Fais-le, toi!Guillaume86 a écrit :Ca ça s'appelle une fausse excuse.cpamoiclautr a écrit :Je n'ai pas lu les précédentes histoires (je n'ai lu aucune saison de polpinette), et je ne suis pas spécialement douée en écriturecaptain a écrit :ben si: toi !
Le Fils de Polpinette
Bon, allé, je m'y colle.cpamoiclautr a écrit :Fais-le, toi!Guillaume86 a écrit :Ca ça s'appelle une fausse excuse.cpamoiclautr a écrit : Je n'ai pas lu les précédentes histoires (je n'ai lu aucune saison de polpinette), et je ne suis pas spécialement douée en écriture
Je relit les polpinos ce soir, et sur les coups de 3 heures du mat zou zorez droit à un joli chapitre!
AH, ma femme va enfin me montrer ses talents de scénariste, youpi, youpi!brita a écrit :Bon, allé, je m'y colle.cpamoiclautr a écrit :Fais-le, toi!Guillaume86 a écrit : Ca ça s'appelle une fausse excuse.
Je relit les polpinos ce soir, et sur les coups de 3 heures du mat zou zorez droit à un joli chapitre!
Au fait faudra qu'on m'explique pourquoi y a une 5e page, vide...
Chapitre dont j'ignore ce qu'il va donner puisque je n'ai aucune inspiration
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! (oui j'ai dit que je n'avais pas d'inspiration, donc j'essaye de me mettre dans l'ambiance)
Ce cri résona simultanément dans tous les lieux jusqu'ici évoqués.
Pétrouchka, la mère adoptive de Polpinio, venait d'ouvrir le dernier numéro de Heum Heum Magazine, celui qui avait été publié juste avant la catastrophe de Craponne-sur-Arzon, et elle était tombée sur une photo de Rémi, en combinaison noir ultra-moulante, prenant une pose lascive au milieu d'une reproduction ratée d'entrepôt "où tous les trucs louches peuvent arriver". Le titre de la photo était humblement : "Quand la virilité se dévoile, qui peut y résister ?". Le cri de Pétrouchka était donc l'expression d'un désir primitif et violent, irrépressible et insoutenable, bref le désir d'une femme en manque après la mort de son compagnon (qui pourtant n'était pas un bon coup, parole de... euh rien).
Pétrouchka, après s'être remise de cette vision "enchanteresse" et avoir essuyé la bave qui coulait sur son menton, décida de retrouver ce bellâtre pour qu'il lui fasse subir les derniers outrages. Et les premiers. Et tous ceux qu'il accepterait de lui faire subir.
Elle partit donc se maquiller et s'habiller (pardon, se déshabiller) et prit des photos d'elle grâce à la webcam qu'Oswaldo lui avait offerte pour qu'ils puissent faire des plans cam quand l'un était en déplacement. Elle envoya son tout nouveau port folio à la rédaction de Heum Heum Magazine, avec un billet doux mentionnant "Pour toi public".
Si elle ne recevait pas de réponse avant deux jours, Pétrouchka mènerait l'enquête.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah", c'était aussi le cri que Polpinio émit quand il vit Marc s'étaler par terre, emmêlé dans son boxer descendu aux chevilles. Le fils de Polpinette se jeta à plusieurs reprises contre les barreaux de sa cellule, tendant son bras au maximum (comme l'était son zizitoudur d'ailleurs) pour tenter d'agripper le gardien et de le ramener jusqu'à lui. En vain. La frustration se lisait sur le visage de Polpinio, et il commençait à devenir tout rouge.
C'est à ce moment là que Spop-l'écureuil-zombi apparut (en criant non pas "Aaaaaaaaah" mais "Tiouuuuuuuuuuuck", bien sûr). Polpinio se détourna de l'objet de ses désirs et fit face à l'apparition. Il ne reconnut pas son petit compagnon d'infortune, il ne vit qu'une masse informe de pus et de chair putréfiée qui puait la mort et qui avait l'air furax. Mais Polpinio l'était aussi, et il n'avait pas envie de laisser cet amas de chair lui faire perdre son temps : il avait un gardien à ranimer (ou autre ).
Le fils du diable et l'écureuil se plantèrent face à face, et Polpinio regarda l'autre dans les yeux (ou plutôt dans l'oeil, puisque Spop s'en était arraché un quelques chapitres plus tôt).
Duel de volonté. La colère de l'un faisait écho à celle de l'autre. Le silence n'était troublé que par la respiration haletante du jeune homme et par celle, sifflante, du rongeur. Le temps suspendit son cours. Un coup de vent souleva un nuage de sable, et un buisson passa entre les deux ennemis, en même temps que les portes du saloon se mettait à bouger toutes seules...
- Tiouck tiouck tiouck TIOUCK !!! commença Spop.
- C'est donc toi. Je savais que j'avais eu tort de te faire confiance. C'est ici que s'arrête ton chemin. Tu vas mourir, déclara Polpinio d'une voix froide.
- Tiouck titiouck Tiouck Tiouck.
- Oh, je suis sûr que tu peux mourir une deuxième fois...
- Tiouck tiouck.
- QUOI ?
La remarque (que je ne vous traduirai pas, pas respect pour la charte et les règles fondamentales de la décence) mit Polpinio en rage. Il passa du rouge au violet, et sentit la puissance affluer en lui. Un vent de tempête se leva, et avec un nouveau "Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah", il pulvérisa Spop grâce à un rayon indigo qui creusa une tranchée sur le sol de la gendarmerie. Quand l'éclat s'estompa, Polpinio se rendit compte qu'il avait aussi liquidé Marc. Il s'effondra dans sa cellule et se mit à pleurer : décidément il resterait vierge toute sa vie...
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah" cria Minos, l'extra-terrestere. Il avait senti la déflagration de pouvoir émise par Polpinio, et cela provoquait en lui une décharge d'adrénaline et de testostérone (enfin les équivalents extra-terrestres) pure, qui lui faisait friser la jouissance absolue, l'orgasme intense de tous ses sens et de tous ses membres (oui parce que l'anatomie des extra-terrestres est différente...).
Le rayon de Polpinio lui permettait en outre de localiser précisément sa cible. Minos se remit donc en route, le coeur (entre autres) rempli par la promesse de jeux interdits délicieux avec cet éphèbe terrien d'une puissance inégalée.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah" braillèrent Mulder et Skully quand ils tombèrent nez à nez après avoir contourné un arbre chacun d'un côté.
- Mais t'es conne putain, j'ai failli de maraver la gueule tellement tu m'as fait peur !
- Rho ça va, fais pas ta tapette.
- Je te signale que t'as crié aussi.
- Oui mais moi c'était de surprise.
- C'est ça, et moi...
- Chut, j'entends un bruit !
Et en effet, il y avait un bruit. Une espèce de grognement inarticulé s'accompagnant de bris de brindilles et de feuilles mortes. Le générique de X-files retentit de nouveau.
- Mais bordel de merde éteint ton magnétophone tu vas le faire fuir ! intima Mulder à Skully.
- Rho t'es pas drôle, sans la chanson c'est quand même vachement moins stressant, râla l'autre en obéissant tout de même.
Deux minutes passèrent, puis le silence revint.
- C'est ta faute.
- Nan, à mon avis elle t'a senti et elle a eu peur.
- Quoi ? Je pue ?
- Tu veux vraiment que je réponde ?
- Connasse.
- Va te faire foutre.
Les deux agents très spéciaux continuèrent à s'engueuler gentiment pendant que les soldats extra-terrestres les encerclaient sans difficulté.
"Aaaaaaaaaaaaaaah" Le cri retentit également dans la galerie d'art (ou le musée d'art moderne, je ne sais plus, bref). C'était Kévin et Kévin qui prenaient leur pied.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah" enfin résonna dans le maelström (j'ai bon ? maëlstrom ?) informe dans lequel évoluaient Polpinette et ses amis. Sauf que là bah j'ai pas d'idée pour expliquer pourquoi ils braillent... Ptet qu'ils font juste comme Kévin et Kévin, comme d'hab...
Les lecteurs vont-ils prendre autant de plaisir à lire ce chapitre que moi à l'écrire ? Mulder et Skully vont-ils se faire tuer ? Spop et Marc sont-ils vraiment morts ? Ou alors ont-ils fusionné pour former une créature hybride, genre un écureuil homo avec une matraque ? Pétrouchka aura-t-elle une réponse de Heum Heum Magazine sachant que tous les journalistes sont enfermés dans le Rubiscube transformé en tornade électromégnatique ? Est-elle assez intelligente pour mener l'enquête pour retrouver Rémi ? Que fait Tatayet ? Que se passe-t-il encore dans le Rubiscube ? Qui est motivé pour continuer à écrire ? Si Kévin et Kévin sont occupés à coucher ensemble, ne risque-t-il pas d'y avoir un vol au musée ? Polpinio trouvera-t-il Minos à son goût ? Ai-je fait beaucoup de fautes d'orthographe ou ai-je été épargné par les dieux cette fois-ci ? [Edit] Ah bah nan j'ai pas été épargné...
Autant de questions qui trouveront (ou pas) des réponses dans le(s) prochain(s) épisode(s) !
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! (oui j'ai dit que je n'avais pas d'inspiration, donc j'essaye de me mettre dans l'ambiance)
Ce cri résona simultanément dans tous les lieux jusqu'ici évoqués.
Pétrouchka, la mère adoptive de Polpinio, venait d'ouvrir le dernier numéro de Heum Heum Magazine, celui qui avait été publié juste avant la catastrophe de Craponne-sur-Arzon, et elle était tombée sur une photo de Rémi, en combinaison noir ultra-moulante, prenant une pose lascive au milieu d'une reproduction ratée d'entrepôt "où tous les trucs louches peuvent arriver". Le titre de la photo était humblement : "Quand la virilité se dévoile, qui peut y résister ?". Le cri de Pétrouchka était donc l'expression d'un désir primitif et violent, irrépressible et insoutenable, bref le désir d'une femme en manque après la mort de son compagnon (qui pourtant n'était pas un bon coup, parole de... euh rien).
Pétrouchka, après s'être remise de cette vision "enchanteresse" et avoir essuyé la bave qui coulait sur son menton, décida de retrouver ce bellâtre pour qu'il lui fasse subir les derniers outrages. Et les premiers. Et tous ceux qu'il accepterait de lui faire subir.
Elle partit donc se maquiller et s'habiller (pardon, se déshabiller) et prit des photos d'elle grâce à la webcam qu'Oswaldo lui avait offerte pour qu'ils puissent faire des plans cam quand l'un était en déplacement. Elle envoya son tout nouveau port folio à la rédaction de Heum Heum Magazine, avec un billet doux mentionnant "Pour toi public".
Si elle ne recevait pas de réponse avant deux jours, Pétrouchka mènerait l'enquête.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah", c'était aussi le cri que Polpinio émit quand il vit Marc s'étaler par terre, emmêlé dans son boxer descendu aux chevilles. Le fils de Polpinette se jeta à plusieurs reprises contre les barreaux de sa cellule, tendant son bras au maximum (comme l'était son zizitoudur d'ailleurs) pour tenter d'agripper le gardien et de le ramener jusqu'à lui. En vain. La frustration se lisait sur le visage de Polpinio, et il commençait à devenir tout rouge.
C'est à ce moment là que Spop-l'écureuil-zombi apparut (en criant non pas "Aaaaaaaaah" mais "Tiouuuuuuuuuuuck", bien sûr). Polpinio se détourna de l'objet de ses désirs et fit face à l'apparition. Il ne reconnut pas son petit compagnon d'infortune, il ne vit qu'une masse informe de pus et de chair putréfiée qui puait la mort et qui avait l'air furax. Mais Polpinio l'était aussi, et il n'avait pas envie de laisser cet amas de chair lui faire perdre son temps : il avait un gardien à ranimer (ou autre ).
Le fils du diable et l'écureuil se plantèrent face à face, et Polpinio regarda l'autre dans les yeux (ou plutôt dans l'oeil, puisque Spop s'en était arraché un quelques chapitres plus tôt).
Duel de volonté. La colère de l'un faisait écho à celle de l'autre. Le silence n'était troublé que par la respiration haletante du jeune homme et par celle, sifflante, du rongeur. Le temps suspendit son cours. Un coup de vent souleva un nuage de sable, et un buisson passa entre les deux ennemis, en même temps que les portes du saloon se mettait à bouger toutes seules...
- Tiouck tiouck tiouck TIOUCK !!! commença Spop.
- C'est donc toi. Je savais que j'avais eu tort de te faire confiance. C'est ici que s'arrête ton chemin. Tu vas mourir, déclara Polpinio d'une voix froide.
- Tiouck titiouck Tiouck Tiouck.
- Oh, je suis sûr que tu peux mourir une deuxième fois...
- Tiouck tiouck.
- QUOI ?
La remarque (que je ne vous traduirai pas, pas respect pour la charte et les règles fondamentales de la décence) mit Polpinio en rage. Il passa du rouge au violet, et sentit la puissance affluer en lui. Un vent de tempête se leva, et avec un nouveau "Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah", il pulvérisa Spop grâce à un rayon indigo qui creusa une tranchée sur le sol de la gendarmerie. Quand l'éclat s'estompa, Polpinio se rendit compte qu'il avait aussi liquidé Marc. Il s'effondra dans sa cellule et se mit à pleurer : décidément il resterait vierge toute sa vie...
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah" cria Minos, l'extra-terrestere. Il avait senti la déflagration de pouvoir émise par Polpinio, et cela provoquait en lui une décharge d'adrénaline et de testostérone (enfin les équivalents extra-terrestres) pure, qui lui faisait friser la jouissance absolue, l'orgasme intense de tous ses sens et de tous ses membres (oui parce que l'anatomie des extra-terrestres est différente...).
Le rayon de Polpinio lui permettait en outre de localiser précisément sa cible. Minos se remit donc en route, le coeur (entre autres) rempli par la promesse de jeux interdits délicieux avec cet éphèbe terrien d'une puissance inégalée.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah" braillèrent Mulder et Skully quand ils tombèrent nez à nez après avoir contourné un arbre chacun d'un côté.
- Mais t'es conne putain, j'ai failli de maraver la gueule tellement tu m'as fait peur !
- Rho ça va, fais pas ta tapette.
- Je te signale que t'as crié aussi.
- Oui mais moi c'était de surprise.
- C'est ça, et moi...
- Chut, j'entends un bruit !
Et en effet, il y avait un bruit. Une espèce de grognement inarticulé s'accompagnant de bris de brindilles et de feuilles mortes. Le générique de X-files retentit de nouveau.
- Mais bordel de merde éteint ton magnétophone tu vas le faire fuir ! intima Mulder à Skully.
- Rho t'es pas drôle, sans la chanson c'est quand même vachement moins stressant, râla l'autre en obéissant tout de même.
Deux minutes passèrent, puis le silence revint.
- C'est ta faute.
- Nan, à mon avis elle t'a senti et elle a eu peur.
- Quoi ? Je pue ?
- Tu veux vraiment que je réponde ?
- Connasse.
- Va te faire foutre.
Les deux agents très spéciaux continuèrent à s'engueuler gentiment pendant que les soldats extra-terrestres les encerclaient sans difficulté.
"Aaaaaaaaaaaaaaah" Le cri retentit également dans la galerie d'art (ou le musée d'art moderne, je ne sais plus, bref). C'était Kévin et Kévin qui prenaient leur pied.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah" enfin résonna dans le maelström (j'ai bon ? maëlstrom ?) informe dans lequel évoluaient Polpinette et ses amis. Sauf que là bah j'ai pas d'idée pour expliquer pourquoi ils braillent... Ptet qu'ils font juste comme Kévin et Kévin, comme d'hab...
Les lecteurs vont-ils prendre autant de plaisir à lire ce chapitre que moi à l'écrire ? Mulder et Skully vont-ils se faire tuer ? Spop et Marc sont-ils vraiment morts ? Ou alors ont-ils fusionné pour former une créature hybride, genre un écureuil homo avec une matraque ? Pétrouchka aura-t-elle une réponse de Heum Heum Magazine sachant que tous les journalistes sont enfermés dans le Rubiscube transformé en tornade électromégnatique ? Est-elle assez intelligente pour mener l'enquête pour retrouver Rémi ? Que fait Tatayet ? Que se passe-t-il encore dans le Rubiscube ? Qui est motivé pour continuer à écrire ? Si Kévin et Kévin sont occupés à coucher ensemble, ne risque-t-il pas d'y avoir un vol au musée ? Polpinio trouvera-t-il Minos à son goût ? Ai-je fait beaucoup de fautes d'orthographe ou ai-je été épargné par les dieux cette fois-ci ? [Edit] Ah bah nan j'ai pas été épargné...
Autant de questions qui trouveront (ou pas) des réponses dans le(s) prochain(s) épisode(s) !