Dis, le Père Noël, il existe vraiment ?
Minimoi avait 5 ans, toutes ses dents (encore), un petit frère de 2 ans et une maîtresse immonde. Un jour, nous nous exclamions toutes devant *** (je suis désolée, j'ai oublié ton nom mais je sais que tu étais une fille) qui venait de perdre sa première dent. C'était probablement la première de la classe ou du moins de mon groupe d'amis. Extase et magie, petite souris, tout ça, nous étions folles et bavardes. La maitresse d'un air sec (j'avais marqué sex, mon Dieu, il faut que j'arrête la bière) a dit, pour nous couper : "La petite souris ça n'existe pas, c'est vos parents qui vous y font croire".
Je crois que j'ai gardé ça assez longtemps pour moi puis un jour, je regardais par la fenêtre (aucun rapport, si ce n'est que je me sentais un peu coupable de douter et je ne voulais pas regarder ma maman en face) et je lui ai dit d'un air sérieux : "Maman, le Père Noël, c'est comme la petite souris, n'est-ce pas?". Elle n'a pas trop su quoi répondre, m'a demandé "Qui t'a dit ça ?". J'ai répondu que la maitresse nous l'avait dit pour la petite souris et que j'avais réfléchi. Elle a confirmé. Je me suis retournée vers elle et j'ai dit, toujours d'un air très sérieux : "Dis, maman, on peut faire comme si je ne savais pas ?".
Elle a dit oui, et ça fait plus de 13 ans.
Je crois que j'ai gardé ça assez longtemps pour moi puis un jour, je regardais par la fenêtre (aucun rapport, si ce n'est que je me sentais un peu coupable de douter et je ne voulais pas regarder ma maman en face) et je lui ai dit d'un air sérieux : "Maman, le Père Noël, c'est comme la petite souris, n'est-ce pas?". Elle n'a pas trop su quoi répondre, m'a demandé "Qui t'a dit ça ?". J'ai répondu que la maitresse nous l'avait dit pour la petite souris et que j'avais réfléchi. Elle a confirmé. Je me suis retournée vers elle et j'ai dit, toujours d'un air très sérieux : "Dis, maman, on peut faire comme si je ne savais pas ?".
Elle a dit oui, et ça fait plus de 13 ans.
Comme certains, mes parents ne m'ont jamais fait croire au Père Noël, tout simplement parce qu'on n'a jamais fêté Noël (même si ma mère a toujours acheté un sapin par principe). Je ne me souviens pas avoir essayé de détruire le mythe auprès de mes petits camarades, mais je me sentais un peu 'supérieure' à eux.
En revanche ma vie a failli s'arrêter le jour où on m'a appris que la petite souris n'existait pas... (C'était un peu le dernier truc auquel je croyais, en même temps.)
En revanche ma vie a failli s'arrêter le jour où on m'a appris que la petite souris n'existait pas... (C'était un peu le dernier truc auquel je croyais, en même temps.)
Je suis assez opposée au Père Noël, la petite souris ou autre invention du genre. En fait je ne vois pas l'intérêt de s'obstiner à faire croire des mensonges à un enfant. Pourquoi dire qu'un vieux barbu est à l'origine de tous les cadeaux du monde alors qu'il est tellement agréable de savoir que Mamie Jacqueline ou l'oncle Georges a pensé à vous ?
Je suis bien contente de n'avoir pas cru à ces inventions ridicules longtemps, privilégiant les remerciements à ceux qui avaient vraiment pensés à moi pour Noël.
Je suis bien contente de n'avoir pas cru à ces inventions ridicules longtemps, privilégiant les remerciements à ceux qui avaient vraiment pensés à moi pour Noël.
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yellowfaith
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- Inscription : dim. juil. 03, 2005 7:27 pm
Arrivé au Cp je commençais à avoir de gros doute..
En plus j'ai surpris une conversation (oui à l'époque j'avais encore l'oreille fine) entre Julien et Nicolas (toujours à traîner ensemble ces 2 là) où Julien racontait à Nicolas qu'en fait le père noël n'existait pas en vrai, y'a que les bébés pour croire à ça et que lui n'y a jamais cru....
Je lui ai jamais dit que c'est lui qui m'a convaincu que c'était un mythe.
Après ça j'avais les boules quand je disais que le père noël n'existait pas et personne ne me croyait.
Sinon une fois j'ai gaffé avec un petit (ou une petite) cousin(e) en offrant un cadeau. J'ai gaffé en disant "mon papa a acheté ça pour toi".
J'étais en mode boulet-défoncé... défonçé c'est pas sur mais "boulet" "c'est évidant" (dixit Sab).
En plus j'ai surpris une conversation (oui à l'époque j'avais encore l'oreille fine) entre Julien et Nicolas (toujours à traîner ensemble ces 2 là) où Julien racontait à Nicolas qu'en fait le père noël n'existait pas en vrai, y'a que les bébés pour croire à ça et que lui n'y a jamais cru....
Je lui ai jamais dit que c'est lui qui m'a convaincu que c'était un mythe.
Après ça j'avais les boules quand je disais que le père noël n'existait pas et personne ne me croyait.
Sinon une fois j'ai gaffé avec un petit (ou une petite) cousin(e) en offrant un cadeau. J'ai gaffé en disant "mon papa a acheté ça pour toi".
J'étais en mode boulet-défoncé... défonçé c'est pas sur mais "boulet" "c'est évidant" (dixit Sab).
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Points.de.suspension
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- Inscription : lun. juin 16, 2008 12:56 pm
Je suis contente d'avoir créé ce sujet, vous m'avez fait rire. (:
Pour ma part, j'ai dû l'entendre dans la cour de récré, en CE1 ou quelque chose comme ça... Et puis pendant les vacances de Noël, on était chez mes grands-parents et je me souviens avoir demandé à ma maman si c'était vrai que le Père Noël n'existait pas. Alors elle m'a emmenée dans la salle de bains, et on s'est assises sur le bord de la baignoire. Et là elle a confirmé... Puis elle m'a demandé :
"Tu n'es pas trop triste, hein ?
- Bah non. J'aurai toujours des cadeaux, hein ?
- Oui, bien sûr. Mais moi quand je l'ai appris, j'étais vraiment déçue, j'avais même pleuré..."
Tout s'est donc très bien passé pour moi. Et puis comme j'étais la grande sœur, il fallait laisser la petite (de trois ans de moins que moi) y croire. Je me souviens d'un regard complice avec ma mère quand elle a regardé par la fenêtre et s'est écriée :
"Oh, j'ai vu le Père Nouël avec son traîneauuuuuuu !"
J'étais fière de garder le secret. Et je ne me rappelle pas l'avoir dévoilé à quiconque.
Et puis pour moi, le Père Noël passait par la porte d'entrée, tout bêtement. Je ne sais plus si mes parents disaient qu'ils la laissaient ouverte (mais je ne crois pas), mais tout le monde sait de toute façon qu'il a des pouvoirs magiques.
Et aujourd'hui, je trouve que Noël a perdu sa magie, depuis trois ou quatre ans. Vivement que ma cousine (qui va avoir deux ans) passe un Noël avec nous...
Pour ma part, j'ai dû l'entendre dans la cour de récré, en CE1 ou quelque chose comme ça... Et puis pendant les vacances de Noël, on était chez mes grands-parents et je me souviens avoir demandé à ma maman si c'était vrai que le Père Noël n'existait pas. Alors elle m'a emmenée dans la salle de bains, et on s'est assises sur le bord de la baignoire. Et là elle a confirmé... Puis elle m'a demandé :
"Tu n'es pas trop triste, hein ?
- Bah non. J'aurai toujours des cadeaux, hein ?
- Oui, bien sûr. Mais moi quand je l'ai appris, j'étais vraiment déçue, j'avais même pleuré..."
Tout s'est donc très bien passé pour moi. Et puis comme j'étais la grande sœur, il fallait laisser la petite (de trois ans de moins que moi) y croire. Je me souviens d'un regard complice avec ma mère quand elle a regardé par la fenêtre et s'est écriée :
"Oh, j'ai vu le Père Nouël avec son traîneauuuuuuu !"
J'étais fière de garder le secret. Et je ne me rappelle pas l'avoir dévoilé à quiconque.
Et puis pour moi, le Père Noël passait par la porte d'entrée, tout bêtement. Je ne sais plus si mes parents disaient qu'ils la laissaient ouverte (mais je ne crois pas), mais tout le monde sait de toute façon qu'il a des pouvoirs magiques.
Et aujourd'hui, je trouve que Noël a perdu sa magie, depuis trois ou quatre ans. Vivement que ma cousine (qui va avoir deux ans) passe un Noël avec nous...
Pour être honnête, j'ai toujours eu un doute :
En effet, comment dire qu'une chose n'existe pas si on est pas capable de le prouver ? Donc, un peu comme la présomption d'innocence, ou bien le chat de Schrodinger, il faudrait lui accorder, à ce bon vieux père Noel, le statut de "ni vrai ni faux" ?
Alors, pour pallier à ce défaut, il a été démontré que le Père Noel ne pouvait exister tel que nous le concevons, en voici la preuve : (A lire jusqu'au bout, sous ds airs scientifiques, ce texte est une boutade !) :
Il y a approximativement deux milliards d'enfants (moins de 18 ans) sur terre.
Cependant, comme le père Noël ne visite pas les enfants musulmans, hindous, juifs ou bouddhistes (sauf peut-être au Japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël a 15% du total, soit 378 millions.
En comptant une moyenne de 3.5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons, 54 millions en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage.
Le père Noël dispose d'environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la terre, dans l'hypothèse qu'il voyage d'est en ouest, ce qui parait d'ailleurs logique.
Cela revient à 967,7 visites par seconde.
Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage, le père Noël dispose d'environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d'arrêts sont distribués uniformément à la surface de la terre, (hypothèse que nous savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en première approximation),
nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet.
Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de km, sans compter les détours pour ravitailler ou pisser.
Le traîneau du père Noël se déplace donc à 1170 km/s (3000 fois la vitesse du son). A titre de comparaison :
le véhicule le plus rapide fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 km/s.
600 000 tonnes voyageant à 1170 km/s créent une énorme resitance à l'air.
Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu'un engin spatial rentrant dans l'atmosphère terrestre.
Les deux rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14 300 millions de joules/s.
En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants.
La meute entière de rennes serait complètement vaporisée en 4.26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le père Noël d'atteindre la cinquième maison de sa tournée.
Pas de quoi s'en faire de toute façon, puisque le père Noël, en passant de manière fulgurante de zéro à 1170 km/s en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu'à 17 500 G's.
Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de 2 157 507,5 kilos, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante.
C'est pourquoi, si le père Noël a existé, il est mort maintenant.
CQFD.
En effet, comment dire qu'une chose n'existe pas si on est pas capable de le prouver ? Donc, un peu comme la présomption d'innocence, ou bien le chat de Schrodinger, il faudrait lui accorder, à ce bon vieux père Noel, le statut de "ni vrai ni faux" ?
Alors, pour pallier à ce défaut, il a été démontré que le Père Noel ne pouvait exister tel que nous le concevons, en voici la preuve
: (A lire jusqu'au bout, sous ds airs scientifiques, ce texte est une boutade !) :Il y a approximativement deux milliards d'enfants (moins de 18 ans) sur terre.
Cependant, comme le père Noël ne visite pas les enfants musulmans, hindous, juifs ou bouddhistes (sauf peut-être au Japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël a 15% du total, soit 378 millions.
En comptant une moyenne de 3.5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons, 54 millions en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage.
Le père Noël dispose d'environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la terre, dans l'hypothèse qu'il voyage d'est en ouest, ce qui parait d'ailleurs logique.
Cela revient à 967,7 visites par seconde.
Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage, le père Noël dispose d'environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d'arrêts sont distribués uniformément à la surface de la terre, (hypothèse que nous savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en première approximation),
nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet.
Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de km, sans compter les détours pour ravitailler ou pisser.
Le traîneau du père Noël se déplace donc à 1170 km/s (3000 fois la vitesse du son). A titre de comparaison :
le véhicule le plus rapide fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 km/s.
600 000 tonnes voyageant à 1170 km/s créent une énorme resitance à l'air.
Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu'un engin spatial rentrant dans l'atmosphère terrestre.
Les deux rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14 300 millions de joules/s.
En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants.
La meute entière de rennes serait complètement vaporisée en 4.26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le père Noël d'atteindre la cinquième maison de sa tournée.
Pas de quoi s'en faire de toute façon, puisque le père Noël, en passant de manière fulgurante de zéro à 1170 km/s en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu'à 17 500 G's.
Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de 2 157 507,5 kilos, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante.
C'est pourquoi, si le père Noël a existé, il est mort maintenant.
CQFD.
Celui qui a fait cette démonstration devait être un comique.Dryss a écrit :Pour être honnête, j'ai toujours eu un doute :
En effet, comment dire qu'une chose n'existe pas si on est pas capable de le prouver ? Donc, un peu comme la présomption d'innocence, ou bien le chat de Schrodinger, il faudrait lui accorder, à ce bon vieux père Noel, le statut de "ni vrai ni faux" ?
Alors, pour pallier à ce défaut, il a été démontré que le Père Noel ne pouvait exister tel que nous le concevons, en voici la preuve
Il y a approximativement deux milliards d'enfants (moins de 18 ans) sur terre.
Cependant, comme le père Noël ne visite pas les enfants musulmans, hindous, juifs ou bouddhistes (sauf peut-être au Japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël a 15% du total, soit 378 millions.
En comptant une moyenne de 3.5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons, 54 millions en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage.
Le père Noël dispose d'environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la terre, dans l'hypothèse qu'il voyage d'est en ouest, ce qui parait d'ailleurs logique.
Cela revient à 967,7 visites par seconde.
Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage, le père Noël dispose d'environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d'arrêts sont distribués uniformément à la surface de la terre, (hypothèse que nous savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en première approximation),
nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet.
Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de km, sans compter les détours pour ravitailler ou pisser.
Le traîneau du père Noël se déplace donc à 1170 km/s (3000 fois la vitesse du son). A titre de comparaison :
le véhicule le plus rapide fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 km/s.
600 000 tonnes voyageant à 1170 km/s créent une énorme resitance à l'air.
Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu'un engin spatial rentrant dans l'atmosphère terrestre.
Les deux rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14 300 millions de joules/s.
En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants.
La meute entière de rennes serait complètement vaporisée en 4.26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le père Noël d'atteindre la cinquième maison de sa tournée.
Pas de quoi s'en faire de toute façon, puisque le père Noël, en passant de manière fulgurante de zéro à 1170 km/s en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu'à 17 500 G's.
Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de 2 157 507,5 kilos, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante.
C'est pourquoi, si le père Noël a existé, il est mort maintenant.
CQFD.
Et la même démonstration en BD ici : http://tumourrasmoinsbete.blogspot.com/ ... -en-i.html