Le Fils de Polpinette
Chapitre défouloir ou "vais-je parvenir à vous dégoûter" ?
Mais c'était la pleine lune... Or ce lieu précis avait été plusieurs millénaires auparavant le théâtre des élucubrations alcooliques (jus de myrtille fermenté) d'un chaman préhistorique. La terre était donc saturée de magie... et gorgée du sang de Spop. Il n'en fallait pas plus pour que la conjonction des astres s'avère favorable à un événement majeur : la Résucalypse, ou Résurrection apocalyptique.
La dernière goutte de sang s'échappa du moignon suitant de Spop, et atterrit sur le métal du piège à ours. Mais au lieu de rouler, la goutte dissolut l'acier, dans une nuée de vapeur. Le piège commença à fondre, libérant l'écureuil mort... ou pas.
Un moignon s'éleva vers le ciel, exhalant une odeur de chair en putréfaction, et un cri atroce retentit dans la forêt : "TIOUUUUUUUUUUUUUUUUCK" ("vengeance" en langage écureuil). Alors Spop se releva, et tourna ses orbites vides (à part les vers qui grouillaient dedans) dans la direction où avait disparu Polpinio, ce lâche, ce déserteur, cette sale tapette. Il arracha le globe oculaire qui lui pendait sur la joue et qui l'énervait un peu, parce que même si ça ajoutait à son charisme de mort-vivant, ce n'était pas très distingué, et le jeta en l'air. Un corbeau l'attrapa au vol et mourut dans d'atroces souffrances après s'être étouffé avec.
Spop se mit en route pour accomplir sa vengeance, mais un bruit spongieux rythmique l'arrêta. Il se rendit compte que ça venait de son pied gauche, ou plutôt de la masse de pus que son pied gauche était devenu. Pour des raisons de discrétion, il devait imprétivement se débarrasser de cette extrémité qui trahissait sa présence. Il récupéra un bout tranchant rescapé du piège à ours et racla le pus jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Il constata après coup qu'en fait ça revenait à se trancher le pied.
Mais il ne souffrait pas. Il était désormais uniquement animé par la rage et la détermination, une colère tellement froide qu'elle était capable d'enrayer la fonte de la banquise. Et il était maintenant prêt. Ses priorités : retrouver le poseur du piège, lui régler son compte, puis retrouver Polpinio et lui régler son compte, et enfin retrouver Mulder et Skully et leur régler leur compte.
Il se mit en marche vers la déchetterie.
Est-ce que vous avez aimé ? Pourquoi n'ai-je jamais écrit avant des chapitres dans ce genre, alors que ça défoule terriblement ? Spop arrivera-t-il à se venger, ou tombera-t-il en décomposition avant ? Que deviennent les autres personnages ? Quand BrutalDeath réécrira-t-il ici ? Quand quelqu'un d'autre réécrira-t-il ici ? Y aura-t-il une fin du monde avant le 60è chapitre ?
Mais c'était la pleine lune... Or ce lieu précis avait été plusieurs millénaires auparavant le théâtre des élucubrations alcooliques (jus de myrtille fermenté) d'un chaman préhistorique. La terre était donc saturée de magie... et gorgée du sang de Spop. Il n'en fallait pas plus pour que la conjonction des astres s'avère favorable à un événement majeur : la Résucalypse, ou Résurrection apocalyptique.
La dernière goutte de sang s'échappa du moignon suitant de Spop, et atterrit sur le métal du piège à ours. Mais au lieu de rouler, la goutte dissolut l'acier, dans une nuée de vapeur. Le piège commença à fondre, libérant l'écureuil mort... ou pas.
Un moignon s'éleva vers le ciel, exhalant une odeur de chair en putréfaction, et un cri atroce retentit dans la forêt : "TIOUUUUUUUUUUUUUUUUCK" ("vengeance" en langage écureuil). Alors Spop se releva, et tourna ses orbites vides (à part les vers qui grouillaient dedans) dans la direction où avait disparu Polpinio, ce lâche, ce déserteur, cette sale tapette. Il arracha le globe oculaire qui lui pendait sur la joue et qui l'énervait un peu, parce que même si ça ajoutait à son charisme de mort-vivant, ce n'était pas très distingué, et le jeta en l'air. Un corbeau l'attrapa au vol et mourut dans d'atroces souffrances après s'être étouffé avec.
Spop se mit en route pour accomplir sa vengeance, mais un bruit spongieux rythmique l'arrêta. Il se rendit compte que ça venait de son pied gauche, ou plutôt de la masse de pus que son pied gauche était devenu. Pour des raisons de discrétion, il devait imprétivement se débarrasser de cette extrémité qui trahissait sa présence. Il récupéra un bout tranchant rescapé du piège à ours et racla le pus jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Il constata après coup qu'en fait ça revenait à se trancher le pied.
Mais il ne souffrait pas. Il était désormais uniquement animé par la rage et la détermination, une colère tellement froide qu'elle était capable d'enrayer la fonte de la banquise. Et il était maintenant prêt. Ses priorités : retrouver le poseur du piège, lui régler son compte, puis retrouver Polpinio et lui régler son compte, et enfin retrouver Mulder et Skully et leur régler leur compte.
Il se mit en marche vers la déchetterie.
Est-ce que vous avez aimé ? Pourquoi n'ai-je jamais écrit avant des chapitres dans ce genre, alors que ça défoule terriblement ? Spop arrivera-t-il à se venger, ou tombera-t-il en décomposition avant ? Que deviennent les autres personnages ? Quand BrutalDeath réécrira-t-il ici ? Quand quelqu'un d'autre réécrira-t-il ici ? Y aura-t-il une fin du monde avant le 60è chapitre ?
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darksmile87
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- Inscription : dim. sept. 25, 2005 9:55 pm
Chapitre tout dur : Punitions intimes à la Prison du vice
Marc s'approcha de Polpinio en faisant tournoyer sa matraque d'une main.
De l'autre, il défit adroitement son ceinturon ainsi que le bouton du haut de son pantalon beige excessssssivement moulant, la braguette duquel déscendit instantanément.
Le pantalon glissa le long des jambes musculeuses et velues de Marc (est il utile de vous préciser que pendant ce temps là Polpinio hurlait à la mort en lêchant les barreaux de sa cellule avec des yeux exorbités et de la fumée qui sort par les narines bref) le pantalon glissait donc le long des jambes musculeuses et velues de marc qui s'avança d'un air lascif vers Polpinio.
Et comme il avait son pantalon aux chevilles, naturellement il se prit les pieds dedans et se cassa la gueule en criant "wah !" et il s'eclata la tronche contre le mur avant de sombrer dans l'inconscience. C'est ballot.
C'est à ce moment là que Spop l'écureuil mort-vivant revenu de l'enfer rentra dans le commissariat en poussant des glapissement terrifiants !
Enfin, aussi terrifiants que peuvent l'être les glapissements d'un écureuil zombi de quinze centimètres de haut, avec une patte en moins et la tête qui pend.
Même les blattes étaient mortes de rire.
Pendant ce temps au musée d'art-moderne, deux gardiens discutaient.
"-Tiens, Kevin, c'est bizarre...c'était pas la salle ou on avait exposé le rubiscqübe, là-bas ?
-Tu veux dire, là-bas,Kevin, là ou il y'a à présent une espèce de tornade électromagnétique qui envoie des éclairs au ralenti en faisant des bruitages électroniques comme un genre de vortex spatio-temporel interdimensionnel genre dans les séries de science fiction sur M6 ?
-Oui, c'est bien ce que je veux dire, Kevin. Là ou il y'a cette espèce de tourbillon qui aspire tout autour pour les faire disparaitre dans le néant d'un monde parallèle.
-Ah. C'est possible Kevin. Mais à présent il n'y a plus qu'une accélération du temps relatif qui se conclut par une dématerialisation grandissante de l'environnement qui jouxte ce non-espace paradoxal...
-ça m'excite. faisons l'amour.
-oui."
Polpinette et ses amis sont ils définitivement perdus dans le non espace paradoxal du vortex de temps relatif ? Marc est il mort ou seulement inconscient ? Va t'il profiter de son inconscience pour se faire gang-banger par les gardiens du musée d'art moderne qui sont douze, tous culturistes afro ou latino-américains ( ne soyons pas racistes) et se prénomment tous Kevin ? Spop est il vraiment celui qu'il semble être ? Et sinon, est il celui qu'il ne semble PAS être ? Ou sont passés Mulder et Scully ? Que sont devenus les extraterrestres ? Qui va écrire le prochain chapitre ?
Marc s'approcha de Polpinio en faisant tournoyer sa matraque d'une main.
De l'autre, il défit adroitement son ceinturon ainsi que le bouton du haut de son pantalon beige excessssssivement moulant, la braguette duquel déscendit instantanément.
Le pantalon glissa le long des jambes musculeuses et velues de Marc (est il utile de vous préciser que pendant ce temps là Polpinio hurlait à la mort en lêchant les barreaux de sa cellule avec des yeux exorbités et de la fumée qui sort par les narines bref) le pantalon glissait donc le long des jambes musculeuses et velues de marc qui s'avança d'un air lascif vers Polpinio.
Et comme il avait son pantalon aux chevilles, naturellement il se prit les pieds dedans et se cassa la gueule en criant "wah !" et il s'eclata la tronche contre le mur avant de sombrer dans l'inconscience. C'est ballot.
C'est à ce moment là que Spop l'écureuil mort-vivant revenu de l'enfer rentra dans le commissariat en poussant des glapissement terrifiants !
Enfin, aussi terrifiants que peuvent l'être les glapissements d'un écureuil zombi de quinze centimètres de haut, avec une patte en moins et la tête qui pend.
Même les blattes étaient mortes de rire.
Pendant ce temps au musée d'art-moderne, deux gardiens discutaient.
"-Tiens, Kevin, c'est bizarre...c'était pas la salle ou on avait exposé le rubiscqübe, là-bas ?
-Tu veux dire, là-bas,Kevin, là ou il y'a à présent une espèce de tornade électromagnétique qui envoie des éclairs au ralenti en faisant des bruitages électroniques comme un genre de vortex spatio-temporel interdimensionnel genre dans les séries de science fiction sur M6 ?
-Oui, c'est bien ce que je veux dire, Kevin. Là ou il y'a cette espèce de tourbillon qui aspire tout autour pour les faire disparaitre dans le néant d'un monde parallèle.
-Ah. C'est possible Kevin. Mais à présent il n'y a plus qu'une accélération du temps relatif qui se conclut par une dématerialisation grandissante de l'environnement qui jouxte ce non-espace paradoxal...
-ça m'excite. faisons l'amour.
-oui."
Polpinette et ses amis sont ils définitivement perdus dans le non espace paradoxal du vortex de temps relatif ? Marc est il mort ou seulement inconscient ? Va t'il profiter de son inconscience pour se faire gang-banger par les gardiens du musée d'art moderne qui sont douze, tous culturistes afro ou latino-américains ( ne soyons pas racistes) et se prénomment tous Kevin ? Spop est il vraiment celui qu'il semble être ? Et sinon, est il celui qu'il ne semble PAS être ? Ou sont passés Mulder et Scully ? Que sont devenus les extraterrestres ? Qui va écrire le prochain chapitre ?
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ChOuQueTTe
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- Inscription : lun. janv. 02, 2006 9:33 pm