Courage mecton. Occupe-toi de ta gueule avant de penser à celles des autres. Prends-ton plaisir là où tu peux, les autres, ça viendra quand toi tu iras mieux ( ouais, en général, les gens chiants / déprimés / plaintifs, ça rebute ).
Et sinon...
Et on écrit ecstasy, pas extasy. Enfin l'orthographe on s'en fout : le principal, c'est d'en prendre.
Comment trouver un repère lorsque nous avons perdu notre calme, pris au piège dans une nébuleuse, ce tourbillon d’inquiétude qui nous empêche de réfléchir, nous empêche de trouver une voie, une issus à ces questions si importantes à nos yeux alors que c’est justement notre réflexion qui sabote et empoisonne ce que voudrait nous dicter notre instinct.
Si notre cerveau « surchauffe », il en est de même quant à la régularité du rythme de notre cœur. Celui-ci entre en phase de « chaos » et sa connexion intime au cerveau entraîne à son tour une recrudescence d’angoisse et de confusion. L’action chaotique de l’un entraîne le chaos de l’autre et réciproquement ; s’impose alors à nous un cercle vicieux, une spirale infernale qui nous conduit inévitablement à la fatigue et à l’épuisement. Nos ressources intérieurs ; celles qui nous permettent de choisir, d’obtenir ce que nous voulons, celles qui nous permettent de résoudre les conflits sont présentes, mais nos liens à elles sont saturés. Les réponses à nos interrogations restent flouent…Pourtant, il suffirait de retrouver un « apaisement » pour résoudre ce qui nous paraît irrésolvable.
Etant donné la connexion intime entre le cœur et le cerveau, la méthode la plus simple afin d’apaiser notre conscience est d’apaiser notre « cœur chaotique ». Lui permettre d’entrer transitoirement dans un état de « cohérence » càd un état où le cœur battrai de manière régulier, avec des différences de rythme moindre (un cœur a l’état de repose bat toujours avec des phase d’accélération et de ralentissement successif). Apaiser le cœur revient à exercer un soulagement direct sur notre cerveau, refuge de nos pensés, de nos émotions, refuge des réponses à nos interrogations.
Pour se faire, il suffirait de se trouver un endroit calme, allongé sur un lit, bien installé dans un fauteuil ; et de nous autoriser à prendre un temps pour nous extraire du monde qui nous entoure, de nous extraire de nos préoccupations en fermant les yeux et en prenant le temps de respirer. D’abord par une respiration en deux temps 1… 2…et expirer en quatre temps1… 2… 3… 4… en laissant son attention accompagner le souffle tout au bout de l’expiration, la laisser faire une pause de quelques secondes avant que l’inspiration suivante ne se déclanche d’elle-même. Ceci jusqu’à ce que l’on ressente un calme apparaître.
Cet apaisement présent, il suffit de poursuivre la respiration tout en prêtant attention à la région du cœur, en posant p.ex sa main sur la poitrine afin de ressentir son battement. Imaginez que vous « respirez » à travers le cœur, que l’air passe au travers de celui-ci durant l’inspiration et l’expiration.
Ci celui-ci bat vite, essayez par l’expiration de ralentir son battement, de sentir son rythme diminuer tout au long de celle-ci. Lors de l’inspiration, le rythme augmente rapidement, il suffit alors de reprendre une expiration lente…Petit à petit, concentrez vous sur cette sensation de chaleur qui émerge au niveau de la poitrine et se répand au voisinage du cœur. Pour maximiser cette sensation, il suffit d’imaginer, de repenser à des évènements qui nous paraissent réjouissants, des moments de bonheur passé ou futur, des évènements gratifiants…Lors de cet exercice, il n’est pas rare de ressentir un léger sourire qui se dessine indiquant l’entrée dans un état de cohérence cardiaque.
Cet état de cohérence du rythme du cœur se répercute rapidement sur le cerveau, celui-ci renforçant a son tour l’état de cohérence. L’équilibre établit, nous voilà dans une situation optimale afin de penser et ressentir ses intuitions et ses émotions.
je lis beaucoup vos messages mais y répond rarement par manque de temps et de motivations sans doute sauf lorsqu'une phrase me fait dresser mes derniers cheveux sur la tête!!!
Iorni, j'ai lu attentivement tes messages sur ce topic et il y a beaucoup de choses interessantes et je vois que tu es une connaisseuse en matière de depressions mais je vois également que tes connaissances sont assez limitées et dans ce cas, mieux vaut ne pas énoncer trop d'affirmations qui peuvent apparaître comme autant de vérités. Non, la depression ne se guérit pas, elle se soigne plus ou moins mais un depressif au même titre qu'un alcoolique reste un depressif. Lorsque je dis depressif, j'entends par là quelqu'un ayant les nerfs fragiles pouvant passer par des phases plus ou moins douloureuses.
La depression, c'est une maladie comme une autre sauf qu'on ne connait pas de traitement pour la faire disparaître totalement à l'instar d'une angine qui elle se soigne et donc s'en va. On peut stabiliser les depressions par un certain nombre de méthodes comme les médicaments, la thérapie. Mais un depressif le demeure et doit prendre ce paramètre en compte pour vivre sa vie.
Cette maladie de l'âme nous est encore inconnue et nous sommes très loin du jour où on pourra prendre des médicaments une dizaine de jours pour qu'elle ne revienne jamais.
De ce fait, mieux vaut dire la vérité aux depressifs, que c'est quelque chose qu'ils ont en eux et qu'ils vont devoir l'aprivoiser pour la connaître. Considérer la depression comme une personne permet de rationnaliser des choses qui ne le sont pas. Et puis si on connait sa depression, on peut la maîtriser plus facilement.
Tout ça pour dire qu'il n'est pas né celui qui entendra qu'un depressif est gueri. C'est en l'espèce de la science fiction.
Supg a écrit : Non, la depression ne se guérit pas, elle se soigne plus ou moins mais un depressif au même titre qu'un alcoolique reste un depressif.
Vive l'espoir !!!
Dis, tu me tend la corde qu'on en finisse ! Si c'est pour rester dans le même état à vie, c'est cool, autant en finir de suite.
Tu te rends compte !
Déjà que la vie est chiante et que l'on attend tous la mort pour nous sauver, tu en rajoute une couche comme quoi lorsque l'on se fait déjà chier on le restera à chier pour le reste de sa vie!
Et puis c'est génétique hein ? ça doit être ça ? Oui surement.
Ha ma soeur s'est suicidée, c'est dans les gênes !
Pourquoi on m'a pas fait un test au 6ième mois de grossesse de ma mère pour lui planter des aiguilles à tricoter dans l'uterus, j'aurais ainsi été sauvé d'une vie inutile !
ce que veut dire l autre boulet ...
enfin machin la ...
sisi bidule
c est que l'on a malgre tout une tendance a etrte positif ou plutot pessimiste
je suis assez d accord avec sa maniere de voir les choses meme si j envisage quand meme un avenir plus radieux ... j ai la rage d en sortir ...
(dis donc pycos t es dur avec un petit jeune )
je pense que ses propos sont a mediter ... plutot qu a ecouter
Je ne suis aps du tout d'accord, aujourd'hui le milieu psychiatrique s'est généralisé, et une grande partie des états dépressifs sont "réactionelles", considéré en réalité comme des "crises de vie", état dépressif transitoire que l'on nomme très communément "épisode dépressif", la durée de l'épisode dépend de nombreux paramètres.Aujourd'hui les antidépresseurs sont très souvent utilisés par "simplicité" pour "soutenir" la personne durant sa crise et diminuer le temps de la crise.
Certaines dépressions réactionelles peuvent engendrer des modifications biologiques et nécéssite un traitement chimique, mais ce n'est pas le cas pour tout le monde, et ce "dérèglement" est réversible.
Pour d'autres personnes, la dépression biologique existe aussi mais il s'agit là de ce que l'on appelle la "mélancolie" qui est une dépression sévère délirante.
Les personnes qui passent par une dépression cliniquement significative gardent, c'est vrai, une fragilité émotionnelle, mais les personnes qui prennent des médicaments à vie sont rares et souvent dans un état non "majeur"
d'abord, supg :
je suis contente d'être lue de façon critique, parce que rien n'est plus dangereux qu'une personne qui est très lue, et qui serait sans surveillance. Je peux fort bien me tromper, et il est très important que je sois lue de façon critique.
Sur la question de savoir si oui ou non on peut guérir d'une dépression, je pense que pour arriver à se mettre d'accord il faudrait en effet définir avec une grande précision ce qu'on entend par dépression.
En pratique, puisque nous sommes sur un forum de soutien, je pense qu'il est important de soutenir tous ceux qui disent souffrir. Ou qui expriment des symptômes de mal-être.
Fort heureusement, un grand nombre d'entre eux vont rapidement mieux. Mais je considère que pour tous, il y a l'espoir d'une amélioration considérable. Parfois, il y a un parcours long et difficile avant d'y arriver, mais il ne faut jamais se dire qu'on ne pourra pas y arriver.
Pour le reste, appeler ça guérison ou simple mieux-être, peu importe, si la personne se sent mieux et a repris des forces, non?
Bien entendu, il est important de rester vigilant et de se protéger, par exemple éviter de s'exposer à des situations trop compliquées, quand le choix de ne pas s'exposer est possible...
aramyl, je trouve ton tonus pour te battre, ta rage comme tu dis, vraiment très impressionnant ! Tu te donnes les moyens de réussir, continue à te battre !
Pour être tout à fait francs Iorni, je ne suis pas certain que les gens se sentent mieux car lorsqu'on lit la majorité des réponses, elles manquent de profondeur! Et être sur un site de soutien ne veut pas dire forcément mentir. Dire la vérité, ça peut être bien aussi et même ça peut aider.
Quant à Orpheus, je vois que tu es incollable sur le sujet, bravo mais car il y a un mais, je ne pense pas que tes propos soient si justes. La depression est une maladie sur laquelle les médecins savent encore très peu de chose. Donc ce que j'ai dis part sur la dernière hypothèse médicale, à savoir un problème moléculaire dans le cerveau pour les personnes depressives. C'est en partant de ce schéma que j'ai pu dire cela hier soir mais ce schéma paraît assez logique finalement car il faut bien dissocié les déprimés des depressifs, deux états bien différents aux pathologies différentes elles aussi. Si cette hypothèse est validée à terme, alors malheureusement j'ai raison, il n'existe aucun traitement pour guerir une depression...
S'en aller pour ne plus faiblir
Une balle dans la tête pour en finir
Un couteau sur les veines pour mourir
Dernières souffrances pour une vie de souvenirs...
Sombres idées reflétant mes peines
Pensées noires se faisant mienne...
Trop faible pour les repousser
Je n'arrive pas à les oublier, à résister...
J'ai peur de commettre l'irréparable
Peur de faire un choix déraisonnable...
Présentent à chaque battement de mon coeur
Ces pensées me rappellent cette douleur
Avide de mon sang, guettant mon àme
Le démon progresse, bientôt je rendrai les armes...
Je perds pied dans un monde qui m'en veux
Je sombre dans un avenir ennuyeux...
Si rien de s'arrange, si rien ne change
Le démon gagnera un ange...
arrrêtez tousseuh d'être suicidaires alors qu'on est des dizaines à vouloir vous écouter vous parler vous comprendre, vous aider vous donner du jour, vous donner de l'espoir, vous donner des sourires, vous donner uné paule, vous donner un peu de chaleur!!!!!
quoi?? quoi?? quoi??? qu'est-ce qu'il y a léo?????