Vos rêves les plus fous

[Gil]

le sens des rêves... mouais...
Tiens cette nuit, j'ai rêvé que nos voisins étaient les sosies de Barack et Michelle Obama. Et que j'avais un peu honte - mais je ne pouvais m'en empêcher - de faire du canoë dans mon jardin en inondant toute la parcelle, jusque sur la rue.
Et, ce n'est qu'un épisode de ma nuit fort productive en absurdités.

[inconnu n]

J'ai rêvé de facebook toute la nuit.

Ça te fais de l'effet.

Et le rêve avec DSK (mais t'es à mon avis pas son genre).

[Nomade]

Cette nuit j'ai rêvé que je coupais le cordon des écouteurs de Pirlouit et qu'ensuite je m'acharnais à dénuder les fils des deux bouts (avec un couteau, pas avec un cutter et encore moins avec une pince-faite-pour-ça, sinon c'est trop facile) pour pouvoir le réparer avec du chatterton.

[Juuune]

Cette nuit j'ai rêvé que je coupais le cordon des écouteurs de Pirlouit et qu'ensuite je m'acharnais à dénuder les fils des deux bouts (avec un couteau, pas avec un cutter et encore moins avec une pince-faite-pour-ça, sinon c'est trop facile) pour pouvoir le réparer avec du chatterton.

Pas touche aux écouteurs de mon deuxième enfant, même en rêve ! Vade retro Nomade, tremble pour ta vie

Juuune, le parent-tigresse.

[Maïzena]

J'ai rêvé de.glisse et c'était jouissif (skating sur neige ou sur glace )...

[Cactus moribond]

J'ai rêvé que je portais mes lunettes de soleil en pleine nuit.

[Nomade]

Cette nuit j'échouais à renverser une dictature (tous mes camarades se faisaient prendre et j'étais le seul survivant) et je tentais de m'enfuir en plongeant dans un puits. Je finissais par trouver une bulle d'air juste avant de mourir noyé, puis ô miracle une capsule de survie (au fond du puits, oui oui). Ne sachant pas comment ça fonctionnait, j'appuyais sur le mauvais bouton et remontais vers la surface... où une femme du groupe des méchants était toujours là. Voyant ma capsule apparaît elle se mettait à hurler comme un putois et des gardes arrivaient. Elle et un des gardes parvenaient à monter avec moi au moment où je comprenais enfin comment redescendre. J'arrivais à buter la femme, le garde disparaissait et je m'enfonçais à nouveau sous l'eau, ruminant mon coup d'Etat raté, faisant le deuil de mes camarades perdus. Je me rendais compte que la capsule contenait assez de vivre pour tenir 7 ans et je me demandais si je devrais attendre aussi longtemps (avec un cadavre sur les bras) avant de sortir.

...

[floridjan]

Cette nuit j'échouais à renverser une dictature (tous mes camarades se faisaient prendre et j'étais le seul survivant) et je tentais de m'enfuir en plongeant dans un puits. Je finissais par trouver une bulle d'air juste avant de mourir noyé, puis ô miracle une capsule de survie (au fond du puits, oui oui). Ne sachant pas comment ça fonctionnait, j'appuyais sur le mauvais bouton et remontais vers la surface... où une femme du groupe des méchants était toujours là. Voyant ma capsule apparaît elle se mettait à hurler comme un putois et des gardes arrivaient. Elle et un des gardes parvenaient à monter avec moi au moment où je comprenais enfin comment redescendre. J'arrivais à buter la femme, le garde disparaissait et je m'enfonçais à nouveau sous l'eau, ruminant mon coup d'Etat raté, faisant le deuil de mes camarades perdus. Je me rendais compte que la capsule contenait assez de vivre pour tenir 7 ans et je me demandais si je devrais attendre aussi longtemps (avec un cadavre sur les bras) avant de sortir.

...

La suite au prochain épisode...
Quel suspense !

[Blinded]

J'ai fait deux rêves bizarres cette nuit, les deux avec des et aloriens dedans.

Le premier c'était sur Paris, on trainait avec Eden Nomis et une autre personne (je crois que c'était Fitz, mais pas sur) du coté de porte d'ivry en picolant et faisant des conneries (lesquelles, je ne sais plus). Au bout d'un moment on était tellement torchés qu'on finissait par rentré à pinces jusque chez moi (parce que tout le monde habitait trop loin). Nomis ne tenait pas l'alcool et n'arrivait plus à avancé ce qui fait que j'étais obligé de le porté sur mon dos (ah, la jeunesse ) et tout paraissait long et pénible parce que y avait masse de travaux partout donc c'était compliqué de progresser. Arrivés chez moi (qui ne ressemblait pas du tout à chez moi, mais passons), on s'écroulait dans des canapés (oui y en avait plusieurs) et on continuait à boire jusqu'à s'endormir tous bourrés

Le deuxième, pour une raison inconnue, je ne travaillais plus à Orsay, mais à Bordeaux, où je logeais. Profitant du long weekend pascal pour revenir sur Paris, ma mère me prenait le choux comme si j'avais fini mon contrat et me pressait de rechercher du boulot, me faisant oublier de revenir le mardi au taff. Je m'en rendais compte en cours de journée et revenait en catastrophe sur Bordeaux pour faire au moins une partie de mes heures. Le soir et sur les conseils de Nomis (qui pour une obscure raison était lui aussi censé faire ses études là mais était resté sur Paris) , j'essayais de trouver l'asso gay étudiante de l'université (wake up, le nom est ressorti du fin fond de ma mémoire tout de même ça fait deux ans que j'en avais plus entendu parler), mais n'y arrivais pas. Puis, je me souvenais que j'avais rendez vous avec d'autres et aloriens pour aller ensemble à un concert. L'organisatrice était une fille que je n'avais jamais vu, mais était une fort jolie blonde (je gage que si elle était réelle, elle ferait fureur auprès d'un certain nombre de lesbiennes en ce lieux) à l'accent anglais. Je ne sais plus trop qui il y avait d'autre, mais il me semble bien que Floridjan était dans le coup. Pour nous rendre à destination, on passait sur un pont ressemblant bizarrement à la passerelle des arts et on s'arrêtait juste avant de monter dessus parce que deux mecs en bas essayaient manifestement d'en arracher des composants pour le détruire (ils arrivaient même à faire trembler la structure). Je sais qu'après on traversait quand même et qu'on arrivait à un gros attroupement, mais pas moyen d'aller plus loin.

[Nomis]

Huhu. Moi bourré. Un jour ca arrivera en vrai aussi. Un jour