
Croyez-vous au coup de foudre ?
coup de foudre oui je l'ai eu une fois dans ma vie et ce n'était pas réciproque ,l'homme en question est mon beau frère actuel!!c'était il y a ohhhhhhhhhh je ne sais plus 20 ans je pense!dès que j'ai croisé son regard ,je suis restée comme hypnotisée,fascinée par son charisme !le coeur qui bat plus vite ,une soif de tout savoir de lui,bref ce coup de foudre m'a valu de souffrir intérieurement toute seule en silence durant près de 16 ans!!donc foudroyée dans tous les sens du therme!
Bien sûr que ça existe
Je n'en ai eu qu'un mais je trouve cette sensation formidable.
Bien que le retour à la réalité soit dur -_-'
Aimer quelqu'un en l'ayant vu une seule fois, en l'ayant plutot entrevu, c'est génial je trouve
Même si, très [trop ?] souvent, ce sentiment n'est pas partagé
J'espère le revivre

Je n'en ai eu qu'un mais je trouve cette sensation formidable.
Bien que le retour à la réalité soit dur -_-'
Aimer quelqu'un en l'ayant vu une seule fois, en l'ayant plutot entrevu, c'est génial je trouve

Même si, très [trop ?] souvent, ce sentiment n'est pas partagé

J'espère le revivre

J'en ai vécu un réciproque mais je pense aujourd'hui que ce qu'on appelle coup de foudre est juste un empilement de hasards coïncidant les uns avec les autres à un moment donné.
En fait quand j'ai rencontré A., la première fille avec qui j'ai eu une histoire d'amour homo assumée, je l'ai trouvée époustouflante. A bien des points de vue, excessivement belle, un parfum enivrant, de la conversation, de l'humour, et des faiblesses apparentes qui ont tout de suite parlé à mon syndrome de Zorro... Tout ça dans les 5 premières minutes de notre première rencontre. Elle en face, m'a trouvée physiquement à son goût, a adoré mes cheveux comme tout le monde, mon parfum, ma tendance à prendre les choses à la rigolade, et probablement un truc rassurant que je dégage d'après mes proches.
Dans les 5 minutes de notre rencontre, les gens qui étaient avec nous, ont compris que nous allions être un couple en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Un couple passionnel, passionné, à la vie à la mort. Tout a dégringolé en moi, toutes mes certitudes ont foutu le camp, je ne la connaissais pas mais je l'aimais, à la folie.
A ce moment là, nous étions toutes les deux en manque affectif, toutes les deux en recherche d'une personne avec qui réussir à assumer une orientation sexuelle que nous avions mis du temps à accepter, toutes les deux à fleur de peau et toutes les deux enclines à se lancer dans une grande aventure romantique façon 18ème siècle avec lettres d'amûûûûûr et roses rouges. Elle avait par ailleurs besoin d'un grand soutien à cette période difficile de sa vie où elle traversait une phase douloureuse d'ennuis de santé, et j'ai toujours eu ce petit problème qui consiste à vouloir sauver les gens, même parfois malgré eux, en n'économisant pas ma peine. Tous les ingrédients étaient réunis pour un coup de foudre. J'ai longtemps cru que ça avait été le cas.
Aujourd'hui je pense juste que les événements de nos vies respectives étaient favorables à ce qu'on se crée ce coup de foudre, et que n'importe qui d'autre à ce moment là nous aurait fait craquer de la même façon. Je pense même qu'aujourd'hui que je me suis plus ou moins débarrassée de cette tendance Zorro, si je devais la rencontrer pour la première fois, elle n'aurait pas le même pouvoir sur moi.
Voilà en gros, je crois que le coup de foudre n'existe que si on croit qu'il existe. A compter du moment où l'on tente d'analyser les situations qui nous mené à ce moment, il perd de sa superbe pour ne rester qu'un tas de coïncidences heureuses. Ou pas...
En fait quand j'ai rencontré A., la première fille avec qui j'ai eu une histoire d'amour homo assumée, je l'ai trouvée époustouflante. A bien des points de vue, excessivement belle, un parfum enivrant, de la conversation, de l'humour, et des faiblesses apparentes qui ont tout de suite parlé à mon syndrome de Zorro... Tout ça dans les 5 premières minutes de notre première rencontre. Elle en face, m'a trouvée physiquement à son goût, a adoré mes cheveux comme tout le monde, mon parfum, ma tendance à prendre les choses à la rigolade, et probablement un truc rassurant que je dégage d'après mes proches.
Dans les 5 minutes de notre rencontre, les gens qui étaient avec nous, ont compris que nous allions être un couple en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Un couple passionnel, passionné, à la vie à la mort. Tout a dégringolé en moi, toutes mes certitudes ont foutu le camp, je ne la connaissais pas mais je l'aimais, à la folie.
A ce moment là, nous étions toutes les deux en manque affectif, toutes les deux en recherche d'une personne avec qui réussir à assumer une orientation sexuelle que nous avions mis du temps à accepter, toutes les deux à fleur de peau et toutes les deux enclines à se lancer dans une grande aventure romantique façon 18ème siècle avec lettres d'amûûûûûr et roses rouges. Elle avait par ailleurs besoin d'un grand soutien à cette période difficile de sa vie où elle traversait une phase douloureuse d'ennuis de santé, et j'ai toujours eu ce petit problème qui consiste à vouloir sauver les gens, même parfois malgré eux, en n'économisant pas ma peine. Tous les ingrédients étaient réunis pour un coup de foudre. J'ai longtemps cru que ça avait été le cas.
Aujourd'hui je pense juste que les événements de nos vies respectives étaient favorables à ce qu'on se crée ce coup de foudre, et que n'importe qui d'autre à ce moment là nous aurait fait craquer de la même façon. Je pense même qu'aujourd'hui que je me suis plus ou moins débarrassée de cette tendance Zorro, si je devais la rencontrer pour la première fois, elle n'aurait pas le même pouvoir sur moi.
Voilà en gros, je crois que le coup de foudre n'existe que si on croit qu'il existe. A compter du moment où l'on tente d'analyser les situations qui nous mené à ce moment, il perd de sa superbe pour ne rester qu'un tas de coïncidences heureuses. Ou pas...
Je vois ce que tu veux dire . Mais dire que le coup de foudre ne dépend que d'une conjoncture précise ne contredit pas son existence ^^ Au contraire. Donner une cause de "quelque chose" ne permet justement pas de le réfuter.
Mais oui je suis d'accord, le coup de foudre peut dépendre de nos aspirations, attentes, frustrations etc... ( bref tous les paramètres fixés par la "vie") mais de façon très inconsciente. De ce fait un coup de foudre à l'instant t n'aurait peut être pas été valable à l'instant t+dt ...
Après coup ( de foudre xD!) , on peut toujours donner un sens à notre passé, avec le recul on peut mettre en place des explications, mais il est probable qu'en changeant d'optique tu puisses aussi parvenir à la conclusion que le coup de foudre existe , héhé. Le sens du passé est dans une certaine mesure vierge face à celui qu'on lui confère à partir du présent.
Mais oui je suis d'accord, le coup de foudre peut dépendre de nos aspirations, attentes, frustrations etc... ( bref tous les paramètres fixés par la "vie") mais de façon très inconsciente. De ce fait un coup de foudre à l'instant t n'aurait peut être pas été valable à l'instant t+dt ...
Après coup ( de foudre xD!) , on peut toujours donner un sens à notre passé, avec le recul on peut mettre en place des explications, mais il est probable qu'en changeant d'optique tu puisses aussi parvenir à la conclusion que le coup de foudre existe , héhé. Le sens du passé est dans une certaine mesure vierge face à celui qu'on lui confère à partir du présent.
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- Inscription : dim. juil. 03, 2005 7:27 pm
Si c'est ça j'ai eu literalement le coup-de-foudreZeish a écrit :C'est quelque chose qui foudroie sur place au premier regard, grille le cerveau, laisse l'ensemble brûlant, et s'en va en laissant pas mal de dêgats derriere.Pygargue a écrit :C'est pas un coup de foudre, c'est un coup du sort, ou un rateau.Zeish a écrit :Oui.
Mais sans l'aspect réciproque.
Je maintiens ma définition.

Bien sur que j'y crois !
C't'un peu comme de demander : "et vous, vous croyez que le ciel est bleu ?"
La question maintenant est de savoir si j'ai envie d'en vivre un.
Pour avoir vécu cette chose é-pou-van-taille quand j'étais petit garçon et que je révisais mes leçons sans chanter, la réponse est : Plu-ja-mais
Bon maintenant, c'est comme la foudre, tu ne sais pas où ça va tomber. Mais j'ai de bons restes de défense (et encore heureux...) : faire des petits pas, se recroqueviller, ne pas se faire remarquer, attendre que ça passe
Évidemment, il m'en reste un indéniable côté fleur-bleue-niais, mais mâtiné d'infinie patience, de plein de relativisation marine et d'abattements soudains. On n'se refait pas. Enfin pas complètement.
C't'un peu comme de demander : "et vous, vous croyez que le ciel est bleu ?"
La question maintenant est de savoir si j'ai envie d'en vivre un.
Pour avoir vécu cette chose é-pou-van-taille quand j'étais petit garçon et que je révisais mes leçons sans chanter, la réponse est : Plu-ja-mais

Bon maintenant, c'est comme la foudre, tu ne sais pas où ça va tomber. Mais j'ai de bons restes de défense (et encore heureux...) : faire des petits pas, se recroqueviller, ne pas se faire remarquer, attendre que ça passe

Évidemment, il m'en reste un indéniable côté fleur-bleue-niais, mais mâtiné d'infinie patience, de plein de relativisation marine et d'abattements soudains. On n'se refait pas. Enfin pas complètement.
Dernière modification par Kliban le mar. avr. 21, 2009 6:00 pm, modifié 1 fois.
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- Messages : 2112
- Inscription : lun. août 13, 2007 12:42 pm
Kliban a écrit : Bien sur que j'y crois !
C't'n peu comme de demander : "et vous, vous croyez que le ciel est bleu ?"
La question maintenant es de savoir si j'ai envie d'en vivre un.
Pour avoir vécu cette chose é-pou-van-taille quand j'étais petit garçon et que je révisais mes leçons sans chanter, la réponse est : Plu-ja-mais![]()
Bon maintenant, c'est comme la foudre, tu ne sais pas où ça va tomber. Mais j'ai de bons restes de défense (et encore heureux...) : faire des petits pas, se recroqueviller, ne pas se faire remarquer, attendre que ça passe![]()
Évidemment, il m'en reste un indéniable côté fleur-bleue-niais, mais mâtiné d'infinie patience, de plein de relativisation marine et d'abattements soudains. On n'se refait pas. Enfin pas complètement.
Tout pareil

Mot pour mot

Et bien que l'expérience devrait aguerir l'âme et les sentiments, pan ! l'année dernière, j'ai rechutée


Même si mon histoire "rouge passion" n'a duré que deux mois, je ne regrette rien
