Lasitude Hivernale d'une bisexuelle indécise
Lasitude Hivernale d'une bisexuelle indécise
Et voilà.
M'y revoilà encore à la bonne vieille interrogation, celle qui triture le neurone gauche depuis plus de 10 ans alors que le droit oscille entre l'état comateux avancé du trvaailleur français et l'agitation stérile du sens de la vie.
Et bien le gauche, non, il pourrait pas faire comme son copain, se donner un alibi culturel en faisant de la philosophie de bazard ou végéter dans la graisse en accomplissant des fonctions vitales comme manger, payer sfr, dire bonjour à la dame.
Le gauche, il regarde un porno est est vraiment géné par la présence du monsieur poilu.
Le gauche, il écoute pas le droit qui lui dit de zapper parce que c'est déguelasse quand même, parce qu'il est en train d'envoyer des petits électrons jusqu'à l'entrejambe.
Frères ennemis, ces deux là.
Marchent un coup sur deux, savent pas ce qu'ils veulent.
Bien envie d'écrire non pour être lue, mais ici pour se motiver à finir.
On peut laisser un journal sur trois petits points de suspensoin, laissant la caourdisse empêcher la pensée d'être émise.
On peut pas laisser des gens, même derrière un écran, avec juste des bouts de ses peurs et pas la fin. Quand il raconte une histoire, le conteur ne s'arrête pas avant le climax.
Alors, suite à ce porno, le neurone et la conscience entrent en discussion : pourquoi je suis tombée amoureuse d'hommes comme de femme, mais pourquoi ne suis je tentée sexuellement que par les femmes?
Pourquoi pourtant je peux prendre du plaisir à coucher avec des hommes ?
Pourquoi l'excitation vient sur le moment mais que je n'ai pas envie de susciter cet instant?
Pourquoi à mo, age je ne sais toujours pas ce que je veux ?
Pourquoi sans drogue ou alcool, je ne réussis pas à avoir envie de sexe avec quelqu'un, pourquoi le sexe toute seule j'en ai toujours envie, pourquoi je désir les femmes mais ait du mal à "aguicher", pourquoi je suis "coincée" comme ça ?
Parce que d'après la manière dont j'ai écrit mon problème, je me rend compte ne pas avoir été assez précise.
Je peux donc tomber amoureuse de n'importe quel sexe, ça, c'(est bon.
Tirer du plaisir des rapports avec les deux sexes, ça, c'est clair.
Le problème se situte entre deux : quan je suis avec quelqu'un, qu'il soit un homme, et je ne le désirerais pas à moins d'être en état second.
Qu'elle soit une femme, je la désirerais, seras excitée par elle, mais ne souheterai pas de rapport.
Ce qui n'est pas pour autant de l'asexualité : je pense à une amie à moi, bisentimentale et asexuelle. Je connais sa problématique, elle n'éprouve en aucun cas du désir.
Bref, je sais que dans mes termes je suis à deux doigts (haha!) de la rubrique sexe, mais en tant que nouvelle inscrite je n'y ai pas encore accès aussi vous pris de m'en excuser.
Puis au fond, ce n'est pas un problème de sexe, mais de psychologie du désir, aussi voilà, je pense qu'il peut s'intégrer ici.
En vous remerciant de votre écoute visuelle, je m'en cours aux présentation que j'ai dans ma hâtes sautée (cochonne que je fais)
M'y revoilà encore à la bonne vieille interrogation, celle qui triture le neurone gauche depuis plus de 10 ans alors que le droit oscille entre l'état comateux avancé du trvaailleur français et l'agitation stérile du sens de la vie.
Et bien le gauche, non, il pourrait pas faire comme son copain, se donner un alibi culturel en faisant de la philosophie de bazard ou végéter dans la graisse en accomplissant des fonctions vitales comme manger, payer sfr, dire bonjour à la dame.
Le gauche, il regarde un porno est est vraiment géné par la présence du monsieur poilu.
Le gauche, il écoute pas le droit qui lui dit de zapper parce que c'est déguelasse quand même, parce qu'il est en train d'envoyer des petits électrons jusqu'à l'entrejambe.
Frères ennemis, ces deux là.
Marchent un coup sur deux, savent pas ce qu'ils veulent.
Bien envie d'écrire non pour être lue, mais ici pour se motiver à finir.
On peut laisser un journal sur trois petits points de suspensoin, laissant la caourdisse empêcher la pensée d'être émise.
On peut pas laisser des gens, même derrière un écran, avec juste des bouts de ses peurs et pas la fin. Quand il raconte une histoire, le conteur ne s'arrête pas avant le climax.
Alors, suite à ce porno, le neurone et la conscience entrent en discussion : pourquoi je suis tombée amoureuse d'hommes comme de femme, mais pourquoi ne suis je tentée sexuellement que par les femmes?
Pourquoi pourtant je peux prendre du plaisir à coucher avec des hommes ?
Pourquoi l'excitation vient sur le moment mais que je n'ai pas envie de susciter cet instant?
Pourquoi à mo, age je ne sais toujours pas ce que je veux ?
Pourquoi sans drogue ou alcool, je ne réussis pas à avoir envie de sexe avec quelqu'un, pourquoi le sexe toute seule j'en ai toujours envie, pourquoi je désir les femmes mais ait du mal à "aguicher", pourquoi je suis "coincée" comme ça ?
Parce que d'après la manière dont j'ai écrit mon problème, je me rend compte ne pas avoir été assez précise.
Je peux donc tomber amoureuse de n'importe quel sexe, ça, c'(est bon.
Tirer du plaisir des rapports avec les deux sexes, ça, c'est clair.
Le problème se situte entre deux : quan je suis avec quelqu'un, qu'il soit un homme, et je ne le désirerais pas à moins d'être en état second.
Qu'elle soit une femme, je la désirerais, seras excitée par elle, mais ne souheterai pas de rapport.
Ce qui n'est pas pour autant de l'asexualité : je pense à une amie à moi, bisentimentale et asexuelle. Je connais sa problématique, elle n'éprouve en aucun cas du désir.
Bref, je sais que dans mes termes je suis à deux doigts (haha!) de la rubrique sexe, mais en tant que nouvelle inscrite je n'y ai pas encore accès aussi vous pris de m'en excuser.
Puis au fond, ce n'est pas un problème de sexe, mais de psychologie du désir, aussi voilà, je pense qu'il peut s'intégrer ici.
En vous remerciant de votre écoute visuelle, je m'en cours aux présentation que j'ai dans ma hâtes sautée (cochonne que je fais)
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- Inscription : lun. juin 16, 2008 12:56 pm
Re: Lasitude Hivernale d'une bisexuelle indécise
Mais dis donc, je ne t'ai pas permis.Norma Jean a écrit :On peut laisser un journal sur trois petits points de suspension, laissant la couardise empêcher la pensée d'être émise.

Bon. Alors. Ouh là là. Beaucoup de "pourquoi", dans ton post. Et je pense que personne n'a la réponse, sauf toi peut-être, bien cachée au fond de ton esprit embrumé. J'ai juste une question : tu dis prendre du plaisir avec les deux sexes, mais néanmoins ne pas avoir de désir pour les hommes sans substances bizarres (^^), et avoir du désir pour les femmes, mais sans vouloir de rapport... Mais tu sembles avoir déjà eu des rapports avec des femmes. Étais-tu là aussi sous l'influence de l'alcool ou autre ? J'ai du mal à suivre.

Ce message n'est en rien constructif, je sais. Mettre son cerveau sur pause, c'est bien aussi. Quel besoin de se définir clairement dans une case ? Certes, c'est commode, surtout pour les autres, mais toi ?
Peut-être tout ça n'est-il qu'une histoire de confiance en l'autre, peut-être est-ce pour ça que tu as du mal à désirer l'autre... Oui, mes hypothèses sont nazes. Je fuis et laisse le soin à d'autres de répondre mieux.

(Jolies métaphores, par ailleurs.

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pour répondre aux points d'interrogation de point de suspension (haha!) je dirais :
Le problème n'est pas dans l'acte mais dans le désir de l'acte.
Nonobstant ma tendance sex drugs & rock & roll qui m'a donné maintes occasion de commettre sous psychotropes, ma propre curiosité m'a aussi poussée à accomplir mon devoir de pas chrétienne, id copuler comme des lapins avec des représentants de chaque sexe.
Que ce soit pour me dérider le cul comme dirait Brassens ou par sympathie envers quelqu'un, j'ai donc un palmares honorable quoiqu'absolument pas extravaguant. (non, je ne donnerais ni le nombre ni les numéros de sécurité sociale de mes conquêtes).
En gros, mes blocages se situent au niveau libidinal, j'ai pas l'élan, ni même aucune espèce de cervidé.
[déconseillé aux personnes romantiques]
J'me demande donc plus précisément qu'est ce qui pourrait me bloquer à ce point et m'empêcher d'être la grosse salope avide de sexe que je me reverais d'être !
[vous pouvez revenir très chères fleures bleues]
Le problème n'est pas dans l'acte mais dans le désir de l'acte.
Nonobstant ma tendance sex drugs & rock & roll qui m'a donné maintes occasion de commettre sous psychotropes, ma propre curiosité m'a aussi poussée à accomplir mon devoir de pas chrétienne, id copuler comme des lapins avec des représentants de chaque sexe.
Que ce soit pour me dérider le cul comme dirait Brassens ou par sympathie envers quelqu'un, j'ai donc un palmares honorable quoiqu'absolument pas extravaguant. (non, je ne donnerais ni le nombre ni les numéros de sécurité sociale de mes conquêtes).
En gros, mes blocages se situent au niveau libidinal, j'ai pas l'élan, ni même aucune espèce de cervidé.
[déconseillé aux personnes romantiques]
J'me demande donc plus précisément qu'est ce qui pourrait me bloquer à ce point et m'empêcher d'être la grosse salope avide de sexe que je me reverais d'être !
[vous pouvez revenir très chères fleures bleues]
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- Inscription : lun. juin 16, 2008 12:56 pm
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Quant à tes questions...
- pourquoi je suis tombée amoureuse d'hommes comme de femme, mais pourquoi ne suis je tentée sexuellement que par les femmes?
Bèh, parce que tu t'attache d'abord au psychique, mais que les femmes c'est quand même diablement plus tentant que les hommes.
- Pourquoi pourtant je peux prendre du plaisir à coucher avec des hommes ?
Parce que c'est fait pour.
- Pourquoi l'excitation vient sur le moment mais que je n'ai pas envie de susciter cet instant?
Et alors ?! D'autres c'est le contraire donc viens pas te plaindre

- Pourquoi à mo, age je ne sais toujours pas ce que je veux ?
C'est ton karma qui est ainsi, petit scarabé. Et si tu acceptais tout simplement ce que tu veux ?
-Pourquoi sans drogue ou alcool, je ne réussis pas à avoir envie de sexe avec quelqu'un ?
Parce que c'est plus drôle avec alcool ou autres, tiens ! Ou parce que c'est la suite logique de la question précédente : tu ne sais pas ce que tu veux. Dans le fond tu veux peut être les deux séparément, ou juste un, les deux en même temps... Qui sait, à part toi ?
- Pourquoi je désir les femmes mais ait du mal à "aguicher", pourquoi je suis "coincée" comme ça ?
Parce que tu ne fais pas partie de la catégorie : "fille douée en amour" . Et que, se référer à la réponse pré-précédente.
Ceci n'est pas une question, mais m'interpelle tout de même.
Oui. Bon. Là, je demande : Pourquoi ?Qu'elle soit une femme, je la désirerais, seras excitée par elle, mais ne souheterai pas de rapport.
ta réponse est étrangement optimiste pour se monde de larves infames, fanatik, mais tout de même interressante.
J'aime bien ton idée de point de vu qu'il suffirait de réenvisager pour que les problèmes n'en soient plus.
Quant au point que tu souleve "pourquoi ne pas accepter ce que tu veux", le soucis ne réside pas tant dans une acceptation ( ce serait pas la premier) qu'en une détermination impossible : ce n'est pas que je n'identifie pas mes désir, juste qu'ils sont contraires et contradictoire, et changeant selon le moment, selon la possibiité de l'accomplissement (je désir vachement moins ce que je peux avoir que ce qui m'est refusé, par exemple) ce qui me laisse dans une posture quasi adolescente fort désagrable à ce moment de ma vie.
J'aime bien ton idée de point de vu qu'il suffirait de réenvisager pour que les problèmes n'en soient plus.
Quant au point que tu souleve "pourquoi ne pas accepter ce que tu veux", le soucis ne réside pas tant dans une acceptation ( ce serait pas la premier) qu'en une détermination impossible : ce n'est pas que je n'identifie pas mes désir, juste qu'ils sont contraires et contradictoire, et changeant selon le moment, selon la possibiité de l'accomplissement (je désir vachement moins ce que je peux avoir que ce qui m'est refusé, par exemple) ce qui me laisse dans une posture quasi adolescente fort désagrable à ce moment de ma vie.
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Non, ça, c'est une douce utopie. C'est comme dire que je n'aime pas les coeurs de céleri et qu'on m'oblige à en manger. Alors qu'il y a des zenfants en Afrique qui meurent de faim et des gros zobèses aux USA qui bouffent trop.Norma Jean a écrit :J'aime bien ton idée de point de vu qu'il suffirait de réenvisager pour que les problèmes n'en soient plus.
Mais c'est une histoire de point de vue.
Et ça, c'est une seule phrase. Eh oh, souffle ^^ .Norma Jean a écrit :Quant au point que tu souleve "pourquoi ne pas accepter ce que tu veux", le soucis ne réside pas tant dans une acceptation ( ce serait pas la premier) qu'en une détermination impossible : ce n'est pas que je n'identifie pas mes désir, juste qu'ils sont contraires et contradictoire, et changeant selon le moment, selon la possibiité de l'accomplissement (je désir vachement moins ce que je peux avoir que ce qui m'est refusé, par exemple) ce qui me laisse dans une posture quasi adolescente fort désagrable à ce moment de ma vie.
Te dire : "Laisse toi aller, peu importe tes désirs l'important c'est de les assouvir (tant que ça reste pas méchant)" relève du hippikiplane donc j'éviterais.
Ahah, la phrase en gras, là. Non ça n'est pas uniquement réservé aux ados. Quoi qu'ils ont une forte tendance à être ainsi, c'est vrai.
Et puis que ce que tu désires soit contradictoire ne veux pas dire que tu dois t'interdire tout désir. Alors ça peut être relativement difficile à vivre, pour toi, puisque ça t'empêche de te fixer durablement, car justement, tes désirs fluctuent, donc une personne ne peut pas les satisfaire entièrement (si j'ai bien compris, si ça se trouve j'ai dis de grosse bêtises). Et j'ai l'impression que ça t'empêche également d'aller à droite à gauche, car tu ne fais pas confiance à ses désirs. Oui tu sais que tu les as. Oui, tu sais comment ils fonctionnent. Mais le fait qu'ils soient "changeants selon le moment" ne dois pas aider trouver le bon équilibre permettant de te donner la confiance nécessaire à aller chercher la personne de ton choix (sauf accompagnée d'alcool ou autre).
Bon, je n'ai pas de solution, je ne fais que traduire ce que tu dis, mais heu... Hein. Voilà.
