Contre ou pour la fidélité?
C'est vrai en plus... Du coup le débat n'a plus lieu d'être!!!yellowfaith a écrit :![]()
pour ou contre la fidélité !!!
Je pense que même si l'on est pas fidéle on n'est pas Contre la fidélité !
comment expliquer? ...heu... cherche des exemple pourri dans ma téte
Si t'es pas informaticien-ou-skateur-ou-gay-ou-literraire tu va pas étre contre les informaticien-ou-skateur-ou-gay-ou-literraire .
sarah9 a écrit :C pas des maths ma belle, on décide pas k'on est ds une des periodes...c just qu'on sait qu'on a la possibilité de coucher avec kelk'un d'autre, On peut ne pas le faire et coucher seulement avec sa cherie....tu vois ce ke je veux dire?mestic a écrit :Donc si on est dans la période ou A est fidèle et B volage, peut-on absolument affirmer que A ne souffre pas du comportement de B ?sarah9 a écrit : Pourkoi on se enfermer ds une seule idée...on peut etre infidèle par période et fidèle par d'autre période....
Si on est un couple libre on est pas obliger d'etre infidèle tt le temps
(vous avez 3 heures)
Bin ouais c'est simple
Mise en situation
"Mon coeur cette semaine jai mes règles tu peux aller voir ailleurs"
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La Noiraude
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Mais pourquoi ? Un couple qui se respecte, ça veut dire quoi ? Où est la liberté ? "Ton corps m'appartient, tu ne peux pas en user comme tu le souhaites" : est-ce vraiment du respect ? Moi, justement parce que je respecte ma partenaire, je n'irais pas lui interdire d'assouvir un fantasme si celui-ci ne m'inclut pas.Astiriade a écrit :Ce que j'en dis c'est que dans un couple qui se respecte la question n'a même pas besoin d'être posée ...
Cela dit, personnellement je n'imposerais pas à une partenaire de vivre en couple libre si elle n'est pas sur la même longueur d'onde que moi ; il me semble en ça que je respecte donc la fidèlité. Ce qui est important, c'est que ce genre de décisions soit pris en accord, qu'il n'y ait pas une personne qui dicte sa volonté à l'autre, parce que celui à qui on impose la chose en souffrira forcément.
On peut partir sur une base où on n'alienne pas le corps de l'autre à son propre corps. Il me semble que c'est plus une preuve d'amour qu'une promesse de monogamie qu'on n'est jamais certain de pouvoir respecter ad vitam... On peut s'aimer, s'aimer vraiment, ça n'est pas pour autant qu'on n'éprouvera pas un jour du désir pour un autre corps que celui de sa partenaire. Le désir, ça ne se commande pas ; peut-on donc parler de fidélité ou d'infidèlité ? Si on est ok pour dire que nan, sexez ailleurs, c'est mal, ben on n'y va pas, on laisse tomber, mais à mon avis au bout du compte ça peut amener une certaine frustration ; ou alors on est un couple un peu plus libre, auquel cas on consomme, et basta. Par on consomme, j'entends qu'on baise avec l'objet du désir, et puis voilà. Est-ce de la tromperie ? Il me semble que non, si on est ok sur cette base.
Pour autant, est-il nécessaire de "prévenir" qu'on va jouir de sa liberté physique ailleurs ? Je ne suis pas sûre que ça soit bien nécessaire. Même en couple libre, je pense qu'au fond je n'ai pas forcément envie de savoir que ma chérie s'est envoyée en l'air ailleurs ; ce n'est pas pour ça que je l'empêcherais de le faire. Simplement je préfère ne pas le savoir, cela ne pouvant pas m'apporter grand chose de la savoir.
Après, certes, il existe un risque : il peut y avoir une réaction chimique imprévue qui fait qu'il va se passer entre les deux sexeuses un truc au-dela du physique, qui fait que envie de se revoir, de recommencer, de se connaître, bla bla bla ; certes, c'est un risque, mais il me semble que même en couple ok sur la fidélité, ça peut arriver, et ce sans coucher ailleurs, non ? Honnêtement ? Qui peut affirmer que cela ne lui arrivera jamais ? Je pense qu'on peut tomber amoureux de quelqu'un sans coucher avec, et qu'on peut coucher avec quelqu'un sans en être amoureux pour autant. Il me semble que le désir et l'amour, parfois se mêlent, d'autres fois non. Je ne vois pas où est le mal de vivre les choses au fur et à mesure où on les ressent. J'ajouterai qu'à mon avis, plus on laisse à l'autre sa liberté, moins il se sent enfermé, donc moins il a envie de fuir. Ceci étant peut-être une belle utopie, je n'affirme rien, je m'interroge...
Maintenant, est-ce que c'est glauque ? Certains diront oui ; personnellement, je ne trouve pas, du moment que les 2 personnes choisissant ce mode de fonctionnement sont d'accord, qu'il y a des règles définies à l'avance, que personne n'est mis devant le fait accompli brutalement. Je reposterai plus tard pour préciser mes pensées...
Attention je ne juge pas loin de moi cette pensée
Chacun voit midi à sa porte comme on dit
Ce que je dits c'est simplement que dans un couple qui se respecte la question en se pose pas. Pour moi un couple qui se respecte, c'est à la fois des partenaires qui se respectent mutuellement mais aussi qui se respectent eux-mêmes et par delà l'union qu'ils forment.
Et quand je dis que dans ce cas là la question ne se pose pas c'est qu'elle ne se pose pas. En couple on se connait suffisamment soi même et on se doit de connaître suffisamment l'autre (sinon pourquoi être en couple si ce n'est pour éviter de vivre seul ce qui à mon sens est la pire des raisons d'être deux) pour ne même pas avoir à se poser la question.
Aprés on peut disserter dans l'absolu sur le fait de savoir si c'est "sain" ou pas dans un couple. Personnellement une telle discussion ne m'intéresse pas c'est un pur jugement moral que je n'ai à porter sur personne si ce n'est sur moi même. Et là ça me regarde moi et ma conscience...
Je pense que si on respecte ces quelques principes les choses sont simples et tous s'y retrouvent... J'essaie d'appliquer ça à moi-même et à mon couple et le jour où (si cela arrive) mon optique n'ira plus avec celle de ma partenaire et de mon couple j'espére avoir le courage de lui dire. C'est quand on franchit cette frontiére du non accord avec le respect de soi-même, de l'autre et de son couple que le glauque s'installe et que l'autre souffre...
Chacun voit midi à sa porte comme on dit
Ce que je dits c'est simplement que dans un couple qui se respecte la question en se pose pas. Pour moi un couple qui se respecte, c'est à la fois des partenaires qui se respectent mutuellement mais aussi qui se respectent eux-mêmes et par delà l'union qu'ils forment.
Et quand je dis que dans ce cas là la question ne se pose pas c'est qu'elle ne se pose pas. En couple on se connait suffisamment soi même et on se doit de connaître suffisamment l'autre (sinon pourquoi être en couple si ce n'est pour éviter de vivre seul ce qui à mon sens est la pire des raisons d'être deux) pour ne même pas avoir à se poser la question.
Aprés on peut disserter dans l'absolu sur le fait de savoir si c'est "sain" ou pas dans un couple. Personnellement une telle discussion ne m'intéresse pas c'est un pur jugement moral que je n'ai à porter sur personne si ce n'est sur moi même. Et là ça me regarde moi et ma conscience...
Je pense que si on respecte ces quelques principes les choses sont simples et tous s'y retrouvent... J'essaie d'appliquer ça à moi-même et à mon couple et le jour où (si cela arrive) mon optique n'ira plus avec celle de ma partenaire et de mon couple j'espére avoir le courage de lui dire. C'est quand on franchit cette frontiére du non accord avec le respect de soi-même, de l'autre et de son couple que le glauque s'installe et que l'autre souffre...
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yellowfaith
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+1 avec un pti bémol le fait que la plupart du temps une des 2 partenaires a plus envie d'étre en couple libre que l'autreLa Noiraude a écrit : je respecte ma partenaire, je n'irais pas lui interdire d'assouvir un fantasme si celui-ci ne m'inclut pas.
je n'imposerais pas à une partenaire de vivre en couple libre si elle n'est pas sur la même longueur d'onde que moi ; il me semble en ça que je respecte donc la fidèlité. Ce qui est important, c'est que ce genre de décisions soit pris en accord, qu'il n'y ait pas une personne qui dicte sa volonté à l'autre, parce que celui à qui on impose la chose en souffrira forcément.
La Noiraude a écrit :On peut s'aimer, s'aimer vraiment, ça n'est pas pour autant qu'on n'éprouvera pas un jour du désir pour un autre corps que celui de sa partenaire. Le désir, ça ne se commande pas ; peut-on donc parler de fidélité ou d'infidèlité ? Si on est ok pour dire que nan, sexez ailleurs, c'est mal, ben on n'y va pas, on laisse tomber, mais à mon avis au bout du compte ça peut amener une certaine frustration ; ou alors on est un couple un peu plus libre, auquel cas on consomme, et basta. Par on consomme, j'entends qu'on baise avec l'objet du désir, et puis voilà. Est-ce de la tromperie ?.
+1
o moins faut il se mettre d'accord que l'on vit dans un couple libre, aprés nan il n'est pas necessaire de raconter avec qui on a baiser.La Noiraude a écrit :Pour autant, est-il nécessaire de "prévenir" qu'on va jouir de sa liberté physique ailleurs ?.
Sinon +1
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+1La Noiraude a écrit :Après, certes, il existe un risque : il peut y avoir une réaction chimique imprévue qui fait qu'il va se passer entre les deux sexeuses un truc au-dela du physique, qui fait que envie de se revoir, de recommencer, de se connaître, bla bla bla ; certes, c'est un risque, mais il me semble que même en couple ok sur la fidélité, ça peut arriver, et ce sans coucher ailleurs, non ? Honnêtement ? Qui peut affirmer que cela ne lui arrivera jamais ? Je pense qu'on peut tomber amoureux de quelqu'un sans coucher avec, et qu'on peut coucher avec quelqu'un sans en être amoureux pour autant. Il me semble que le désir et l'amour, parfois se mêlent, d'autres fois non. ..
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Voila un +1 avec des ptits remaniements, je ne me permet pas de répondre aux questions comme tu l'as fais mais sinon...
je ne porte pas de jugement sur si cela est sain ou non, mieux qu'un couple "fidéle" ou pas.
je pense pouvoir me sentir bien dans ces 2 modes de vie, tout dépend de l'état d'esprit du moment; de "ma copine"; on évolue certains anti-couple-libre risque faire l'apologie des couples libres, et certains couples libre celles des "fidèles", on vérra ca dans quelques années ; etc...
bon pour l'instant tristement celibataire la question ne se pose pas.
'fin quand même si j'avais a choisir jcommencrais par du soft coupl-fidèle