Vos rêves les plus fous

[Brouzouf]

J'ai rêvé que je me faisais tripoter les seins par une et-alorienne... et c'était pas Djoulie

C'était qui ?

[moniiique]

J'ai rêvé qu'avec deux copines on décidait de repasser le bac de Français pour le fun et le challenge. On tombait sur un texte d'un mec dont le nom finissait par "line" mais qui n'était pas Courteline, et ça me faisait penser à insuline. Je grattais comme une dingue, sans plan, sans pitié, en mode j'ai trop de trucs à dire j'ai mal à la main, et au stylo plume alors que j'ai jamais supporté le plume . On était dans un hangar géant comme pour certains concours, genre 1500 personnes en train de composer, et à un moment y avait un mec en camion qui roulait au pas entre les rangées, et il avait pas éteint son auto-radio. Du coup tout le monde essayait de lui faire comprendre en chuchotant que ça serait cool qu'il éteigne sa musique parce qu'on passait le bac de Français quoi. Et il comprenait pas ce qu'on essayait de lui dire, donc il regardait plus devant lui et déviait au point de rentrer, doucement, sans dommages, dans quelques tables de mecs en train de composer. Bref, on avait le droit de sortir fumer des clopes, et à la fin de mon truc, je sortais fumer en me disant que je n'avais plus qu'à relire. Quand je revenais, les profs annonçaient que c'était fini et passaient ramasser les copies. Je prenais la tête au mec qui ramassait pour avoir le temps de me relire, je lui disais "regarde, je peux rien modifier, j'ai rangé mes stylos, je veux juste me relire", et il était d'accord mais ne trouvait plus ma copie au milieu des autres. Et il me disait que pendant que je fumais, il avait lu vite fait mon truc et que c'était brillant . Moi j'hallucinais un peu vu que j'avais zero plan ni rien, mais le mec était catégorique, sauf sur un point, j'avais dit que l'auteur devait être une sorte de libertin alors que c'était plutôt un genre de curé ou je ne sais quoi. En dehors de ce truc (qui pourtant serait juste abusé énorme ), mon analyse de texte était brillante selon lui. Aux résultats, je me payais un 18, j'hallucinais à mort quand même, une de mes potes se chopait un 4 et l'autre un truc genre 11 ou 12. Celle qui avait 4 était au taquet pour passer l'oral, genre allez on finit le challenge, l'autre n'en avait rien à foutre et ne voulait pas y aller, et moi j'étais trop motivée et je disais que je pouvais pas rater ça vu qu'avec un 18 j'avais gratté grave de points . Et je me suis réveillée. En retard, à l'heure où je commençais le boulot en fait...

[Blinded]

Bon bah moi mon inconscient se rebelle ces derniers temps... Je n'arrête plus de rêver de lui .

C'est la loose quoi !

[moniiique]

Mouais, c'est chiant ces phases là. J'espère qu'elle ne va pas durer.

[hybride]

C'était qui ?

C'était pas toi ! (pas cette nuit-là en tout cas)

[ordure]

Moi j'ai somnolé en cours, j'ai vu ma vie défilé en rêve et dans tout les sens.

[Brouzouf]

C'était qui ?

C'était pas toi ! (pas cette nuit-là en tout cas)

Han !

[Nomade]

J'ai fait deux rêves intenses et tellement chargés qu'ils sont impossibles à retranscrire dans leur intégralité.

Dans le premier j'étais une femme et après mille et uns rebondissements je me retrouvais enfin dans une chambre avec l'homme sur qui je flashais. On commençait à se déshabiller tout en discutant de la femme qu'on venait de quitter (je ne sais plus si c'était un gentille) et il me disait que d'ailleurs, le soutien-gorge noir que je portais était à elle et qu'il avait bien fait de me le donner parce qu'il m'allait bien.
Je lui collais une mandale phénoménale avant de me barrer.


Ah et dans un bout de mon rêve je faisais un apéro chez moi et Aoki me faisait comprendre de manière très fine que mon vin était absolument immonde (ce que je pressentais, mais je l'avais quand même laisser goûter ).

Ce fut une nuit très drôle.

[Péronnelle]

Je suis fan du rêve de moniiique. T'as eu combien au vrai bac français ?

Cette nuit j'ai rêvé que j'étais enceinte. Parfois c'était une vraie grossesse, parfois c'était un ballon de baudruche sous mon tee-shirt (qui glissait). Je me rappelle que j'étais super heureuse et que je pleurais régulièrement d'émotion à l'idée d'avoir un enfant. Je parlais avec des filles de mon âges qui allaient accoucher (dans la vraie vie aussi) et on discutait des inconvénients de la grossesse: reflux gastro-oesophagien, nuits inconfortables, difficultés pour changer de position assis-debout...
Quand je me suis réveillée, j'ai de suite mis les mains sur mon ventre pour vérifier . Et le matin, mon père m'a annoncé que la fille de mon rêve avait accouché la veille.

[Norma]

cette nuit j'ai fait un rêve dont je ne réussis plus du tout à me rappeler l'ordre.

Tout est il que dans ce rêve, des amies proches avaient changé d'appart pour un qui ressemblait exactement au leur, tout aussi blanc et carré, sauf que contrairement au vrai celui là avait une âme. (Je deteste les immeubles nouveaux qui sous pretexte d'être fonctionnel sont d'une froideur à faire none lady gaga).
Dans ce rêve, mes collègues décidaient à 17h de lancer une grêve et partaient toute en me laissant seule au poste, sans expliquer leur motif de grêve à part "on en a marre". Je finissais par les suivre comme un gosse qui sèche les cours, et surtout pour pas être totalement seule dans un post que je pouvais pas gérer ainsi, et où je courrais à la catastrophe.
Mais la bosse arrivait, et me demandait à moi pourquoi je faisais grève. Je lui disait la raison (les suivres parce que sinon j'en aurais trop chié), et elle me répondait que c'était la pire réponse que je pouvais lui fournir et qu'elle allait me le faire payer.

Après je crois, j'étais dans une place dehors avec la plus stupide de mes collègues. Il y'avait des livres et des tableaux, et un lac au bord de la place, totalement suréaliste.
Là y passait mon oncle que je saluait, il me disait être devenu directeur de la culture d'un point de vu régional (dans la vrai vie il est juste publicitaire)
5 minutes plus tard passait Frédéric Mitterand, il avait la mine totalement défaite, et dans mon rêve c'était aussi mon oncle.
Il s'excusait de pas avoir donné de nouvelle depuis bien longtemps, et on a discuté du fait que l'un comme l'autre, on pouvait juste pas, parce qu'on était trop mal, trop déprimés. En quelques mots on se comprenait beaucoup, étrangement, et on se promettait de se revoir d'ici peu.
Puis je conduisais une voiture, il y avait certains de ms amis dedans.
Je prenais un pont très haut et très étroit au dessus de l'eau, mais je ne voyais pas la route car le volant était trop grand pour moi et me cachait totalement le vue.
J'avais peur, mais cependant il n'y eut pas d'accident, et il y avait une lumière très vive, dorée au bout.
Je passais de l'autre côté de la lumière, ais du coup je ne pouvais plus la voir qu'au travers d'interstices dans un grand couloir, un ami me disait que c'était "Marseille".

Je crois que le rêve s'est fini là, sinon, je ne me rappelle pas de la fin.