

Mon premier rêve se passe à Genève. Guillaume86 doit y venir pour je ne sais quelle raison et m'a demandé si j'étais d'accord de lui faire visiter quelques endroit incontournables. Bien sûr j'accepte. Sauf que je ne savais pas qu'il allait venir avec quelqu'un (son copain peut-être, en tout cas quelqu'un d'un peu plus jeune que lui, qui est déjà venu à Genève une fois et qui est très chiant).
Bref le rêve commence dans un resto de montagne (alors qu'on est censés être à Genève



Mon second rêve (tout chaud, datant de cette nuit) est quand même bien plus cinglé. C'est une sorte de comédie dramatique teintée d'une louche de surréalisme.
Un meating a été organisé je ne sais où. Ce que je peux dire, c'est que j'y suis venu en avion et que par le plus grand des hasards, une de mes collègues (hétéro) s'est retrouvée dans le même avion que moi.
Le rêve commence de façon nette dans l'appartement d'un des éaloriens. C'est la bonne grosse fête, avec musique, alcool, rires et j'en passe. J'y reconnais Captain et Anchois-Man, Pluck, Mystigris je crois, Gé, une autre Gé (une amie à moi), un footballeur suisse professionnel du nom d'Alexandre Rey (il existe donc vraiment pour ceux qui en douteraient et à ma connaissance il est marié



Puis le rêve prend une tournure complètement différente. Raka est dans la salle de bains et s'est fait quelque peu oublié. La fête continue à battre son plein. Puis d'un seul coup un silence de plomb s'abat sur le lieu. Raka est sorti de la salle de bains, il titube, un accident vient de se produire visiblement, il s'est ouvert (à cause de ses bonds ?

Rapidement, on décide de l'emmener à l'hôpital. Deux hommes forts de la soirée se dévouent pour le porter (Captain et le footballeur). Quant à moi, je leur ouvre le chemin. Bien sûr la fête s'est déroulée au dernier étage d'un immeuble, il faut donc prendre l'ascenseur. Et bien sûr l'ascenseur est super vétuste. Je l'appelle donc (il met une plombe à venir). Lorsqu'enfin il atteint l'étage, il me faut ouvrir une première porte, puis pousser deux demi-portes (un peut comme dans un saloon). Captain me presse (je fais ce que je peux, mon ami!

Moi-même je m'écarte, je ne peux pas voir ça en direct, je me retrouve à ce moment du côté de l'aéroport (car naturellement il est juste à côté de l'hôpital). Et là j'assiste à une scène hallucinante. Pour protester contre leurs conditions de travail, les employés des différentes compagnies aériennes ont décidé non pas de faire grève mais de lâcher les bagages des passagers en plein vol à un endroit précis (juste à côté de l'aéroport donc). Je vois donc un immense champ un peu vallonné parsemé de valises, sacs de voyage, sacs à dos, etc., et des gens cherchant leurs affaires sans s'énerver pour le moins du monde. Et je tombe sur ma collègue qui recherche inlassablement sa valise depuis deux jours dans ce champ. On échange quelques mots.
A ce moment, je vois Alexandre venir vers moi. Je le regarde interrogatif et il me dit que c'est fini, qu'il n'y a plus rien à faire. Je me mets donc instantanément à hurler comme un damné. Ca ne joue pas pourtant, je ne suis pas assez crédible. Alors je recommence à hurler, une fois, deux fois, trois fois, etc., un peu comme si tout ça était du cinéma et que je recommençais des nouvelles prises sous l'oeil attentif du réalisateur.
Alors ce rêve ne serait qu'une immense supercherie ?

