Je vais commencer par le côté agréable et intéressant.
Eilraet >> Il y a des bisexuels qui sont attirés par l’un puis par l’autre, généralement suivant l’attirance principale (physique ou sentimentale), les rencontres, les pensées allants vers un homme par exemple nous aveugle un peu, etc. C’est très sommaire, mais j’espère que tu te confirmeras ta bisexualité (ou homosexualité/hétérosexualité) assez rapidement, c’est un poids en moins.
En tout cas bienvenue

Tempérance >> Avec grand plaisir, j’espère bien mettre des participations d’hétéros et d’homos/lesbiennes

MecheRebeL >> Comptant de te compter dans la troupe ^^
J’éditerai pour les membres/sympathisants dans quelques jours.
Maintenant quelques points s’imposent, pour certains posts…
Le but n’est pas de nous enfermer dans des cases, mais de nous entraider. Pas de bol, on est obligé d’avoir une étiquette pour ça, il y a un ensemble de maux similaires aux gays et bis, un autre ensemble similaires aux hétéros et bis, et un autre ensemble qui ne l’est pas, et personne ne peut le nier.
Il n’est pas non plus question d’afficher cette étiquette, pour moi la sexualité n’est qu’une partie de la personnalité, elle ne se voit pas sur mon visage, je ne suis fière que de par mon acceptation, tout comme vous si tout va bien pour vous, et mon penchant pour aider mon prochain.
Un baryton ne travaille pas comme un ténor (causes : timbre, tessiture, passages, etc.), sans cette distinction le chanteur peut perdre sa voix. Encore une classification, seulement elle aussi elle est nécessaire. On ne peut pas traiter certains aspects de la bisexualité sans l’avoir vécu, tout comme un hétéro ne vient pas voir un gay en lui disant qu’il comprend ce que c’est, tout comme on ne peut pas tous comprendre ce que c’est que d’avoir un fils atteint de trisomie et tout ce que cela implique, les liens profonds et spéciaux. La bisexualité n’est pas une variante. Simple exemple : Un bi peut se demander s’il va réussir à mettre de côté son amour pour les hommes afin de fonder une famille avec la femme qu’il aime (d’où certains préjugés encore une fois spécifiques), ce partagera sentimentalement donc. Le gay verra déjà d’autres solutions, puisqu’il n’est pas question d’avoir une femme (sauf gay refoulé). Un hétéro n’aura pas de problème sur ce point.
Ce partage d’émotion entre la femme et la famille d’un côté, qui demande une fidélité et de la responsabilité, et l’amour du masculin de l’autre, qui peut le comprendre et l’avoir vécu mieux qu’un bi ?
Et puis, qui oserait dire, adhérant d’un forum de communauté profondément gay mais restant ouvert (ouvert au point de voir la bisexualité comme une classe qui doit se la fermer et rentrer dans les rangs des gays, cf certains posts “humoristiques”, au passage les préjugés/clichés ne sont qu’un petit point) que ce club, qui a pour but de faire parler les bisexuels de la bisexualité (on est quand même mieux placé non ?), n’a pas la même ambition que ce forum ?
Qui vous a conseillé d’aller dans un forum gay pour avoir le témoignage de ce vécu particulier et un appui certain, si ce n’est vous ? Quelqu’un qui avait la même pensé d’anti-classification ? C’est simplement contradictoire de faire comprendre que l’on n’a pas à faire un club de bi, et en même tant d’être dans un forum gay. On est là parce qu’on n’a pas les même problèmes, les même vécus que les hétéros, les bisexuels c’est pareil, qu’on se compare aux gays ou aux hétéros.
Classification, mais pas trop ? C’est ça ? Juste pour ma gueule ? Cool…
Pour finir mis à part le thème de la bisexualité, je ne vois pas de lien avec “ l’ancien ”, auquel je n’ai pas participé, et vu le bordel que c’était je ne m’y serais même pas approché. Sur ce, dans l’espoir (il m’en faut je crois) d’avoir à lire prochainement principalement des posts argumentés et dénués de plaisanteries lourdes, je vous invite à réfléchir un peu sur le “ Comment casser un petit projet d’aide en croyant faire les malins ”.