Rêves de fou (feat. Guillaume86, Raka et quelques autres)
Publié : sam. août 27, 2005 4:22 pm
Je ne sais pas ce qui m'arrive mais ça fait la deuxième semaine de suite que je rêve d'éaloriens. Est-ce grave ?
Mon premier rêve se passe à Genève. Guillaume86 doit y venir pour je ne sais quelle raison et m'a demandé si j'étais d'accord de lui faire visiter quelques endroit incontournables. Bien sûr j'accepte. Sauf que je ne savais pas qu'il allait venir avec quelqu'un (son copain peut-être, en tout cas quelqu'un d'un peu plus jeune que lui, qui est déjà venu à Genève une fois et qui est très chiant).
Bref le rêve commence dans un resto de montagne (alors qu'on est censés être à Genève
), on mange tous les trois une fondue (et vive les clichés!). Dehors la vue est splendide, il y a beaucoup de verdure, il fait assez chaud (c'est l'été). Le repas fini, comme convenu, on décide de faire un tour dans les endroits les plus connus de la ville (à noter que l'on passe de la pleine montagne à la ville en deux temps trois mouvements). Et c'est là que le copain de Guillaume (tu vois Guillaume que ça vient
), sous prétexte d'être venu à Genève une fois, va contredire toutes les idées de visites que je propose à Guillaume. Comme je suis têtu (et plus âgé 8) ), c'est moi qui impose le dernier mot. On va donc faire un tour en Vieille Ville, du côté de la cathédrale Saint-Pierre, puis je propose d'aller voir le mur des Réformateurs. En sortant de la Vieille Ville, on se rend compte qu'il n'y a quasiment personne dans les rues (c'est assez étrange comme atmosphère). Bref avant d'arriver au mur, je me réveille (tu ne verras jamais la statue de Calvin, très cher Guillaume
).
Mon second rêve (tout chaud, datant de cette nuit) est quand même bien plus cinglé. C'est une sorte de comédie dramatique teintée d'une louche de surréalisme.
Un meating a été organisé je ne sais où. Ce que je peux dire, c'est que j'y suis venu en avion et que par le plus grand des hasards, une de mes collègues (hétéro) s'est retrouvée dans le même avion que moi.
Le rêve commence de façon nette dans l'appartement d'un des éaloriens. C'est la bonne grosse fête, avec musique, alcool, rires et j'en passe. J'y reconnais Captain et Anchois-Man, Pluck, Mystigris je crois, Gé, une autre Gé (une amie à moi), un footballeur suisse professionnel du nom d'Alexandre Rey (il existe donc vraiment pour ceux qui en douteraient et à ma connaissance il est marié
) et Raka. Raka, comme chacun peut se l'imaginer en lisant ses posts (surtout depuis quelque temps), est un vrai bout-en-train, il déconne constamment, il bondit dans tous les sens, il amuse la galerie. J'essaye de mon côté de produire le même effet que lui mais visiblement ça passe beaucoup moins bien. J'essaye de faire une blague sur l'avatar-carotte de Gé mais ça ne la fait pas du tout rire (pourquoi tu m'en veux comme ça, Gé ?
). Bref je suis un boulet!
Puis le rêve prend une tournure complètement différente. Raka est dans la salle de bains et s'est fait quelque peu oublié. La fête continue à battre son plein. Puis d'un seul coup un silence de plomb s'abat sur le lieu. Raka est sorti de la salle de bains, il titube, un accident vient de se produire visiblement, il s'est ouvert (à cause de ses bonds ?
) au niveau de sa gorge. Il se tient donc le cou, blanc comme un linge.
Rapidement, on décide de l'emmener à l'hôpital. Deux hommes forts de la soirée se dévouent pour le porter (Captain et le footballeur). Quant à moi, je leur ouvre le chemin. Bien sûr la fête s'est déroulée au dernier étage d'un immeuble, il faut donc prendre l'ascenseur. Et bien sûr l'ascenseur est super vétuste. Je l'appelle donc (il met une plombe à venir). Lorsqu'enfin il atteint l'étage, il me faut ouvrir une première porte, puis pousser deux demi-portes (un peut comme dans un saloon). Captain me presse (je fais ce que je peux, mon ami!
), on descend finalement. Installé dans la voiture d'Alexandre (le footballeur donc), Raka est placé sur le siège arrière, à mes côtés, il respire difficilement et bruyamment. Captain conduit (ou peut-être que c'est le footballeur, je ne sais plus). On arrive à l'hôpital, Raka a arrêté de respirer (en tout cas on ne l'entend plus). Je cours à l'intérieur, je demande de l'aide avant d'entendre Captain me dire que c'est tout bon. Lorsque je sors, je vois Raka placé sur un lit, des infirmiers s'occupent de lui et tentent de le réanimer.
Moi-même je m'écarte, je ne peux pas voir ça en direct, je me retrouve à ce moment du côté de l'aéroport (car naturellement il est juste à côté de l'hôpital). Et là j'assiste à une scène hallucinante. Pour protester contre leurs conditions de travail, les employés des différentes compagnies aériennes ont décidé non pas de faire grève mais de lâcher les bagages des passagers en plein vol à un endroit précis (juste à côté de l'aéroport donc). Je vois donc un immense champ un peu vallonné parsemé de valises, sacs de voyage, sacs à dos, etc., et des gens cherchant leurs affaires sans s'énerver pour le moins du monde. Et je tombe sur ma collègue qui recherche inlassablement sa valise depuis deux jours dans ce champ. On échange quelques mots.
A ce moment, je vois Alexandre venir vers moi. Je le regarde interrogatif et il me dit que c'est fini, qu'il n'y a plus rien à faire. Je me mets donc instantanément à hurler comme un damné. Ca ne joue pas pourtant, je ne suis pas assez crédible. Alors je recommence à hurler, une fois, deux fois, trois fois, etc., un peu comme si tout ça était du cinéma et que je recommençais des nouvelles prises sous l'oeil attentif du réalisateur.
Alors ce rêve ne serait qu'une immense supercherie ?
Je ne le sais pas moi-même. En tout cas j'ai essayé d'être le plus proche possible du souvenir que j'en ai. En espérant que l'on ne me prendra pas pour un fou! 


Mon premier rêve se passe à Genève. Guillaume86 doit y venir pour je ne sais quelle raison et m'a demandé si j'étais d'accord de lui faire visiter quelques endroit incontournables. Bien sûr j'accepte. Sauf que je ne savais pas qu'il allait venir avec quelqu'un (son copain peut-être, en tout cas quelqu'un d'un peu plus jeune que lui, qui est déjà venu à Genève une fois et qui est très chiant).
Bref le rêve commence dans un resto de montagne (alors qu'on est censés être à Genève



Mon second rêve (tout chaud, datant de cette nuit) est quand même bien plus cinglé. C'est une sorte de comédie dramatique teintée d'une louche de surréalisme.
Un meating a été organisé je ne sais où. Ce que je peux dire, c'est que j'y suis venu en avion et que par le plus grand des hasards, une de mes collègues (hétéro) s'est retrouvée dans le même avion que moi.
Le rêve commence de façon nette dans l'appartement d'un des éaloriens. C'est la bonne grosse fête, avec musique, alcool, rires et j'en passe. J'y reconnais Captain et Anchois-Man, Pluck, Mystigris je crois, Gé, une autre Gé (une amie à moi), un footballeur suisse professionnel du nom d'Alexandre Rey (il existe donc vraiment pour ceux qui en douteraient et à ma connaissance il est marié



Puis le rêve prend une tournure complètement différente. Raka est dans la salle de bains et s'est fait quelque peu oublié. La fête continue à battre son plein. Puis d'un seul coup un silence de plomb s'abat sur le lieu. Raka est sorti de la salle de bains, il titube, un accident vient de se produire visiblement, il s'est ouvert (à cause de ses bonds ?

Rapidement, on décide de l'emmener à l'hôpital. Deux hommes forts de la soirée se dévouent pour le porter (Captain et le footballeur). Quant à moi, je leur ouvre le chemin. Bien sûr la fête s'est déroulée au dernier étage d'un immeuble, il faut donc prendre l'ascenseur. Et bien sûr l'ascenseur est super vétuste. Je l'appelle donc (il met une plombe à venir). Lorsqu'enfin il atteint l'étage, il me faut ouvrir une première porte, puis pousser deux demi-portes (un peut comme dans un saloon). Captain me presse (je fais ce que je peux, mon ami!

Moi-même je m'écarte, je ne peux pas voir ça en direct, je me retrouve à ce moment du côté de l'aéroport (car naturellement il est juste à côté de l'hôpital). Et là j'assiste à une scène hallucinante. Pour protester contre leurs conditions de travail, les employés des différentes compagnies aériennes ont décidé non pas de faire grève mais de lâcher les bagages des passagers en plein vol à un endroit précis (juste à côté de l'aéroport donc). Je vois donc un immense champ un peu vallonné parsemé de valises, sacs de voyage, sacs à dos, etc., et des gens cherchant leurs affaires sans s'énerver pour le moins du monde. Et je tombe sur ma collègue qui recherche inlassablement sa valise depuis deux jours dans ce champ. On échange quelques mots.
A ce moment, je vois Alexandre venir vers moi. Je le regarde interrogatif et il me dit que c'est fini, qu'il n'y a plus rien à faire. Je me mets donc instantanément à hurler comme un damné. Ca ne joue pas pourtant, je ne suis pas assez crédible. Alors je recommence à hurler, une fois, deux fois, trois fois, etc., un peu comme si tout ça était du cinéma et que je recommençais des nouvelles prises sous l'oeil attentif du réalisateur.
Alors ce rêve ne serait qu'une immense supercherie ?

