yellowfaith a écrit :Je me géne pas pour samelisse a écrit :Bravo Yellow![]()
Now you can love again poulette!
Yellow's life. plus besoin d'aide, a compris !
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yellowfaith
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Parlons d'un sujet méga hyper super (même plus que ca) passiono-intéressant : MOI !
Hier soir... heu pas vrai !
pendant la nuit d'hier ...FAUX, TOtaLEmenT faux, j'ai envie de me dire menteuse... : menteuse !
La dernière fois que j'ai dormi (on va dire cmatin);
*J'ai révé que j'étais redevenu un légume
.
Et les journées défilaient lentement mais lentement mais vrément trés trés lentement.
Mes 2 sentiments principaux étaient l'Ennui et le dégout de moi même, aprés suivait le malêtre puis une envie d'en finir.
Mais cqui était marquant c'était le néant, provoquant l'ennui.
J'avais l'impression de revivre le truc.
A un moment y'a 1 medecin qui parle de moi à mes parents comme si je n'existais pas, comme si je comprenais pas, (ca reste réaliste croyez moi), alors que j'étais à coté, (il parlait a l'infirmière qui déplacait mon oreiller).
Il dit "c'est dans sa téte si elle et comme ca, on y peut rien c'est de sa faute"
Là y'a mon frère qui me prend, me secoue et hurle un truc du genre "Aréte de faire exprès tu nous fait tous chier! Tu va aréter, sa fait 2 fois que tu nous fais ca et tu va marcher"
Et la il me balance hors du lit pour que je remarche...et trou noir*
*suite : les evenements défilent à la suite comme si y'avait une coupure dans l'histoire...
je suis toujours légumisé, et je vois des évenements futur se produire. Mon frère se marie avec sa copine actuelle, je peux pas aller au mariage en fauteuil ca serait mal vu par les familles
.
Ils ont 2 gosses et HUrra jsuis la maraine du plus petit (mais toujours légume); mes parent adopte une ptite vétnamienne (pour me remplacer?).
Je finis par ne plus avoir de visite, et sa ce finit sur la vue du plafond de la chambre d'hopital qui dure pendant un pti moment quand même*
Moi qui croyais avoir totalement finit avec tout ca...
Dur de tourner la page
Sinon ce topic était initialement fait pour parler de mon non-émotivité.
J'ai parlé d'amour, mais il y'avait également la colère, la rage, la tristesse, l'amitié qui étaient inhibées ...
Bah me suis rendu comte qu'en ce moment je vis l'effet inverse, et ca n'a pas que des avantages
jvais vous expliquez mais ce sera pour un autre jour
Hier soir... heu pas vrai !
pendant la nuit d'hier ...FAUX, TOtaLEmenT faux, j'ai envie de me dire menteuse... : menteuse !
La dernière fois que j'ai dormi (on va dire cmatin);
*J'ai révé que j'étais redevenu un légume
Et les journées défilaient lentement mais lentement mais vrément trés trés lentement.
Mes 2 sentiments principaux étaient l'Ennui et le dégout de moi même, aprés suivait le malêtre puis une envie d'en finir.
Mais cqui était marquant c'était le néant, provoquant l'ennui.
J'avais l'impression de revivre le truc.
A un moment y'a 1 medecin qui parle de moi à mes parents comme si je n'existais pas, comme si je comprenais pas, (ca reste réaliste croyez moi), alors que j'étais à coté, (il parlait a l'infirmière qui déplacait mon oreiller).
Il dit "c'est dans sa téte si elle et comme ca, on y peut rien c'est de sa faute"
Là y'a mon frère qui me prend, me secoue et hurle un truc du genre "Aréte de faire exprès tu nous fait tous chier! Tu va aréter, sa fait 2 fois que tu nous fais ca et tu va marcher"
Et la il me balance hors du lit pour que je remarche...et trou noir*
*suite : les evenements défilent à la suite comme si y'avait une coupure dans l'histoire...
je suis toujours légumisé, et je vois des évenements futur se produire. Mon frère se marie avec sa copine actuelle, je peux pas aller au mariage en fauteuil ca serait mal vu par les familles
Ils ont 2 gosses et HUrra jsuis la maraine du plus petit (mais toujours légume); mes parent adopte une ptite vétnamienne (pour me remplacer?).
Je finis par ne plus avoir de visite, et sa ce finit sur la vue du plafond de la chambre d'hopital qui dure pendant un pti moment quand même*
Moi qui croyais avoir totalement finit avec tout ca...
Dur de tourner la page
Sinon ce topic était initialement fait pour parler de mon non-émotivité.
J'ai parlé d'amour, mais il y'avait également la colère, la rage, la tristesse, l'amitié qui étaient inhibées ...
Bah me suis rendu comte qu'en ce moment je vis l'effet inverse, et ca n'a pas que des avantages
jvais vous expliquez mais ce sera pour un autre jour
Dernière modification par yellowfaith le dim. déc. 09, 2007 11:29 pm, modifié 1 fois.
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yellowfaith
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La suite...
Aprés avoir arété les médocs jsuis resté une ptite période insensible.
Puis ma sensibilité est revenu petit à petit.
J'ai recommencer à balancer des "je t'aime" des "chéries" et des "bisous" à tout le monde
. j'étais aussi un chti peu déprimé, mais c'est passé pti à pti. je m'énérvais un pti peu mais très peu, jsuis plutot calme à la base....
Jusque là rien de trés étonant.
Mais la remonté des sentiments s'est fait de facon exponentielle (j'éspère quelle ne fera qu'atteindre un pic puis redescendra).
Du coup, c'est mutliplication des calins (comme ma couz h'abite loin
, c'est ma maman qui prend tout bah vui j'ai pas de chérie
).
C'est : des montés de colère, d'angoisse, ...
J'ai l'impréssion que le temps ne défile pas comme avant, il est tantot plus rapide, tantot plus lent. Il n'est plus inchangeant.
Et cette surmultiplication des sentiments me crée des problème.
Par exemple une fille à la fac m'énérvait donc je la casse pas très gentillement (cke jme rend pas compte, c'est que je casse en même temps tous les gens des 2 premiers rangs)
Je passe d'euphorique à colérique à angoissé à disphorique ...
Et il m'arive même d'en avoir plusieurs contradictoire en même temps en mm temps.
Je ne vous parle pas du plan sentimental...,
déja qu'à la base j'en fais des tonnes, parceque jsuis "pas handicapée des sentiments (cf pieuvre)"avec mes amies, quand j'aime quelqu'un jlui dis, c'est comme ca
!
IL m'est arivé de dire des trucs que j'ai regrétté par la suite, pourtant j'essaye de relativiser lorsque je pique des coups de colère, de me calmer quand j'angoisse...
Ce que je ressent tout de suite?
Mon cerveaux va explosé, j'ai les tempes qui veulent rentré a l'intérieur de mon crâne.
Une touche de satisfaction, et un poil de tristesse...également un manque...
Aprés avoir arété les médocs jsuis resté une ptite période insensible.
Puis ma sensibilité est revenu petit à petit.
J'ai recommencer à balancer des "je t'aime" des "chéries" et des "bisous" à tout le monde
Jusque là rien de trés étonant.
Mais la remonté des sentiments s'est fait de facon exponentielle (j'éspère quelle ne fera qu'atteindre un pic puis redescendra).
Du coup, c'est mutliplication des calins (comme ma couz h'abite loin
C'est : des montés de colère, d'angoisse, ...
J'ai l'impréssion que le temps ne défile pas comme avant, il est tantot plus rapide, tantot plus lent. Il n'est plus inchangeant.
Et cette surmultiplication des sentiments me crée des problème.
Par exemple une fille à la fac m'énérvait donc je la casse pas très gentillement (cke jme rend pas compte, c'est que je casse en même temps tous les gens des 2 premiers rangs)
Je passe d'euphorique à colérique à angoissé à disphorique ...
Et il m'arive même d'en avoir plusieurs contradictoire en même temps en mm temps.
Je ne vous parle pas du plan sentimental...,
déja qu'à la base j'en fais des tonnes, parceque jsuis "pas handicapée des sentiments (cf pieuvre)"avec mes amies, quand j'aime quelqu'un jlui dis, c'est comme ca
IL m'est arivé de dire des trucs que j'ai regrétté par la suite, pourtant j'essaye de relativiser lorsque je pique des coups de colère, de me calmer quand j'angoisse...
Ce que je ressent tout de suite?
Mon cerveaux va explosé, j'ai les tempes qui veulent rentré a l'intérieur de mon crâne.
Une touche de satisfaction, et un poil de tristesse...également un manque...
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blooming18
- Messages : 898
- Inscription : jeu. juil. 07, 2005 10:36 am
pfou ma pauvre c'est horrible d'avoir vécu ca!
et puis que ca t'arrive aussi jeune....
bon, sinon ta "maladie" me fait penser à un passage d'un des livres des "chroniques de san francisco" où Mickael, le perso principal est atteint du meme truc que toi: il commence à se paraliser petit à petit, ca commence par sa jambe et ca fini par gagner tout le corps et la crainte des médecins est que la paralisie finisse par atteindre le coeur ou les poumons. puis subitement la paralisie s'en va comme elle etait venue.
je ne me souviens pas trop de ce passage mais apparement c'est qqch qui peut arriver à n'importe qui est n'est pas mental.
Bon, on me dira que c'etait dans un roman mais je pense que ce genre de maladie existe.
ce qui m'enerve, mais vraiment M'ENERVE, c'est qu'a chaque fois que les medecins ne trouvent pas ce que t'as ils disent que c'est psychologique. maintenant le psychologique devient un fourre tout dès qu'on sèche sur un probleme. le nombre de fois qu'on ma dit que ce que j'avais était psychologique jusqu'a ce que je tombe sur un médecin qui trouve ce que j'ai!
bref pour en revenir à ta maladie t'as pas fait des recherches pour trouver ce que c'etait? il y a surement une explication autre que "psychologique" (
) pour ce qui t'es arrivé.
bon, sinon ta "maladie" me fait penser à un passage d'un des livres des "chroniques de san francisco" où Mickael, le perso principal est atteint du meme truc que toi: il commence à se paraliser petit à petit, ca commence par sa jambe et ca fini par gagner tout le corps et la crainte des médecins est que la paralisie finisse par atteindre le coeur ou les poumons. puis subitement la paralisie s'en va comme elle etait venue.
je ne me souviens pas trop de ce passage mais apparement c'est qqch qui peut arriver à n'importe qui est n'est pas mental.
Bon, on me dira que c'etait dans un roman mais je pense que ce genre de maladie existe.
ce qui m'enerve, mais vraiment M'ENERVE, c'est qu'a chaque fois que les medecins ne trouvent pas ce que t'as ils disent que c'est psychologique. maintenant le psychologique devient un fourre tout dès qu'on sèche sur un probleme. le nombre de fois qu'on ma dit que ce que j'avais était psychologique jusqu'a ce que je tombe sur un médecin qui trouve ce que j'ai!
bref pour en revenir à ta maladie t'as pas fait des recherches pour trouver ce que c'etait? il y a surement une explication autre que "psychologique" (
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yellowfaith
- Messages : 1399
- Inscription : dim. juil. 03, 2005 7:27 pm
Heu j'étais pas si jeune que ça, 'fin j'ai quand même "fété" mes 18 ans a l'hopital.blooming18 a écrit :pfou ma pauvre c'est horrible d'avoir vécu ca!et puis que ca t'arrive aussi jeune....
blooming18 a écrit :ce qui m'enerve, mais vraiment M'ENERVE, c'est qu'a chaque fois que les medecins ne trouvent pas ce que t'as ils disent que c'est psychologique. maintenant le psychologique devient un fourre tout dès qu'on sèche sur un probleme. le nombre de fois qu'on ma dit que ce que j'avais était psychologique jusqu'a ce que je tombe sur un médecin qui trouve ce que j'ai!
bref pour en revenir à ta maladie t'as pas fait des recherches pour trouver ce que c'etait? il y a surement une explication autre que "psychologique" () pour ce qui t'es arrivé.
Heu bas y'a malgrés tout des aspect qui tenteraient de soutenir l'hypothèse psycho (bac+parent), d'autres pas du tout.
Par exemple c'était une période où j'avais tout pour étre heureuse j'avais une famille, des ami(e)s et une ptite copine qui m'aimaient ou du moins que j'aimais (c'est ce qui compte).
Je sortais de temps en temps, et encore plus souvent aprés la session de juin, bah ouais zavaient fini les exams eux! donc ils organisaient des soirées (rencontre, amis, alcool et quelques joints : mais sans abus non plus
Mais lors du bac (en anglais), j'ai eu une crise de "dormissage" (ca on sait toujours pas pourquoi, parceque j'ai pas passer la nuit a taffer!) j'avais les yeux qui se fermaient tous seuls j'arivais pas à rester éveillée (café, jus d'orange, eau sur le visage n'y changeait rien), du coup j'ai pas passé la suite des épreuves (ce qui est royalement con car j'aurais eu mon bac largement, même avec un zéro, si j'avais passer l'svt et l'espagnol _nan une absence ne compte pas comme zéro-éliminatoire mais comme un zéro tout court_)Malgrés tout je pouvais passer l'oral de ratrapage (avec quand même 2 zéro en langue, et un 4 en svt (oui, l'écrit et sur 16 y'a aussi les tp).
Donc je devais passer la session de ratrapage de septembre...
Malgrés cela, je continuais à voir mes amis sortir féter leur réussite au bac...
Tout ca pour dire, que j'ai commencais a stresser pour le bac, j'ai fini par étre angoissé, névrosé (heu ptétre que j'exagre quand même).
Alors qu'a la session de juin j'étais très bien (mais vrément zen).
Sinon y'avais aussi une autre cause. les parents.
C'était l'époque de la jeunesse (qui a dit de la conerie?)
je leurs parlais pas vrément mal, mais je n'étais pas ce qu'il y'a de plus amical, je leur en voulais (mère du genre maman poule qui veut tout savoir et surprotège) de me donner des limites (que je considérais à l'époque comme trop stricte), c'était la guerre pour sortir, puis pendant une période je ne parlais plus à mes parent et quasiment plus à mon frère (je mangeais seulle, une fois qu'ils avaient terminés)... En plus j'étais convaincu qu'ils n'accepterais pas mon homosexualité c'était un sujet tabou, et ma mère étant musulmane pratiquante, j'en ai conclu qu'elle me jéterais a la rue si elle l'apprenais (à tord ! il n'ya d'ailleurs pas de liens de cause à effet dans cette phrase). Depuis que jsuis sorti de cette maladie, c'est confiation calination rigolation avec popa mais surtout maman.
Autre détail, je me suis un peu scarifié à l'époque où je ne parlais pas à mes parent (époque pré bac, avant de connaitre ma copine de l'époque).
Au moment où j'ai commencer a stressé je supose que j'étais période in-love (d'aprés les reconstitutions que j'ai faites..) avec ma first copine.
Alors que j'étais vrément mal je venais de rentré a l'hopital ma copine ma largué, je supose que c'est ce qui m'a mis complétement HS.
Enfin j'avais rien vécu de beaucoup plus dur que d'autres, je ne vois pas pourquoi ca m'aurait rendu malade à ce point, tout ca.
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yellowfaith
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- Inscription : dim. juil. 03, 2005 7:27 pm
Heu,
bah la fois ou j'ai refait mon CO c'était dans une période un peu déprimante mais c'était aprés ma légumation , j'allais quand méme mieux. (quoique jme sentais plus déprimé qu'à mon entrée à l'hôpital)
Mais je n'en parle pas vraiment c'est plutot du genre, ils sont au courant, je suis au courant qu'ils sont au courant, et pis c'est tout.
Dès fois quand je leurs parle d'un truc concernant mon homosexualité je reçois un sourir ou un sourire géné ou une gène .
Sinon des fois, comme dans "un moment de zapage vers miss france" (jregardais télé-thons (ouais je regardais presque miss france
) mais comme y'avais pas de témoignage scientifique intéréssant ...) ma mère m'a demandé lesquelles me plaisent ...
Mais cela est trés rare tout de méme, que j'évoque ou qu'ils évoquent de loin ou de prés ce sujet !
bah la fois ou j'ai refait mon CO c'était dans une période un peu déprimante mais c'était aprés ma légumation , j'allais quand méme mieux. (quoique jme sentais plus déprimé qu'à mon entrée à l'hôpital)
Mais je n'en parle pas vraiment c'est plutot du genre, ils sont au courant, je suis au courant qu'ils sont au courant, et pis c'est tout.
Dès fois quand je leurs parle d'un truc concernant mon homosexualité je reçois un sourir ou un sourire géné ou une gène .
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Mais cela est trés rare tout de méme, que j'évoque ou qu'ils évoquent de loin ou de prés ce sujet !
(ca s'ecrit comme ça "gêne" je suis plus que sure)yellowfaith a écrit :Heu,
bah la fois ou j'ai refait mon CO c'était dans une période un peu déprimante mais c'était aprés ma légumation , j'allais quand méme mieux. (quoique jme sentais plus déprimé qu'à mon entrée à l'hôpital)
Mais je n'en parle pas vraiment c'est plutot du genre, ils sont au courant, je suis au courant qu'ils sont au courant, et pis c'est tout.
Dès fois quand je leurs parle d'un truc concernant mon homosexualité je reçois un sourir ou un sourire géné ou une gène .
Sinon des fois, comme dans "un moment de zapage vers miss france" (jregardais télé-thons (ouais je regardais presque miss france
OFF-Topic :
me pose sincèrement la question de comment que ca s'écrit "gène", d'abitude je fais des fautes, mais je sais comment que ca s'écrit, avec un peu de réflexion... (sauf pour la multiplication ou la soustraction des lettres --> dévellopper developer? develloper? developper? devloper ? ...),
...Comme un "gène de génétique"?) mais comme y'avais pas de témoignage scientifique intéréssant ...) ma mère m'a demandé lesquelles me plaisent ...
![]()
Mais cela est trés rare tout de méme, que j'évoque ou qu'ils évoquent de loin ou de prés ce sujet !
Je trouve ça génial ke ta mere 'accepte' surtout ke t'as dis k'elle était musulmanne pratikante....t'es vraiment courageuse...je ne pourrais jamais le faire avec mes parents, meme effleurer le sujet n'est pas imaginable pour moi avec mes parents, ça serai un sacrilège
-
yellowfaith
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- Inscription : dim. juil. 03, 2005 7:27 pm
mouarf, comme j'aime raconté ma vie...tout n'est que suposition
aprés un pti sejour a l'hosto de 6 semaine, séjour due à un pti bilan sanguin où on constate moultes anomalies : méga-infection anémie anomalie au foie (le foi jaune est de rigueur
)
2 semaine en pneumo puis changement d'hosto avec un professeur de medecine en medecine interne.
des tas et des tas de prise de sang, des tubes pour des émoc', pour des analyse immunitaire ou génétique. perfusion, scaner pepscan emg orl echo cardiaque echo radio poumouns biopsie foie ovaire muscle syntigraphie...
aprés-durant tout ca on m'annonce que les premiers syndrome de paralysie que jai eu en 2005 pourait étre due a mon cancer,
enfin ca a pa été annoncé comme ca jvous rassure.
ils ont été trés soft,
mais j'ai quand même cru devenir folle
au moment ou j'ai compris que jme suis tappé 15 electrochocs et l'isolement pour quelquechose n'ayant rien a voir avec la psychiatrie (ce qui ne veut pas dire que je n'avait pas de problème psy
)... oui, ca ne me rendais pas malade
le fait de penser que je pouvais avoir un cancer ("penser" car je ne le savais pas encore: mais kist dur = tumeur, non ? aprés le fait qu'elle soit maligne me semblait evident vu l'état ou j'étais avant l'opération...) ce qui me rendais malade c'est tout ca tout ce qui c'était passé avant en 2005-06-07,
bon aprés il se trouve que tout ca (electrochocs isolement avec des infirmière de merde larguage loupage ...) a peut étre probablement entrainer une catatonie qui s'est rajouté au reste des syndrome paralitique.
donc après une nuit d'intérogation
jme suis dit que c'était du passé que jpouvais rien y faire.
et jme suis concentré (ouais j'y arrivais, meme si j'avais 40 de fièvre) sur "est ce qu'il vont finir par savoir si c'est cancereux, est ce qu'il vont me le dire???"
donc lorsque je vois l'interne rentrer dans ma chambre avec les yeux rouge de quelqu'un qui a pleuré, me suis dis "tiens soit elle a passé une salle journée soit jvais y rester"...
la ils ne connaissait pas encore les resultat de la tumeur et ne savait pas si c'était métastasé...et la il ne m'avait toujours pas dis que j'avais un cancer, mais bon jmétais déja faite opéré et jm'étais dis c'est pas pour rien qu'il ont retirer le kist.
finalement aprés plusieurs indices qui m'ont permis de comprendre.
j'ai fini par sortir le mot cancer (au risque de passer pour une parano si ca n'était pas ca) parcequ'ils n'étaient pas prés de le prononcer..., évidement quand on regarde un dossier et qu'on voit écrit "catatonie" dans les antécedents, on évite de provoquer une crise cardiaque chez son patient, ca sré balo.
donc ils m'avaient proposer une permission pour le week end mais étant donné que j'avait découvert le terible secret qui planait sur moi
ils 'ont annoncé qu'on pouvais commencer la chimio aprés la permission (lundi) ou le samed même.
j'ai préféré samedi
retour o bloc samedi et merde :un truc qui déconne : trop de douleur malgres l'anesthésie faut faire aileurs donc y tennte ailleurs et ca redécone :c a monte dans la jug; ce qui arrive qu'une ou 2 fois par ans d'aprés le chirurgien.
donc on peut faire qu'une partie de la chimio par perf periferique avec 4 heure de retard (c'est le mot il me semble).
retour au bloc le lundi on pose une chambre.
je gerbe mes trips je vois l'oncologue qui chiale ca race enfin nan il fait la mou de quelqu'un sur le point de pleurer...
2 jour plus tard trop méga cool : résultat de la tumeur elle est localisé, pas de métastase
jeudi derniers je suis retourne chez moi.
depuis j'ai vu des amis jme suis promené sur paris et j'ai pas envie d'y retourner, à l'hosto....
et voila une semaine de passé depuis.
quand y'a pas que du négatif:
j'ai eu plusieurs infirmière vachement minione
(comme si c'était un critère de selection), en plus sympas ...en meme temps, manquerais plus que ca, qu'elle me fasse chier.
désolé mais jme relit pas flemmardise oblige...
aprés un pti sejour a l'hosto de 6 semaine, séjour due à un pti bilan sanguin où on constate moultes anomalies : méga-infection anémie anomalie au foie (le foi jaune est de rigueur
2 semaine en pneumo puis changement d'hosto avec un professeur de medecine en medecine interne.
des tas et des tas de prise de sang, des tubes pour des émoc', pour des analyse immunitaire ou génétique. perfusion, scaner pepscan emg orl echo cardiaque echo radio poumouns biopsie foie ovaire muscle syntigraphie...
aprés-durant tout ca on m'annonce que les premiers syndrome de paralysie que jai eu en 2005 pourait étre due a mon cancer,
enfin ca a pa été annoncé comme ca jvous rassure.
ils ont été trés soft,
mais j'ai quand même cru devenir folle
bon aprés il se trouve que tout ca (electrochocs isolement avec des infirmière de merde larguage loupage ...) a peut étre probablement entrainer une catatonie qui s'est rajouté au reste des syndrome paralitique.
donc après une nuit d'intérogation
et jme suis concentré (ouais j'y arrivais, meme si j'avais 40 de fièvre) sur "est ce qu'il vont finir par savoir si c'est cancereux, est ce qu'il vont me le dire???"
donc lorsque je vois l'interne rentrer dans ma chambre avec les yeux rouge de quelqu'un qui a pleuré, me suis dis "tiens soit elle a passé une salle journée soit jvais y rester"...
la ils ne connaissait pas encore les resultat de la tumeur et ne savait pas si c'était métastasé...et la il ne m'avait toujours pas dis que j'avais un cancer, mais bon jmétais déja faite opéré et jm'étais dis c'est pas pour rien qu'il ont retirer le kist.
finalement aprés plusieurs indices qui m'ont permis de comprendre.
j'ai fini par sortir le mot cancer (au risque de passer pour une parano si ca n'était pas ca) parcequ'ils n'étaient pas prés de le prononcer..., évidement quand on regarde un dossier et qu'on voit écrit "catatonie" dans les antécedents, on évite de provoquer une crise cardiaque chez son patient, ca sré balo.
donc ils m'avaient proposer une permission pour le week end mais étant donné que j'avait découvert le terible secret qui planait sur moi
j'ai préféré samedi
retour o bloc samedi et merde :un truc qui déconne : trop de douleur malgres l'anesthésie faut faire aileurs donc y tennte ailleurs et ca redécone :c a monte dans la jug; ce qui arrive qu'une ou 2 fois par ans d'aprés le chirurgien.
donc on peut faire qu'une partie de la chimio par perf periferique avec 4 heure de retard (c'est le mot il me semble).
retour au bloc le lundi on pose une chambre.
je gerbe mes trips je vois l'oncologue qui chiale ca race enfin nan il fait la mou de quelqu'un sur le point de pleurer...
2 jour plus tard trop méga cool : résultat de la tumeur elle est localisé, pas de métastase
jeudi derniers je suis retourne chez moi.
depuis j'ai vu des amis jme suis promené sur paris et j'ai pas envie d'y retourner, à l'hosto....
et voila une semaine de passé depuis.
quand y'a pas que du négatif:
j'ai eu plusieurs infirmière vachement minione
désolé mais jme relit pas flemmardise oblige...