Ganymède a écrit :En ce qui me concerne, je passe "ma soirée" avec mon meilleur ami à divaguer le soir sur Msn, la journée, soit je sis dans un état léthargique soit je sors avec des amis au ciné, en boîte ou je déambule dans Paris ou je peux très bien me morfondre ou je rencontre des nouvelles têtes et écoute leur problèmes pour oublier les miens ^^
En ce qui me concerne, j'ai envie de m'asseoir dans une chaise, au calme, d'ouvrir la fenêtre, et par-delà le feuillage des arbres de mon jardin secret, contempler l'horizon qui me tend sa main, en m'attirant vers de nouvelles aventures...
Je viens de voir le très beau docu sur De Gaulle sur FR3, d'où une comparaison euh... arboricole...
Ganymède a écrit :En ce qui me concerne, je passe "ma soirée" avec mon meilleur ami à divaguer le soir sur Msn, la journée, soit je sis dans un état léthargique soit je sors avec des amis au ciné, en boîte ou je déambule dans Paris ou je peux très bien me morfondre ou je rencontre des nouvelles têtes et écoute leur problèmes pour oublier les miens ^^
En ce qui me concerne, j'ai envie de m'asseoir dans une chaise, au calme, d'ouvrir la fenêtre, et par-delà le feuillage des arbres de mon jardin secret, contempler l'horizon qui me tend sa main, en m'attirant vers de nouvelles aventures...
Je viens de voir le très beau docu sur De Gaulle sur FR3, d'où une comparaison euh... arboricole...
Je crois que dans tous les cas il faut réagir très vite, sinon on risque de s'enfoncer pour longtemps dans les doutes et la douleur. La fin d'une chose, c'est toujours le début d'une autre, c'est sur ça qu'il faut compter.
Voyons le bon côté des choses : je n'aurai plus à laver et ranger ses slips et ses chaussettes, à me farcir les repas chez ses parents ou chez ses amis dont certains m'agacent franchement, j'aurai toute la place dans le lit, je pourrai manger/acheter/virer/changer ce que je veux quand je veux, plus d'encroûtage pépère, du renouveau dans ma vie sexuelle, plus à justifier mes retards, pouvoir regarder passer une beauté fatale sans avoir de reproches, etc.
Et la pire des choses : "on reste bons amis".... Il faut trancher, à mon avis, au moins dans un premier temps. Il s'en va, ou je le quitte : tant mieux, vive la liberté retrouvée !
Quant aux "on ne m'y reprendra plus, je serai plus prudent, c'st moi qui mènerai la danse...", rassurez-vous, ça passe, on retombe avec joie dans le panneau à chaque fois !
Je doute que l'on puisse bien vivre une rupture, sauf quand elle est consentie des deux cotes et que c'est une rupture mutuelle... auquel cas tout le monde recupere ses billes et tout va bien dans le meilleur des mondes.
Bon le probleme c'est toujours quand il y a un quitteur et un quitté... et dans ces cas la ca depend toujours des gens...
Avec le temps, on apprend à gérer... Bien sûr que ce n'est jamais facile, ni pour celui qui part, ni pour celui qui reste. Mais il faut avoir conscience que toute chose a une fin ; et ne garder en mémoire que les bons moments. Je crois que l'important est d'être toujours honnête et sincère vis-à-vis de l'autre, et savoir se séparer quand cela devient inévitable. On n'est pas obligé de rompre en détruisant tout, on peut rompre en parlant, en expliquant les choses...
Comme ça a été dit sur ce forum, aimer quelqu'un, c'est aussi accepter un jour de le laisser partir si la relation ne le satisfait plus. Facile en théorie, difficile en pratique, mais pourtant cela permet de ne pas confondre amour et amour-propre... Il faut savoir faire taire son amour-propre, quelquefois. Et il y a tellement de choses à vivre dans une existence. Chaque histoire apporte quelque chose...
Voilà, j'aurais besoin de vos conseils:
J'ai un copain depuis quelques mois, il est fou amoureux de moi, moi je l'étais aussi au début, mais plus maintenant. En plus, je change de continent dans quelques semaines, lui tiens à tout prix à continuer notre relation malgré le mur de l'Océan, moi je n'y tiens guère car je ne pense pas que cela puisse marcher (et puis une relation platonique, comment dire... y aurait pas quelque chose qui manque?).
Bref, j'aimerais casser au plus tôt (il rentre de vacances le 8 janvier) mais surtout sans lui faire trop de mal parce que c'est un vrai amour... mais d'un autre côté, j'aimerais avoir l'esprit plus libre pour préparer mon départ et profiter à fond de mes derniers jours ici, donc cela veut dire casser réellement, avant mon départ, et non laisser le temps et l'éloignement le faire pour moi. Je ne sais pas trop comment le lui dire, on a eu une relation vraiment fabuleuse, et puis il a déjà fait des plans romantiques pour son retour! Il m'écrit beaucoup avec toujours beaucoup d'amour dans ses messages et ça me briserait le coeur de lui faire du mal, mais je ne peux plus lui répondre quand il me dit qu'il m'aime.
Comme c'est mon premier petit copain et ma première relation sentimentale, je ne sais pas du tout comment casser "proprement", avec diplomatie et sans trop faire mal: jusqu'à présent, seules quelques filles très téméraires s'étaient aventurées sur mon territoire et elles n'avaient trouvé qu'une aridité désertique qui les avaient fait me lâcher d'elles-mêmes avec le temps sans que j'intervienne (ce qui m'évitait d'ailleurs de leur avouer en même temps que de m'avouer mon homosexualité). Mais là, c'est plus fort, c'était une vraie relation, très intense et profonde pour nous deux, pleine de joie et de bonheur (c'est grâce à lui que j'ai découvert le bonheur et ma capacité à aimer, tout ce dont je ne me croyais pas capable et que je pensais réservé aux autres... même à 23 ans, il n'est jamais trop tard!). J'étais aussi de mon côté son premier vrai petit copain.
Alors j'attends vos conseils avisés: vous, dans de pareilles circonstances, qu'avez-vous fait, que ne faut-il pas faire, que regrettez-vous d'avoir fait, qu'aimeriez-vous que l'on vous dise?
D'accord avec Shuin, il y aura de la douleur... et pas seulement chez lui. Mais, si comme tu le dis, il n'y a plus assez de braise pour raviver le feu amoureux, tu n'as qu'à le lui dire simplement. Evite le SMS, c'est plus sympa, même si par corollaire, c'est moins aisé à faire (je ne suis pas un bon exemple de ce côté-là ). Ne te prends pas la tête, et ne pense surtout pas aux sentiments que l'autre va éprouvé, sinon, dans dix ans, tu y es encore. Une bonne mise au point et basta... Et puis, petit conseil enccore, même si vous souhaitez rester amis, prends un peu le large quand même avant de poursuivre une relation amicale.
Bon courage!