femme, addiction, homosexualité
femme, addiction, homosexualité
Bonjour, voilà, je me permet d'écrire ce message car j'en ressens le besoin, déjà pour parler de ce qui me dérange (apparemment ça fait du bien) et pour peut être recevoir des réponses qui aiderons d'autres filles que moi.
J'ai un problème avec le cannabis. ça va faire 3 ans que je suis seule, que je n'arrive pas a me relever d'une rupture difficile et que je fume tous les jours. Je vois un psy, je fais du sport, j'essaie de sortir avec d amis de temps en temps mais rien n'y fait, je suis toujours là à me morfondre dans mon petit appart, un joint à la main à rêver a une vie meilleure. J'ai du mal a accepter le fait d'etre lesbienne, je ne le dis quasiment a personne, je ne sors pas en boite gay et ne fréquente aucune assoc (timide de chez timide). Je me dis que si j'arrêtais, j'irais mieux mais il y a toujours un problème et je me tue a petit feu. Je poste ce message chez les filles parce que je trouve le fait d'avoir une addiction est "mieux vu" chez un mec et parce qu'on en parle moins facilement quand on est une fille, c'est plus tabou, plus honteux, j'ai HONTE. J'aimerai juste avoir des réactions sur le tabou femme, addiction, homosexualité parce qu'on en parle pas assez, et ça, ça arrange pas les choses. Merci
J'ai un problème avec le cannabis. ça va faire 3 ans que je suis seule, que je n'arrive pas a me relever d'une rupture difficile et que je fume tous les jours. Je vois un psy, je fais du sport, j'essaie de sortir avec d amis de temps en temps mais rien n'y fait, je suis toujours là à me morfondre dans mon petit appart, un joint à la main à rêver a une vie meilleure. J'ai du mal a accepter le fait d'etre lesbienne, je ne le dis quasiment a personne, je ne sors pas en boite gay et ne fréquente aucune assoc (timide de chez timide). Je me dis que si j'arrêtais, j'irais mieux mais il y a toujours un problème et je me tue a petit feu. Je poste ce message chez les filles parce que je trouve le fait d'avoir une addiction est "mieux vu" chez un mec et parce qu'on en parle moins facilement quand on est une fille, c'est plus tabou, plus honteux, j'ai HONTE. J'aimerai juste avoir des réactions sur le tabou femme, addiction, homosexualité parce qu'on en parle pas assez, et ça, ça arrange pas les choses. Merci
Salut !
Bon je ne suis pas le mieux placé pour te répondre, mais je tiens à t'assurer de mon soutien moral, même si ça ne t'aidera peut-être pas des masses.
Tu fais l'effort de t'en sortir et c'est déjà énorme. Il te manque "juste" le moral qui t'aidera à réussir à en sortir pour de bon. Le forum t'apportera éventuellement ça, mais prends garde à ce que ça ne devienne pas une autre addiction. Ca n'incite pas vraiment à sortir.
Je laisse les autres répondre.
Bon courage à toi !
Bon je ne suis pas le mieux placé pour te répondre, mais je tiens à t'assurer de mon soutien moral, même si ça ne t'aidera peut-être pas des masses.

Tu fais l'effort de t'en sortir et c'est déjà énorme. Il te manque "juste" le moral qui t'aidera à réussir à en sortir pour de bon. Le forum t'apportera éventuellement ça, mais prends garde à ce que ça ne devienne pas une autre addiction. Ca n'incite pas vraiment à sortir.

Je laisse les autres répondre.
Bon courage à toi !

Coucou,
A vrai dire, il m'arrive pas exactement la même chose que toi, mais je comprend.
J'ai pas mal fumé et là ça doit faire 3/4ans que j'y ai pas touché.
Bref, perso mon problème c'est l'alcool (c'est pas excessif mais plutôt fréquent), j'ai d'ailleurs perdu mes potes à cause de ça parce que j'arrivais à m'arreter aux soirées alcoolisées. donc de ce côté là fais gaffe, évite de trop fumer en soirée par exemple (je sais pas si tu le fais)
On plane quand on fume, on se fait des pti films, on a l'impression d'avoir les idées en place, c'est illusoire (comme l'alcool (à faible dose celui ci)).
Tu dois surement ressentir un manque, qui fait qu'au lieu de faire un calin à ta nana bah par compensation tu t'en roules un (je suis pas psy, vous pouvez tout à fait me contredire).
Enfin bon, dis toi, rien n'est perdu.
Tu dis voir un psy, tu lui en parles? il existe pas des médocs pour calmer l'envie ? (je sais que ça existe pour l'alcool) quand tu sors de tes séances, tu te sens comment? (soulagée, déprimée, etc...)
Par exemple je vois une psy depuis pas très longtemps, et quand je sors de ses séances, waw sourire aux lèvres, comme si je m'était libérée d'un gros poids.
Bref, t'es pas un cas désespéré je t'assure, mais c'est connu, vaut mieux éviter de trop fumer ce truc, ça dé-sociabilise par exemple (facile à dire je sais!!).
Sinon, je rejoins ton point de vue, j'ai aussi l'impression que les addictions passent mieux chez les mecs (dans le sens plus courant donc on en parle plus).
Une chose est sûre, c'est très courageux à toi d'en parler, je pense que ça pourrait faire avancer les choses.
Bon courage
A vrai dire, il m'arrive pas exactement la même chose que toi, mais je comprend.
J'ai pas mal fumé et là ça doit faire 3/4ans que j'y ai pas touché.
Bref, perso mon problème c'est l'alcool (c'est pas excessif mais plutôt fréquent), j'ai d'ailleurs perdu mes potes à cause de ça parce que j'arrivais à m'arreter aux soirées alcoolisées. donc de ce côté là fais gaffe, évite de trop fumer en soirée par exemple (je sais pas si tu le fais)
On plane quand on fume, on se fait des pti films, on a l'impression d'avoir les idées en place, c'est illusoire (comme l'alcool (à faible dose celui ci)).
Tu dois surement ressentir un manque, qui fait qu'au lieu de faire un calin à ta nana bah par compensation tu t'en roules un (je suis pas psy, vous pouvez tout à fait me contredire).
Enfin bon, dis toi, rien n'est perdu.
Tu dis voir un psy, tu lui en parles? il existe pas des médocs pour calmer l'envie ? (je sais que ça existe pour l'alcool) quand tu sors de tes séances, tu te sens comment? (soulagée, déprimée, etc...)
Par exemple je vois une psy depuis pas très longtemps, et quand je sors de ses séances, waw sourire aux lèvres, comme si je m'était libérée d'un gros poids.
Bref, t'es pas un cas désespéré je t'assure, mais c'est connu, vaut mieux éviter de trop fumer ce truc, ça dé-sociabilise par exemple (facile à dire je sais!!).
Sinon, je rejoins ton point de vue, j'ai aussi l'impression que les addictions passent mieux chez les mecs (dans le sens plus courant donc on en parle plus).
Une chose est sûre, c'est très courageux à toi d'en parler, je pense que ça pourrait faire avancer les choses.
Bon courage

-
- Messages : 47
- Inscription : sam. avr. 19, 2008 8:37 pm
Pas de panique Cartoun...ouais on est bien dans sa bulle de fumée
, je ne le sais que trop bien. Mais c'est juste la partie emmergée de l'iceberg, donc l'idée du psy c'est peut-être pas mal si t'es timide et que tes potes c'est pas trop ça (surtout quand c'est des potes de fume ou de picolle...). Mais je dirai que les conduites de ce genre sont fréquentes chez les goudous, sauf que c'est comme le reste, on se cache!!! Tabou ou pas c'est la désocialisation le problème....

Bien merci à tous pour vos réponses si rapides, ça fait chaud au cœur! C'est vrai que le truc le plus chaud c'est la désociabilisation! En ce qui me concerne j'essaie d'y remédier mais c'est pas facile et c'est long, très long!
Ce qui me désespère c'est qu'on ne mérite pas de tomber dans des trucs comme ça, mais des fois il n'y a que ça qui soulage, c'est ça ou se faire mal physiquement ou faire une crise, en tout cas pour moi ça marche comme ça.
C'est vrai que ce n'est pas la même chose qu'avec l'alcool, mais c'est une addiction aussi, quand on a une conduite addictive on se crée un manque (d'alcool ou autre) pour compenser un manque (affection, confiance...)Et c'est là dessus qu'il faut agir, mais c'est souvent long. Les gens qui on été accro a quelque chose, comment vous en êtes vous sorti?
merci encore à tous pour vos réponses.
Salut lel, ça fait 4 ans que je consulte, au début je sortais des séances comme toi, avec le sourire, mais au fur et à mesure c'étaient des larmes mais ça soulage aussi. Mon psy ne fait rien pour que je m'arrête de fumer, il me pousse à sortir, à voir des gens, disant que tant que je serais dans cet état et dans cette situation(je suis assez triste comme fille, avec pas mal de problèmes que je n'exposerai pas ici) j'aurai besoin de fumer et ne pourrai pas m'arrêter (j'ai déjà essayé plusieurs fois!).lel a écrit :
Tu dis voir un psy, tu lui en parles? il existe pas des médocs pour calmer l'envie ? (je sais que ça existe pour l'alcool) quand tu sors de tes séances, tu te sens comment? (soulagée, déprimée, etc...)
Par exemple je vois une psy depuis pas très longtemps, et quand je sors de ses séances, waw sourire aux lèvres, comme si je m'était libérée d'un gros poids.
Bref, t'es pas un cas désespéré je t'assure, mais c'est connu, vaut mieux éviter de trop fumer ce truc, ça dé-sociabilise par exemple (facile à dire je sais!!).
Ce qui me désespère c'est qu'on ne mérite pas de tomber dans des trucs comme ça, mais des fois il n'y a que ça qui soulage, c'est ça ou se faire mal physiquement ou faire une crise, en tout cas pour moi ça marche comme ça.
C'est vrai que ce n'est pas la même chose qu'avec l'alcool, mais c'est une addiction aussi, quand on a une conduite addictive on se crée un manque (d'alcool ou autre) pour compenser un manque (affection, confiance...)Et c'est là dessus qu'il faut agir, mais c'est souvent long. Les gens qui on été accro a quelque chose, comment vous en êtes vous sorti?
merci encore à tous pour vos réponses.
hé bien déjà j'ai croisé pas mal de gens accrocs au cannabis à la cigarette, à l'alcool, voire à la bouffe, ou au net. Quelle que soit l'addiction elle dessociabilise c'est un effet certain et on tombe dans un cercle vicieux.
Ceci dit, je connais pas mal de gens chez qui l'abus de cannabis provoquait ou accentuais des crises d'angoisse, ainsi que la dépression en général.
Il me semble bien que le cannabis ne crée pas de dépendance physique, mais uniquement psychologique. En revanche pas le tabac. Peut-être pourrais-tu tenter de passer à la cigarette normale en essayant de ne pas tomber dans le travers de fumer plus par compensation.
ensuite, tu vis ta situation comme quelque chose de violent. la honte (en majuscule!!) et la tristesse sont des sentiments violents.
Tu vivrais également comme quelque chose de violent de t'ouvrir à l'homosexualité, de rencontrer des gens, d'essayer d'entrer dans un cercle vertueux, mais au moins, ça irait vers le positif au lieu de persister dans ton état actuel.
Il est évident que cela ne se fera pas en deux jours... cela étant, parfois les avancées sont rapides. à ta place je tenterais de rencontrer des gens sur le forum, dans le cadre d'un meating. Les timides sont très nombreux, et sont aussi très nombreux à avoir survécu à cette première étape.
Revenir plus régulièrement sur le forum (ça fait plaisir au passage ça faisait longtemps que je n'avais plus croisé ton pseudo!) parler plus et début une ressociabilisation en passant par ce vecteur pourrait être un début de solution???
en tout cas bon courage, en espérant ne pas te voir disparaitre à nouveau!
et sache aussi que plus on rencontre de personnes qui nous ressemblent et qui traversent la même chose plus on est à même de dédramatiser sa propre situation. On se rend compte progressivement que l'échange est possible, que les solutions existent, qu'il est possible de vivre bien. La honte et l'absence d'aveu du fait que tu sois lesbienne est la conséquence directe de ton isolement. Si tu te rendais compte qu'il n'y a rien de plus banal, que les couples sont très nombreux, que la plupart vivent bien, sans aucune honte, ça ira mieux pour toi pour l'accepter. C'est comme n'importe quoi, quand on se croit seul au monde on est malheureux!
Ceci dit, je connais pas mal de gens chez qui l'abus de cannabis provoquait ou accentuais des crises d'angoisse, ainsi que la dépression en général.
Il me semble bien que le cannabis ne crée pas de dépendance physique, mais uniquement psychologique. En revanche pas le tabac. Peut-être pourrais-tu tenter de passer à la cigarette normale en essayant de ne pas tomber dans le travers de fumer plus par compensation.
ensuite, tu vis ta situation comme quelque chose de violent. la honte (en majuscule!!) et la tristesse sont des sentiments violents.
Tu vivrais également comme quelque chose de violent de t'ouvrir à l'homosexualité, de rencontrer des gens, d'essayer d'entrer dans un cercle vertueux, mais au moins, ça irait vers le positif au lieu de persister dans ton état actuel.
Il est évident que cela ne se fera pas en deux jours... cela étant, parfois les avancées sont rapides. à ta place je tenterais de rencontrer des gens sur le forum, dans le cadre d'un meating. Les timides sont très nombreux, et sont aussi très nombreux à avoir survécu à cette première étape.
Revenir plus régulièrement sur le forum (ça fait plaisir au passage ça faisait longtemps que je n'avais plus croisé ton pseudo!) parler plus et début une ressociabilisation en passant par ce vecteur pourrait être un début de solution???
en tout cas bon courage, en espérant ne pas te voir disparaitre à nouveau!
et sache aussi que plus on rencontre de personnes qui nous ressemblent et qui traversent la même chose plus on est à même de dédramatiser sa propre situation. On se rend compte progressivement que l'échange est possible, que les solutions existent, qu'il est possible de vivre bien. La honte et l'absence d'aveu du fait que tu sois lesbienne est la conséquence directe de ton isolement. Si tu te rendais compte qu'il n'y a rien de plus banal, que les couples sont très nombreux, que la plupart vivent bien, sans aucune honte, ça ira mieux pour toi pour l'accepter. C'est comme n'importe quoi, quand on se croit seul au monde on est malheureux!
merci lulu, ça m'a fait plaisir ton message. C'est vrai, il faut que je me bouge mais j'essaie, mais c'est dur et compliqué, j'ai un boulot prenant, je suis animatrice toute l'année, je suis jamais au même endroit, je n'ai pas le temps de rentrer et quand je rentre chez moi je déprime et le tout,niveau sociabilisation c'est pas le top, j'ai pas de vie sociale c'est tout! En tout cas j'aime mon boulot, ça c'est positif et c'est un bon début mais j'ai tendance à m'enfermer là dedans: je ne vie que quand je suis en compagnie d'enfants, que je joue, que je bosse quoi! donc c'est à double tranchants! j'essaie alors de prendre confiance, déjà j'ai posté un sujet sur le forum ÉNORME! Ce que tu as dis dans ton message me pousse à aller de l'avant. J'essaierai d'être plus assidue sur le forum et de peut être participer à un meeting... merci encore.
Coucou, par rapport à ta question, j'ai été à vrai dire légèrement dépendante au canna (dans le genre besoin pour m'endormir), et un jour grosse crise d'angoisse liée à ça, enfin limite malaise (parce qu'en plus de ça je prend des médocs, donc le mélange médoc + canna + alcool... pas bon)
Donc, suite à ça je me suis arrêtée totalement vu que j'ai eu très peur.
Comme ça a été dit, par exemple remplacer au début un join sur deux par une clope "normale".
Simple question, tu vois un psychologue ou un psychiatre?
Tu ressens quelle sensation quand tu te dis que t'as besoin de ta clope magique? (c'est pour te faire extérioriser, on va pas t'analyser).
Et la sensation quand t'as fumé, t'aimes ça? enfin tu te sens comment?
Enfin perso avec l'alcool je vois ça, autant des fois je kiffe je fais pleins de blagues je suis contente, mais des fois je culpabilise (sans faire de bad). je sais pas du tout comment ça marche avec ce que tu fumes, à vrai dire perso ça fait super longtemps que j'y ai pas touché donc dur d'y mettre des mots.
Sinon oui, apparemment les clopes magiques peuvent entrainer une espèce de dépression, un isolement, voire même des délires schizophrènes (ce dernier, je sais pas si c'est scientifiquement prouvé ou pour nous faire peur, j'avais lu ça y'a super longtemps).
Bref, hésite pas à en parler sur le forum, on est pas qualifiés mais déjà en parler ça te fera du bien.
Tiens nous au courant.
PS : excuse moi si je parais dure dans ce que je dis, flippante ou quoi, je me relis mais en fait c'est moi ça j'ai pas trop de tact... je t'assure j'ai fait des efforts!
Donc, suite à ça je me suis arrêtée totalement vu que j'ai eu très peur.
Comme ça a été dit, par exemple remplacer au début un join sur deux par une clope "normale".
Simple question, tu vois un psychologue ou un psychiatre?
Tu ressens quelle sensation quand tu te dis que t'as besoin de ta clope magique? (c'est pour te faire extérioriser, on va pas t'analyser).
Et la sensation quand t'as fumé, t'aimes ça? enfin tu te sens comment?
Enfin perso avec l'alcool je vois ça, autant des fois je kiffe je fais pleins de blagues je suis contente, mais des fois je culpabilise (sans faire de bad). je sais pas du tout comment ça marche avec ce que tu fumes, à vrai dire perso ça fait super longtemps que j'y ai pas touché donc dur d'y mettre des mots.
Sinon oui, apparemment les clopes magiques peuvent entrainer une espèce de dépression, un isolement, voire même des délires schizophrènes (ce dernier, je sais pas si c'est scientifiquement prouvé ou pour nous faire peur, j'avais lu ça y'a super longtemps).
Bref, hésite pas à en parler sur le forum, on est pas qualifiés mais déjà en parler ça te fera du bien.
Tiens nous au courant.
PS : excuse moi si je parais dure dans ce que je dis, flippante ou quoi, je me relis mais en fait c'est moi ça j'ai pas trop de tact... je t'assure j'ai fait des efforts!
coucou cartoun !
je voudrais bien insister sur ceci :
tu n'as vraiment pas à avoir honte de quoi que ce soit (ni d'être lesbienne, surtout pas ! ce n'est pas pour rien qu'on parle de la Marche des FIERTES ! ni de fumer).
Par contre, tu as raison d'analyser la fumette régulière comme un problème à résoudre. Tu remarques toi-même que ça ne te fait "du bein " que dans l'immédiat immédiat, et que ça te fait du mal à long terme... (la désocialisation dont tu parles).
Il y a une chose qui m'interpelle, tu écris :
"Je me dis que si j'arrêtais, j'irais mieux mais il y a toujours un problème et je me tue a petit feu.".
Le vrai problème de la dépendance me semble se trouver là. La dépendance, c'est justement elle qui t'empêche d'arrêter.
tu peux compter sur le soutien du forum, tu as plein de belles et bonnes réponses déjà, et nous serons là chaque fois que tu nous parleras.
iorini
je voudrais bien insister sur ceci :
tu n'as vraiment pas à avoir honte de quoi que ce soit (ni d'être lesbienne, surtout pas ! ce n'est pas pour rien qu'on parle de la Marche des FIERTES ! ni de fumer).
Par contre, tu as raison d'analyser la fumette régulière comme un problème à résoudre. Tu remarques toi-même que ça ne te fait "du bein " que dans l'immédiat immédiat, et que ça te fait du mal à long terme... (la désocialisation dont tu parles).
Il y a une chose qui m'interpelle, tu écris :
"Je me dis que si j'arrêtais, j'irais mieux mais il y a toujours un problème et je me tue a petit feu.".
Le vrai problème de la dépendance me semble se trouver là. La dépendance, c'est justement elle qui t'empêche d'arrêter.
tu peux compter sur le soutien du forum, tu as plein de belles et bonnes réponses déjà, et nous serons là chaque fois que tu nous parleras.
iorini
Tiens c'est marrant ça tu es animatrice? je pensais que justement c'était un job qui t'obligeais à sociabiliser vachement par rapport aux collègues pour faire front dans l'adversité et le bordel ambiant... j'ai vécu des expériences de ce type en colo et ça ne s'oublie pas!
en tout cas oui, bravo olé pour le post. aller, et si on organisait un meating grenadine / fraises tagada pour tous les dépendants qui se prouveraient qu'ils peuvent y survivre?? (arf! je n'irai pas jusqu'au meating chocolat on va retrouver les cacaodépendants!
)
en tout cas oui, bravo olé pour le post. aller, et si on organisait un meating grenadine / fraises tagada pour tous les dépendants qui se prouveraient qu'ils peuvent y survivre?? (arf! je n'irai pas jusqu'au meating chocolat on va retrouver les cacaodépendants!

