probablement, mais je n'arrive pas à le voir et pas vraiment à le sentir. Ou quand je sens quelque chose, je ferme les écoutillesamélie-sens a écrit : mais il y a sûrement des gens moins "salissants", avec lesquels tu te sens "belle" ou du moins "en confiance"

Je suis pas très "connectée" à mon corps. Il m'est arrivé à plusieurs reprise de me péter des os et de ne pas le "sentir". Lol, pas besoin d'avis médical, mes nerfs, la conduction de l'influx etc, tout va bien, c'est juste la cervelle, là haut, qui déconne

C'est vrai Eosyn, les enfants sont des ptits cons et ce qui se passe dans une cours d'école se passerait dans une entreprise, ça se finirait au tribunal.
Cela dit, la haine de soi demande un long temps de désapprentissage.
Purée, moi j'ai été chez les cathos au lycée aussi, et j'ai eu le droit aux grognasses qui se disent tes amies, mais veulent pas se montrer avec toi ou bien parlent de leurs soirées et rallys devant toi, sans jamais t'inviter.
Vive la vie d'être transparent 8) .
Au fond, le rejet, c'est aussi moi qui le ressent, de moi vis à vis de moi. Et c'est celui ci le plus compliqué, peut etre, à affronter.
Puisque de toute façon je suis partie dans le grand déballage, autant continuer.
Un autre truc qui coince, c'est que le corps, le sexe et tout le tremblement, je trouve ça assez dégueu (mdr). Ca coule, ca mouille, ça fuit de partout et ça fait des bruits pas très catholiques. Disons que je ressens pas une attirance terrible pour tout ça et que j'ai un peu du mal à comprendre le but de la finalité de l'intérêt de tout ça.
Y mettre les doigts, toussa, o my gode, gloups.
C'est un peu la logorrhée, mais c'est aussi ma façon de me protéger, de toutes ces petites douleurs que je ressens, en balançant tout ça.