souvenirs, souvenirs...
souvenirs, souvenirs...
voilà comme il fait froid, que les trottoirs sont devenus des armes de destruction massives, je me couche a côté de la cheminée que je n'ai pas, et je me replonge dans mes souvenirs....et là en caressant mon chien "puffy" que je n'ai pas, je me demande mais "en fait palsembleu, c'est quoi mon first souvenir d'homos ?" ce que je veux dire c'est avez vous un 1er souvenir qui annoncé par gabriel (le livreur de pizza, qui attend toujours son pourboire) comme votre premiére rencontre avec votre propre homosexualité... surement a l'époque vous n'avez guére préter attention mais avec le temps vous vous dites, "ha ! c'était déja un signe", avec les années vous l'interpréter différemment, je sais pas c'était peut être votre premiére rencontre avec mde Serfati votre voisine vous êtes tombé en contemplation devant elle, ou jean raoul a la piscine municpale quand il se changeait vous avez jeter un vilain coup d'oeil... peut être en soulevant la robe de barbie, ou en baissant le pantalon de G.I joe, (c'est ou l'on confirme que gi joe est pas trés masculin en fait !)... alors plongez dans vos souvenirs pour trouver le début de votre histoire, peut être d'ailleurs c'était votre premier grand amour, mais il y a toujours une premiére fois...
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MimiGeignarde
- Messages : 1479
- Inscription : lun. déc. 22, 2008 11:35 pm
Moi c'était à 5 ans, une monitrice de la colonie que je trouvais très belle et que je contemplais béatement. (Mais c'était loin d'être la plus jeune, elle avait 35/40 ans.)
Sinon, ma mère m'a dit qu'à la crèche (ou à la maternelle, je ne sais plus) déjà, je collais tellement la maîtresse, à lui réclamer des câlins sans cesse, qu'elle m'avait surnommée Seccotine.
Précoce hein ? 8)
Sinon, ma mère m'a dit qu'à la crèche (ou à la maternelle, je ne sais plus) déjà, je collais tellement la maîtresse, à lui réclamer des câlins sans cesse, qu'elle m'avait surnommée Seccotine.
Précoce hein ? 8)
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anonymeB
Ouah, euh.... je cherche, je cherche.
J'ai toujours été relativement solitaire, peu attiré par les contacts avec les gens, et ce depuis la maternelle. Alors là, c'est un peu dur.
Je dirais que les seuls "signes" sont une certaine peur-gène-timidité avec les filles -probablement de l'indifférence refoulée- et pour un ou deux trucs, une propension à m'identifier aux filles plutôt qu'aux garçons, quand j'étais au collège.
Voili voilou.
J'ai toujours été relativement solitaire, peu attiré par les contacts avec les gens, et ce depuis la maternelle. Alors là, c'est un peu dur.
Je dirais que les seuls "signes" sont une certaine peur-gène-timidité avec les filles -probablement de l'indifférence refoulée- et pour un ou deux trucs, une propension à m'identifier aux filles plutôt qu'aux garçons, quand j'étais au collège.
Voili voilou.
Je me rends compte que ça fait longtemps que j'ai pas réfléchi à tout ça. Comme si tout d'un coup, je venais de créer un lien avec le petit Brutaldeath qui est en moi. 'Faut que j'explore cette voie. Rien que pour ça, merci pour le topic, Lestump
Mmmh, plein de signes dans mon enfance et ma pré-adolescence, des copines qui me fascinent, des personnages féminins à la TV qui me restent en tête, mais que je n'ai pas du tout compris comme tel - pas la moindre idée de l'existence de l'homosexualité à l'époque alors forcément... Par contre, c'était il y a une grosse dizaine d'années, quand j'étais en plein questionnement et surtout en pleine dénégation d'une quelconque inclination pour les demoiselles, un dimanche matin que je bossais au supermarché, je me suis surprise à grave tilter sur une collègue, à me dire "elle est super mignonne, elle a un chouette sourire"... Première fois que j'étais réellement attirée par une fille... Heureusement que j'avais pas de client en caisse à ce moment-là parce que j'ai dû bien blêmir, j'étais à deux doigts de me sentir mal et de tomber dans les pommes. J'ai passé le restant de la journée à me dire "oh non non non, c'est pas vrai, non non non, c'est pas vrai...".
Chouette souvenir
(M'enfin, maintenant, ça va mieux, hein 8) )
Chouette souvenir
(M'enfin, maintenant, ça va mieux, hein 8) )
J'ai commencé le foot à 6 ans 
Plus sérieusement, une fois le chemin fait et s'être accepté il y a des tas de situations que l'on interprète différemment.
Des tas de petites choses insignifiantes qui prennent leur sens avec le recul
J'avais fait un rêve, je devais avoir onze ans je pense, nous n'étions que deux filles dans ma classe et il n'y avait rien de précis dans ce rêve, j'étais trop petite mais c'était bizarre.
Suite à ça, ma réaction avait été de m'éloigner de ma copine de classe qui n'a pas compris mon comportement distant, je ne comprenais pas non plus.
A 12 ans, re-belote, j'étais toujours avec une copine de l'autre classe et du jour au lendemain, j'ai aussi rompu le lien, je trouvais cette relation bizarre.
Puis j'ai grandi, j'ai appris, j'ai pu mettre un nom sur ce que je ressentais, d'une certaine manière, j'ai enfin pu comprendre pourquoi j'avais réagi ainsi.
En même temps la première personne que j'ai embrassée était une fille, j'avais 15 ans, je savais déjà donc, j'ai pu vite interpréter les "signes".
Joli sujet lestump
Plus sérieusement, une fois le chemin fait et s'être accepté il y a des tas de situations que l'on interprète différemment.
Des tas de petites choses insignifiantes qui prennent leur sens avec le recul
J'avais fait un rêve, je devais avoir onze ans je pense, nous n'étions que deux filles dans ma classe et il n'y avait rien de précis dans ce rêve, j'étais trop petite mais c'était bizarre.
Suite à ça, ma réaction avait été de m'éloigner de ma copine de classe qui n'a pas compris mon comportement distant, je ne comprenais pas non plus.
A 12 ans, re-belote, j'étais toujours avec une copine de l'autre classe et du jour au lendemain, j'ai aussi rompu le lien, je trouvais cette relation bizarre.
Puis j'ai grandi, j'ai appris, j'ai pu mettre un nom sur ce que je ressentais, d'une certaine manière, j'ai enfin pu comprendre pourquoi j'avais réagi ainsi.
En même temps la première personne que j'ai embrassée était une fille, j'avais 15 ans, je savais déjà donc, j'ai pu vite interpréter les "signes".
Joli sujet lestump
J'étais persuadé que le premier souvenir remontais aux premiers sentiments (à 19 ans) en fait cela remontais à quelques années plus tôt, j'avais "scanné" un mec de la tête au pieds en le regardant jouer au volleykroquet a écrit :Plus sérieusement, une fois le chemin fait et s'être accepté il y a des tas de situations que l'on interprète différemment.
Des tas de petites choses insignifiantes qui prennent leur sens avec le recul
puis je me suis dit dans la foulée "non ce n'est pas possible ..." Je me suis rendu compte aussi qu'avant cela un camarade de classe (tout ce qu'il y a de plus hétéro) avait voulu me tester à plusieurs reprises (je rentrerais pas dans les détails, j'ai édité pour éviter toute confusion
)Edit
Dernière modification par Viridis le mar. janv. 12, 2010 2:35 pm, modifié 2 fois.
Ray-D a écrit :Je me suis rendu compte aussi qu'avant cela un camarade de classe (tout ce qu'il y a de plus hétéro) avait voulu me sonder à plusieurs reprises (je rentrerais pas dans les détails
Shocking !Ma mère m'a raconté que quand j'étais gosse j'aimais bien chanter la chanson "Femme à lunette, femme à *********"
C'est un signe, non ?
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MightySoul
- Messages : 76
- Inscription : mar. oct. 20, 2009 12:29 am
J'me rappele très vaguement avoir eut quelques élans innappropriés à la vision de certains mâles, depuis mon plus jeune âge. Je parle d'élans intérieurs, à ma connaissance rien de décelable de l'extérieur, pas le moindre indice, niet.
Vers mes 14 ans, ça s'est reporté sur un type de ma classe en particulier. Quelques mois plus tard, on faisait des cochonneries derrière un cyprès. Gros choc après coup, je réalisais l'enormité de la chose avec mon regard de gamin, j'avais juste envie de disparaitre et de jamais revenir (ou d'me taper la tête contre les murs, au choix).
Un sentiment charmant qui a fini par me lacher... 10 ans plus tard.
Sinon, je sais pas vraiment si ça compte mais quand j'avais 5-6 ans j'étais fan inconditionnel de Queen
Vers mes 14 ans, ça s'est reporté sur un type de ma classe en particulier. Quelques mois plus tard, on faisait des cochonneries derrière un cyprès. Gros choc après coup, je réalisais l'enormité de la chose avec mon regard de gamin, j'avais juste envie de disparaitre et de jamais revenir (ou d'me taper la tête contre les murs, au choix).
Un sentiment charmant qui a fini par me lacher... 10 ans plus tard.
Sinon, je sais pas vraiment si ça compte mais quand j'avais 5-6 ans j'étais fan inconditionnel de Queen
Euh vers l'âge de 10ans, un ami de ma famille qui avait un fils de 20-25ans à peu prés était venu à la maison ^^
J'avais passé une semaine avec ce jeune homme que je trouvais trés beau et sympa. Il m'avait offert un ptit porte clé en cadeau que j'ai là prés de mon ordi
Bref au moment de partir j'avais fondu en larmes... Sans m'en rendre compte car j'étais petit, aujourd'hui je peux clairement dire que j'étais amoureux de lui
J'avais passé une semaine avec ce jeune homme que je trouvais trés beau et sympa. Il m'avait offert un ptit porte clé en cadeau que j'ai là prés de mon ordi
Bref au moment de partir j'avais fondu en larmes... Sans m'en rendre compte car j'étais petit, aujourd'hui je peux clairement dire que j'étais amoureux de lui
Moi, c'était par bribes.
Petit, déjà, j'avais des désirs, des envies, des attirances, mais ça restait diffus, comme un sentiment insidieux. Je pense que ça correspondait plus à l'âge, je pense que quand on est petit, on a pas vraiment d'orientation sexuelle, mais qu'on la forge, ou du moins, qu'on en ressent les premiers effets.
Après, au collège, malgré quelques demandes de filles (bêrk ), je me suis rendu compte que je m'étais laissé tomber amoureux d'un type que je connaissais depuis la 5ème. Ça m'a surpris. Mais je m'y suis fait.
Bon je me suis carrément enlisé dans cet amour béat et non partagé, mais au moins, j'étais fixé sur mon orientation!
Petit, déjà, j'avais des désirs, des envies, des attirances, mais ça restait diffus, comme un sentiment insidieux. Je pense que ça correspondait plus à l'âge, je pense que quand on est petit, on a pas vraiment d'orientation sexuelle, mais qu'on la forge, ou du moins, qu'on en ressent les premiers effets.
Après, au collège, malgré quelques demandes de filles (bêrk
), je me suis rendu compte que je m'étais laissé tomber amoureux d'un type que je connaissais depuis la 5ème. Ça m'a surpris. Mais je m'y suis fait.Bon je me suis carrément enlisé dans cet amour béat et non partagé, mais au moins, j'étais fixé sur mon orientation!