
Mais cette fille est la championne de la mauvaise foi toutes catégories confondues. Elle admettra jamais qu'elle a tort, c'est donc d'autant plus jouissif de lui démontrer.

Ca me rappelle un été, grosse chaleur, la voiture devant moi qui démarre au feu qui passe vert, et qui s’arrête 20 mètres plus tard, en plein milieu du carrefour. Forcément, je m’arrête, maugréant.Erual a écrit :Aujourd'hui, j'ai tenté avec 3 autres gens d'aider un homme dans le métro qui avait des difficultés à respirer. Des GROSSES difficultés à respirer. Dans le genre impressionnant, j'aurai même pu m'évanouir si j'avais pas pris sur moi à ce moment là. J'ai eu peur. Et surtout, j'ai cru pendant un moment que j'allais voir mourir un homme juste devant moi. Il réussissait plus ou moins à répéter "MON COEUR, MON COEUR, JE PEUX PAS RESPIRER" en tapant sa main contre son corps. Je vous jure on sentait sa souffrance dans ses gestes, j'ai mis quelques heures à m'en remettre, et encore c'est parce que j'avais un truc important juste après que j'ai pu passer à autre chose.
Euh... bah sinon la vie est belle
Je me prend le choux avec des Notes de droits d'auteur c'est tellement passionnant que j'en ai le téton qui pointe dis donc.Norma a écrit :Aller saisir la compta du mois de mars.
Vous comprendrez que je repousse, mais ça me vaudra ma place au paradis.
Cactus moribond a écrit : Ca me rappelle un été, grosse chaleur, la voiture devant moi qui démarre au feu qui passe vert, et qui s’arrête 20 mètres plus tard, en plein milieu du carrefour. Forcément, je m’arrête, maugréant.
La conductrice sort, paniquée, va vers la place arrière, et sort un bébé, inerte, tout bleu. Je suis restée figée quelques secondes, le souffle coupé et le coeur en vrac. La femme criait, appelait à l'aide, embrassait le bébé, c’était terrible, au point que sa panique m'envahissait. Je suis sortie, j'ai tenté trois mots d'apaisements idiots, je ne connaissais pas le numéro des urgences, je cherchais sur mon téléphone portable dans un stress épouvantable, sous les pleurs de la mère et sous l'inertie du bébé qui mourrait, je commençais à avoir juste envie de pleurer aussi, face à mon impuissance et à mon manque de sang froid.
Oui, ça m'a longtemps hanté cette scène.Erual a écrit :Cactus moribond a écrit : Ca me rappelle un été, grosse chaleur, la voiture devant moi qui démarre au feu qui passe vert, et qui s’arrête 20 mètres plus tard, en plein milieu du carrefour. Forcément, je m’arrête, maugréant.
La conductrice sort, paniquée, va vers la place arrière, et sort un bébé, inerte, tout bleu. Je suis restée figée quelques secondes, le souffle coupé et le coeur en vrac. La femme criait, appelait à l'aide, embrassait le bébé, c’était terrible, au point que sa panique m'envahissait. Je suis sortie, j'ai tenté trois mots d'apaisements idiots, je ne connaissais pas le numéro des urgences, je cherchais sur mon téléphone portable dans un stress épouvantable, sous les pleurs de la mère et sous l'inertie du bébé qui mourrait, je commençais à avoir juste envie de pleurer aussi, face à mon impuissance et à mon manque de sang froid.![]()
même si c'est passé quoi.