Vos rêves les plus fous

[inconnu n]

Au début, j'étais au milieu des invasions barbares, pendant plusieurs guerres, alors que les Barbares de l'intérieur étaient encore des fédérés de l'Empire Romain (qui servaient à défendre contre ceux de l'extérieur), et que ça restait encore un minimum ordonné. Puis je vivais le moment où les Barbares de l'intérieur faisaient sécession et que ça se mettait à partir dans tous les sens, tous se tapant dessus en gros. Mais plus comme un spectateur.

Ceci dit, je choisissais le royaume des Francs, de Clovis, pour aller vivre, et naturellement j'y allais à l'université, à la Sorbonne, pour faire mes études d'Histoire. Où j'assistais à une projection vidéo (oui on est toujours à l'ère de Clovis), sur les événements de la décennie précédente, les invasions (que j'avais toutes vécues donc). Avec comme assistance, mes anciens camarades de lycée.

Ensuite, on avait cours, dans mon lycée donc. Qui avait été rénové et était devenu une construction super moderne avec un plancher/plafond et des murs en verre, et un look un peu futuriste. Evidemment, je connaissais pas la nouvelle position des salles et donc arrivais en retard (après avoir été en plus retardé par un ancien camarade de collège), bon, ça c'est normal, je suis toujours en retard.

Et puis sur place, donc, je tiltais que j'étais en train de redoubler ma Terminale, et que j'allais avoir le même prof d'histoire que "l'an dernier" (la 1ère Terminale donc), le fameux prof nul, incapable de tenir une classe, avec qui tous les crabes de la classe foutaient le bordel sans arrêt. J'avais donc un moment de désespoir. Puis mon meilleur ami (qui a jamais été en cours avec moi, plus âgé) se pointait et s'asseyait pas loin de moi...son rouleau de PQ vide à la main.

Et ensuite, le prof arrivait et le cours démarrait, et partait en suçette rapidement, mais des filles commençaient à faire un câlin au prof pour le réconforter et des garçons à lui faire des blagues, et il se mettait à sourire. Et là, ça devenait vraiment awkward puisque des filles, du coup, voulaient faire des câlins à tout le monde (y compris moi, alors que moi sans façon). Donc, je me barrais, et partais me promener après avoir lançé ma paire de chaussures sur un fil tendu dans la rue (oui, je voulais être pieds nus dehors mais pas laisser mes chaussures comme ça, je voulais les retrouver en rentrant).

[Blinded]

Cette nuit, j'ai rêvé que j'étais en couple avec une amie de fac, qu'on était tout les deux bi et qu'on partait en soirée transpédégouines pour finir par faire un plan à trois avec une version de 25 ans de John Barrowman...

Weirdest dream ever...

[floridjan]

J'ai rêvé que l'on me remettait la légion d'honneur. Et c'est Sarkozy qui me l'accrochait...

[Rafael]

Je préparais un plateau pour le petit-déjeuner sur lequel il n'y avait que des bouteilles en plastique, sauf une, en verre. C'était évidemment insupportable pour moi de ne pas avoir une homogénéité dans mes bouteilles, donc j'appelais le fabricant pour savoir s'il pouvait changer ses bouteilles. Je me suis réveillé avant d'avoir une réponse

[Cactus moribond]

C'est pas le plus fou, mais c'était bizarre cette nuit. Vous êtiez tous là, dans un grand chez moi avec parc et tout, tous. Donc ceux que je connais dans la vraie vie quasi réelle, c'est à dire peu, ça va, ils avaient leurs têtes "originales", mais ceux que je ne connais pas je les voyais avec des têtes et corps que j'imagine, par vos pseudos, vos écrits ; c'était pas toujours jolijoli. .
Bref, c'était genre grosse teuf-meating, sur 3 jours non-stop, avec plein d'ambiances différentes selon l'endroit ; et je fricotais doucement avec l'une d'entre vous (en essayant de ne pas me faire gauler par ma meuf). C'était bien.

[Nomade]

Moi j'ai rêvé que je jouais à un jeu de société inconnu avec (entre autres) Lyanes et Sacha. J'étais le seul à ne pas connaître les règles et personne ne m'expliquait, les gens se contentant de me dire, à chaque connerie que je faisais (c'est-à-die à chaque mouvement), que je n'aurais pas dû faire ça.
Vu ma patience légendaire et le fait que je sais perdre avec élégance, ça ne m'énervait presque pas.

[floridjan]

C'est pas le plus fou, mais c'était bizarre cette nuit. Vous êtiez tous là, dans un grand chez moi avec parc et tout, tous. Donc ceux que je connais dans la vraie vie quasi réelle, c'est à dire peu, ça va, ils avaient leurs têtes "originales", mais ceux que je ne connais pas je les voyais avec des têtes et corps que j'imagine, par vos pseudos, vos écrits ; c'était pas toujours jolijoli. .
Bref, c'était genre grosse teuf-meating, sur 3 jours non-stop, avec plein d'ambiances différentes selon l'endroit ; et je fricotais doucement avec l'une d'entre vous (en essayant de ne pas me faire gauler par ma meuf). C'était bien.

Bon ben il ne te reste plus qu'à l'organiser ce meating géant !

[Eustache]

Tous ? Mince alors, j'y étais aussi ? J'avais quelle tête ?

(Oui, je suis curieux de l'image que je renvoie, je l'avoue )

[Cactus moribond]

Tous ? Mince alors, j'y étais aussi ? J'avais quelle tête ?

(Oui, je suis curieux de l'image que je renvoie, je l'avoue )

Oui, c'est ça qui est fou ! Ce rêve m'a tenue toute la nuit tellement il était long. Et toi tu avais un casque de jockey avec un gros "144" gravé dessus.

[Eustache]

Tous ? Mince alors, j'y étais aussi ? J'avais quelle tête ?

(Oui, je suis curieux de l'image que je renvoie, je l'avoue )

Oui, c'est ça qui est fou ! Ce rêve m'a tenue toute la nuit tellement il était long. Et toi tu avais un casque de jockey avec un gros "144" gravé dessus.

Curieux, j'ai pourtant dit nulle part que j'aimais les étalons...