors bravo! et comment tu fais pour ne pas craquer? je t'admire (sincèrement)...
Bon vent et de belles rencontres à toi???
Bon vent et de belles rencontres à toi???
Re: 11 minutes et 46 secondes
Je ne sais pas, en même temps ça ne fait que quelques heures. Et puis j'ai craqué tellement de fois au-par-avant... Mais là je crois que c'est parce que j'ai réussi à me détacher et à ne me mettre en tête que toutes les mauvaises choses entre nous, tout ce qui fait que je ne veux plus être avec elle.
Et merci, c'est tout ce que je souhaite pour l'avenir =).
Et merci, c'est tout ce que je souhaite pour l'avenir =).