continuer...
Je sais que je devrais pas dire ça, que c'est con ou tout ce que vous voulez, mais j'ai plus envie de vivre...ouais ça fait très gamine ou ce que vous voulez mais c'est ce que je ressens.
Je l'ai vue tout à l'heure, on a parlé longuement, et aucune émotion n'a transparue sur son visage, elle était tellement ferme...
Pour les hétéros c'est souvent plus facile, on sort avec une fille (ou un mec), et après on l'oublie entouré de ses amis.
Mais comment on fait quand sa meilleure amie vous dit qu'on doit rester de simple copines maintenant et ne plus se voir qu'à l'occasion des trucs organisés par les amis communs.
J'ai accepté d'avoir perdu son amour, mais mal visiblement, j'en attendais trop d'elle, comment je peux accepter de perdre son amitié en plus....
Ca fait chier...je pensais que j'avais plus de larmes, eh bah si visiblement...
J'en ai ras le bol, aut me dire ce qui vaut le coup dans l'amour, ça détruit tout sur son passage.
Désolée c'est peut être incompréhensible, mais j'en avais besoin
Je l'ai vue tout à l'heure, on a parlé longuement, et aucune émotion n'a transparue sur son visage, elle était tellement ferme...
Pour les hétéros c'est souvent plus facile, on sort avec une fille (ou un mec), et après on l'oublie entouré de ses amis.
Mais comment on fait quand sa meilleure amie vous dit qu'on doit rester de simple copines maintenant et ne plus se voir qu'à l'occasion des trucs organisés par les amis communs.
J'ai accepté d'avoir perdu son amour, mais mal visiblement, j'en attendais trop d'elle, comment je peux accepter de perdre son amitié en plus....
Ca fait chier...je pensais que j'avais plus de larmes, eh bah si visiblement...
J'en ai ras le bol, aut me dire ce qui vaut le coup dans l'amour, ça détruit tout sur son passage.
Désolée c'est peut être incompréhensible, mais j'en avais besoin
J'suis d'accord avec toi, c'est con t'as phrase, mais bon, c'est juste un avis.
Cette parenthèse mise de côté, je viens de relire ton topic et tout les post qu'il y avait eu.
Je plussoie La Noiraude (entre autre).
Pour le début je ne sais pas ce que tu peux ressentir avec mon ex on s'est quittées "d'un commun accord" (tout est relatif). Mais ce que tu ressens là ce soir je vois parfaitement ce que tu veux dire. C'est ce que je vis depuis quelques mois.
La séparation, aucun problème, en ce qui nous concerne on n'était pas faite pour vivre ensemble. Mais l'amitié c'est ce à quoi je me suis raccrochée. On n'a beau ne plus être ensemble, ça ne veut pas dire qu'on ne peux plus rien vivre ensemble, ne plus rien partager. Mais perdre un ami c'est se dire qu'on n'aura plus rien en commun, qu'on ne pourra pas compter l'une sur l'autre en cas de besoin.
Faut que tu prennes du recul, de la distances face à ça. Que tu coupes totalement les ponts avec elle pour qu'elle ne fasse plus aprtie de ta vie. Plus tu garderas de contact avec elle, plus ce sera l'occassion d'avoir mal. C'est plus facile à dire qu'à faire, mais faut réapprendre à vivre par toi. Comme ça a déjà été dit, profite de ce moment rien qu'à toi pour te retrouver, te (re)construire. Ce que tu as vécu fait partie de toi, il n'y a rien qui puisse être enlevé, ça va pour le pire comme pour les meilleurs moments. Mais ne t'enferme pas dans ce qui a été et dans ce qui aurait pu être. Tu as l'avenir devant toi.
Elle ne réagit pas comme toi, ne veut pas vivre votre suite comme tu le voulais, tu ne pourras pas le changer. Vouloir garder ta vision c'est te faire du mal pour rien.
C'est tellement plus facile à dire qu'à faire, je sais bien, mais c'est nécessaire. Ca va te prendre du temps. Ca peut paraître stupide mais je trouve que ça ressemble auX différentes étapes que l'on traverse quand on apprend une maladie grave ou bien la mort d'un proche :
- d'abord il y a le dénie
- ensuite on se demande pourquoi
- après vient la colère
- puis la négociation
- ensuite viennent les larmes
- et enfin l'acceptation
J'espère que tu verras que ce n'est qu'une période, celle qu'on ne voudrait jamais avoir à traverser mais qu'elle va passer. Ca passera forcément, avec le temps, des efforts, des hauts et des bas. Mais tu passeras tout ça.
Surtout courage.
Cette parenthèse mise de côté, je viens de relire ton topic et tout les post qu'il y avait eu.
Je plussoie La Noiraude (entre autre).
Pour le début je ne sais pas ce que tu peux ressentir avec mon ex on s'est quittées "d'un commun accord" (tout est relatif). Mais ce que tu ressens là ce soir je vois parfaitement ce que tu veux dire. C'est ce que je vis depuis quelques mois.
La séparation, aucun problème, en ce qui nous concerne on n'était pas faite pour vivre ensemble. Mais l'amitié c'est ce à quoi je me suis raccrochée. On n'a beau ne plus être ensemble, ça ne veut pas dire qu'on ne peux plus rien vivre ensemble, ne plus rien partager. Mais perdre un ami c'est se dire qu'on n'aura plus rien en commun, qu'on ne pourra pas compter l'une sur l'autre en cas de besoin.
Faut que tu prennes du recul, de la distances face à ça. Que tu coupes totalement les ponts avec elle pour qu'elle ne fasse plus aprtie de ta vie. Plus tu garderas de contact avec elle, plus ce sera l'occassion d'avoir mal. C'est plus facile à dire qu'à faire, mais faut réapprendre à vivre par toi. Comme ça a déjà été dit, profite de ce moment rien qu'à toi pour te retrouver, te (re)construire. Ce que tu as vécu fait partie de toi, il n'y a rien qui puisse être enlevé, ça va pour le pire comme pour les meilleurs moments. Mais ne t'enferme pas dans ce qui a été et dans ce qui aurait pu être. Tu as l'avenir devant toi.
Elle ne réagit pas comme toi, ne veut pas vivre votre suite comme tu le voulais, tu ne pourras pas le changer. Vouloir garder ta vision c'est te faire du mal pour rien.
C'est tellement plus facile à dire qu'à faire, je sais bien, mais c'est nécessaire. Ca va te prendre du temps. Ca peut paraître stupide mais je trouve que ça ressemble auX différentes étapes que l'on traverse quand on apprend une maladie grave ou bien la mort d'un proche :
- d'abord il y a le dénie
- ensuite on se demande pourquoi
- après vient la colère
- puis la négociation
- ensuite viennent les larmes
- et enfin l'acceptation
J'espère que tu verras que ce n'est qu'une période, celle qu'on ne voudrait jamais avoir à traverser mais qu'elle va passer. Ca passera forcément, avec le temps, des efforts, des hauts et des bas. Mais tu passeras tout ça.
Surtout courage.
Salut,
Je voudrais insister sur un point qu'a évoqué Cyathe: essaye de ne pas la voir, force toi, parce que plus tu la verras, plus tu auras du mal à faire ton deuil...je pense que tout ce qui ont vécu ça te diront la même chose!
Je sais, c'est super dur à faire, parce que notre côté maso (le côté obscur de la force) a besoin et a envie de voir l'être aimé et perdu...mais il faut lutter de toutes ses forces
C'est un peu comme quand on est triste, qu'on est au fond du gouffre et qu'on ne peut s'empêcher d'écouter des chansons affreusement tristes et déprimantes...ça nous enfonce un peu plus...c'est sans doute humain...la mélancolie a quelque chose de mystérieux et d'attirant; on n'a parfois plus envie de vivre, mais ce qu'on ressent nous fait comprendre qu'on a jamais été aussi vivant...c'est ça l'amour aussi!
Parfois, je me dis que l'être humain est drôlement bien fait...le corps et l'esprit sont capables de tolérer et de subir énormément de souffrances...et en même temps, un fois les causes de la souffrance disparues, le corps et l'esprit les oublies, les effaces...pour être à nouveau capable de continuer, d'avancer, d'aimer, de ressentir...de vivre tout simplement!
Bref...courage à toi, on est toutes avec toi pour te soutenir moralement
A+
Je voudrais insister sur un point qu'a évoqué Cyathe: essaye de ne pas la voir, force toi, parce que plus tu la verras, plus tu auras du mal à faire ton deuil...je pense que tout ce qui ont vécu ça te diront la même chose!
Je sais, c'est super dur à faire, parce que notre côté maso (le côté obscur de la force) a besoin et a envie de voir l'être aimé et perdu...mais il faut lutter de toutes ses forces

C'est un peu comme quand on est triste, qu'on est au fond du gouffre et qu'on ne peut s'empêcher d'écouter des chansons affreusement tristes et déprimantes...ça nous enfonce un peu plus...c'est sans doute humain...la mélancolie a quelque chose de mystérieux et d'attirant; on n'a parfois plus envie de vivre, mais ce qu'on ressent nous fait comprendre qu'on a jamais été aussi vivant...c'est ça l'amour aussi!
Parfois, je me dis que l'être humain est drôlement bien fait...le corps et l'esprit sont capables de tolérer et de subir énormément de souffrances...et en même temps, un fois les causes de la souffrance disparues, le corps et l'esprit les oublies, les effaces...pour être à nouveau capable de continuer, d'avancer, d'aimer, de ressentir...de vivre tout simplement!
Bref...courage à toi, on est toutes avec toi pour te soutenir moralement

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Plouf, je vais faire court (je vais essayer). D'abord, arrête de culpabiliser et de dire que tu devrais pas dire paskeu c'est con bla bla bla. Quand ça va pas, mieux vaut dire que garder pour soi. Parce que c'est toujours moins pire quand c'est extériorisé que quand on se force à tout garder pour soi.
Ce sentiment de ne plus avoir envie de vivre, je l'ai tellement connu, (et même parfois aujourd'hui encore, avant de me mettre un formidable coup de pied au derrière), qu'encore une fois je crois saisir ce que tu ressens.
Bon, là la situation est tellement pénible pour toi que je ne vais pas essayer de te convaincre maintenant, mais en fait tu n'as pas envie de ne plus vivre. C'est juste que tu ne vois pas d'issue à tes problèmes de maintenant, que tu n'arrives pas te projeter dans un avenir différent de ce que tu vis aujourd'hui, et que le tout t'est tellement douloureux que tu aimerais que tout s'arrête.
Mais entre souhaiter que tout s'arrête (tout étant en fait la souffrance et la perspective de souffrir longtemps encore) et souhaiter ne plus vivre, il y a une différence que tu devras apprendre à connaître au fil du temps. C'est en ça que je te dis qu'il m'arrive encore aujourd'hui de devoir me mettre un bon coup de pied au cul : j'ai parfois encore le réflexe de me dire "j'aimerais mourir" (oui, j'ai un passé dépressif important... important mais révolu. Révolu, mais des fois le conditionnement d'années et d'années de mal-être nous donne des réflexes dont il est difficile de se débarrasser). Et puis donc je me pose, je m'engueule, et je me dis "mais non, La Noiraude, tu n'as pas envie de mourir. Il y a ceci qui t'embête, et ça qui t'angoisse, et aussi ce machin qui t'irrite, et ce truc qui te fait mal, mais tout ce que tu veux, là, c'est que ces embêtement, angoisse, irritation et douleur cessent." Et souvent je finis pas me donner raison...
Comment faire quand l'amie à qui on voudrait se confier ne peux plus recevoir la confidence parce qu'elle en est la source et la substance ? Et bien on fait comme toi tu fais aujourd'hui : on essaie de dire ses émotions, sa douleur, ses angoisses aux cyber tontons et tatas du forum, et ils sont nombreux à être là pour t'écouter, te tendre la main, et te soutenir.
Ce n'est pas ce que tu souhaiterais, mais c'est déjà ça. Dis-toi que nos grands-mères en étaient, elles, réduites à parler à la boulangère du village ce qui en matière de choix, est assez restreint, tu dois l'admettre.
J'irais bien dans le sens de liblulu66 et de Cyathe qui te recommandent de couper les ponts. Mais je me rappelle tant qu'à à peu près ton âge, et dans la même situation, c'était tellement inenvisageable, et que je détestais tellement ces gens qui me donnaient ce conseil, qu'à vrai dire, j'hésite. Et pourtant... Elles ont raison, à un moment il faudra en passer par là pour faire ton deuil.
Ma première copine, d'avec qui je m'étais séparée d'un commun accord (parce que je n'allais pas hurler NOOOOON ne me quitte pas, force-toi à rester avec moi pour que je ne sois pas seule au monde - orgueil ou sagesse, je ne sais toujours pas), j'ai continuer à la voir pendant près d'un an 1/2 après notre séparation. Elle culpabilisait tellement de ma souffrance qu'elle n'arrivait pas à me dire "non, ne nous voyons plus, ce n'est pas raisonnable". Quelque part elle croyait peut-être autant que moi qu'elle pouvait être l'amie qui m'aide à aller mieux. Dix-huit mois, donc, pour comprendre que ce qui me faisait encore plus souffrir que la perte elle-même, c'était l'espoir entretenu, et finalement toujours déçu. Dix-huit mois pour admettre que le deuil passerait par la rupture. Je veux dire la vraie rupture, pas cet état d'entre deux où on se voyait sans que jamais j'obtienne l'asile de se bras alors que c'était tout ce que je souhaitais.
Rupture réellement consommée, donc, cela m'a pris 6 mois pour me rendre compte du jour au lendemain qu'en fait, non, ça ne faisait plus mal, et que même ça remontait à avant aujourd'hui, cette absence de douleur, mais à quand ? On s'habitue tellement à tout...
On en revient à mon premier message.
Quand tu te lèves le matin et que ça fait mal, dis-toi que demain ça fera un peu moins mal. Redis-le toi le lendemain encore, et le surlendemain... Un jour, ça fera vraiment moins mal. Le tout passant par cette période d'acceptation qui rime tristement avec coupage de pont ; même si ladite coupure n'est que momentanée (attention cela ne fonctionne que si tu ne te dis pas tous les jours : c'est momentané, je vais la revoir bientôt ---> erreur dans laquelle Tata La Noiraude est bien sûr tombée à l'époque).
Une fois encore, pense à demain, juste à demain, et sans doute cette absence d'envie de vivre se fera-t-elle moins forte.
T'as intérêt à te pointer au pique-nique de Pirlouit, et aussi à t'inscrire au paint ball, et aux jeux de société (date à venir !) : bref, à apprendre à voir de nouvelles têtes, qui donc (retour toujours à mon premier post) seront peut-être, un jour, le socle d'une belle surprise...
Donne-toi du temps, et des occasions de penser à autre chose qu'à elle.
Edit : je t'avais dit court ?
Ce sentiment de ne plus avoir envie de vivre, je l'ai tellement connu, (et même parfois aujourd'hui encore, avant de me mettre un formidable coup de pied au derrière), qu'encore une fois je crois saisir ce que tu ressens.
Bon, là la situation est tellement pénible pour toi que je ne vais pas essayer de te convaincre maintenant, mais en fait tu n'as pas envie de ne plus vivre. C'est juste que tu ne vois pas d'issue à tes problèmes de maintenant, que tu n'arrives pas te projeter dans un avenir différent de ce que tu vis aujourd'hui, et que le tout t'est tellement douloureux que tu aimerais que tout s'arrête.
Mais entre souhaiter que tout s'arrête (tout étant en fait la souffrance et la perspective de souffrir longtemps encore) et souhaiter ne plus vivre, il y a une différence que tu devras apprendre à connaître au fil du temps. C'est en ça que je te dis qu'il m'arrive encore aujourd'hui de devoir me mettre un bon coup de pied au cul : j'ai parfois encore le réflexe de me dire "j'aimerais mourir" (oui, j'ai un passé dépressif important... important mais révolu. Révolu, mais des fois le conditionnement d'années et d'années de mal-être nous donne des réflexes dont il est difficile de se débarrasser). Et puis donc je me pose, je m'engueule, et je me dis "mais non, La Noiraude, tu n'as pas envie de mourir. Il y a ceci qui t'embête, et ça qui t'angoisse, et aussi ce machin qui t'irrite, et ce truc qui te fait mal, mais tout ce que tu veux, là, c'est que ces embêtement, angoisse, irritation et douleur cessent." Et souvent je finis pas me donner raison...
Comment faire quand l'amie à qui on voudrait se confier ne peux plus recevoir la confidence parce qu'elle en est la source et la substance ? Et bien on fait comme toi tu fais aujourd'hui : on essaie de dire ses émotions, sa douleur, ses angoisses aux cyber tontons et tatas du forum, et ils sont nombreux à être là pour t'écouter, te tendre la main, et te soutenir.
Ce n'est pas ce que tu souhaiterais, mais c'est déjà ça. Dis-toi que nos grands-mères en étaient, elles, réduites à parler à la boulangère du village ce qui en matière de choix, est assez restreint, tu dois l'admettre.
J'irais bien dans le sens de liblulu66 et de Cyathe qui te recommandent de couper les ponts. Mais je me rappelle tant qu'à à peu près ton âge, et dans la même situation, c'était tellement inenvisageable, et que je détestais tellement ces gens qui me donnaient ce conseil, qu'à vrai dire, j'hésite. Et pourtant... Elles ont raison, à un moment il faudra en passer par là pour faire ton deuil.
Ma première copine, d'avec qui je m'étais séparée d'un commun accord (parce que je n'allais pas hurler NOOOOON ne me quitte pas, force-toi à rester avec moi pour que je ne sois pas seule au monde - orgueil ou sagesse, je ne sais toujours pas), j'ai continuer à la voir pendant près d'un an 1/2 après notre séparation. Elle culpabilisait tellement de ma souffrance qu'elle n'arrivait pas à me dire "non, ne nous voyons plus, ce n'est pas raisonnable". Quelque part elle croyait peut-être autant que moi qu'elle pouvait être l'amie qui m'aide à aller mieux. Dix-huit mois, donc, pour comprendre que ce qui me faisait encore plus souffrir que la perte elle-même, c'était l'espoir entretenu, et finalement toujours déçu. Dix-huit mois pour admettre que le deuil passerait par la rupture. Je veux dire la vraie rupture, pas cet état d'entre deux où on se voyait sans que jamais j'obtienne l'asile de se bras alors que c'était tout ce que je souhaitais.
Rupture réellement consommée, donc, cela m'a pris 6 mois pour me rendre compte du jour au lendemain qu'en fait, non, ça ne faisait plus mal, et que même ça remontait à avant aujourd'hui, cette absence de douleur, mais à quand ? On s'habitue tellement à tout...
On en revient à mon premier message.
Quand tu te lèves le matin et que ça fait mal, dis-toi que demain ça fera un peu moins mal. Redis-le toi le lendemain encore, et le surlendemain... Un jour, ça fera vraiment moins mal. Le tout passant par cette période d'acceptation qui rime tristement avec coupage de pont ; même si ladite coupure n'est que momentanée (attention cela ne fonctionne que si tu ne te dis pas tous les jours : c'est momentané, je vais la revoir bientôt ---> erreur dans laquelle Tata La Noiraude est bien sûr tombée à l'époque).
Une fois encore, pense à demain, juste à demain, et sans doute cette absence d'envie de vivre se fera-t-elle moins forte.
T'as intérêt à te pointer au pique-nique de Pirlouit, et aussi à t'inscrire au paint ball, et aux jeux de société (date à venir !) : bref, à apprendre à voir de nouvelles têtes, qui donc (retour toujours à mon premier post) seront peut-être, un jour, le socle d'une belle surprise...
Donne-toi du temps, et des occasions de penser à autre chose qu'à elle.
Edit : je t'avais dit court ?
Je suis d'accord avec La Noiraude à 100%...
Mais je voudrais ajouter une petite anectote personnelle au sujet du: "il faut couper complètement et durablement les ponts avec son ex"...
Ma première histoire d'amour avec une fille qui a durée 1 an et 3 mois (si ma mémoire est bonne
)...j'ai donc mis plus d'un an et demi pour m'en remettre...au début, j'étais dans le même état que toi, je n'avais plus d'appétit, je ne pensais qu'à ça, je suppliais que tout ça ne soit qu'un cauchemar duquel j'allais me réveiller, je pleurais tout le temps...bref, la cata...et le pire, c'est que malgré mon état, j'avais besoin de la voir, je ne pouvais m'en empêcher, et aprés c'était pire.
Le temps a passé, j'ai connu de nouvelles personnes, je suis sortie, je n'espérais plus recevoir l'APPEL ou le SMS tant attendu pendant de long mois...en clair, j'allais bien, je me sentais capable d'avancer...enfin, c'est ce que je croyais; parce qu'un beau jour, sans que je m'y attende, 1 an aprés notre rupture, mon portable sonne: un sms de mon ex me disant qu'elle se sent trés mal, et qu'elle n'a que moi à qui parler, bla, bla, bla...
Moi, trés sûre de moi, me disant "y'à pas de problèmes, je peux aller la voir sans retomber dans le piège", et malgré mes amis qui me disaient: "fais attention, tu es encore fragile"...je n'ai pas pu m'empêcher de voler à son secours...et ce qui devait arriver arriva...je lui ai prêter mon épaule, on a passé une nuit au lit et le lendemain, j'étais dans un état pitoyable car ce n'était qu'un moment de faiblesse de sa part: elle n'était plus amoureuse de moi, et depuis longtemps...
Tout ça pour dire que même lorsqu'on commence à voir le bout du tunel, il ne faut pas présumer de ses forces...moi aussi je n'écoutais personne à l'époque, je n'en ai fait qu'à ma tête...et franchement, ce serait à refaire, je crois que ça se passerais pareil.
On te donne des conseils, mais au final, c'est le coeur qui l'emporte et pas la raison...alors c'est clair que tu vas passer par des moments difficiles mais tu en sortiras plus forte, crois-moi!
Bizzzzzzzzzzz
Mais je voudrais ajouter une petite anectote personnelle au sujet du: "il faut couper complètement et durablement les ponts avec son ex"...
Ma première histoire d'amour avec une fille qui a durée 1 an et 3 mois (si ma mémoire est bonne

Le temps a passé, j'ai connu de nouvelles personnes, je suis sortie, je n'espérais plus recevoir l'APPEL ou le SMS tant attendu pendant de long mois...en clair, j'allais bien, je me sentais capable d'avancer...enfin, c'est ce que je croyais; parce qu'un beau jour, sans que je m'y attende, 1 an aprés notre rupture, mon portable sonne: un sms de mon ex me disant qu'elle se sent trés mal, et qu'elle n'a que moi à qui parler, bla, bla, bla...
Moi, trés sûre de moi, me disant "y'à pas de problèmes, je peux aller la voir sans retomber dans le piège", et malgré mes amis qui me disaient: "fais attention, tu es encore fragile"...je n'ai pas pu m'empêcher de voler à son secours...et ce qui devait arriver arriva...je lui ai prêter mon épaule, on a passé une nuit au lit et le lendemain, j'étais dans un état pitoyable car ce n'était qu'un moment de faiblesse de sa part: elle n'était plus amoureuse de moi, et depuis longtemps...
Tout ça pour dire que même lorsqu'on commence à voir le bout du tunel, il ne faut pas présumer de ses forces...moi aussi je n'écoutais personne à l'époque, je n'en ai fait qu'à ma tête...et franchement, ce serait à refaire, je crois que ça se passerais pareil.
On te donne des conseils, mais au final, c'est le coeur qui l'emporte et pas la raison...alors c'est clair que tu vas passer par des moments difficiles mais tu en sortiras plus forte, crois-moi!
Bizzzzzzzzzzz

Idem pour une ex, mais à l'envers, trois ans apres je me suis reveillée avec la sensation qu elle etait en danger, j'ai repris contact , elle venait d avoir un accident terrible à l autre bout de la terre, pendant sa convalescence nous avons parler, apres m avoir sortie que j etais la seule personne à la connaitre et a la comprendre vraiment, de m'avoir parler de ces problemes de couple avec son mec (je suis bonne poire je sais), pis un soir alors que c'etais pas la fête non plus de mon côté elle a finalement posé la question qui ne fallait pas, ce que je pensais d elle, et là malheureusement pour elle, en trois ans de douleurs j avais eu le temps de fermenté mon venin, et quoique je n'avais pas une envie de lui faire du mal plus que ça, je lui ai dit tout ce que je pensais d'elle, sur cage dorée que cest parents bien pensant catholiques tout ça lui offrait a condition qu'elle ne fasse pas de vague, de son égoisme , de sa façon involontaire de vouloir se faire aimer de sa mere en se mettant dans des situations d'accident volontaire pour qu elle s interresse à elle (sic), de son manque d'autonomie compenser a coup de fric des parents pour qu'elle puisse finir ces études...bref des gentillesses que je devais lui balancer a la tronche depuis trois ans, apres j ai regretté et en même temps je me trouvais soulagé, aujourd'hui je sais que sa vie n'a pas beaucoup changé mais qu'elle bosse et fait de son mieux pour se confronter à la réalité pour s'assumer, elle m'adresse plus la parole mais prend des nouvelles de moi, ce qui me touche sans me toucher , je sais depuis que je l'ai formulé que cette personne n'etait pas pour moi.
Faut arrêter de me faire chialer la noiraude...
C'est sûr j'ai pas réellement envie de mourir (j'ai des trucs dangereux à faire avant...
), mais j'ai envie que tout change...
J'apprécie votre soutien et vos efforts pour me faire voir les choses en face.
En fait c'est pas la peine de me convaincre de couper les ponts, j'ai pas le choix...Elle a décidé...Et elle est tellement froide que je n'ai pas envie de l'appeler ou de la voir...sauf aux soirées d'amis communs (si je ne vais pas à ces soirées je me coupe de mes autres amis, alors bon on va attendre septembre pour ne plus se voir du tout), mais là aussi je pense qu'elle me fera passer l'envie de lui parler...Elle a morflé aussi, je la comprends et puis ptet qu'elle le fait un peu pour moi (on peut rêver).
Mais même quand je repense à notre amitié avant qu'on sorte ensemble et où il n'y avait pas d'ambiguité (si, si je vous jure), bah franchement je peux pas concevoir qu'on ne se retrouvera pas comme amies. Je veux bien essayer de détruire mon espoir de retrouver mon amour, mais je veux au moins retrouver mon amie quand les sentiments auront passé... J'ai toujours fait passer l'amitié avant l'amour, et même si c'est la même personne, faut que j'oublie celle que j'aime pour retrouver celle à qui j'ai donner mon amitié....
Ca vous paraît impossible? Impossible de dissocier amour et amitié?
C'est sûr que vos histoires persos ne sont pas encourageantes...mais bon c'est pas fait pour ça j'imagine...
Là je prends vachement sur moi pour continuer à faire ma ptite comique quand je vois mes potes, mais c'est pas facile...
Et puis j'ai cet espèce de besoin de faire n'importe quoi, je plains la fille qui aurait le malheur de tomber dans mes filets (percés certes...)...
C'est sûr j'ai pas réellement envie de mourir (j'ai des trucs dangereux à faire avant...

J'apprécie votre soutien et vos efforts pour me faire voir les choses en face.
En fait c'est pas la peine de me convaincre de couper les ponts, j'ai pas le choix...Elle a décidé...Et elle est tellement froide que je n'ai pas envie de l'appeler ou de la voir...sauf aux soirées d'amis communs (si je ne vais pas à ces soirées je me coupe de mes autres amis, alors bon on va attendre septembre pour ne plus se voir du tout), mais là aussi je pense qu'elle me fera passer l'envie de lui parler...Elle a morflé aussi, je la comprends et puis ptet qu'elle le fait un peu pour moi (on peut rêver).
Mais même quand je repense à notre amitié avant qu'on sorte ensemble et où il n'y avait pas d'ambiguité (si, si je vous jure), bah franchement je peux pas concevoir qu'on ne se retrouvera pas comme amies. Je veux bien essayer de détruire mon espoir de retrouver mon amour, mais je veux au moins retrouver mon amie quand les sentiments auront passé... J'ai toujours fait passer l'amitié avant l'amour, et même si c'est la même personne, faut que j'oublie celle que j'aime pour retrouver celle à qui j'ai donner mon amitié....
Ca vous paraît impossible? Impossible de dissocier amour et amitié?
C'est sûr que vos histoires persos ne sont pas encourageantes...mais bon c'est pas fait pour ça j'imagine...
Là je prends vachement sur moi pour continuer à faire ma ptite comique quand je vois mes potes, mais c'est pas facile...
Et puis j'ai cet espèce de besoin de faire n'importe quoi, je plains la fille qui aurait le malheur de tomber dans mes filets (percés certes...)...
Bon, tu veux mon avis...je ne te donne pas le choix
Je ne pense pas qu'il soit possible de redevenir amies aprés l'histoire d'amour que vous avez vécu...je ne crois pas qu'on puisse oublier, on peut juste accepter (comme quelqu'un le disait plus haut dans le post) que les choses soient différentes et aient pris un autre chemin...mais ça va être long, alors "deviendrez-vous amies comme avant?": peut-être...dans 10 ans
Quand on a eu des sentiments amoureux (bien différent que des sentiments d'amitiés) envers une personne...ben ça ne s'oublie pas comme ça! Mais bon, tout est possible; je pense seulement que ce sera difficile!
Pour ce qui est de ton envie de faire n'importe quoi...ben je comprends, moi aussi j'avais cette envie...je suis sortie souvent, j'ai bu à m'en rendre malade (faut dire qu'il m'en faut peu pour être malade, je ne tiens pas l'alcool)
De là à sortir avec n'importe qui pour me changer les idées sachant le mal que l'on peut faire dans ces cas là; c'était pas mon truc, mais bon, je ne vais pas te juger...tu n'as encore rien fait
Bizzzzzzzzzz

Je ne pense pas qu'il soit possible de redevenir amies aprés l'histoire d'amour que vous avez vécu...je ne crois pas qu'on puisse oublier, on peut juste accepter (comme quelqu'un le disait plus haut dans le post) que les choses soient différentes et aient pris un autre chemin...mais ça va être long, alors "deviendrez-vous amies comme avant?": peut-être...dans 10 ans

Quand on a eu des sentiments amoureux (bien différent que des sentiments d'amitiés) envers une personne...ben ça ne s'oublie pas comme ça! Mais bon, tout est possible; je pense seulement que ce sera difficile!
Pour ce qui est de ton envie de faire n'importe quoi...ben je comprends, moi aussi j'avais cette envie...je suis sortie souvent, j'ai bu à m'en rendre malade (faut dire qu'il m'en faut peu pour être malade, je ne tiens pas l'alcool)

De là à sortir avec n'importe qui pour me changer les idées sachant le mal que l'on peut faire dans ces cas là; c'était pas mon truc, mais bon, je ne vais pas te juger...tu n'as encore rien fait


Bizzzzzzzzzz
Eh bah puisque t'en parle, je reviens d'une soirée avec mes potes, et elle étais là...
J'ai un peu trop picolé, et tout était bizarre, on a toute les deux fait comme si on était seulement amie...
Et, ma foi, ça passait bien entre nous...
Pfiou...je peux pas m'empêcher de me dire qu'on se retrouvera forcément un jour et qu'on finira notre vie ensemble...
Je suis à baffer, je vais aller m'autoflageller!
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Si vous venez au paintball de la Noiraude vous pourrez me mitrailler pour me faire passer mes idées absurdes
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j'ai pas fait rop de fautes pour une nana à moitié ivre...
J'ai un peu trop picolé, et tout était bizarre, on a toute les deux fait comme si on était seulement amie...
Et, ma foi, ça passait bien entre nous...
Pfiou...je peux pas m'empêcher de me dire qu'on se retrouvera forcément un jour et qu'on finira notre vie ensemble...
Je suis à baffer, je vais aller m'autoflageller!
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Si vous venez au paintball de la Noiraude vous pourrez me mitrailler pour me faire passer mes idées absurdes
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j'ai pas fait rop de fautes pour une nana à moitié ivre...
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