
Polpinette et le mystère du démonte-pneus pailleté.
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Petite galerie de portraits commentés par les intéressés...

Polpinette : "C'était au mois de juin, à la fin de la première année de licence en Stagiarisme. Je n'étais pas encore Stagiaire mais j'allais le devenir... J'étais fière."

Sydney Foune : "Hihi ! Là c'est quand je tiens un grand bout de bois vertical avec ma main ! Mais j'ai pas tout compris, parce que le photographe il me dit, qu'en fait, c'est pas la peine, parce que il va pas tomber ! Ca a pris du temps, en plus, pour faire la photo, paske il fallait cadrer au poil pour avoir les petits carrés gris et bleus au bon endroit ! C'était trop trop trop dur ! On a dû la refaire au moins 8 fois !" (et elle montre 6 doigts)

Raymonda : "Je suis dans le salon de l'hôtel, je feuillette un livre sur l'Indochine, vous savez, l'endroit où on a envoyé mon Edmond en 1967... Oh mon doux Edmond..."

Polpinette : "C'était au mois de juin, à la fin de la première année de licence en Stagiarisme. Je n'étais pas encore Stagiaire mais j'allais le devenir... J'étais fière."

Sydney Foune : "Hihi ! Là c'est quand je tiens un grand bout de bois vertical avec ma main ! Mais j'ai pas tout compris, parce que le photographe il me dit, qu'en fait, c'est pas la peine, parce que il va pas tomber ! Ca a pris du temps, en plus, pour faire la photo, paske il fallait cadrer au poil pour avoir les petits carrés gris et bleus au bon endroit ! C'était trop trop trop dur ! On a dû la refaire au moins 8 fois !" (et elle montre 6 doigts)

Raymonda : "Je suis dans le salon de l'hôtel, je feuillette un livre sur l'Indochine, vous savez, l'endroit où on a envoyé mon Edmond en 1967... Oh mon doux Edmond..."
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Chapitre croix vé bâton : La crise économique au Laos 1953-1958
- D'un démonte-pneus pailleté de rose, comme celui que j'ai trouvé dans ma chambre ce matin ? cria Sydney.
- Oui tu l’as déjà dit à la fin du chapitre précédent ! J’ai compris chuis pas sourde ! répondit Polpinette. Mais pourquoi tu n’en as pas parlé avant ?
- Bah au début j’ai pensé que c’était le vibromasseur de Karen… J’étais toute émue, c’était une proposition indécente, depuis le temps que je voulais que Karen me propose des choses obscènes. Alors je suis allée dans sa chambre mais elle n’y était pas. C’était bien dommage, et l’excitation m’enivrait. Je suis rentrée dans ma chambre pour… enfin pour tester l’objet. Mais je ne savais pas le faire marcher… Je ne savais pas sur lequel des quatre grands manches mettre les piles. Et puis comme aucune ne rentrait, j’ai démonté une prise et branché les fils sur ce que je croyais être un vibro. Ca a fait ZZZZIIIIISSSSHHHHH. Je me suis évanouie et quand je me suis réveillée le démonte-pneus avait disparu. Je me suis regardée dans le miroir, je ressemblais à Grace Jones dans Conan le Barbare : cheveux dressés sur la tête, le visage noirci et les vêtements en haillons. Mais les films intello très peu pour moi. Alors je me suis pomponnée pour avoir un look plus fashion : chemisier turquoise, jupe orange et salomés beiges. J’ai trouvé ça chez ADT Quart-monde, j’étais ravie ! Ca m’a rappelé quand j’étais toute petite et qu’on allait chez ADT Quart-monde avec ma grand-mère et qu’ensuite on rentrait pour faire des crucifix à partir de vieux démonte-pneus qu’on allait vendre à la sortie de la messe. Et là ça a été le flash. C’était un démonte-pneus et pas le vibromasseur de Karen.
- Tu dis que Karen n’était pas dans sa chambre ? Il était quelle heure ?
- Je rentrais du remue ménage de 4.07 quand j’ai trouvé le démonte-pneus… Je suis allée dans sa chambre vers 4.30.
Polpinette se retourna vers Karen :
- Que faisais tu debout à 4.30 du matin ?
- Je… euh… je répétais… Mais tu ne vas pas m’accuser ?
- Reconnais que ton attitude est suspecte… Tu étais debout à l’heure du crime.
- Dans ces cas là demande à Rémi pourquoi il communiquait avec Yoann sur un forum gay !
Karen se retira drapée de fierté et de sa capeline jaune-soleil dans un grand mouvement théâtral qui mettait en valeur son sourire carnassier. Prise dans son élan la malheureuse fit un tour complet sur elle-même au lieu d’un demi-tour. Prise de vertige elle s’affala comme une bouse.
Pendant ce temps Remi avait disparu. Laissant derrière lui une piste humide de taches de sueurs sur le ciment de la terrasse puis sur les pas japonais qui conduisaient aux poubelles de l’hôtel. C’est à ce moment que Jessica Fletcher surgit :

Mais où est passé Rémi ? Et en attendant ils sont toujours pas partis pour les légumes transexuels… Qu’est ce qu’ils glandent ? ils auraient pu faire la même chose en chemin ! Vous croyez qu’on peut vraiment confondre un démonte-pneus avec un vibromasseur ? En tous cas j’ai pas essayé… Quelqu’un a essayé ? ça vaut le coup ?
- D'un démonte-pneus pailleté de rose, comme celui que j'ai trouvé dans ma chambre ce matin ? cria Sydney.
- Oui tu l’as déjà dit à la fin du chapitre précédent ! J’ai compris chuis pas sourde ! répondit Polpinette. Mais pourquoi tu n’en as pas parlé avant ?
- Bah au début j’ai pensé que c’était le vibromasseur de Karen… J’étais toute émue, c’était une proposition indécente, depuis le temps que je voulais que Karen me propose des choses obscènes. Alors je suis allée dans sa chambre mais elle n’y était pas. C’était bien dommage, et l’excitation m’enivrait. Je suis rentrée dans ma chambre pour… enfin pour tester l’objet. Mais je ne savais pas le faire marcher… Je ne savais pas sur lequel des quatre grands manches mettre les piles. Et puis comme aucune ne rentrait, j’ai démonté une prise et branché les fils sur ce que je croyais être un vibro. Ca a fait ZZZZIIIIISSSSHHHHH. Je me suis évanouie et quand je me suis réveillée le démonte-pneus avait disparu. Je me suis regardée dans le miroir, je ressemblais à Grace Jones dans Conan le Barbare : cheveux dressés sur la tête, le visage noirci et les vêtements en haillons. Mais les films intello très peu pour moi. Alors je me suis pomponnée pour avoir un look plus fashion : chemisier turquoise, jupe orange et salomés beiges. J’ai trouvé ça chez ADT Quart-monde, j’étais ravie ! Ca m’a rappelé quand j’étais toute petite et qu’on allait chez ADT Quart-monde avec ma grand-mère et qu’ensuite on rentrait pour faire des crucifix à partir de vieux démonte-pneus qu’on allait vendre à la sortie de la messe. Et là ça a été le flash. C’était un démonte-pneus et pas le vibromasseur de Karen.
- Tu dis que Karen n’était pas dans sa chambre ? Il était quelle heure ?
- Je rentrais du remue ménage de 4.07 quand j’ai trouvé le démonte-pneus… Je suis allée dans sa chambre vers 4.30.
Polpinette se retourna vers Karen :
- Que faisais tu debout à 4.30 du matin ?
- Je… euh… je répétais… Mais tu ne vas pas m’accuser ?
- Reconnais que ton attitude est suspecte… Tu étais debout à l’heure du crime.
- Dans ces cas là demande à Rémi pourquoi il communiquait avec Yoann sur un forum gay !
Karen se retira drapée de fierté et de sa capeline jaune-soleil dans un grand mouvement théâtral qui mettait en valeur son sourire carnassier. Prise dans son élan la malheureuse fit un tour complet sur elle-même au lieu d’un demi-tour. Prise de vertige elle s’affala comme une bouse.
Pendant ce temps Remi avait disparu. Laissant derrière lui une piste humide de taches de sueurs sur le ciment de la terrasse puis sur les pas japonais qui conduisaient aux poubelles de l’hôtel. C’est à ce moment que Jessica Fletcher surgit :

Mais où est passé Rémi ? Et en attendant ils sont toujours pas partis pour les légumes transexuels… Qu’est ce qu’ils glandent ? ils auraient pu faire la même chose en chemin ! Vous croyez qu’on peut vraiment confondre un démonte-pneus avec un vibromasseur ? En tous cas j’ai pas essayé… Quelqu’un a essayé ? ça vaut le coup ?
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Miranda : "Si je me souviens bien c'était en 1987 au camp des enfants abandonnés de Sainte Marie. On m'a confié le port du Truc Noir qui symbolise le péché et la rédemption. Il fallait être très concentrée et pendant plusieurs minutes j'ai ressenti la foi. Doux Jésus, comme cette semaine m'a marquée... je n'étais plus la même."

Mirlinda : "Bonjour bel(le) inconnu(e)... Ca ne vous dérange pas si je me masse les seins ? J'ai reçu le prix Nobel d'Or du meilleur rôle le plus tactile, vous savez... Des années d'entraînement... Mais testez-donc, ne vous gênez pas..."

Yoann : "looooool a non pa cel la pitiais! jaV 8 an é je mété déguiz en ari poteur c 1 copine, kété dan ma class ki avé pri la tof!!! chui tro chelou la jpensé pa kL lavé tjrs!! kkun peu lenlevé? svp svp svp svp jfé choukin la mdrrr"
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Chapitre 17 : oh quelle étrange affaire, dans mon coeur, ce mystère
Jessica Fletcher portait un genre de costume multicolore volontairement nimporte-nawakesque. Ses cheveux étaient orange fluo et elle sautillait partout dans des boots compensées vert pomme en tenant une baguette magique en forme de boîte à ciseaux.
- Abracadabra, mon humeur et moi, changeons de peau à chaque fois ! J'formule un truc qui les laisse coi, abracadabrant peut-être mais pour moi, c'est très envoûtant sans colorant.
Il n'y avait plus un bruit. Tout le monde la regardait fixement et se demandait ce qu'elle venait faire là. Sa carrière était finie, la machine à écrire avait été fondue pour faire des boulons de 12, les scripts déchirés, les bouquins émiéttés et les rediffs vendues aux télévisions cryptées du Groënland pour diffusion la nuit du mardi au mercredi vers 2h du matin (heure polaire). La presse people ne la mentionnait plus que dans la rubrique "les empaillés vivants".
- Les coups d'marteau, que tu t'donnes sur la tête, t'aideront pas à comprendre, l'existence est si bête, dit calmement Polpinette. Et quand des fois t'es heureuse, alors tu veux tout gâcher, tout détruire tout tuer, juste histoire de t'prouver qu'la vie est vraiment affreuse.
- Sache que ce coeur exsangue, pourrait un jour s'arrêter ! hurlait frénétiquement Jessica Fletcher. Peu à peu, je me déglingue, victime de ta cruauté !
- Je n'ai pas grand chose à te dire, ajoutait Polpinette, pas grand chose pour te faire rire, car j'imagine toujours le pire et le meilleur me fait souffrir.
La vieille folle se mettait à tourner sur elle-même en riant très fort.
- Pas préparée à me cacher derrière des vitres teintées, pas assurée contre les risques du métier. Pas décidée à me planquer dans un endroit protégé, pas limitée, aucune figure imposée ! Mwahahahaha !
- On ne change pas, lança Mickaël en soupirant. On met juste les costumes d'autres sur soi.
Elle se mit à se déhancher de façon hystérique.
- Oh toutes les nuits, avec mes copines, on s'amuse en chantant du Gershwin ! Oh toutes les nuits, avec mes copains, on s'amuse en chantant du Gershouin !
Elle ne se rendait pas compte qu'elle se rapprochait dangereusement d'une trappe de maintenance près de la piscine que les policiers avaient ouvert histoire de s'occuper 5 minutes.
- Je bascule à l'horizontale, démissionne ma vie verticale, maaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !
En une fraction de seconde, elle venait de perdre l'équilibre et avait chuté violemment de plusieurs mètres.
- Ca casse... dit tristement Miranda. Comme un vase en cristal contre le métal, issue fatale, éclat d'étoile...
- Comme l'alcool et les révolvers, c'est sauter en l'air, tomber par terre, boum ! fit Sydney.
- Repartie direct to Mexico ! souriait cyniquement Karen. Plus personne dans les couloirs, les poseurs, les voyeurs sont allés se faire s'voir !
Ay-je tont cachay may diffaywonceu, sous dayz aywwous day fo-somblonts ? Ay-je crou que d'autwe pa de donseu me cacheray aux ious day joncs ? Pouwquoi n'ay-je jamay souivi vos wouteu, ay-je voulu twaceay mon chemain ?
Jessica Fletcher portait un genre de costume multicolore volontairement nimporte-nawakesque. Ses cheveux étaient orange fluo et elle sautillait partout dans des boots compensées vert pomme en tenant une baguette magique en forme de boîte à ciseaux.
- Abracadabra, mon humeur et moi, changeons de peau à chaque fois ! J'formule un truc qui les laisse coi, abracadabrant peut-être mais pour moi, c'est très envoûtant sans colorant.
Il n'y avait plus un bruit. Tout le monde la regardait fixement et se demandait ce qu'elle venait faire là. Sa carrière était finie, la machine à écrire avait été fondue pour faire des boulons de 12, les scripts déchirés, les bouquins émiéttés et les rediffs vendues aux télévisions cryptées du Groënland pour diffusion la nuit du mardi au mercredi vers 2h du matin (heure polaire). La presse people ne la mentionnait plus que dans la rubrique "les empaillés vivants".
- Les coups d'marteau, que tu t'donnes sur la tête, t'aideront pas à comprendre, l'existence est si bête, dit calmement Polpinette. Et quand des fois t'es heureuse, alors tu veux tout gâcher, tout détruire tout tuer, juste histoire de t'prouver qu'la vie est vraiment affreuse.
- Sache que ce coeur exsangue, pourrait un jour s'arrêter ! hurlait frénétiquement Jessica Fletcher. Peu à peu, je me déglingue, victime de ta cruauté !
- Je n'ai pas grand chose à te dire, ajoutait Polpinette, pas grand chose pour te faire rire, car j'imagine toujours le pire et le meilleur me fait souffrir.
La vieille folle se mettait à tourner sur elle-même en riant très fort.
- Pas préparée à me cacher derrière des vitres teintées, pas assurée contre les risques du métier. Pas décidée à me planquer dans un endroit protégé, pas limitée, aucune figure imposée ! Mwahahahaha !
- On ne change pas, lança Mickaël en soupirant. On met juste les costumes d'autres sur soi.
Elle se mit à se déhancher de façon hystérique.
- Oh toutes les nuits, avec mes copines, on s'amuse en chantant du Gershwin ! Oh toutes les nuits, avec mes copains, on s'amuse en chantant du Gershouin !
Elle ne se rendait pas compte qu'elle se rapprochait dangereusement d'une trappe de maintenance près de la piscine que les policiers avaient ouvert histoire de s'occuper 5 minutes.
- Je bascule à l'horizontale, démissionne ma vie verticale, maaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !
En une fraction de seconde, elle venait de perdre l'équilibre et avait chuté violemment de plusieurs mètres.
- Ca casse... dit tristement Miranda. Comme un vase en cristal contre le métal, issue fatale, éclat d'étoile...
- Comme l'alcool et les révolvers, c'est sauter en l'air, tomber par terre, boum ! fit Sydney.
- Repartie direct to Mexico ! souriait cyniquement Karen. Plus personne dans les couloirs, les poseurs, les voyeurs sont allés se faire s'voir !
Ay-je tont cachay may diffaywonceu, sous dayz aywwous day fo-somblonts ? Ay-je crou que d'autwe pa de donseu me cacheray aux ious day joncs ? Pouwquoi n'ay-je jamay souivi vos wouteu, ay-je voulu twaceay mon chemain ?
Dernière modification par LucasIsCalling le lun. août 01, 2005 9:15 pm, modifié 1 fois.
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Le chapitre de la PEUR où l'on se prend la tête mais où l'angoisse monte d'un cran suite à de terrifiantes révélations.
La mort de Jessica Fletcher n'ayant pas spécialement bouleversé le cours de l'histoire, nos héros se décidèrent donc à suivre leur plan, c'est à dire à se bouger le cul, faire leurs putain de trois groupes de merde et se séparer, bordel, ça fait quinze jours qu'on en parle et personne ne le fait !
Ils s'en allirent donc :
Polpinette avec Sydney et Miranda à Trans'Légumes pour tenter de comprendre ce qui s'y passe
Rémi, Mickaël et Mirlinda, aux magasins de Poêles et inserts.
Quand à Brandon et Karen (et Blanquette la chèvre), dans les magasins de nutrition animale.
Raymonda, étant donné son grand âge, restait donc à Chomelix pour monter la garde avec son fusil à pompe.
Mais hélas, elle s'étiolait un peu dans le magnifique centre de sports et de loisirs maintenant que tous ces sympathiques petits jeunes étaient repartis vers Craponne.
Errant comme une âme en peine elle finit par arriver dans le très confortable salon-bibliothèque, et se dit qu'un peu de lecture dans un fauteuil moelleux ne lui ferait pas de mal.
Elle examina les tranches de livres, il y'avait :
"La Captive du Plaisir" de Gismunda Phoque-Yourasse, aux éditions Harlequin,
"Les hommes viennent de Mars et les hommes viennent aussi de Mars" par John Gay,
"The comics collection" de Tom Of Finland (éditions Taschen)
"Ma vie de prostituée cuir dans l'enfer de Saïgon (avec des photos)" par Exhiba Essème...
bref, que de l'eau de rose.
Cependant, une vieille reliure en peau de bête morte attira son attention.
Ce livre là semblait plus vieux que les autres et était recouvert d'une épaisse couche de poussière.
Elle souffla dessus pour en déchiffrer le titre, et fut prise de stupeur :
"Superstitions et Malediction Auvergnates Pour les Nuls"
Elle dechiffra ce qui semblait avoir été écrit avec du sang et une plume d'oie dans le grimoire et fut soudain prise d'un spasme de terreur en lisant la page qui lui était tombéé sous les yeux;
Saperlipopette !!! ça expliquait toutes ces morts mysterieuses, le sinistre de son hotel, et toute la vague d'évenements étranges et terrifiants qui s'abattaient sur la région en ce moment ! en plus, si ce qu'elle lisait était vrai, la situation en ferait qu' EMPIRER !!!!
Devant révélations à vous glacer le sang, elle mourut instantanément d'une rupture d'anévrisme, ses mains crispées sur le livre dont elle arracha involontairement la page fatidique avant de la rouler en boule dans sa main que la rigidité cadavérique allait bientôt sceller de manière inviolable.
Nos héros ne pourront ils donc jamais lire cette page ????
Si j'étais vraiment sadique j'arrêterais ce chapitre là. Mais je suis gentil et je vous en fais un fac-similé:
"Numérologie démoniaque pour les nuls :
CRAPONNE SUR ARZON = 8 * 3 * 5 = 120
or 120 = 1+ 2 + 0 = 3
cependant : DEMONTE PNEU = 7 + 4 = 11
et POLPINETTE = 10 lettres soit 1+0 donc 1
alors POLPINETTE et DEMONTE PNEU ça fait 11 et 1 alias 111
3*111 = 333
et comme MOT COMPTE DOUBLE : 666 !!!
donc (POLPINETTE + DEMONTE PNEU) * CRAPONNE SUR ARZON = 666 !!!!
LA MARQUE DE SATAAAAAAAN !!!!
La porte de l'enfer, située SOUS Craponne sur Arzon (d'un autre côté c'est fastoche vu que y'a que des volcans dans le coin) risque donc de s'ouvrir d'un instant à l'autre alors que nos héros inconscients y folâtrent gaiment !
c'est assez affreux.
c'est surtout méga-tiré par les cheveux,non ? pourquoi ça fait déjà deux vieilles qui meurent sans crier gare ? la canicule ? et que devient Seb ? et les musculeuses lesbiennes avec qui il est sont elles bien les filles de raymonda ? et si c'est le cas qui va leur annoncer qu'elles sont orphelines ? moi j'y arriverai jamais je suis bien trop sensible...
La mort de Jessica Fletcher n'ayant pas spécialement bouleversé le cours de l'histoire, nos héros se décidèrent donc à suivre leur plan, c'est à dire à se bouger le cul, faire leurs putain de trois groupes de merde et se séparer, bordel, ça fait quinze jours qu'on en parle et personne ne le fait !
Ils s'en allirent donc :
Polpinette avec Sydney et Miranda à Trans'Légumes pour tenter de comprendre ce qui s'y passe
Rémi, Mickaël et Mirlinda, aux magasins de Poêles et inserts.
Quand à Brandon et Karen (et Blanquette la chèvre), dans les magasins de nutrition animale.
Raymonda, étant donné son grand âge, restait donc à Chomelix pour monter la garde avec son fusil à pompe.
Mais hélas, elle s'étiolait un peu dans le magnifique centre de sports et de loisirs maintenant que tous ces sympathiques petits jeunes étaient repartis vers Craponne.
Errant comme une âme en peine elle finit par arriver dans le très confortable salon-bibliothèque, et se dit qu'un peu de lecture dans un fauteuil moelleux ne lui ferait pas de mal.
Elle examina les tranches de livres, il y'avait :
"La Captive du Plaisir" de Gismunda Phoque-Yourasse, aux éditions Harlequin,
"Les hommes viennent de Mars et les hommes viennent aussi de Mars" par John Gay,
"The comics collection" de Tom Of Finland (éditions Taschen)
"Ma vie de prostituée cuir dans l'enfer de Saïgon (avec des photos)" par Exhiba Essème...
bref, que de l'eau de rose.
Cependant, une vieille reliure en peau de bête morte attira son attention.
Ce livre là semblait plus vieux que les autres et était recouvert d'une épaisse couche de poussière.
Elle souffla dessus pour en déchiffrer le titre, et fut prise de stupeur :
"Superstitions et Malediction Auvergnates Pour les Nuls"
Elle dechiffra ce qui semblait avoir été écrit avec du sang et une plume d'oie dans le grimoire et fut soudain prise d'un spasme de terreur en lisant la page qui lui était tombéé sous les yeux;
Saperlipopette !!! ça expliquait toutes ces morts mysterieuses, le sinistre de son hotel, et toute la vague d'évenements étranges et terrifiants qui s'abattaient sur la région en ce moment ! en plus, si ce qu'elle lisait était vrai, la situation en ferait qu' EMPIRER !!!!
Devant révélations à vous glacer le sang, elle mourut instantanément d'une rupture d'anévrisme, ses mains crispées sur le livre dont elle arracha involontairement la page fatidique avant de la rouler en boule dans sa main que la rigidité cadavérique allait bientôt sceller de manière inviolable.
Nos héros ne pourront ils donc jamais lire cette page ????
Si j'étais vraiment sadique j'arrêterais ce chapitre là. Mais je suis gentil et je vous en fais un fac-similé:
"Numérologie démoniaque pour les nuls :
CRAPONNE SUR ARZON = 8 * 3 * 5 = 120
or 120 = 1+ 2 + 0 = 3
cependant : DEMONTE PNEU = 7 + 4 = 11
et POLPINETTE = 10 lettres soit 1+0 donc 1
alors POLPINETTE et DEMONTE PNEU ça fait 11 et 1 alias 111
3*111 = 333
et comme MOT COMPTE DOUBLE : 666 !!!
donc (POLPINETTE + DEMONTE PNEU) * CRAPONNE SUR ARZON = 666 !!!!
LA MARQUE DE SATAAAAAAAN !!!!
La porte de l'enfer, située SOUS Craponne sur Arzon (d'un autre côté c'est fastoche vu que y'a que des volcans dans le coin) risque donc de s'ouvrir d'un instant à l'autre alors que nos héros inconscients y folâtrent gaiment !
c'est assez affreux.
c'est surtout méga-tiré par les cheveux,non ? pourquoi ça fait déjà deux vieilles qui meurent sans crier gare ? la canicule ? et que devient Seb ? et les musculeuses lesbiennes avec qui il est sont elles bien les filles de raymonda ? et si c'est le cas qui va leur annoncer qu'elles sont orphelines ? moi j'y arriverai jamais je suis bien trop sensible...
Chapitre Producteur ch. désespérement rédacteurs pour polpi saison 5. bon salaires. staff sympa, bonne ambiance. pti dej gratuit. contactez les éd. heum heum productions 6 rue de tourcoing-la-vallée-sur-mane-dans-le-lac-d'auberbille-sur-pont-de-jussieux-d'alnay Crampone-sur-arazon cedex 666
A la mémoire de celle qui n'est ni bègue ni monomaniaque.
Morte électrocutée en faisant l'amour à un grille-pain Seb; le salaud, il l'a eu.
Miranda: Oh regarde un paysan ! Demandons-lui notre chemin. Bonjour monsieur, nous venons du centre multi-activités et nous cherchons Trans'Légumes, sauriez-vous pr le plus grand des hasard où cela se trouve ?
Le paysan: Oh ééé, mais dis voil, c'ti pas ici ça, c'est le ch'tit Alain qui s'occupe d'ça au villëge de Seyres... et ici v'z'êtes à Eyravas mes jolies ! Va f'lloil continuer tout dloit pal là bas boudiou !
Polpinette: Ah bon, merci monsieur !
Pendant ce temps les autres avaient eu le temps d'atteindre leur destination...
Mirlinda: Bon dans ce cas on se barre d'ici, en plus il fait chaud et ça pue !
Mickaël: Regardez là dans le ciment: on dirait le string de Seb !
Mirlinda: Comment tu sais que c'est son string ?
Mickaël: Heu... en fait... heu...
Rémi: Mickaël a raison, c'est moi qui lui ai offert pour son anniversaire.
Mickaël: Voilà, c'est pour ça !
Rémi: Il est arrivé quelque chose à Seb ici dans ce magasin de woks, il faut absolument agir vite ! J'appelle Brandon !
Sauf que... une fois dedans Blanquette fit une attaque cardiaque en voyant toutes ces cruautés.
Brandon: Blanquette, blanquette, qu'est-ce qui na va pas, réponds moi !
Blanquête bêêê.... *cri d'agonie*
Brandon: Non blanquette nooon!
Il tenta de lui faire du bouche à bouche et de la réanimer. Mais blanquette ne réagissait pas.
Karen, en tain de se limer les ongles: Mais tu ne vois pas qu'elle est morte ? Arrête en fin de t'acharner.
Brandon: NAAAAAAAOOOOOOOOONNNNNNN
Traumatisé par ce choc terrible, Brandon se transforma en véritable Terminator afin de venger la mort de Blanquette et fit exploser l'abatoire.
Brandon: Hasta la vista, baby
Karen: Putain, tu va niquer mon browshing avec ton explosion !
Le portable de Brandon se met à sonner.
Rémi: Brandon ramène ton cul on pense que Seb est enfermé ici !
Brandon: Reste cool, sac à merde
Brandon parti à la recherche d'un moyen de transport pour rejoindre Rémi et il tomba sur un type assis sur une moto:
Brandon: Je veux tes vêtements, tes bottes et ta moto
Karen: Arrête un peu Brandon ! On est à 50 mètres d'eux, on y va à pied.
Brandon: Tu ne perds rien pour attendre...
Résumons le cheminement de nos héros:

Les pages jaunes, sponsor officiel des Editions Heum heum !
Mais pourquoi le chemin fait-il un 666 ? Que vont trouver Polpi et Miranda à Trans'Légumes ? brandon va-t-il se remettre de la mort de Blanquette ? Pourquoi les méchantes butch qui fouettent Seb dans le sous-sol ont-elles scellées le magasin ? Quel est l'impact de l'inflation du prix des courgettes sur la vie socio-économique de Chomelix ?
A la mémoire de celle qui n'est ni bègue ni monomaniaque.
Morte électrocutée en faisant l'amour à un grille-pain Seb; le salaud, il l'a eu.
Polpinette: J'en ai marre de marcher, je crois qu'on s'est perdues. Et j'en ai marre de marcher. D'ailleurs je crois qu'on s'est perdues. Rha, j'en ai marre de...Polpinette avec Sydney et Miranda à Trans'Légumes pour tenter de comprendre ce qui s'y passe
Miranda: Oh regarde un paysan ! Demandons-lui notre chemin. Bonjour monsieur, nous venons du centre multi-activités et nous cherchons Trans'Légumes, sauriez-vous pr le plus grand des hasard où cela se trouve ?
Le paysan: Oh ééé, mais dis voil, c'ti pas ici ça, c'est le ch'tit Alain qui s'occupe d'ça au villëge de Seyres... et ici v'z'êtes à Eyravas mes jolies ! Va f'lloil continuer tout dloit pal là bas boudiou !
Polpinette: Ah bon, merci monsieur !
Pendant ce temps les autres avaient eu le temps d'atteindre leur destination...
Rémi: Voilà enfin au magasin de woks. Mais c'est abandonné: on dirait que les fenêtres ont étées fraichement bétonnées.Rémi, Mickaël et Mirlinda, aux magasins de Poêles et inserts.
Mirlinda: Bon dans ce cas on se barre d'ici, en plus il fait chaud et ça pue !
Mickaël: Regardez là dans le ciment: on dirait le string de Seb !
Mirlinda: Comment tu sais que c'est son string ?
Mickaël: Heu... en fait... heu...
Rémi: Mickaël a raison, c'est moi qui lui ai offert pour son anniversaire.
Mickaël: Voilà, c'est pour ça !
Rémi: Il est arrivé quelque chose à Seb ici dans ce magasin de woks, il faut absolument agir vite ! J'appelle Brandon !
En fait non ils n'avaient pas trouvé l'adresse du commerce de nutrition animale sur les pages jaunes alors ils ont décidé d'aller à l'abbatoire, t'façon ça se ressemblait un peu.Quant à Brandon et Karen (et Blanquette la chèvre), dans les magasins de nutrition animale.
Sauf que... une fois dedans Blanquette fit une attaque cardiaque en voyant toutes ces cruautés.
Brandon: Blanquette, blanquette, qu'est-ce qui na va pas, réponds moi !
Blanquête bêêê.... *cri d'agonie*
Brandon: Non blanquette nooon!
Il tenta de lui faire du bouche à bouche et de la réanimer. Mais blanquette ne réagissait pas.
Karen, en tain de se limer les ongles: Mais tu ne vois pas qu'elle est morte ? Arrête en fin de t'acharner.
Brandon: NAAAAAAAOOOOOOOOONNNNNNN
Traumatisé par ce choc terrible, Brandon se transforma en véritable Terminator afin de venger la mort de Blanquette et fit exploser l'abatoire.
Brandon: Hasta la vista, baby
Karen: Putain, tu va niquer mon browshing avec ton explosion !
Le portable de Brandon se met à sonner.
Rémi: Brandon ramène ton cul on pense que Seb est enfermé ici !
Brandon: Reste cool, sac à merde
Brandon parti à la recherche d'un moyen de transport pour rejoindre Rémi et il tomba sur un type assis sur une moto:
Brandon: Je veux tes vêtements, tes bottes et ta moto
Karen: Arrête un peu Brandon ! On est à 50 mètres d'eux, on y va à pied.
Brandon: Tu ne perds rien pour attendre...
Résumons le cheminement de nos héros:

Les pages jaunes, sponsor officiel des Editions Heum heum !
Mais pourquoi le chemin fait-il un 666 ? Que vont trouver Polpi et Miranda à Trans'Légumes ? brandon va-t-il se remettre de la mort de Blanquette ? Pourquoi les méchantes butch qui fouettent Seb dans le sous-sol ont-elles scellées le magasin ? Quel est l'impact de l'inflation du prix des courgettes sur la vie socio-économique de Chomelix ?
Dernière modification par Nox le mar. août 09, 2005 9:57 pm, modifié 1 fois.