Vous et le psy?
Oui moi je suis suivi par une psy depuis environ 6 mois pour mon problème d'identité sexuelle , ce suivi à pour but d'aboutir à un traitement hormonal mais je ne sais pas encore quand il pourra commencer... je suis trop impatient.
Sinon les séances sont parfois douloureuse, ça me rappelle beaucoup de mauvais souvenirs de ma vie et je pleure très souvent.
Sinon les séances sont parfois douloureuse, ça me rappelle beaucoup de mauvais souvenirs de ma vie et je pleure très souvent.
J'avoue avoir eu un peu de mal avec les psys
Je me rappelle du premier que j'ai rencontré et qu'a réussi l'exploit de me sortir que j'étais un menteur au bout de 5 minutes. Ca met vachement en confiance
Du coup j'ai évité les psys pendant un certain temps avant de me rendre compte que ca n'allait pas le faire si je n'en voyais pas un rapidement. Et là, ca se passe carrement mieux
J'ai donc suivi un traitement pendant une année environ, pour finalement arrêter (avec son accord tout de même). Et là je ne le vois plus depuis un an. Le truc un peu étrange, c'est que j'avais l'impression qu'il était un peu largué par ce que je lui racontais, mais il a tout de même su quel traitement me donner et me dire de quoi je souffrais. Rien que pour ça, je lui tire mon chapeau ^^
Je me rappelle du premier que j'ai rencontré et qu'a réussi l'exploit de me sortir que j'étais un menteur au bout de 5 minutes. Ca met vachement en confiance
J'ai donc suivi un traitement pendant une année environ, pour finalement arrêter (avec son accord tout de même). Et là je ne le vois plus depuis un an. Le truc un peu étrange, c'est que j'avais l'impression qu'il était un peu largué par ce que je lui racontais, mais il a tout de même su quel traitement me donner et me dire de quoi je souffrais. Rien que pour ça, je lui tire mon chapeau ^^
J'en ai jamais vu, j'estime avoir une assez bonne capacité de recul vis à vis de moi, du au manque de confiance et donc de remise en question perpetuel.
Mais bon récément un missié, avec qui j'ai battifolé et qui est psy, ma dit que je devrais voir un psychothérap, et que cela me permettrais de prendre plus vite en main mes capacités...
Je reste perplexe à cette idée, je ne la rejette pas. Mais l'argent me le permet pas de tout façon.
J'aurais surtout voulu savoir pourquoi il disait ça, aurait il reperé de légér blocage de ma part, des petites protections de mon inconscient? j'en sais rien et je ne sais pas plus de quel capacités il parlait.
Donc moi j'ai une question, pourquoi certains ont consulté?
Mais bon récément un missié, avec qui j'ai battifolé et qui est psy, ma dit que je devrais voir un psychothérap, et que cela me permettrais de prendre plus vite en main mes capacités...
Je reste perplexe à cette idée, je ne la rejette pas. Mais l'argent me le permet pas de tout façon.
J'aurais surtout voulu savoir pourquoi il disait ça, aurait il reperé de légér blocage de ma part, des petites protections de mon inconscient? j'en sais rien et je ne sais pas plus de quel capacités il parlait.
Donc moi j'ai une question, pourquoi certains ont consulté?
En même temps, t'avais pas eu une conversation vec l'Oracle du temps non plus, tu sais que y a des fois des gens qui adorent se la jouer sage du village, je serais toi, je prenderais sa remarque trés au second degré...Coolio a écrit : J'aurais surtout voulu savoir pourquoi il disait ça, aurait il reperé de légér blocage de ma part, des petites protections de mon inconscient? j'en sais rien et je ne sais pas plus de quel capacités il parlait.
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fredouille
- Messages : 8234
- Inscription : mer. juin 29, 2005 8:31 pm
Il me semble nécessaire de consulter lorsque des blocages deviennent handicapants... Et là bon courage pour les régler soi-même!
C'est possible, mais est-ce une solution ponctuelle ou définitive ? J'entends par là que si un problème est ancré en soi et que l'on n'en règle qu'une partie, l'autre se manifestera ultérieurement et peut-être sous une autre forme.
Psy, c'est des années de formation (normalement) et donc ça ne s'improvise pas pour aider les autres ou soi-même !
Alors, certes, il faut trouver le psy qui nous convient, c'est pas simple mais ça vaut le coup.
C'est possible, mais est-ce une solution ponctuelle ou définitive ? J'entends par là que si un problème est ancré en soi et que l'on n'en règle qu'une partie, l'autre se manifestera ultérieurement et peut-être sous une autre forme.
Psy, c'est des années de formation (normalement) et donc ça ne s'improvise pas pour aider les autres ou soi-même !
Alors, certes, il faut trouver le psy qui nous convient, c'est pas simple mais ça vaut le coup.
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sandoval
Non je ne vois pas un psy mais oui ça pourrait bien m'aider!
En tout cas histoire de faire avancer le schmilbik (ortho???). je reste persuadé que j'en aurais eu bien besoin y'a deux ans!
Maintenant,voir un psy me fout la trouille.Car je suis parano.Je pourrais me dire "et là,il est en train de penser quoi sur moi?" lol!
En tout cas histoire de faire avancer le schmilbik (ortho???). je reste persuadé que j'en aurais eu bien besoin y'a deux ans!
Maintenant,voir un psy me fout la trouille.Car je suis parano.Je pourrais me dire "et là,il est en train de penser quoi sur moi?" lol!
Coolio, quand on a la capacité de prendre du recul c'est bien. Mais, selon moi, la subjectivité de chacun(e) peut mener à mélanger recul et fuite.
Je crois qu'on est, en règle générale, assez complaisant avec soi-même et que la nécessité qu'un regard extérieur et relativement neutre intervienne est une bonne chose.
Certains blocages sont handicapants et douloureux et d'autres sont handicapants et indolores car non indentifiés.
Comment savoir, soi-même, si on ne bloque pas certaines de ses capacités parcequ'on ne les connaît pas ou que l'on ne veut pas les reconnaître et à quel moment est-il nécessaire de faire appel à une aide extérieure ?
Faut-il attendre d'être en crise pour consulter ou justement profiter de moments de "recul" pour le faire et pourquoi ?
C'est pas simple et c'est intéressant d'échanger nos impressions sur ce sujet.
Je crois qu'on est, en règle générale, assez complaisant avec soi-même et que la nécessité qu'un regard extérieur et relativement neutre intervienne est une bonne chose.
Certains blocages sont handicapants et douloureux et d'autres sont handicapants et indolores car non indentifiés.
Comment savoir, soi-même, si on ne bloque pas certaines de ses capacités parcequ'on ne les connaît pas ou que l'on ne veut pas les reconnaître et à quel moment est-il nécessaire de faire appel à une aide extérieure ?
Faut-il attendre d'être en crise pour consulter ou justement profiter de moments de "recul" pour le faire et pourquoi ?
C'est pas simple et c'est intéressant d'échanger nos impressions sur ce sujet.