Suicide et Depression : regroupement des sujets sur ce thème
Entre ton premier post et celui d'aujourd'hui, il y a une super différence. C'est bueno ça et ça montre qu'on a qu'une vie et que mouronner ne nous fera pas vraiment avancer. Euh si le temps va avancer..... mais pas nous !
Joyeusement vôtre dirais-je !
Bisous tout plein
Vévé (La Tata qu'elle s'appelle en vrai.... si si c'est vrai mais faut la voir pour le croire !)
Joyeusement vôtre dirais-je !
Bisous tout plein
Vévé (La Tata qu'elle s'appelle en vrai.... si si c'est vrai mais faut la voir pour le croire !)
c'est exactement ma façon de penser par rapport à la vie. ça me rappelle quelque chose que j'ai écrit justement il y a pas longtemps.
"Je crois en la vie, j'ai toujours confiance, je l'aime, cette vie, cette vie unique, cette vie dont j'ai hérité, dont j'ai la responsabilité, celle qu'on m'a confiée, celle qu'on m'a offerte, comme première preuve d'amour, comme première preuve de tendresse, de confiance, comme première preuve d'existence.
J'ai envie de hurler la vie, l'amour, l'amitié, la joie, j'ai envie de crier la vie. J'ai envie d'être là, et de dire que la vie est la chose la plus belle qui me soit jamais arrivée, que la vie est ma passion, que la vie est mon loisir, que la vie, c'est toute ma vie."
c'était un grand moment de plénitude
enfin voilà tout ça pour dire que cette histoire, même si quand j'y repense ça me fait toujours un petit pincement au coeur, est bien claire dans ma tête. ce que je me dis c'est qu'au moins ça me fait une expérience de plus. je suis quelqu'un qui aime la vie et qui se remet très vite de ce genre de mauvais coup, j'ai du bol
je crois que c'est grâce à quelques antécédents familiaux mais je crois pas que ça intéresse grand monde alors je m'arrête là. 
"Je crois en la vie, j'ai toujours confiance, je l'aime, cette vie, cette vie unique, cette vie dont j'ai hérité, dont j'ai la responsabilité, celle qu'on m'a confiée, celle qu'on m'a offerte, comme première preuve d'amour, comme première preuve de tendresse, de confiance, comme première preuve d'existence.
J'ai envie de hurler la vie, l'amour, l'amitié, la joie, j'ai envie de crier la vie. J'ai envie d'être là, et de dire que la vie est la chose la plus belle qui me soit jamais arrivée, que la vie est ma passion, que la vie est mon loisir, que la vie, c'est toute ma vie."
c'était un grand moment de plénitude

enfin voilà tout ça pour dire que cette histoire, même si quand j'y repense ça me fait toujours un petit pincement au coeur, est bien claire dans ma tête. ce que je me dis c'est qu'au moins ça me fait une expérience de plus. je suis quelqu'un qui aime la vie et qui se remet très vite de ce genre de mauvais coup, j'ai du bol


Perte totale d'intérêt. De l'écroulement.
Bonjour à tous,
alors, pour commencer, je suis très gênée de parler de ça ici, d'autant que je ne suis pas un membre actif qui aide les autres, et pourtant, c'est bien de l'aide que je viens vous demander. Ca fait quelques temps déjà que je vous lis tous les jours, que je poste certes parcimonieusement, mais que je suis avec beaucoup d'attention la plupart des threads. Si bien que j'ai croisé certains de mes problèmes. En vain.
Mais voilà. Depuis quelques mois, je vais mal. J'ai toujours été une élève brillante, les études me plaisaient, j'aimais surtout qu'on soit fière de moi. J'éclatais tout. Puis, depuis deux ans, c'est allé decrescendo. L'orientation scolaire me pose énormément problème. J'ai tout recommencé à 0 cette année, avec une nouvelle licence qui était censé être super méga cool, mais j'ai vite déchanté. Ca l'est sûrement, mais plus rien ne m'intéresse.
J'ai raté mes examens du premier semestre, et chaque minute passé sur mes cours est un supplice, je fonds instantanément en larme. Les prochains exams sont dans 3 semaines, et j'ai bien peur de ne pas y arriver encore une fois.
J'ai songé à la réorientation, mais vers quoi ? je ne sais pas DU TOUT ce qui me plairait. Et puis ayant déjà changé de voie, je ne peux pas recommencer, mes parents m'ont fait comprendre qu'ils ne pourraient pas m'entretenir indéfiniment, qu'il fallait que je choisisse ma voie et m'y tienne. C'est ce que j'ai dû faire cette année. Alors je suis dans cette filière, sans ambition, sans la moindre motivation, et sans intérêt.
Pour autant, je suis persuadée que cette perte d'intérêt et de motivation pour mes études est la conséquence d'un désintérêt général.
Parce que là où le bât blesse, c'est que tout ce qui m'intéressait, voire me passionnait il y a quelques mois ne me dit plus rien. Je n'ai plus envie de voir personne, hormis ma copine. J'étais fana de musique, et maintenant, ça me laisse complètement indifférente de brancher mon ampli. Si je pouvais, je passerais mes journées au lit.
Tout ça a des conséquences sur ma santé. Ca a commencé par de grosses migraines. Mon médecin, après de multiples examens, penche pour des céphalées de tension. C'est à dire que je suis trop tendue, que je réfléchis trop, et que ca me fait mal. Quand je lui ai parlé de mon mal-être actuel, il m'a prescrit -à faible dose- des antidépresseurs. Et je culpabilise à mort d'être sous cette influence. Il ne m'est rien arrivé de dramatique, dans ma vie, pour que tout d'un coup je n'ai plus envie de rien. J'ai lu ici et ailleurs des histoires terribles, et moi, moi j'ai une petite vie de rien du tout, sans rien d'extraordinaire, sans rien de malheureux... sauf moi.
Ma copine souffre de me voir comme ça, et se sent terriblement impuissante. Elle voudrait que j'aille voir un psychologue, mais... Je ne sais pas d'une part si j'ai envie d'en arriver là, et d'autre part, je n'ai pas les moyens donc il faudrait que j'aille dans un centre médico-psychologique, mais je ne suis pas sûre que le suivi soit efficace.
Alors en remplacement, j'ai commencé à écrire tout ce qui me passait par la tête quand je me sens très mal, de coucher sur papier tout ce que je rumine. Mais j'ai bien l'impression que ça me fait plus de mal que de bien, et que c'est comme si je cherchais un coupable à mon mal-être, de retourner toute mon enfance comme ça, alors que j'ai eu je pense une enfance heureuse, entourée et choyée.
De toute façon, je n'arriverai jamais à prendre la décision d'aller consulter parce que depuis ces quelques mois difficiles, je suis incapable de prendre la moindre décision.
Voilà, je ne sais pas vraiment ce que je cherche, peut-être que le simple fait d'écrire ça ailleurs que dans mon petit carnet me soulagerait. Je commence à avoir bien conscience que j'ai besoin d'aide. Si vous aviez des conseils, aussi, pour retrouver cette joie de vivre qui me caractérisait tant il y a 6 mois... Je suis preneuse !
Merci beaucoup.
alors, pour commencer, je suis très gênée de parler de ça ici, d'autant que je ne suis pas un membre actif qui aide les autres, et pourtant, c'est bien de l'aide que je viens vous demander. Ca fait quelques temps déjà que je vous lis tous les jours, que je poste certes parcimonieusement, mais que je suis avec beaucoup d'attention la plupart des threads. Si bien que j'ai croisé certains de mes problèmes. En vain.
Mais voilà. Depuis quelques mois, je vais mal. J'ai toujours été une élève brillante, les études me plaisaient, j'aimais surtout qu'on soit fière de moi. J'éclatais tout. Puis, depuis deux ans, c'est allé decrescendo. L'orientation scolaire me pose énormément problème. J'ai tout recommencé à 0 cette année, avec une nouvelle licence qui était censé être super méga cool, mais j'ai vite déchanté. Ca l'est sûrement, mais plus rien ne m'intéresse.
J'ai raté mes examens du premier semestre, et chaque minute passé sur mes cours est un supplice, je fonds instantanément en larme. Les prochains exams sont dans 3 semaines, et j'ai bien peur de ne pas y arriver encore une fois.
J'ai songé à la réorientation, mais vers quoi ? je ne sais pas DU TOUT ce qui me plairait. Et puis ayant déjà changé de voie, je ne peux pas recommencer, mes parents m'ont fait comprendre qu'ils ne pourraient pas m'entretenir indéfiniment, qu'il fallait que je choisisse ma voie et m'y tienne. C'est ce que j'ai dû faire cette année. Alors je suis dans cette filière, sans ambition, sans la moindre motivation, et sans intérêt.
Pour autant, je suis persuadée que cette perte d'intérêt et de motivation pour mes études est la conséquence d'un désintérêt général.
Parce que là où le bât blesse, c'est que tout ce qui m'intéressait, voire me passionnait il y a quelques mois ne me dit plus rien. Je n'ai plus envie de voir personne, hormis ma copine. J'étais fana de musique, et maintenant, ça me laisse complètement indifférente de brancher mon ampli. Si je pouvais, je passerais mes journées au lit.
Tout ça a des conséquences sur ma santé. Ca a commencé par de grosses migraines. Mon médecin, après de multiples examens, penche pour des céphalées de tension. C'est à dire que je suis trop tendue, que je réfléchis trop, et que ca me fait mal. Quand je lui ai parlé de mon mal-être actuel, il m'a prescrit -à faible dose- des antidépresseurs. Et je culpabilise à mort d'être sous cette influence. Il ne m'est rien arrivé de dramatique, dans ma vie, pour que tout d'un coup je n'ai plus envie de rien. J'ai lu ici et ailleurs des histoires terribles, et moi, moi j'ai une petite vie de rien du tout, sans rien d'extraordinaire, sans rien de malheureux... sauf moi.
Ma copine souffre de me voir comme ça, et se sent terriblement impuissante. Elle voudrait que j'aille voir un psychologue, mais... Je ne sais pas d'une part si j'ai envie d'en arriver là, et d'autre part, je n'ai pas les moyens donc il faudrait que j'aille dans un centre médico-psychologique, mais je ne suis pas sûre que le suivi soit efficace.
Alors en remplacement, j'ai commencé à écrire tout ce qui me passait par la tête quand je me sens très mal, de coucher sur papier tout ce que je rumine. Mais j'ai bien l'impression que ça me fait plus de mal que de bien, et que c'est comme si je cherchais un coupable à mon mal-être, de retourner toute mon enfance comme ça, alors que j'ai eu je pense une enfance heureuse, entourée et choyée.
De toute façon, je n'arriverai jamais à prendre la décision d'aller consulter parce que depuis ces quelques mois difficiles, je suis incapable de prendre la moindre décision.
Voilà, je ne sais pas vraiment ce que je cherche, peut-être que le simple fait d'écrire ça ailleurs que dans mon petit carnet me soulagerait. Je commence à avoir bien conscience que j'ai besoin d'aide. Si vous aviez des conseils, aussi, pour retrouver cette joie de vivre qui me caractérisait tant il y a 6 mois... Je suis preneuse !
Merci beaucoup.
Déja, bon annif en retard!:gentil:
Apres, je ne sais pas trop quoi dire à part que je suis dans la même situation (exactement sauf que je n'ai pas changer d'orientation), douée pour les études et depuis 2 ans, alors que j'ai toujours voulu aller en fac de bio, le desinteret...
J'espère que ca va s'arranger, vraiment!
Tiens nous au courant.
Apres, je ne sais pas trop quoi dire à part que je suis dans la même situation (exactement sauf que je n'ai pas changer d'orientation), douée pour les études et depuis 2 ans, alors que j'ai toujours voulu aller en fac de bio, le desinteret...
J'espère que ca va s'arranger, vraiment!

Tiens nous au courant.
En lisant ce post, je me retrouve beaucoup, seule différence notable, l'orientation...
Pour ma part, contre les céphalées de tension ( je ne connaissait pas le terme ) on m'a aussi proposé des antidépresseurs... Mais j'ai refusé...
Je n'ai malheureusement pas de solution à proposer, et je suis loin d'avoir fini d'escalader pour sortir de mon gouffre...
J'ai envie de dire que tu finiras sûrement par trouver quelque chose qui te motivera, mais comme tu es pressée par tes parents... j'espère que tu pourras te remotiver à temps... Quand on est sur le fil... Peu de choses peuvent suffire, dans un sens comme dans l'autre. Mais certaines sont écrasantes...
Je pense que le mieux serait d'en parler à tes parents, qui ne réalisent peut-être pas vraiment...Mais c'est pas simple.
Et sinon, avoir eu une enfance heureuse n'empêche pas d'avoir été marquée par certaines choses...
bon courage, je compatis de tout mon esprit.
Pour ma part, contre les céphalées de tension ( je ne connaissait pas le terme ) on m'a aussi proposé des antidépresseurs... Mais j'ai refusé...
Je n'ai malheureusement pas de solution à proposer, et je suis loin d'avoir fini d'escalader pour sortir de mon gouffre...
J'ai envie de dire que tu finiras sûrement par trouver quelque chose qui te motivera, mais comme tu es pressée par tes parents... j'espère que tu pourras te remotiver à temps... Quand on est sur le fil... Peu de choses peuvent suffire, dans un sens comme dans l'autre. Mais certaines sont écrasantes...
Je pense que le mieux serait d'en parler à tes parents, qui ne réalisent peut-être pas vraiment...Mais c'est pas simple.
Et sinon, avoir eu une enfance heureuse n'empêche pas d'avoir été marquée par certaines choses...
bon courage, je compatis de tout mon esprit.
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- Messages : 182
- Inscription : dim. sept. 25, 2005 9:55 pm
Alors, pour commencer je me reconnais un peu dans quelques trucs... pertes de motivations, désintéret, crises de nerfs etc (bon ok dans pratiquement tout en fait ^^)
J'en suis à peu près sorti mais j'ai pas vraiment de solutions toutes faites à te proposer.
Evite déjà te renfermer sur toi comme tu le laisses sous entendre (oui facile à dire) et sors.
Rester longtemps chez soi le nez sur ses cours ça sert à rien vu que t'arrives pas à réviser ou à travailler sans craquer.
Est-ce c'est pas justement la peur de l'échec qui te met dans ces états?
Vu que tu as dit avoir été "une élève brillante" auparavant
La peur de ne pas réussir ne pourrait-elle pas te "bloquer" justement?
Pour le psy, on ne peut pas te forcer, c'est à toi de voir mais si c'est l'argent qui pose problème il y a pas des consultations gratuites avec le crous ou ta mutuelle étudiante?
Et il ne faut surtout pas te sentir coupable de faire une dépression, ça peut arriver à n'importe qui. C'est si tu ne faisais rien pour t'en sortir que tu devrais te sentir coupable!
Pour l'orientation, (t'es en quoi si c'est pas indiscret?) peut être que les études (où du moins CE système d'étude) ne sont pas faites pour toi. Tu peux toujours repartir sur un bts/dut ou autre pour commencer à travailler après. Tu seras peut être plus motivée en te disant que tu auras directement un métier à la clef.
Bon après je lance juste des idées comme ça.
J'en suis à peu près sorti mais j'ai pas vraiment de solutions toutes faites à te proposer.
Evite déjà te renfermer sur toi comme tu le laisses sous entendre (oui facile à dire) et sors.
Rester longtemps chez soi le nez sur ses cours ça sert à rien vu que t'arrives pas à réviser ou à travailler sans craquer.
Est-ce c'est pas justement la peur de l'échec qui te met dans ces états?
Vu que tu as dit avoir été "une élève brillante" auparavant
La peur de ne pas réussir ne pourrait-elle pas te "bloquer" justement?
Pour le psy, on ne peut pas te forcer, c'est à toi de voir mais si c'est l'argent qui pose problème il y a pas des consultations gratuites avec le crous ou ta mutuelle étudiante?
Et il ne faut surtout pas te sentir coupable de faire une dépression, ça peut arriver à n'importe qui. C'est si tu ne faisais rien pour t'en sortir que tu devrais te sentir coupable!
Pour l'orientation, (t'es en quoi si c'est pas indiscret?) peut être que les études (où du moins CE système d'étude) ne sont pas faites pour toi. Tu peux toujours repartir sur un bts/dut ou autre pour commencer à travailler après. Tu seras peut être plus motivée en te disant que tu auras directement un métier à la clef.
Bon après je lance juste des idées comme ça.
bah je connais pas trop le sujet, mais si la raison nest pas rationnelle, ya surement une cause psychologique, la trouver tte seule ca peut etre assez dure...
Ma soeur a eu ce probleme, qd elle a a raté la premiere fois son concours d'entrée au barreau, elle a vu un sophrologue, et ca l'a bcp aidée!!!...
en tout cas de voir qu'il y a un probleme, je crois que c deja un grand pas... Le truc, c'est que je crois que c'est un cercle vicieux, paske le fait d'aller pas tres bien, fait souffrir... Faut ptet tout raser, et repartir d'un bon pas!!!?
En tout cas faut pas se justifier, on a pas besoin d'aider X personnes pour etre aidé, c pas comme lacces a la sexualité!
Ma soeur a eu ce probleme, qd elle a a raté la premiere fois son concours d'entrée au barreau, elle a vu un sophrologue, et ca l'a bcp aidée!!!...
en tout cas de voir qu'il y a un probleme, je crois que c deja un grand pas... Le truc, c'est que je crois que c'est un cercle vicieux, paske le fait d'aller pas tres bien, fait souffrir... Faut ptet tout raser, et repartir d'un bon pas!!!?
En tout cas faut pas se justifier, on a pas besoin d'aider X personnes pour etre aidé, c pas comme lacces a la sexualité!

J'ai connu des choses similaires à ce que tu décris, l'envie de rien, d'être seul, et tout le reste. Même si en ce qui me concerne ça ne dure jamais bien longtemps, j'essaie autant que possible d'appeler des amis, d'aller les voir, de me changer les idées parce que l'enfermement n'est jamais bon. Mais ensuite je pense que c'est quand même assez délicat de te donner des conseils alors qu'on ne sait pas exactement ce qui se passe.
En ce qui concerne ton orientation, je serais tenté de dire que ça doit être lié, même si après il arrive qu'on se désintéresse de choses qu'on aimait énormément dans le passé et qu'on se passionne pour des nouvelles choses, mais là visiblement ce n'est pas trop le cas. Si vraiment ces études ne te passionnent plus, tu as bien d'autres options à explorer. Comme ça a été dit précédemment tu as aussi des cursus plus courts, DUT ou BTS (ce que j'ai fait), avec la possibilité pour certains de le faire par alternance.
Il y a des gens qui n'ont jamais manqué de rien, qui n'ont jamais rien vécu de vraiment traumatisant et qui ne vont pas bien pour autant, il y a quoiqu'il en soit toujours une raison, ça peut être une dépression, un mal être, ou autre chose, peut importe d'ailleurs. Ça n'est absolument pas ta faute et tu n'as pas à culpabiliser (j'en reviens pas de dire ces mots moi-même).
J'espère très franchement que tu réussiras à aller mieux, garde espoir et bon courage à toi

En ce qui concerne ton orientation, je serais tenté de dire que ça doit être lié, même si après il arrive qu'on se désintéresse de choses qu'on aimait énormément dans le passé et qu'on se passionne pour des nouvelles choses, mais là visiblement ce n'est pas trop le cas. Si vraiment ces études ne te passionnent plus, tu as bien d'autres options à explorer. Comme ça a été dit précédemment tu as aussi des cursus plus courts, DUT ou BTS (ce que j'ai fait), avec la possibilité pour certains de le faire par alternance.
Il y a des gens qui n'ont jamais manqué de rien, qui n'ont jamais rien vécu de vraiment traumatisant et qui ne vont pas bien pour autant, il y a quoiqu'il en soit toujours une raison, ça peut être une dépression, un mal être, ou autre chose, peut importe d'ailleurs. Ça n'est absolument pas ta faute et tu n'as pas à culpabiliser (j'en reviens pas de dire ces mots moi-même).
J'espère très franchement que tu réussiras à aller mieux, garde espoir et bon courage à toi


Première chose, je pense qu'un psy n'est pas de trop. Il faut que quelqu'un t'aide à faire le point sur tes motivations et ce qui ne vas pas.
Après, je sui moi-même sujet à de violentes sautes d'humeur (mais pas aussigrave que toi). Ce que tu peux faire, c'est te forcer à t'interesser à quelque chose qu'a priori tu ne connais absolument pas et qui sout complètement déconnecté de ta vie de tous les jours (je ne sais pas moi, le système de rimes dans la poésie japonaise médiévale par exemple, ...
) Après tout, peut-être que ton malaise exprime une sensation de "trop plein", de ras-le-bol face une vie monotone , Tu exprimerais donc une envie de changement. Bon après, je ne suis pas psy donc ce que je dis vaut ce que ça vaut ... 
Après, je sui moi-même sujet à de violentes sautes d'humeur (mais pas aussigrave que toi). Ce que tu peux faire, c'est te forcer à t'interesser à quelque chose qu'a priori tu ne connais absolument pas et qui sout complètement déconnecté de ta vie de tous les jours (je ne sais pas moi, le système de rimes dans la poésie japonaise médiévale par exemple, ...

