Ca fait 5 mois que je suis séparer, et après un bon mois de silence, me revoila avec un résumer de ce qu'il c'est passé et que je n'ai pas forcement dit... J'ai fait un gros travail sur moi même, et me voila, de nouveau heureux

. Tout mes démons ne sont plus, il m'en reste juste un, mais celui la est en cours de tatanage massif
12 juillet : rupture, Je ne comprend pas pourquoi, qu’ai je fait de mal ? Je n’ai rien fait justement, c’était donc ça le souci… Mais de la à être cocu, quelle honte, comment l’homme peut tomber aussi bas ?
Aout : Corps et âmes, à celle qui j’aime tellement, toujours la pour elle, à essayer de la faire rire.
Savais-je que j’aller la perdre ? Bien sûr que oui, je le savais, je le sentais. Et pourtant, je lui donne tout mon temps, tout mes sourires, tout mes regards chargé de bonheur.
Etais-je heureux ? non, je faisait semblant je savais que dans l’ombre ce caché mes démons, démons que j’ai occulter, que j’ai cacher, ensevelie. Savais-je qu’ils ressortiraient ? je les attendaient, avec une boule au ventre.
Et lui ? que faisait-il ? ça vie bien sûr… Mais ça m’importait peu à vrai dire, il aurai put avoir un accident qu’importe, il n’était plus important à mes yeux, comme depuis des mois déjà… J’étais embarqué dans la maladie de ma grand mère depuis trop longtemps, et, j’avais délaissé celui que j’aimais, sans même lui faire comprendre que je n’était pas bien par rapport à ma grand mère. Mais comme lui faire comprendre, lui qui n’a pas connu la sienne. Et puis les jours ce sont allongés, une semaine, deux…
Les urgences, une après-midi… Elle c’est cassé le bras, une métastase… Mais, ce profilé à l’horizon mes jours sombres… Elle c’est fait opéré, tout c’est bien passer, mais, elle ne passerait pas les fêtes… Le savions nous ? on le pensez mais on ne la jamais ouvertement dit entre nous.
Septembre ; je commence à travailler, qu’est ce que j’aime ça… Ils sont géniaux, me font rire, me font oublier ces soucis qui sont pourtant présent, je prend un premier retour de rupture… Remise en question incessante.
Qu’ai je fait ? Pourquoi ? L’ai je mériter ? Et maintenant ? Et lui ? Remonte t-on la pente ? Peut-on tiré un trait sur 3 ans et demis ?
Des réponses ce sont profilées, mais elles étaient vagues, incertaines, un énorme travaille sur moi même m’attendais. Mes attentes, mes envies, mon avenir… Et elle, elle si belle avec ces yeux bleus, son sourire qui en disait toujours si long sur ce qu’elle ressentait. J’était son préférer, celui qu’elle aimait tant, celui dont elle était le plus fière par ce que toujours la pour elle. La voir dans cette maison de repos me faisait mal, mais c’était ce qu’il fallait, le temps qu’on puisse mettre en place l’hospitalisation à domicile. Juste avant de revenir, nous avons appris qu’une métastase était logée dans son cou.
Savions nous que c’était fini ? bien sûr. Mais, on espère, on veut croire à un miracle… j’y ai cru, espérer tout en sachant que ce n’arriverait pas.
Octobre : Retour chez elle, me voilà tous les matins de 6h à 11h chez mes grands parents. Elle est diminuée, mais, mon dieu ce sourire, ces yeux bleus qui me fons comprendre qu’elle est contente que je sois là. Tout les matins, je la fait déjeuner, et appréciant ce moment comme un père avec son enfant. Non pas par peur, mais par ce qu’on sait qu’ils ne dureront pas.
Elle aime voir les oiseaux depuis sont lit, alors on met du pain et la on l’entend dire « regarde la mésange ». Et c’est un sourire qui s’échappe de mes lèvres.
Et puis, ma rupture, ou en était-je ? J’avais tout remis dans un coin, et j’attendais.
Puis sont venus les 3 jours les plus longs de ma vie, les jours les plus éprouvant, étais-je mis à l’épreuve ? Sûrement… Il ne fallait pas craquer, j’avais était fort, alors pourquoi craquer maintenant ?
Elle est morte, partie, plus aucun sourire, plus jamais son regard… 3 jours de veillé, 72h où on veille sans dormir. Je n’ai pas pu les faires, j’étais tellement fatigué, moralement, physiquement, et, une fatigue autre était présente… Fatigue de la vie.
Pendant 3 jours, j’ai réfléchi, que faire ? Qu’attendre de la vie ? Des épreuves ? De la tristesse ? Mais aucune réponse… Ou pas à ce moment la du moins.
On l’enterre, suis-je un homme ? non… juste un enfant, un enfant qui perd sa grand mère, qui craque, qui perd l’être qu’il à le plus chéri dans toute sa vie… Cette bonne femme, c’était tout pour moi, mon rayon de soleil, ma force, ma vie. C’était pour elle tout ça, elle que je voulais rendre si heureuse, rendre si fière de moi…
Et puis, mes démons sont revenus, plus aucune barrière, plus aucune protection… je voulais en finir avec tout… Me détruire de l’intérieur et attendre. Mais, il y a ces personnes que l’on rencontre, qui vous font voir les bons côtés de la vie.
Ces personnes la, on étaient présente peu avant que tout s’enchaine, et, le destin fait généralement bien les choses. Il était la, présent, ces conseilles était une mine d’or, ces sourires un refuge, ces yeux des miroirs. Savais-je qu’il était moi et moi lui ? Bien évidement, je savais au fond de moi, que nous étions similaires, semblable. Que mes sourires étaient les siens, que mon regard le toucher, et que ma peine était la sienne. Savais-je qu’il me faudrait prendre de la distance avec lui ? je le savais, je ne voulais pas détruire un lien si précieux.
Aujourd’hui nous avons pris de la distance, distance qui commence à disparaître… Je l’aime oui, mais comme un frère.
Et mes questions ? Elles sont toute résolues, toutes les réponses je les ai obtenue…
Je n’ai rien fait pour mériter ce qui arriver, j’ai subit les pulsions d’un homme qui n’a pas su ce retenir par ce qu’il était au final seul… Le seul reproche qui peut m’être fait, c’est de n’avoir pas su m’occuper de lui tout simplement… Je ne le regrette pas, je ne regrette rien de ce qui c’est passer depuis, je ne regrette pas ma rencontre avec Gil, Hervé, Sébastien, Arnold, Laurent… Je ne regrette pas d’avoir repris contact avec mes anciens amis, que j’avais laisser tomber car pas fréquentable pour lui… Laura, Alexandre et toute la bande de toxico

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On peut finalement remonter la pente, tout n’est qu’une question de temps, j’ai pris mon temps, j’ai fait le point sur moi, ma vie, mes attentes, et je peut l’affirmer, ma blessure est refermer. J’attends désormais de la vie, le bonheur des rencontres simple, amicale. J’attends les sourires que les gens me donnent quand je les aident, le sourire d’une petite vielle au magasin quand je l’ai aidais à prendre une conserve trop haute pour elle, était la plus belle des récompenses.
J’ai de l’amour à revendre pour qui en veut, mais, certain n’y aurons pas l’accès. On peut avoir mon amour, mais perdre ma confiance signifie me perdre à jamais.
Je peut me regarder dans la glace et être fière de l’homme que je suis devenue, j’ai trouvé mon équilibre. Je suis un homme, plus un enfant, je me suis construit et aujourd’hui, mes fondations sont solides, et rien ne pourra venir ébranler ce pilier frais, jeune, résistant…
On ne me changera pas, une oreille attentive sera toujours la pour les autres, des yeux pour ceux qui en ont besoins, une bouche pour ceux qui n’osent pas. Je ne sais pas m’occupé de moi, car au final pour être heureux, il me suffit de rendre heureux les autres, leur sourires, leurs rires me suffisent.
Entendre mes deux morpions rires quand on fait les andouilles après les devoirs me donne une telle énergie, entendre cette petite me dire papa sans faire exprès m’emplie de joie.
Finalement le bonheur, c’est pas compliqué quand on ce rend compte qu’on la toujours eu à porté.
Enfin, je voudrais une dernière fois remercier tout ceux qui on étaient la pendant tout ces moments. Tout ceux qui on su sans peut être s'en rendre compte me tiré vers le haut, vers l'air, plutôt qu'au fond du gouffre.
Et remercier celui qui ma fait le plus de mal, tu ma fait grandir et comprendre qu'au final, même pour toi j'était un pilier, tu me la dit, et finalement je me relève toujours...
Ce qui prouve que,(désoler pour le manque de modestie), je suis une personne avec une force de caractère hors norme. Mon avenir est tracé, je sais ce que je veut faire, et désormais rien n'entreverra ma route. Je serais dans un peu plus de 3 ans infirmier, mon concours je l'aurais haut la main, j'aurais un, voir des enfants, seul ou en couple je m'en fou, mais j'aurais l'enfant que je souhaite avoir, le désir de paternité est présent... Et j'ai hâte !