Être un pilier… qui s'effrite

Pour parler de tout et de rien, pas de thème imposé.
Stigmate
Messages : 1259
Inscription : sam. juin 21, 2008 5:22 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Stigmate »

zphyr a écrit : Je t'envoie un paquet de courage et de sourire et de câlin, aussi !
:gentil: :D :D :amour: :copain: :copain: :copain:
Du courage? je n'en ai plus...

Je me dégoute moi même... J'ai fait un plan cul et, c'est pas dans mes habitudes et... ça me dégoute, comment j'ai fait pour en arriver la? Comment j'ai pu faire ça? je ne me reconnais plus. Un mec me plait et j'arrive à tout foutre en l'air par ce que j'ai peur et je deviens méchant... J'était pas comme ça.

Dans 2 jours ça fera 1 mois qu'elle est morte et ... Elle me manque tellement, ça me manque de pas monter la voir, de pas l'entendre dire du mal de william lemergie (truc du genre)... De pas entendre sa voix... La voir.

Et on est en Novembre... ça aurait du faire 4 ans avec will et... au lieu de ça, ça fait 4 mois qu'on est plus ensemble. Et je ne compte plus, je ne suis plus rien... Il a tourner la page... Et ça fait mal. C'est une passade je le sais mais... C'est la fin d'année, et, la vie ne m'a pas épargné sur ce coup la... L'homme que j'aime ou aimais je ne sais pas, ma grand mère...

J'aimais la solitude, mais aujourd'hui ce n'est plus le cas, mais même entouré je suis seul.

La nouvelle année apportera peut être de bonnes choses... je le souhaite. Je vais être égoïste, mais je ne mérite pas tout ça...

J'ai hâte de passé mon concours infirmier... De savoir que je serais pris, si possible en alternance... et en psychiatrie si possible, à ce qui parait c'est intéressant.

Et puis le moral n'est pas forcement au beau fixe avec cette saison, je n'aime pas l'automne, je préfère l'hiver et l'été. Et au lieu de ça... les feuilles tombent, la nature s'en va, les animaux s'en vont.

Vivement 2011 ça ne pourra pas être pire...
Natan
Messages : 64
Inscription : dim. août 22, 2010 3:16 pm

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Natan »

Je n'ai lu ce fil qu'aujourd'hui et encore, en plusieurs fois, tant j'étais ému.
Il y a plusieurs années, j'ai également accompagné ma marraine (mais rien en comparaison de ce que tu as fait) et d'avoir été là pour elle, même imparfaitement, m'a beaucoup aidé ensuite même si cela n'a rien enlevé au chagrin. Ce que tu as fait est très courageux.

Je travaille actuellement dans un centre de jour qui accueille des personnes âgées atteintes d'Alzheimer, des gens avec qui je fais des ateliers thérapeutiques, avec qui je mange, que j'accompagne aussi aux toilettes si besoin. Ils ont entre 80 et 100 ans environ. Inutile de préciser qu'il y a pas mal de décès et, forcément même en étant soignant on reste des humains (heureusement !) et chaque décès est très triste. Je vais parfois à la levée du corps et il arrive qu'il n'y ait personne d'autre que des gens de notre équipe. A chaque fois, j'en ai les larmes aux yeux. Tout ça non pas pour m'apitoyer sur moi mais pour te dire la chance que ta grand-mère a eu d'avoir un petit-fils comme toi qui l'a accompagnée jusqu'au bout. Chapeau !!!

Pour ce qui est de t'effondrer, comme Zphyr j'y vois un "bon" signe car tout est préférable que de nier ses émotions.
Courage à toi et je regrette sincèrement de ne pouvoir d'aider efficacement.
Lolo
Messages : 1019
Inscription : mer. juil. 07, 2010 10:32 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Lolo »

+1 avec zphyr.
C'est très bien que tu arrives à venir nous parler, que tu t'ouvres, que tu brises cette carapace de protection que tu te bâtissais pour "tenir" face à l'adversité.

Plus tu partageras tes émotions, plus tu t'ouvriras, et plus vite tu remonteras la pente. La période que tu as vécu est un traumatisme, un choc dans ta vie. Maintenant, il faut reconstruire, trouver de nouveaux repères pour avancer. Ce n'est pas facile, loin de là. Même si cela te coûte, il est important d'en parler, de ne pas garder tout ça pour toi, car sinon c'est une dépression qui s'installera durablement.

Tu as des principes directeurs dans ta vie et c'est tout à ton honneur. Mais là, tu vies une période difficile, accordes-toi le droit à quelques erreurs. Ne culpabilises pas pour quelques "égarements": tu as fait un plan Q... Et alors? Tu n'es qu'un homme. Tu dis que tu "deviens méchant" car tu as peur: c'est pareil. On a tous des moments où l'on diverge un peu de sa vraie personnalité. Ne te juges pas négativement sur quelques réactions eues pendant cette période difficile: tu es un mec bien, tu l'as démontré dignement. Personne ne te jugera pour quelques pas effectués en marge de la route que tu as choisi de prendre.

Ce que tu vies en ce moment est un peu comme cette saison d'automne que tu n'aimes pas.... ça passera. Ouvres-toi aux autres, partage tes émotions, toutes les rencontres que tu feras seront comme autant de graines qui feront ton futur printemps.

Ce n'est pas moi qui t'apprendrais que ici, tu trouveras toujours à qui parler. Nous sommes tous avec toi :copain: :gentil:
Stigmate
Messages : 1259
Inscription : sam. juin 21, 2008 5:22 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Stigmate »

Ca fait 5 mois que je suis séparer, et après un bon mois de silence, me revoila avec un résumer de ce qu'il c'est passé et que je n'ai pas forcement dit... J'ai fait un gros travail sur moi même, et me voila, de nouveau heureux :D. Tout mes démons ne sont plus, il m'en reste juste un, mais celui la est en cours de tatanage massif :mrgreen:


12 juillet : rupture, Je ne comprend pas pourquoi, qu’ai je fait de mal ? Je n’ai rien fait justement, c’était donc ça le souci… Mais de la à être cocu, quelle honte, comment l’homme peut tomber aussi bas ?

Aout : Corps et âmes, à celle qui j’aime tellement, toujours la pour elle, à essayer de la faire rire.
Savais-je que j’aller la perdre ? Bien sûr que oui, je le savais, je le sentais. Et pourtant, je lui donne tout mon temps, tout mes sourires, tout mes regards chargé de bonheur.

Etais-je heureux ? non, je faisait semblant je savais que dans l’ombre ce caché mes démons, démons que j’ai occulter, que j’ai cacher, ensevelie. Savais-je qu’ils ressortiraient ? je les attendaient, avec une boule au ventre.
Et lui ? que faisait-il ? ça vie bien sûr… Mais ça m’importait peu à vrai dire, il aurai put avoir un accident qu’importe, il n’était plus important à mes yeux, comme depuis des mois déjà… J’étais embarqué dans la maladie de ma grand mère depuis trop longtemps, et, j’avais délaissé celui que j’aimais, sans même lui faire comprendre que je n’était pas bien par rapport à ma grand mère. Mais comme lui faire comprendre, lui qui n’a pas connu la sienne. Et puis les jours ce sont allongés, une semaine, deux…

Les urgences, une après-midi… Elle c’est cassé le bras, une métastase… Mais, ce profilé à l’horizon mes jours sombres… Elle c’est fait opéré, tout c’est bien passer, mais, elle ne passerait pas les fêtes… Le savions nous ? on le pensez mais on ne la jamais ouvertement dit entre nous.

Septembre ; je commence à travailler, qu’est ce que j’aime ça… Ils sont géniaux, me font rire, me font oublier ces soucis qui sont pourtant présent, je prend un premier retour de rupture… Remise en question incessante.
Qu’ai je fait ? Pourquoi ? L’ai je mériter ? Et maintenant ? Et lui ? Remonte t-on la pente ? Peut-on tiré un trait sur 3 ans et demis ?

Des réponses ce sont profilées, mais elles étaient vagues, incertaines, un énorme travaille sur moi même m’attendais. Mes attentes, mes envies, mon avenir… Et elle, elle si belle avec ces yeux bleus, son sourire qui en disait toujours si long sur ce qu’elle ressentait. J’était son préférer, celui qu’elle aimait tant, celui dont elle était le plus fière par ce que toujours la pour elle. La voir dans cette maison de repos me faisait mal, mais c’était ce qu’il fallait, le temps qu’on puisse mettre en place l’hospitalisation à domicile. Juste avant de revenir, nous avons appris qu’une métastase était logée dans son cou.

Savions nous que c’était fini ? bien sûr. Mais, on espère, on veut croire à un miracle… j’y ai cru, espérer tout en sachant que ce n’arriverait pas.

Octobre : Retour chez elle, me voilà tous les matins de 6h à 11h chez mes grands parents. Elle est diminuée, mais, mon dieu ce sourire, ces yeux bleus qui me fons comprendre qu’elle est contente que je sois là. Tout les matins, je la fait déjeuner, et appréciant ce moment comme un père avec son enfant. Non pas par peur, mais par ce qu’on sait qu’ils ne dureront pas.

Elle aime voir les oiseaux depuis sont lit, alors on met du pain et la on l’entend dire « regarde la mésange ». Et c’est un sourire qui s’échappe de mes lèvres.

Et puis, ma rupture, ou en était-je ? J’avais tout remis dans un coin, et j’attendais.
Puis sont venus les 3 jours les plus longs de ma vie, les jours les plus éprouvant, étais-je mis à l’épreuve ? Sûrement… Il ne fallait pas craquer, j’avais était fort, alors pourquoi craquer maintenant ?
Elle est morte, partie, plus aucun sourire, plus jamais son regard… 3 jours de veillé, 72h où on veille sans dormir. Je n’ai pas pu les faires, j’étais tellement fatigué, moralement, physiquement, et, une fatigue autre était présente… Fatigue de la vie.

Pendant 3 jours, j’ai réfléchi, que faire ? Qu’attendre de la vie ? Des épreuves ? De la tristesse ? Mais aucune réponse… Ou pas à ce moment la du moins.

On l’enterre, suis-je un homme ? non… juste un enfant, un enfant qui perd sa grand mère, qui craque, qui perd l’être qu’il à le plus chéri dans toute sa vie… Cette bonne femme, c’était tout pour moi, mon rayon de soleil, ma force, ma vie. C’était pour elle tout ça, elle que je voulais rendre si heureuse, rendre si fière de moi…
Et puis, mes démons sont revenus, plus aucune barrière, plus aucune protection… je voulais en finir avec tout… Me détruire de l’intérieur et attendre. Mais, il y a ces personnes que l’on rencontre, qui vous font voir les bons côtés de la vie.

Ces personnes la, on étaient présente peu avant que tout s’enchaine, et, le destin fait généralement bien les choses. Il était la, présent, ces conseilles était une mine d’or, ces sourires un refuge, ces yeux des miroirs. Savais-je qu’il était moi et moi lui ? Bien évidement, je savais au fond de moi, que nous étions similaires, semblable. Que mes sourires étaient les siens, que mon regard le toucher, et que ma peine était la sienne. Savais-je qu’il me faudrait prendre de la distance avec lui ? je le savais, je ne voulais pas détruire un lien si précieux.

Aujourd’hui nous avons pris de la distance, distance qui commence à disparaître… Je l’aime oui, mais comme un frère.
Et mes questions ? Elles sont toute résolues, toutes les réponses je les ai obtenue…

Je n’ai rien fait pour mériter ce qui arriver, j’ai subit les pulsions d’un homme qui n’a pas su ce retenir par ce qu’il était au final seul… Le seul reproche qui peut m’être fait, c’est de n’avoir pas su m’occuper de lui tout simplement… Je ne le regrette pas, je ne regrette rien de ce qui c’est passer depuis, je ne regrette pas ma rencontre avec Gil, Hervé, Sébastien, Arnold, Laurent… Je ne regrette pas d’avoir repris contact avec mes anciens amis, que j’avais laisser tomber car pas fréquentable pour lui… Laura, Alexandre et toute la bande de toxico :mrgreen: .

On peut finalement remonter la pente, tout n’est qu’une question de temps, j’ai pris mon temps, j’ai fait le point sur moi, ma vie, mes attentes, et je peut l’affirmer, ma blessure est refermer. J’attends désormais de la vie, le bonheur des rencontres simple, amicale. J’attends les sourires que les gens me donnent quand je les aident, le sourire d’une petite vielle au magasin quand je l’ai aidais à prendre une conserve trop haute pour elle, était la plus belle des récompenses.

J’ai de l’amour à revendre pour qui en veut, mais, certain n’y aurons pas l’accès. On peut avoir mon amour, mais perdre ma confiance signifie me perdre à jamais.

Je peut me regarder dans la glace et être fière de l’homme que je suis devenue, j’ai trouvé mon équilibre. Je suis un homme, plus un enfant, je me suis construit et aujourd’hui, mes fondations sont solides, et rien ne pourra venir ébranler ce pilier frais, jeune, résistant…

On ne me changera pas, une oreille attentive sera toujours la pour les autres, des yeux pour ceux qui en ont besoins, une bouche pour ceux qui n’osent pas. Je ne sais pas m’occupé de moi, car au final pour être heureux, il me suffit de rendre heureux les autres, leur sourires, leurs rires me suffisent.

Entendre mes deux morpions rires quand on fait les andouilles après les devoirs me donne une telle énergie, entendre cette petite me dire papa sans faire exprès m’emplie de joie.

Finalement le bonheur, c’est pas compliqué quand on ce rend compte qu’on la toujours eu à porté.


Enfin, je voudrais une dernière fois remercier tout ceux qui on étaient la pendant tout ces moments. Tout ceux qui on su sans peut être s'en rendre compte me tiré vers le haut, vers l'air, plutôt qu'au fond du gouffre.


Et remercier celui qui ma fait le plus de mal, tu ma fait grandir et comprendre qu'au final, même pour toi j'était un pilier, tu me la dit, et finalement je me relève toujours...

Ce qui prouve que,(désoler pour le manque de modestie), je suis une personne avec une force de caractère hors norme. Mon avenir est tracé, je sais ce que je veut faire, et désormais rien n'entreverra ma route. Je serais dans un peu plus de 3 ans infirmier, mon concours je l'aurais haut la main, j'aurais un, voir des enfants, seul ou en couple je m'en fou, mais j'aurais l'enfant que je souhaite avoir, le désir de paternité est présent... Et j'ai hâte !
spécimen
Messages : 3117
Inscription : sam. déc. 08, 2007 2:46 pm

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par spécimen »

Et béh :copain: :gentil: :biz:
Stigmate
Messages : 1259
Inscription : sam. juin 21, 2008 5:22 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Stigmate »

spécimen a écrit :Et béh :copain: :gentil: :biz:
oui je sais, sacré pavé :oops:
spécimen
Messages : 3117
Inscription : sam. déc. 08, 2007 2:46 pm

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par spécimen »

Stigmate a écrit :
spécimen a écrit :Et béh :copain: :gentil: :biz:
oui je sais, sacré pavé :oops:
Beh oui, et apparemment, tu en as les idées claires de tout ce que tu as traversé.
Tu sembles avoir surmonté toutes les difficultés qui ont entamé ta vie des ces derniers mois.
Ne considère pas trop vite que tu es définitivement "guérit et cicatrisé" Stig', ne considère pas trop vite que tout est derrière toi à présent.

Considère plutôt que tu en ressors grandit, et plus fort, plus sûr aussi. Mais continue de penser AUSSI à toi, car tu n'es pas un pilier justement. Tu es un humain avec un cerveau, des sentiments et des émotions. Tout ça, tout l'équilibre que tout être humain essaye de maintenir, peut vite s'effondrer au moindre incident.

C'est bien de se tourner vers les autres, tu as raison. Mais il ne faut pas que cela en devienne un prétexte pour toi, t'oublier.
N'oublie pas de penser à toi donc :gentil: :copain:
Stigmate
Messages : 1259
Inscription : sam. juin 21, 2008 5:22 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Stigmate »

spécimen a écrit :
Stigmate a écrit :
spécimen a écrit :Et béh :copain: :gentil: :biz:
oui je sais, sacré pavé :oops:
Beh oui, et apparemment, tu en as les idées claires de tout ce que tu as traversé.
Tu sembles avoir surmonté toutes les difficultés qui ont entamé ta vie des ces derniers mois.
Ne considère pas trop vite que tu es définitivement "guérit et cicatrisé" Stig', ne considère pas trop vite que tout est derrière toi à présent.

Considère plutôt que tu en ressors grandit, et plus fort, plus sûr aussi. Mais continue de penser AUSSI à toi, car tu n'es pas un pilier justement. Tu es un humain avec un cerveau, des sentiments et des émotions. Tout ça, tout l'équilibre que tout être humain essaye de maintenir, peut vite s'effondrer au moindre incident.

C'est bien de se tourner vers les autres, tu as raison. Mais il ne faut pas que cela en devienne un prétexte pour toi, t'oublier.
N'oublie pas de penser à toi donc :gentil: :copain:
C'était un résumer sur ce qui c'est passer ces 5 derniers mois, je sais que le futur me réservera encore des surprises. le divorce de mes parents, peut être d'autre truc je ne sais pas, qui sait, autant en Janvier on me découvrira un cancer j'en suis pas à l'abris.

Mais la c'était pour montrer que, j'ai mes bases, solident, et que je peut avancer l'âme en paix... Et que j'ai pu faire front à deux soucis... Je sais que le futur peut me réserver pire, mais, je sais que je m'en sortirais...
Valkyr
Messages : 88
Inscription : jeu. déc. 02, 2010 12:39 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Valkyr »

Je ne te connais qu'au travers des histoires que tu as bien voulu nous livrer, mais j'ai trouve ca sincere et touchant ce qui fait que je te poste aujourd'hui ma sympathie et mes encouragements. Je ne vais pas ecrire un pave car j'arrive apres la tempete comme on dit et il y a maintenant prescription. Je voulais ecrire quelque chose sur un point qui a retenu mon attention mais apres avoir reflechit je me dis que ca n'en vaut pas la peine, tu sembles aller bien et c'est ce qui compte je pense.
Bref ! Je ne peux te souhaiter que de bonnes choses !
Lolo
Messages : 1019
Inscription : mer. juil. 07, 2010 10:32 am

Re: Être un pilier… qui s'effrite

Message par Lolo »

Et bien....
Tu es un sacré mec, ça, c'est certain!

Je suis heureux de voir à quel point tu as su te relever aussi vite, tirer de cette douloureuse période quelque chose de positif.

Ta famille, tes amis, celui que tu choisiras pour t'accompagner dans la vie, ont beaucoup de chance de t'avoir. :niais:
Répondre