mais...c'est PAS écrit en bleu...
t'as des problèmes de noeuils ?
(à part ça très bon chapitre, faut que je fasse la suite)
Le Fils de Polpinette
Comme un ouragan qui passait sur moi, l'amour a tout emporté.
le seul avantage de la déflagration lazéroïde de polpinio c'est qu'à présent il était libre, vu qu'il avait également désintégré la moitié de sa prison.
-oh ben zut alors ! s'écria t'il ! j'ai également déchiré tout mon beau pantalon neuf !
en effet, son jean slim était réduit à l'état de mini-short ultra moulant qui gainait outrageusement son avantageux paquet, sauf au niveau du cul ou une déchirure béante révélait largement ses fesses musculeuses (nos lecteurs les plus observateurs auront remarqué que Polpinio ne porte pas de slibard,wééééé !).
Ah ben zut alors ! bon ben tant pis ! c'est à demi-nu que je vais m'enfuir dans la forêt mais qu'importe puisqu'après tout c'est une forêt relativement sauvage et que par conséquent il serait saugrenu que j'y rencontrasse Mulder et Scully, voire ma propre mêre, ou à la rigueur un troupeau d'extraterrestres belliqueux !
Pendant ce temps, à cinquante mêtres de là, au détour d'un fourré, Petrouchka (qui menait sa propre enquète) venait de tomber nez à nez avec Mulder et Scully (en fait vu qu'ils sont trois ils sont tombés nez à nez à nez).
C'est à ce moment très précis que les extraterrestres de la planète Véga, dirigés par minos, leur bondirent dessus en glapissant comme des fenecs putrides.
Mais par un heureux hasard, Polpinio s'était dirigé de l'autre côté.
Il arriva dans un joli sous-bois, harmonieusement décorée de slings en cuir pendus dans les arbres, au centre duquel s'étendait une clairière.
Il remarqua un panneau, duquel il s'approcha pour le lire.
Le panneau était fixé anormalement bas, et Polpinio dut se pencher très fort en avant pour pouvoir le lire :
"Bienvenue au Village des Kevin !
son marché ! ses fruits et légumes ! son festival de gang-bang sur les touristes !"
-Bonjour ! firent de nombreuses voix derrière lui, tu es Passif ou Passif ?
Polpinio va t'il rester vierge encore longtemps ? Le fist fucking, c'est pas un peu violent pour une première fois ? Les slings en cuir, c'est pas un peu déguelasse pour l'écologie rapport aux pauvres meuh-meuh qui se font dépecer ? les hommes de Vega s'y connaissent ils en bondage ?
le seul avantage de la déflagration lazéroïde de polpinio c'est qu'à présent il était libre, vu qu'il avait également désintégré la moitié de sa prison.
-oh ben zut alors ! s'écria t'il ! j'ai également déchiré tout mon beau pantalon neuf !
en effet, son jean slim était réduit à l'état de mini-short ultra moulant qui gainait outrageusement son avantageux paquet, sauf au niveau du cul ou une déchirure béante révélait largement ses fesses musculeuses (nos lecteurs les plus observateurs auront remarqué que Polpinio ne porte pas de slibard,wééééé !).
Ah ben zut alors ! bon ben tant pis ! c'est à demi-nu que je vais m'enfuir dans la forêt mais qu'importe puisqu'après tout c'est une forêt relativement sauvage et que par conséquent il serait saugrenu que j'y rencontrasse Mulder et Scully, voire ma propre mêre, ou à la rigueur un troupeau d'extraterrestres belliqueux !
Pendant ce temps, à cinquante mêtres de là, au détour d'un fourré, Petrouchka (qui menait sa propre enquète) venait de tomber nez à nez avec Mulder et Scully (en fait vu qu'ils sont trois ils sont tombés nez à nez à nez).
C'est à ce moment très précis que les extraterrestres de la planète Véga, dirigés par minos, leur bondirent dessus en glapissant comme des fenecs putrides.
Mais par un heureux hasard, Polpinio s'était dirigé de l'autre côté.
Il arriva dans un joli sous-bois, harmonieusement décorée de slings en cuir pendus dans les arbres, au centre duquel s'étendait une clairière.
Il remarqua un panneau, duquel il s'approcha pour le lire.
Le panneau était fixé anormalement bas, et Polpinio dut se pencher très fort en avant pour pouvoir le lire :
"Bienvenue au Village des Kevin !
son marché ! ses fruits et légumes ! son festival de gang-bang sur les touristes !"
-Bonjour ! firent de nombreuses voix derrière lui, tu es Passif ou Passif ?
Polpinio va t'il rester vierge encore longtemps ? Le fist fucking, c'est pas un peu violent pour une première fois ? Les slings en cuir, c'est pas un peu déguelasse pour l'écologie rapport aux pauvres meuh-meuh qui se font dépecer ? les hommes de Vega s'y connaissent ils en bondage ?
Chapitre mais de quoi ça parle déjà Polpinette? Welcome to Kevin-Land
Avec du résumé dedans
Ce qu'il y avait d'étrange dans le sous-bois qui se situait à l'entée de Kevin-Land, c'est que tout le monde s'appelait Allan. Comme l'empereur de la région cyberspatiale Kevin-Land, rekcänishuin, était une grosse lape et qu'il s'était aperçu que tous ses sujets étaient comme lui, il avait fait créer un bois-de-vincennes miniatures où des clones d'Allan vivaient afin d'assouvir ses pulsions sexuelles.
Ainsi donc, on y trouvait plusieurs déclinaisons d'Allans: Allan-shuin, Allan-wesh, Allan-cecil, Allan-JohnyMarmelade, Allan-Daniela, Allan-MarieAngeNardi, Allan-punk, Allan-93, Allan-cho7, etc...
Mais d'entre toutes ces créatures sexuelles, la favorite de rekcänishuin était la princesse transexuelle Petra-Allan, le seul modèle dont la crinière aux cheveux longs Dior-B52 baignait soigneusement dans le vent. Sa féminité rendait vertes de jalousie Allan-Daniela et Allan-cecil.
Polpinio resta bouche bée quand il la vut. C'est elle qui approcha le jeune homme. Elle savait pourquoi il était ici, et sans même qu'il n'eut le temps de s'expliquer elle lui fit une proposition:
- Tu montes dessus?
L'homme enfourcha la pauvre bête par derrière et ils partirent ensemble vers le centre de Kevin-Land, sur le cheval de Petra-Allan.
Ce qu'il faut savoir, c'est que Petra-Allan était en fait une des 7 transexuelles réincarnée, gardiennes du pouvoir du rubisqübe à travers les 7 dimensions.
On se souvient notamment de la fameuse Fammke Janssen, qui était la deuxième gardienne transexuelle réincarnée en Ava. Elle avait désintégrés puis remolécularisés nos héros dans le rubisqübe:
Les frontières avec les 7 espaces-temps avaient été rompues, provoquant décadence et sodomie partout sur notre belle planète.
Petra-Allan expliquait tout ceci à Polpinio, qui allait devoir résoudre le casse-tête rubisqübien à 7 dimensions, afin de sauver le monde...
Ha ben putain c'est pas trop tôt la fin du monde non?
Avec du résumé dedans
Ce qu'il y avait d'étrange dans le sous-bois qui se situait à l'entée de Kevin-Land, c'est que tout le monde s'appelait Allan. Comme l'empereur de la région cyberspatiale Kevin-Land, rekcänishuin, était une grosse lape et qu'il s'était aperçu que tous ses sujets étaient comme lui, il avait fait créer un bois-de-vincennes miniatures où des clones d'Allan vivaient afin d'assouvir ses pulsions sexuelles.
Ainsi donc, on y trouvait plusieurs déclinaisons d'Allans: Allan-shuin, Allan-wesh, Allan-cecil, Allan-JohnyMarmelade, Allan-Daniela, Allan-MarieAngeNardi, Allan-punk, Allan-93, Allan-cho7, etc...
Mais d'entre toutes ces créatures sexuelles, la favorite de rekcänishuin était la princesse transexuelle Petra-Allan, le seul modèle dont la crinière aux cheveux longs Dior-B52 baignait soigneusement dans le vent. Sa féminité rendait vertes de jalousie Allan-Daniela et Allan-cecil.
Polpinio resta bouche bée quand il la vut. C'est elle qui approcha le jeune homme. Elle savait pourquoi il était ici, et sans même qu'il n'eut le temps de s'expliquer elle lui fit une proposition:
- Tu montes dessus?
L'homme enfourcha la pauvre bête par derrière et ils partirent ensemble vers le centre de Kevin-Land, sur le cheval de Petra-Allan.
Ce qu'il faut savoir, c'est que Petra-Allan était en fait une des 7 transexuelles réincarnée, gardiennes du pouvoir du rubisqübe à travers les 7 dimensions.
On se souvient notamment de la fameuse Fammke Janssen, qui était la deuxième gardienne transexuelle réincarnée en Ava. Elle avait désintégrés puis remolécularisés nos héros dans le rubisqübe:
Malheuresement, le sceau rubisqübien avait été rompu:Captain a écrit :-Oh, je la reconnais, s'écria Polpinette ! C'est Fammke Janssen ! c'est elle qui fait Ava le transsexuel dans Nip/tuck !
-Bonjour,dit Fammke Janssen, je suis Dark Phoenix ! comme je suis sous licence avec Marvel normalement je ne dois pas me mêler de la vie des autres mais là vous risquez la désintégration moléculaire, ce qui est facheux vu que vous êtes les héros de l'histoire !
Ce qui avait engendré une déflagration de l'espace hübert-temporel et le MONDE COURAIT UNE FOIS DE PLUS VERS SA FIN. Spop l'écureuil mort-vivant revenu de l'enfer était la preuve vivante (ou morte, ou choix) de la liquiféction des frontières entre espaces, ce qui avait ouvert la porte à toutes sortes d'incohérences venues d'ailleurs: Spop venait des enfers d'Hadès, Kevin-Land était un village de Sosis-world (monde de la réincarnation et des saucisses) et la Star-Academy était une fabrication du Paradis Holly-bois (où Gregory avait d'ailleurs été renvoyé, à moins que ça ne soit en enfer), etc.captain a écrit :Hé bien oui ! à force de rester comprimés dans ce cube depuis 19 ans, il fallait bien un jour qu'il y'ait un truc qui pète, et donc une RUPTURE DU CONTINUUM SPATIO-TEMPOREL venait de se produire pile sous Mirlinda, provoquant un mini-vortex dans lequel elle avait pu plier la jambe, avant d'être happée complètement.
-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!! Hurla t'elle avant de disparaïtre dans un maelström d'antimatière.
hé oui, les mini-vortex ne le restent jamais (mini) et donc ça risque d'être rapidement le bordel au musée d'art moderne.
Les frontières avec les 7 espaces-temps avaient été rompues, provoquant décadence et sodomie partout sur notre belle planète.
Petra-Allan expliquait tout ceci à Polpinio, qui allait devoir résoudre le casse-tête rubisqübien à 7 dimensions, afin de sauver le monde...
Ha ben putain c'est pas trop tôt la fin du monde non?
-
ExMembre10
Chapitre final: il faut bien une fin à tout, même aux histoire dont on a oublié le début.
Alors que Petra-Allan faisait découvrir au naïf Polpino des plaisirs inattendus, le cheval de la sus-nommée Petra-Allan commença à adopter une attitude incongrue, sans que la transsexuelle réincarnée, bien affairée à son affaire, ne s'en aperçoive. En effet, le cheval dont les deux pattes avants étaient en train de se détacher de son corps, ruait d'une étrange façon, une patte en avant, une patte en arrière dans un rythme endiabler, il savait danser la Carioca.
Phénomène zoologiquement rare, mais s'expliquant par une marque de dent à un endroit que la décence ne me permet d'évoquer explicitement, la morsure des crocs de.......................................................................................................
Spop l'écureuil mort-vivant revenu de l'enfer!
Le cheval s'approcha de Polpino et de sa nouvelle amie, qui, après avoir ressentit un pincement fort handicapant à un endroit dont Polpino commençait à peine à soupçonner l'utilité, se mirent eux aussi dans la danser la Carioca tout en allant parcourir le monde infecter toute la population, réduite à danser jusqu'à ce que mort s'en suive et à se mordiller mutuellement le Prince Albert.... et le monde courut une fois de plus vers sa fin s'en s'arrêter aux passages cloutés!
Alors que Petra-Allan faisait découvrir au naïf Polpino des plaisirs inattendus, le cheval de la sus-nommée Petra-Allan commença à adopter une attitude incongrue, sans que la transsexuelle réincarnée, bien affairée à son affaire, ne s'en aperçoive. En effet, le cheval dont les deux pattes avants étaient en train de se détacher de son corps, ruait d'une étrange façon, une patte en avant, une patte en arrière dans un rythme endiabler, il savait danser la Carioca.
Phénomène zoologiquement rare, mais s'expliquant par une marque de dent à un endroit que la décence ne me permet d'évoquer explicitement, la morsure des crocs de.......................................................................................................
Spop l'écureuil mort-vivant revenu de l'enfer!
Le cheval s'approcha de Polpino et de sa nouvelle amie, qui, après avoir ressentit un pincement fort handicapant à un endroit dont Polpino commençait à peine à soupçonner l'utilité, se mirent eux aussi dans la danser la Carioca tout en allant parcourir le monde infecter toute la population, réduite à danser jusqu'à ce que mort s'en suive et à se mordiller mutuellement le Prince Albert.... et le monde courut une fois de plus vers sa fin s'en s'arrêter aux passages cloutés!
Je suis fan ! 
Chapitre "Oui je suis toujours motivé, non je ne laisserai pas mourir ce topic !!!"
Dans le maëlstrom du Rubiks’cube, la voix de Polpinette s’éleva soudain :
- Hey les gars ça fait presque deux mois que les auteurs nous ont abandonné à notre sort ! Il est temps de prendre nous-mêmes notre destin en main, et cette fois-ci peut-être qu’on évitera pour de vrai la fin du monde !
Tous ses codétenus manifestèrent leur accord.
- Faisons l’amour pour nous donner du courage ! proposa quelqu’un.
- Oh oui faisons l’amour avant de nous dire adieu ! renchérit Mirlinda.
Sydney n’étant pas en grande forme, elle laissa les autres partouzer en paix et s’éloigna un peu. Elle trébucha soudain. En se relevant, elle regarda d’un air surpris ce sur quoi elle avait glissé : le dernier magazine Vogue ! Sans même se demander comment il était arrivé là, elle se mit à le dévorer : ça faisait près de 20 ans, depuis qu’ils étaient coincés là, qu’elle n’avait pas eu accès à la culture. Elle n’était même pas sûre de savoir encore lire. Elle rit gaiement en réalisant qu’en fait elle n’avait jamais su.
Elle feuilleta donc le magazine, s’extasiant sur l’évolution spectaculaire de la mode en deux décennies. Au détour d’une pub YSL, où l’on voyait la mère adoptive de Polpinio en tutu rouge vif, elle tomba sur un rébus. Elle le déchiffra mot à mot, et se mit à trembler de plus en plus fort alors qu’elle se pénétrait de sa terrible signification (bande de pervers !) : « Si lent faon dû diable dé couvre lait joie dû sexe, le monde court A sa dé truc scions ! »
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan ! hurla Sydney.
Son cri fut malheureusement couvert par les gémissements de plaisir de ses camarades.
- J’ai dit : « HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN », tas de cons ! répéta-t-elle, encore plus fort.
Seb émergea du lot.
- Qu’est-ce que t’as ? Tu vois pas qu’on est occupés ?
- J’ai découvert quelque chose ! Si tu crois que j’ai eu tort… Venez voir !
A contrecœur, ses amis obéirent. En voyant le Vogue, Karen mit à courir, jetant par terre ceux qui se trouvaient entre elle et l’objet de son désir immédiat. Se sentant menacée, Sydney lança le magazine loin d’elle et se mit en position défensive, prête à recevoir cette pétasse qui s’attirait les regards de tous les mecs depuis qu’elles se connaissaient, faisant de Sydney Foune une frustrée mal baisée. Malheureusement Karen se détourna de sa rivale pour suivre le magazine, qui atterrit dans la baignoire aménagée par Mirlinda « parce que vraiment, on vit comme des porcs ici ». Il se trouve que par hasard ladite Mirlinda n’avait pas vidé l’eau de son dernier bain, déconcentrée par les velléités de rébellion contre les narrateurs de Polpinette. Le précieux document disparut donc dans l’eau saumâtre, et toute son encre coula d’un seul coup, le rendant inutilisable.
Karen se retourna d’un bond, foudroyant du regard Mirlinda et Sydney. Voyant que Sydney était déjà prête à attaquer et qu’elle murmurait « Non je ne regrette rien », elle décida que c’était la faute de Mirlinda. Elle prit quelques secondes pour fixer ses faux ongles en acier, qu’elle gardait pour ses soirées « privées », puis s’avança à grands pas vers la jeune femme inconsciente du danger.
- Je vais t’étriper, sale grognasse ! Combien de fois on t’a dit de vider l’eau de ton bain ! Tu sais pas que ça attire les moustiques ? Et regarde, à cause de toi nous avons perdu notre seul lien avec la civilisation. Je suis très très très en colère contre toi. Tu vas le payer.
- J’ai pas l’temps, mon esprit… commença Mirlinda avant de s’interrompre sans raison apparente.
Les autres firent cercle autour des deux femmes, et prirent les paris. Sydney, la seule qui avait parié sur une victoire de Mirlinda par KO sanguin, s’approcha de Mirlinda, qui n’avait toujours pas compris ce qui se passait, et lui murmura à l’oreille :
- C’est Karen qui t’a volé ta Bible, l’autre jour. Et tu sais pourquoi ? Parce qu’on n’avait plus de papier toilette. Tu peux aller vérifier, si tu veux. Venge-toi. Tu peux devenir quelqu’un, le héros d’un autre du jour au lendemain, si tu lui maraves la gueule. En plus hier elle m’a dit qu’elle te trouve grosse et conne.
Mirlinda sursauta et se signa. La rage emplit son visage, déformant ses traits et la rendant encore plus moche que l’originale.
- Saloooooooooooooooooooooooope ! cria-t-elle, mettant dans ce mot toute la colère et la frustration que des années de piété sans faille (à part quelques partouzes, que Dieu la pardonne) avaient contribué à accumuler.
Et elle bondit sur la sus-nommée Karen, qui ne vit rien venir. Celle-ci se retrouva à quatre pattes en train de gémir :
- Naaaaaaaan pas les cheveuuuuuuuuuux ! Joue pas ! Pas avec ça ! Arrête ! Tu ne m’as pas laissé le temps de te dire tout ce que… Aïïïïe !
[En raison de la présence de mineurs sur ce forum et de la volonté de l’auteur de ne pas passer pour un psychopathe sanguinaire aux yeux de ses lecteurs potentiels, nous remplacerons la fin de la scène par un Ave Maria, chanté à la gloire du vainqueur]
… En l’occurrence Mirlinda.
Les spectateurs applaudirent à tout rompre la jeune femme triomphante qui exhibait fièrement la crinière de sa rivale qui gisait inconsciente (mais vivante) à ses pieds.
- Mouahahahahahahahaha ! éructa-t-elle, radieuse.
Quand elle se fut calmée, elle se tourna vers Sydney.
- Au fait, pourquoi t’as dit « han » tout à l’heure ?
- J’ai la mémoire qui flanche, j’me souviens plus très bien… Pourtant c’était extrêmement important.
C’est alors que la structure du maëlstrom se mit à trembler.
- Oh mon dieu ! comprit Polpinette. Le déchaînement de violence qui vient de se produire à ouvert une faille dans l’équilibre des forces qui maintiennent la stabilité de ce pan de la réalité sphingopartique ! La structure hélicoïdale du maëlstrom est en train de se déliter pour se muer en un assemblage chaotique d’éléments vectoriels picométriques propulsés à grande vitesse dans le champ magnétique généré par l’énergie résiduelle de toutes les orgies que nous avons faites depuis notre arrivée !
- Mais où tu vas chercher tout ça ? demanda Seb.
- Dans ton cuuuuuuuuuuuuul, dans ta chatte ! (avis au lecteur : désolé, c’est un des hymnes de mon école, j’ai pas pu résister…)
- Et tu peux simplifier, pour les novices ? Ca veut dire quoi ?
- Qu’on va tous mourir, dit Polpinette sur le ton de l’évidence, en haussant les épaules.
Han, mais que va-t-il se passer ensuite ? Vont-ils réellement tous mourir comme le dit Polpinette ou ce tremblement est-il au contraire le signe avant-coureur de leur libération prochaine ? Et pendant ce temps, que fait Polpinio au pays des Kevin (ou des Allan) ? A-t-il réalisé la prophétie de Vogue (avouez que c’est plus classe que « la prophétie d’Avignon ») ? Cette prophétie est-elle juste, ou Sydney s’est-elle plantée en la déchiffrant ? Comment le magazine est-il arrivé là ? Voulez-vous que je rédige le combat entre Karen et Mirlinda ? Si oui, gore ou pas ? Mirlinda est-elle la seule à se laver ? Et si elle est si propre, pourquoi ne s’est-elle pas rendue compte que c’était sa Bible qui servait de papier cul ? Sydney lui aurait-elle menti pour gagner son pari ? Et d’abord, quelles étaient les mises ? Que sont devenus les autres personnages de cette saison ? Est-ce l’atmosphère bruxelloise qui me donne des envies de violence ou est-ce un état latent chez moi ? Ne ferais-je pas mieux de finir de rédiger mon rapport de stage que je suis censé faire depuis avril, au lieu d’écrire des conneries rien que pour vous ? Ambiance et suspense…
Dans le maëlstrom du Rubiks’cube, la voix de Polpinette s’éleva soudain :
- Hey les gars ça fait presque deux mois que les auteurs nous ont abandonné à notre sort ! Il est temps de prendre nous-mêmes notre destin en main, et cette fois-ci peut-être qu’on évitera pour de vrai la fin du monde !
Tous ses codétenus manifestèrent leur accord.
- Faisons l’amour pour nous donner du courage ! proposa quelqu’un.
- Oh oui faisons l’amour avant de nous dire adieu ! renchérit Mirlinda.
Sydney n’étant pas en grande forme, elle laissa les autres partouzer en paix et s’éloigna un peu. Elle trébucha soudain. En se relevant, elle regarda d’un air surpris ce sur quoi elle avait glissé : le dernier magazine Vogue ! Sans même se demander comment il était arrivé là, elle se mit à le dévorer : ça faisait près de 20 ans, depuis qu’ils étaient coincés là, qu’elle n’avait pas eu accès à la culture. Elle n’était même pas sûre de savoir encore lire. Elle rit gaiement en réalisant qu’en fait elle n’avait jamais su.
Elle feuilleta donc le magazine, s’extasiant sur l’évolution spectaculaire de la mode en deux décennies. Au détour d’une pub YSL, où l’on voyait la mère adoptive de Polpinio en tutu rouge vif, elle tomba sur un rébus. Elle le déchiffra mot à mot, et se mit à trembler de plus en plus fort alors qu’elle se pénétrait de sa terrible signification (bande de pervers !) : « Si lent faon dû diable dé couvre lait joie dû sexe, le monde court A sa dé truc scions ! »
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan ! hurla Sydney.
Son cri fut malheureusement couvert par les gémissements de plaisir de ses camarades.
- J’ai dit : « HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN », tas de cons ! répéta-t-elle, encore plus fort.
Seb émergea du lot.
- Qu’est-ce que t’as ? Tu vois pas qu’on est occupés ?
- J’ai découvert quelque chose ! Si tu crois que j’ai eu tort… Venez voir !
A contrecœur, ses amis obéirent. En voyant le Vogue, Karen mit à courir, jetant par terre ceux qui se trouvaient entre elle et l’objet de son désir immédiat. Se sentant menacée, Sydney lança le magazine loin d’elle et se mit en position défensive, prête à recevoir cette pétasse qui s’attirait les regards de tous les mecs depuis qu’elles se connaissaient, faisant de Sydney Foune une frustrée mal baisée. Malheureusement Karen se détourna de sa rivale pour suivre le magazine, qui atterrit dans la baignoire aménagée par Mirlinda « parce que vraiment, on vit comme des porcs ici ». Il se trouve que par hasard ladite Mirlinda n’avait pas vidé l’eau de son dernier bain, déconcentrée par les velléités de rébellion contre les narrateurs de Polpinette. Le précieux document disparut donc dans l’eau saumâtre, et toute son encre coula d’un seul coup, le rendant inutilisable.
Karen se retourna d’un bond, foudroyant du regard Mirlinda et Sydney. Voyant que Sydney était déjà prête à attaquer et qu’elle murmurait « Non je ne regrette rien », elle décida que c’était la faute de Mirlinda. Elle prit quelques secondes pour fixer ses faux ongles en acier, qu’elle gardait pour ses soirées « privées », puis s’avança à grands pas vers la jeune femme inconsciente du danger.
- Je vais t’étriper, sale grognasse ! Combien de fois on t’a dit de vider l’eau de ton bain ! Tu sais pas que ça attire les moustiques ? Et regarde, à cause de toi nous avons perdu notre seul lien avec la civilisation. Je suis très très très en colère contre toi. Tu vas le payer.
- J’ai pas l’temps, mon esprit… commença Mirlinda avant de s’interrompre sans raison apparente.
Les autres firent cercle autour des deux femmes, et prirent les paris. Sydney, la seule qui avait parié sur une victoire de Mirlinda par KO sanguin, s’approcha de Mirlinda, qui n’avait toujours pas compris ce qui se passait, et lui murmura à l’oreille :
- C’est Karen qui t’a volé ta Bible, l’autre jour. Et tu sais pourquoi ? Parce qu’on n’avait plus de papier toilette. Tu peux aller vérifier, si tu veux. Venge-toi. Tu peux devenir quelqu’un, le héros d’un autre du jour au lendemain, si tu lui maraves la gueule. En plus hier elle m’a dit qu’elle te trouve grosse et conne.
Mirlinda sursauta et se signa. La rage emplit son visage, déformant ses traits et la rendant encore plus moche que l’originale.
- Saloooooooooooooooooooooooope ! cria-t-elle, mettant dans ce mot toute la colère et la frustration que des années de piété sans faille (à part quelques partouzes, que Dieu la pardonne) avaient contribué à accumuler.
Et elle bondit sur la sus-nommée Karen, qui ne vit rien venir. Celle-ci se retrouva à quatre pattes en train de gémir :
- Naaaaaaaan pas les cheveuuuuuuuuuux ! Joue pas ! Pas avec ça ! Arrête ! Tu ne m’as pas laissé le temps de te dire tout ce que… Aïïïïe !
[En raison de la présence de mineurs sur ce forum et de la volonté de l’auteur de ne pas passer pour un psychopathe sanguinaire aux yeux de ses lecteurs potentiels, nous remplacerons la fin de la scène par un Ave Maria, chanté à la gloire du vainqueur]
… En l’occurrence Mirlinda.
Les spectateurs applaudirent à tout rompre la jeune femme triomphante qui exhibait fièrement la crinière de sa rivale qui gisait inconsciente (mais vivante) à ses pieds.
- Mouahahahahahahahaha ! éructa-t-elle, radieuse.
Quand elle se fut calmée, elle se tourna vers Sydney.
- Au fait, pourquoi t’as dit « han » tout à l’heure ?
- J’ai la mémoire qui flanche, j’me souviens plus très bien… Pourtant c’était extrêmement important.
C’est alors que la structure du maëlstrom se mit à trembler.
- Oh mon dieu ! comprit Polpinette. Le déchaînement de violence qui vient de se produire à ouvert une faille dans l’équilibre des forces qui maintiennent la stabilité de ce pan de la réalité sphingopartique ! La structure hélicoïdale du maëlstrom est en train de se déliter pour se muer en un assemblage chaotique d’éléments vectoriels picométriques propulsés à grande vitesse dans le champ magnétique généré par l’énergie résiduelle de toutes les orgies que nous avons faites depuis notre arrivée !
- Mais où tu vas chercher tout ça ? demanda Seb.
- Dans ton cuuuuuuuuuuuuul, dans ta chatte ! (avis au lecteur : désolé, c’est un des hymnes de mon école, j’ai pas pu résister…)
- Et tu peux simplifier, pour les novices ? Ca veut dire quoi ?
- Qu’on va tous mourir, dit Polpinette sur le ton de l’évidence, en haussant les épaules.
Han, mais que va-t-il se passer ensuite ? Vont-ils réellement tous mourir comme le dit Polpinette ou ce tremblement est-il au contraire le signe avant-coureur de leur libération prochaine ? Et pendant ce temps, que fait Polpinio au pays des Kevin (ou des Allan) ? A-t-il réalisé la prophétie de Vogue (avouez que c’est plus classe que « la prophétie d’Avignon ») ? Cette prophétie est-elle juste, ou Sydney s’est-elle plantée en la déchiffrant ? Comment le magazine est-il arrivé là ? Voulez-vous que je rédige le combat entre Karen et Mirlinda ? Si oui, gore ou pas ? Mirlinda est-elle la seule à se laver ? Et si elle est si propre, pourquoi ne s’est-elle pas rendue compte que c’était sa Bible qui servait de papier cul ? Sydney lui aurait-elle menti pour gagner son pari ? Et d’abord, quelles étaient les mises ? Que sont devenus les autres personnages de cette saison ? Est-ce l’atmosphère bruxelloise qui me donne des envies de violence ou est-ce un état latent chez moi ? Ne ferais-je pas mieux de finir de rédiger mon rapport de stage que je suis censé faire depuis avril, au lieu d’écrire des conneries rien que pour vous ? Ambiance et suspense…
