levitz a écrit :Ce moment d'un sentiment venu d'un Atlantique. Seul dans la maison après le départ de mes parents. Le vent venu de la mer, les lourds nuages qu'il apporte ou qu'il fait partir plus loin dans les terres, toutes les fenêtres ouvertes par lesquelles s'enfuit la voix triste d'une chanteuse qui contemple la mer en comptant ses regrets. Que valent nos départs, nos séparations, nos éloignements? Ce manque soudain. Pourquoi faut-il que le temps passe? L'envie que ce disque dure longtemps pour me laisser dans cet état pensif et immobile dans lequel je me tiens depuis leur départ, bercé par ces cordes et cette plainte.
Je kiffe...
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amélie-sens
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Re: Je kiffe...
je kiffe ce pur moment de poésie, Levitz :
Re: Je kiffe...
Je kiffe mon intolérable pragmatisme parfois.
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JavaBleue24
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Re: Je kiffe...
je kiffe les matchs des Girondins en ce moment, ainsi que les commentaires de GoldFm 
Re: Je kiffe...
Peut être ça : viewtopic.php?f=13&t=15165Blinded a écrit :On avait pas déjà un topic du genre ?
Mais je pense à un autre que j'arrive pas à trouver
Re: Je kiffe...
Je kiffe quand la connexion internet de la maison coupe car je sais que mon colloc geek va se précipiter pour allé arranger ça 
Re: Je kiffe...
la départementale 901.
Une route plus que sinueuse, qui déambule tel un serpent à travers les montagnes du Lot et de l’Aveyron notamment. Une route qui la nuit, vous fait vous demander pourquoi vous avez eu l'idée de l'emprunter. Avec ce ravin constant qui vous demande de venir prendre l'apéritif. Sur cette route nul besoin de se préoccuper des limitations de vitesse ou bien des contrôles radar. Elle ne vous laisse pas l’opportunité de jouer avec l'interdit. Elle vous force à ne pas vous déconcentrer à chaque virages. Ses oiseaux de nuit qui s'envolent juste devant vous, ses petites pierres qui vous surprennent à de rare moment et surtout ses forêts qui vous entourent à vous glacer le sang. Border à de rare endroit par de petites maisons ou de petits hameau dignes d'un film d'horreur. Et enfin, Avec ses arbres qui tentent d'agripper votre voiture, sans personne pour vous aider, car oui, sur cette route vous êtes seul.
Oui mais voila, il existe la départementale 901 baignée de la lumière du jour, arborant ces couleurs magnifiques de l'automne, vous laissant porter un regard émerveillé. Car au jour levé, ce serpent sinueux qui semblait se jouer de vous, apparait légèrement plus doux. Ce ravin si pentu vous offre les flancs des montagnes voisines qui comme pour vous rendre votre bonne humeur, vous offre des dégradés de couleurs connus de cette seule saison. L'interdit vous semble plus apaisé. Chaque virages est une opportunité de sourire. Ses maisons qui vous semblaient si froides vous donnent le ton, le ton des couleurs qui changent au fur et à mesure de votre avancé. Tantôt sombre tel une roche aux abords d'une cascade, puis rouge tel des terres volcaniques. Et enfin, ces arbres, majestueux, fort, qui se courbent littéralement sur votre passage comme pour vous saluer...
Une route plus que sinueuse, qui déambule tel un serpent à travers les montagnes du Lot et de l’Aveyron notamment. Une route qui la nuit, vous fait vous demander pourquoi vous avez eu l'idée de l'emprunter. Avec ce ravin constant qui vous demande de venir prendre l'apéritif. Sur cette route nul besoin de se préoccuper des limitations de vitesse ou bien des contrôles radar. Elle ne vous laisse pas l’opportunité de jouer avec l'interdit. Elle vous force à ne pas vous déconcentrer à chaque virages. Ses oiseaux de nuit qui s'envolent juste devant vous, ses petites pierres qui vous surprennent à de rare moment et surtout ses forêts qui vous entourent à vous glacer le sang. Border à de rare endroit par de petites maisons ou de petits hameau dignes d'un film d'horreur. Et enfin, Avec ses arbres qui tentent d'agripper votre voiture, sans personne pour vous aider, car oui, sur cette route vous êtes seul.
Oui mais voila, il existe la départementale 901 baignée de la lumière du jour, arborant ces couleurs magnifiques de l'automne, vous laissant porter un regard émerveillé. Car au jour levé, ce serpent sinueux qui semblait se jouer de vous, apparait légèrement plus doux. Ce ravin si pentu vous offre les flancs des montagnes voisines qui comme pour vous rendre votre bonne humeur, vous offre des dégradés de couleurs connus de cette seule saison. L'interdit vous semble plus apaisé. Chaque virages est une opportunité de sourire. Ses maisons qui vous semblaient si froides vous donnent le ton, le ton des couleurs qui changent au fur et à mesure de votre avancé. Tantôt sombre tel une roche aux abords d'une cascade, puis rouge tel des terres volcaniques. Et enfin, ces arbres, majestueux, fort, qui se courbent littéralement sur votre passage comme pour vous saluer...
Dernière modification par xéxé le mer. nov. 07, 2012 12:07 am, modifié 1 fois.
Re: Je kiffe...
Avant hier, Je m 'était un peu plus, recoupé les cheveux chez le coiffeur.
Le lendemain matin, panne de réveil, au lieu de me réveiller a 6h30, je me réveille a 8h00
Justement, c'est l'heure à laquelle, je devais OUVRIR le restau !!
Personne d'autre n'avait les clés à part moi (et le concierge et le patron qui vivent a coté).
Je me dépêche pour joindre le patron, mais je tombe sur le répondeur, je raccroche.
J'appel ma collègue qui doit arriver a 9h, mais je tombe également sur le répondeur.
La tête dans le C**, je tente de m'habiller et je vois dans le miroir ... UNE HORREUR
J'avais oublié mettre coupé les cheveux la veille.
En épis, en bataille, sans forme, moche, laid.
Je n'avais pas le temps de me "rendre" potable et surtout, je n'avais pas le temps de me mettre en condition psychologique,
Je manquais de temps !!!!!
J'ai envoyé un sms a mon patron et à ma collégue pour leur dire que j'étais malade.
Je me suis remise en pyjama et ai rejoint le lit.
J'ai kiffé.
Le lendemain matin, panne de réveil, au lieu de me réveiller a 6h30, je me réveille a 8h00
Justement, c'est l'heure à laquelle, je devais OUVRIR le restau !!
Personne d'autre n'avait les clés à part moi (et le concierge et le patron qui vivent a coté).
Je me dépêche pour joindre le patron, mais je tombe sur le répondeur, je raccroche.
J'appel ma collègue qui doit arriver a 9h, mais je tombe également sur le répondeur.
La tête dans le C**, je tente de m'habiller et je vois dans le miroir ... UNE HORREUR
J'avais oublié mettre coupé les cheveux la veille.
En épis, en bataille, sans forme, moche, laid.
Je n'avais pas le temps de me "rendre" potable et surtout, je n'avais pas le temps de me mettre en condition psychologique,
Je manquais de temps !!!!!
J'ai envoyé un sms a mon patron et à ma collégue pour leur dire que j'étais malade.
Je me suis remise en pyjama et ai rejoint le lit.
J'ai kiffé.
Re: Je kiffe...
Je kiffe ma meuf !
Paaaaaarce-que... elle sait parler aux femmes ! Et sait les tenir... par la... panse...
Elle a préparé au feeling un poulet au curry, lait de coco, poivrons et riz blanc...
Désormais je sais pourquoi je ne me suis pas encore barrée.
Paaaaaarce-que... elle sait parler aux femmes ! Et sait les tenir... par la... panse...
Elle a préparé au feeling un poulet au curry, lait de coco, poivrons et riz blanc...
Désormais je sais pourquoi je ne me suis pas encore barrée.
Re: Je kiffe...
xéxé a écrit :Je kiffe ma meuf !
Paaaaaarce-que... elle sait parler aux femmes ! Et sait les tenir... par la... panse...
Elle a préparé au feeling un poulet au curry, lait de coco, poivrons et riz blanc...
Désormais je sais pourquoi je ne me suis pas encore barrée.
Tu partage? ok
Mais bon si jamais tu connais mon pseudo :p
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onvalappelerlui
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Re: Je kiffe...
quand dans une situation parfaitement banale (genre une conversation), mon cerveau s'emballe et me fait imaginer des choses improbables avec les gens présents dans cette situation précise, puis quand il s'est bien amusé reprendre le cours de ma vie le plus normalement possible. et je surkiffe parce que je le fais tout le temps.