Obscur et froncé comme un oeillet violet...
Obscur et froncé comme un oeillet violet...
Un jour, dans la folle vie de medicis, surgit ces graves mots:
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la pente douce
Des fesses blanches jusqu'au bord de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous l'autan cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse,
Pour s'en aller où la pente les appelait.
Verlaine s'agite, Rimbaud se dandine: Mon tendre leur rend hommage.
Helléniste contrarié, latiniste forcé, la souche grecque réapparait.
En effet, faisons clair:
Le garçon tant aimé qui partage mes journées est avide de découvertes, et son inclinaison le porte vers la petite parcelle obscur, vers le gouffre étroit d'Adonis.
Notre Paul Emile Victor en herbe porte son dévolu sur ces tièdes territoires, qu'il aimerait découvrir, au propre comme au figuré, grand bien lui fasse! Moi même rompue au Sapphisme mondain tant qu'au Sapphisme de faubourgs, je ne me moquerais pas de la charité lorsque la caravane passe et Horse Tapper trépasse.
Mais si j'ai eu la chance de gouter aux plaisirs défendus dès ma tendre jeunesse et qu'il est pour moi aussi naturel de perler de mes manes les divins boutons des Violette expéditives, (Qui n'avaient pas d'autre dessein Que d'être les rois des sportives, Se faisaient amputer des seins ) que de commander un cappucino place Berthelot, mon aimé, quant à lui, n'eu échos des douceurs proscrites qu'au travers des rêveries coupables de Paul et Arthur et peut être au moyen de quelques téléchargement tel « bam-bite » « les 7 nains sans blanche neige » « pine-ochio » et autres « alladin à mykonos se fait frotter la lampe magique », mais je préfère ôter ces images de mes pensées et laisser l'objet de ma passion drapé d'une pureté aussi virginale que crédible.
Comme vous avez put le comprendre, nous sommes chacun libertin. Ami, Compagnon, avant tout.
Et, autant cet homme n'a jamais eu la moindre difficulté à séduire une demoiselle pour un soir de jeu dans l'une de ses garennes, autant les virils conquêtes se font attendre.
Timidité? Maladresse? Je ne sais.
En tout cas, il ne réussis pas à trouver d'éphèbe consentant.
Et tourne comme un lion en cage, rongeant son frein, contenant ses appétits, et me bassinant régulièrement avec toujours ce même refrain!
Et moi, je sature.
Si je l'entend une seule fois me dire encore en long en large et en travers comme il aimerait sodomiser un petit suceur, je vais découper une paire de fesses à la machette pour lui apporter, qu'il les besogne et me lache la grappe.
Mais je préférerais ne pas avoir à en arriver à de telles extrémitées.
Aussi, redevenons courtois.
Donc, voici l'essence de mon problème. Enfin, essence légérement compliquée tout de même par les hasards de la morphologie.
Vous rappelez vous de Simone de Beauvoire et Jean Paul Sartres? Libertins, il s'estimaient tout deux, peut être s'aimaient il aussi. Cependant, pour réparrer les taquineries de mère nature, Simone offrait son concours à son compagnon. Puisque la premiere impression est celle qui compte, Simone offrait la première impression, et ramenait la venaison à son galant ami, qui se contentait très bien de laisser la seconde (impression).
Et bien... nous voici à peu prêt dans la même situation. Si ce chèr ami sait séduire les femmes par sa douceur, son charme, ses beaux mots, il ne mise pas grand chose sur son allure, enfin, même s'il voulait, il pourrait miser beaucoup... 'fin...
je ne veux pas être méchante avec un être pour qui je donnerais ma vie. Mais disons que je le désir parce que je l'aime, et non l'inverse.
Aussi brillant et raffiné soit-il, son physique de garçon de ferme et sa silhouette plus proche de Roscoe Arbuckle que de Vigo Mortensen le dessert lorsqu'il s'agit d'attirer dans sa toile un jeune premier pour passer quelques heures où la beauté intérieur est totalement accesoire.
Donc, ne reste que deux possibilités pour dénouer cette affaire:
1)soit je le laisse se débrouiller seul, et je dois encore supporter des années durant ses complaintes au risque de devenir dépeceuse de fans de Mylen Farmer ce qui contrarierais ma carrière
2)soit je l'aide et lui trouve un plan cul masculin peu regardant.
Va sans dire que c'est à la seconde hypothèse que va ma préférence, celle de mon banquier, et celle de mon curé.
Mais là, arrive un nouveau problème!
Moi, femelle, je ne sais absolument pas comment trouver un tel garçon!
Et c'est pour cela que je viens quérir votre aide, Ô divins pédéducu!
Merci pour votre attention
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la pente douce
Des fesses blanches jusqu'au bord de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous l'autan cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse,
Pour s'en aller où la pente les appelait.
Verlaine s'agite, Rimbaud se dandine: Mon tendre leur rend hommage.
Helléniste contrarié, latiniste forcé, la souche grecque réapparait.
En effet, faisons clair:
Le garçon tant aimé qui partage mes journées est avide de découvertes, et son inclinaison le porte vers la petite parcelle obscur, vers le gouffre étroit d'Adonis.
Notre Paul Emile Victor en herbe porte son dévolu sur ces tièdes territoires, qu'il aimerait découvrir, au propre comme au figuré, grand bien lui fasse! Moi même rompue au Sapphisme mondain tant qu'au Sapphisme de faubourgs, je ne me moquerais pas de la charité lorsque la caravane passe et Horse Tapper trépasse.
Mais si j'ai eu la chance de gouter aux plaisirs défendus dès ma tendre jeunesse et qu'il est pour moi aussi naturel de perler de mes manes les divins boutons des Violette expéditives, (Qui n'avaient pas d'autre dessein Que d'être les rois des sportives, Se faisaient amputer des seins ) que de commander un cappucino place Berthelot, mon aimé, quant à lui, n'eu échos des douceurs proscrites qu'au travers des rêveries coupables de Paul et Arthur et peut être au moyen de quelques téléchargement tel « bam-bite » « les 7 nains sans blanche neige » « pine-ochio » et autres « alladin à mykonos se fait frotter la lampe magique », mais je préfère ôter ces images de mes pensées et laisser l'objet de ma passion drapé d'une pureté aussi virginale que crédible.
Comme vous avez put le comprendre, nous sommes chacun libertin. Ami, Compagnon, avant tout.
Et, autant cet homme n'a jamais eu la moindre difficulté à séduire une demoiselle pour un soir de jeu dans l'une de ses garennes, autant les virils conquêtes se font attendre.
Timidité? Maladresse? Je ne sais.
En tout cas, il ne réussis pas à trouver d'éphèbe consentant.
Et tourne comme un lion en cage, rongeant son frein, contenant ses appétits, et me bassinant régulièrement avec toujours ce même refrain!
Et moi, je sature.
Si je l'entend une seule fois me dire encore en long en large et en travers comme il aimerait sodomiser un petit suceur, je vais découper une paire de fesses à la machette pour lui apporter, qu'il les besogne et me lache la grappe.
Mais je préférerais ne pas avoir à en arriver à de telles extrémitées.
Aussi, redevenons courtois.
Donc, voici l'essence de mon problème. Enfin, essence légérement compliquée tout de même par les hasards de la morphologie.
Vous rappelez vous de Simone de Beauvoire et Jean Paul Sartres? Libertins, il s'estimaient tout deux, peut être s'aimaient il aussi. Cependant, pour réparrer les taquineries de mère nature, Simone offrait son concours à son compagnon. Puisque la premiere impression est celle qui compte, Simone offrait la première impression, et ramenait la venaison à son galant ami, qui se contentait très bien de laisser la seconde (impression).
Et bien... nous voici à peu prêt dans la même situation. Si ce chèr ami sait séduire les femmes par sa douceur, son charme, ses beaux mots, il ne mise pas grand chose sur son allure, enfin, même s'il voulait, il pourrait miser beaucoup... 'fin...
je ne veux pas être méchante avec un être pour qui je donnerais ma vie. Mais disons que je le désir parce que je l'aime, et non l'inverse.
Aussi brillant et raffiné soit-il, son physique de garçon de ferme et sa silhouette plus proche de Roscoe Arbuckle que de Vigo Mortensen le dessert lorsqu'il s'agit d'attirer dans sa toile un jeune premier pour passer quelques heures où la beauté intérieur est totalement accesoire.
Donc, ne reste que deux possibilités pour dénouer cette affaire:
1)soit je le laisse se débrouiller seul, et je dois encore supporter des années durant ses complaintes au risque de devenir dépeceuse de fans de Mylen Farmer ce qui contrarierais ma carrière
2)soit je l'aide et lui trouve un plan cul masculin peu regardant.
Va sans dire que c'est à la seconde hypothèse que va ma préférence, celle de mon banquier, et celle de mon curé.
Mais là, arrive un nouveau problème!
Moi, femelle, je ne sais absolument pas comment trouver un tel garçon!
Et c'est pour cela que je viens quérir votre aide, Ô divins pédéducu!
Merci pour votre attention
Bon, disons que si c'était si simple...
Mais ce cher aimé a un côté "boulet" qui fait qu'il n'ira pas de lui même sur ce type de sites.
Sinon, pensez bien que je ne viendrais pas poser ici la question...
(en plus, je pense qu'il ne connait pas les "bonnes adresses" web ni les modus operandis dans ce genre de circonstances... va falloir que je l'aiguille...et donc pour cela qu'au préalable vous m'aiguilliez)
Mais ce cher aimé a un côté "boulet" qui fait qu'il n'ira pas de lui même sur ce type de sites.
Sinon, pensez bien que je ne viendrais pas poser ici la question...
(en plus, je pense qu'il ne connait pas les "bonnes adresses" web ni les modus operandis dans ce genre de circonstances... va falloir que je l'aiguille...et donc pour cela qu'au préalable vous m'aiguilliez)
Dernière modification par medicis le lun. déc. 29, 2008 7:31 pm, modifié 1 fois.
Premièrement, Medicis, je vous aime. Ceci étant dit...
Votre manière toute parfaite de trouver les mots justes et drôle à la fois pour décrire une situation est tout bonnement surprenante.
Seriez-vous l'auteur de quelques livres à succès ?
Pour votre problème, puis-je vous conseiller de partir vers le Marais (ou le lieu gay de votre lieu de vie) en sa compagnie, à la recherche d'un homme ?
Vous semblez bien plus décidé à trouver le fessier dont rêve votre ami, que votre ami lui même. Votre entrain charmera t-il peux être le susdit fessier et votre ami, devant sa proie déjà étouffée par vos soins, ne se posera peut être plus de questions autres que la manière d'atteindre au plus vite le 7ème ciel.
Je vous laisse avec ces quelques conseils maladroit, en attente d'une réponse que j'imagine déjà, bien cocasse.
Bien à vous.
Un fervent admirateur.
Votre manière toute parfaite de trouver les mots justes et drôle à la fois pour décrire une situation est tout bonnement surprenante.
Seriez-vous l'auteur de quelques livres à succès ?
Pour votre problème, puis-je vous conseiller de partir vers le Marais (ou le lieu gay de votre lieu de vie) en sa compagnie, à la recherche d'un homme ?
Vous semblez bien plus décidé à trouver le fessier dont rêve votre ami, que votre ami lui même. Votre entrain charmera t-il peux être le susdit fessier et votre ami, devant sa proie déjà étouffée par vos soins, ne se posera peut être plus de questions autres que la manière d'atteindre au plus vite le 7ème ciel.
Je vous laisse avec ces quelques conseils maladroit, en attente d'une réponse que j'imagine déjà, bien cocasse.
Bien à vous.
Un fervent admirateur.
Bon, j'ai pas le courage du style, donc j'enfourche mon Caterpillar et je me lance : Mais pourquoi c'est si important de baisouiller avec un jeune éphèbe ?? C'est peut-être la question à se poser, quand on résiste autant que cela dns l'action ??
C'est par goût de la symétrie ? Pour pas se sentir inférieur à toi passque pas si bi que cela ?? Tout ça me paraît bien carton-pâte !
Finesse et retenue, tel est ma devise !
C'est par goût de la symétrie ? Pour pas se sentir inférieur à toi passque pas si bi que cela ?? Tout ça me paraît bien carton-pâte !
Finesse et retenue, tel est ma devise !

Mon cœur romantique et sentimental palpite et tressaute à la lecture de ce pittoresque et confondant témoignage et là, un seul cri jaillit de ma frêle poitrine : mais où est l'amoooooooour ?
Un plan Q, comme c'est grossier, pourquoi ne pas dire que votre tendre moitié soupire auprès des lèvres boudeuses d'un innocent, que sa langue fiévreuse songe aux caresses langoureuses de jeunes papilles moites et vibrantes, que ses yeux veulent se noyer dans un regard de braise et de naïveté, ses mains s'égarer sur un corps mince et brûlant à la peau satinée et frémissante, que son être tout entier enfin se consume à force d'espérer s'embraser à la flamme d'un jeune mâle sensuel et vigoureux, s'enivrer de ses tétons dressés, de son jeune sexe en érection, de ses fesses potelées et charnues...
Un plan Q, comme c'est grossier, pourquoi ne pas dire que votre tendre moitié soupire auprès des lèvres boudeuses d'un innocent, que sa langue fiévreuse songe aux caresses langoureuses de jeunes papilles moites et vibrantes, que ses yeux veulent se noyer dans un regard de braise et de naïveté, ses mains s'égarer sur un corps mince et brûlant à la peau satinée et frémissante, que son être tout entier enfin se consume à force d'espérer s'embraser à la flamme d'un jeune mâle sensuel et vigoureux, s'enivrer de ses tétons dressés, de son jeune sexe en érection, de ses fesses potelées et charnues...
J'ai plus l'esprit QCM que poétique, donc on va faire dans le concis ( en plus, après le texte d'intro, tout semblerait fade ): Sortir dans le milieu homo pour trouver un gay, ça peut aider. Vous êtes deux donc c'est encore mieux. S'il rien ne se passe pour lui ( pour faire dans le délicat ), ça fera une soirée sympa pour vous.
J'irais même jusqu'à dire qu'il n'y a pas de miracle: si tu veux du payday, faut aller là où il y en a.
Il y a aussi le web mais je ne prone cette solution qu'en second recours.
J'irais même jusqu'à dire qu'il n'y a pas de miracle: si tu veux du payday, faut aller là où il y en a.

Il y a aussi le web mais je ne prone cette solution qu'en second recours.
Ho, c'est beaufloridjan a écrit :Un plan Q, comme c'est grossier, pourquoi ne pas dire que votre tendre moitié soupire auprès des lèvres boudeuses d'un innocent, que sa langue fiévreuse songe aux caresses langoureuses de jeunes papilles moites et vibrantes, que ses yeux veulent se noyer dans un regard de braise et de naïveté, ses mains s'égarer sur un corps mince et brûlant à la peau satinée et frémissante, que son être tout entier enfin se consume à force d'espérer s'embraser à la flamme d'un jeune mâle sensuel et vigoureux, s'enivrer de ses tétons dressés, de son jeune sexe en érection, de ses fesses potelées et charnues...

Comment ne pas aimer les hommes et leurs faire l'amour après ce paragraphe !