Polpinette et le mystère du démonte-pneus pailleté.

Délirium tremens et autres débilités
captain
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Message par captain »

il fait trop froid pour faire de la gym ce soir, mieux vaut taper un épisode de polpinette en mangeant du cantal

Rémi s'apprêtait donc à se ruer sur Tatayet quand soudain son téléphone portable se mit à sonner.

Il s'arreta donc et se mit à fouiller les poches de son pardessus Gucci acheté à chez Prada à la recherche de son kit mobicarte.
-Allllooooooooô ? Comment ? à Istanbul ????

il se retourna vers les gens :
-désolé les mecs mais j'ai une urgence . Il faut tout de suite que j'aille en hollande !
et, les plantant là, il disparut à travers les grottes, laissant tout le monde dans le plus grand des désarrois, et surtout Tatayet.

-hé ben, et qu'est ce que je fais, moi ? je peux crever, c'est ça ? alors on me prend, on me jette, comme une vieille chaussette ? tu me prends pour ta chose, pour ton objet sexuel ? mais j'ai aussi un coeur ! j'a une âme qui vibre au fil de mes émotions comme la frèle paquerette que la brise caresse les soirs d'orage, quand le ciel se fait lourd et...
Quand tes cheveux s'étalent
Comme un soleil d'été
Et que ton oreiller
Ressemble aux champs de blé
Quand l'ombre et la lumière
Dessinent sur ton corps
Des montagnes des forêts
Et des îles au trésor
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime

Quand ta bouche se fait douce
Quand ton corps se fait dur
Quand le ciel dans tes yeux
D'un seul coup n'est plus pur
Quand tes mains voudraient bien
Quand tes doigts n'osent pas
Quand ta pudeur dit non
D'une toute petite voix
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime

Quand tu ne te sens plus chatte
Et que tu deviens chienne
Et qu'à l'appel du loup
Tu brises enfin tes chaînes
Quand ton premier soupir
Se finit dans un cri
Quand c'est moi qui dit non
Quand c'est toi qui dit oui
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime

Quand mon corps sur ton corps
Lourd comme un cheval mort
Ne sait pas ne sait plus
Si il existe encore
Quand on a fait l'amour
Comme d'autres font la guerre
Quand c'est moi le soldat
Qui meurt et qui la perd
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime

Que je t'aime oh que je t'aime..."

Un rayon lumineux venu de nulle part nimbait soudain Tatayet d'une auréole d'or tandis qu'un accompagnement rock symphonique accompagnait ses suppliques amoureuses dont la déchirante portée lyrique n'avait d'égale que l'intensité de l'interprêtation.
Tatayet, en sueur, s'effondra en sanglots tandis que la foule hystérique composée des quatres musculeuses lesbiennes, de Melinda, Mirlinda, Sydney Foune, et Polpinette l'ovationnait en hurlant et en s'arrachant les vêtements pour montrer leurs seins.

L'interprêtation de Tatayet irradiait tellement le désir et le stupre que même Alber-Vincent Elbaz -qui malgré les multiples traumatismes de son enfance (à faire pleurer Carole Bouquet) n'en conservait pas moins un coeur de pierre sous une facade de granit- sentit perler en lui le désir moite et chaud de s'accoupler bibliquement avec un corps chaud et moite du sexe opposé.
Il regarda soudain Amanda ( qui ébourrifait sa crinière blonde avec ses deux mains en le regardant tout en soupirant avec les yeux mi-clos et en machant un chewing gum la bouche ouverte d'un air vulgaire, sanglée dans une robe en lurex bleu éléctrique pailleté sans culotte dessous) avec un oeil nouveau.
Il s'approcha d'elle...

-FEMME !!! JE VAIS FAIRE LE SEXE AVEC TOI ET DOMINER TOUTE L'AUVEEEEERGNE !!!!
-Rholala, Alber-Vincent, comme vous-z'y allez ! Minauda Amanda, mais on se connait à peine !!!
-M'enfin, j'ai rien dit, moi, dit Alber-vincent qui cependant turgesceait grâve dans son mini-slip en nylon transparent.

En effet, la voix ne provenait pas de lui mais de...

(tous se retrouvent pétrifiés de terreur)

...SEB !!!!!
Car même si les sept supplices sales n'ont pas TOUS été réalisés, l'esprit de satan avait quand même PARTIELLEMENT envahi le corps de Seb, qui se retrouvait donc nanti du coté droit d'une peau rouge vif, d'un oeil jaune fluo, de muscles saillants démesurés et surtout d'une ENOOOOORME corne jaillissant du front.
Mais du côté gauche il était resté le Seb normal qu'on connait déjà, et sa demi bouche protestait mollement "non mais non mais je ne veux pas qu'est ce qui se passe oh mon dieu au secours".

La proposition salace qu'il venait d'éructer ( d'une façon assez grossière on peut le dire) devant tout le monde s'adressait en fait à Polpinette, laquelle jouait des castagnettes avec les genoux, tetanisée devant l'indispectoire apparition, partagée entre le désir de se sentir palpée par cette grande main rouge, et le trouble de savoir qu'habituellement Seb ne lui aurait jamais fait ce genre de propositions vu qu'il n'avait en général aucune intention de dominer l'auvergne.

"Se pourrait il..."se dit elle, "se pourrait il que le Démonte Pneu Pailleté puisse m'aider à ce moment précis, là ou je me trouve, maintenant, et dont au sujet duquel je suis dans l'expectative de savoir si je dois faire confiance à seb-le-grand-balèze-rouge ou seb-le-bellatre-qu'on-connait -d'habitude ????"

Oui, se pourrait il ? et puis que va t'il se passer le 6 juin 2006 ? Non je demande ça parce que ça fait 6/6/6...autant c'est la fin du monde, hein ? ça ferait baliser, n'empèche !
anchois-man
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Message par anchois-man »

Braaaaaaaaaavvvoooooooooooo !!! Magnifique !!! Le poème de Tatayet est excellent !!! :lol:
captain
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Message par captain »

merci johnny !
LucasIsCalling
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Message par LucasIsCalling »

Chapitre d'après : c'est une ville que je connais, une chanson que je chantais


Six a.m., j'suis off set, j'suis l'ice dans l'eau, j'suis mélo, dis. -Mymyl


Polpinette n'en finissait pas de se mordre véhémment la lèvre inférieure tant son esprit était parcouru de visions contradictoires et passablement brûlantes. Ce qu'était devenu Seb (en tout cas sur une bonne moitié gauche quand le nord est en face) la mettait dans des états avancés de chaudasse atomique.

"Un côté blanc, un côté noir", grogna la voix démoniaque, "personne n'est tout moche ni tout beau. Moitié ange et moitié salaud, et c'est ce que nous allons voir !"

Tout en disant ces mots, la créature avait fait un pas en direction de notre héroïne. Les autres s'éloignaient subrepticement en courant et en hurlant pour éviter de se prendre un coup de corne mal placé. Polpi s'imaginait déjà dans une scène vraisemblablement interdite aux moins de 18 ans, quand un détail sur l'apparence inédite de son partenaire la frappa.

- La différence, se mit-elle à penser, celle qui dérange, une préférence, un état d'âme, une circonstance...

A sa grande surprise, la bête s'agenouilla et la voix de dragouilleur de seconde zone de Seb se fit entendre.

- Mais je n'ai que mon âme, pour te parler de moi, oh juste mon âme, mon âme et ma voix, si fragile flamme au bout de mes doigts, dérisoires âmes pour parler de moi...

Elle éclata bruyamment de rire.

- Quand fourche ma langue, j'ai là, un fou rire aussi fou qu'un phénomène. C'est pas ma faute à moi, si j'entends tout autour de moi, Pé Ole Pé Ine È Taaaa !

Seb se rapprochait lentement en faisant son kéké.

- Je suis le fruit d'une blessure, le souffle d'un trop long combat, disait-il avec un regard de chien battu. Je suis né sans éclaboussures, regardez moi, rien ne se voit, j'ai grandi dans des draps de soie.
- Moi, les amours terre à terre, rien à faire ! répondit Polpinette. Je n'ai pas d'amour pour les hommes lourds, aux piétons je dis non, mon coeur reste sans passion.
- Mais c'est une fille d'avril, pauvre de moi, une fille difficile, elle ne veut pas...
- Au-dessus des capitales, des idées fatales, sur l'eau sacrée d'un fleuve indien...

Elle marqua une brève pause, croisa les bras et reprit de façon dédaigneuse : "voyage et jamais ne revient !".

Amanda Woodward qui avait maté toute la scène et qui avait manifestement envie de nouvelles expériences s'interposa à ce moment précis entre notre héroïne et le demi-démon.

- Je vends mon magot, dit-elle, puisque toutes les réussites ne font pas mon bonheur. Je vends mes charmes, mes armes, ma violence et ma douceur, je sauve ma peau, vends mon âme au diable...

Pendant ce temps Sydney s'était planquée derrière le démonte-pneus et tripatouillait les boutons pour s'occuper. Alors qu'elle appuyait sur un truc, un léger "clic" se fit entendre.


N'as-tu rien à dire ou à ajouter, chéri ? N'en ai-je pas eu assez pour aujourd'hui ? Tu sais que je ne suis plus ta propriété à partir d'aujourd'hui, chéri ? Vas-tu penser que je n'y arriverai pas seule ? Mais ne sais-tu pas que maintenant je suis plus forte qu'hier, que maintenant c'est juste mon propre chemin ? Et que ma solitude a cessé de me tuer ?
captain
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Message par captain »

lucas, tes chapitres sont TROP TROP durs !!! quand on aura fini la saison il faudra que tu nous fasses un grand listing avec toutes les solutions passque là je sèche au moisn sur la moitié !
:lol:
LucasIsCalling
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Message par LucasIsCalling »

C'est vrai qu'il est corsé celui là :P
kataklopp
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Message par kataklopp »

Chapitre numéro spécial hommage à Emile Zola : Du réalisme social pour changer (avec des vrais morceaux de réel dedans)

_ Iiiih ! Ne fais pas ça Seb ! Si tu laisses Satan faire ça va être LA FIN DU MOOONDE ! hurla Polpinette hystériquement et fort à-propos, mais un peu tard (oui elle a quelques chapitres de retard mais il faut lui pardonner, elle est un peu blondasse quand même, à moins que ce soit brunasse ou roussasse, sur ce point les avis divergent).
D’autant plus que Seb y pigeait que dalle à la situation et que Albert-Vincent, lui, commençait seulement à comprendre comment il pourrait enfin ouvrir cette foutue porte de l’enfer de merde, et qu’il comprend pas comment faire, c’est un modeux pas un matheux c’est vrai quoi hein crotte. Donc c’était trop tard.
En effet, à cet instant précis, Karen Mulder en eut assez. C’en était trop. Elle ne pouvait en supporter davantage. Elle se souvenait douloureusement de toutes les crasses que Polpinette lui avait faites lors de son avant-avant-avant-dernière vie antérieure. Tous ces cris. Tous ces coups bas. Toutes les fois où elle avait sournoisement tourné la couverture à soi. Et en plus le diable dans le corps de Seb la préférait à ELLE, qui avait toujours nourri des fantasmes satanistes depuis sa plus tendre enfance ! Et maintenant elle criait de manière hystérique. Il fallait en finir avec cette situation détestable.

_ Mais tu vas la fermer ta gueule, pouffiasse ! On s’en bat l’œil de ce que tu dis ma pauv’ fille ! de toute façon j’ai jamais vu une fille plus inutile que toi dans toute cette histoire !
Polpinette aurait pu répondre « Et-Alors ? » mais elle préféra plutôt :
_ Ca alors t’as bien du culot, grognasse ! Tu peux parler, tu saurais pas faire la différence entre la farine de sarrazin et la coke la plus pure ! Tu connais ptet la position du pélican mais c’est pas ça qui t’aide à sentir la rose !
_ Ouiiiin ! Vous avez tous vu comment elle me traite ! Et sur la place publique encore ! Oser raconter ces mensonges, moi qui suis diplômée en sarrazinologie, en cocaïnologie et en œnologie ! Et en plus elle profite de m’avoir approché pendant la partouze du chapitre 9 pour dire à tout le monde que je n’utilise pas Calgon pour mon hygiène intime ! Puisque c’est comme ça je m’en vais de cette caverne et de cette histoire ! Et je vais fonder ma propre histoire, un concept révolutionnaire qui s’appellera « Karen Mulder et le vice » ! Qui m’aime me suive !
ajouta-t-elle en essayant théâtralement de s’envelopper dans son boléro.

Sur ce point de la narration, et parce que les choses deviennent obscures, le narrateur se doit… de faire une pause.
Image
Personne ne sait exactement ce qui se passa, et personne ne le saura sans doute jamais. Du moins pouvons-nous tenter, à partie de ce que nous savons, de reconstituer, quelque peu, la scène.
En effet, pendant que nos deux charmantes interlocutrices à forte poitrine accaparaient l’attention et la lumière de tous, les autres étaient – malencontreusement – plongés dans le noir. Et pour ne rien arranger, ils entravaient que dalle à ce qui se passait. Alors ils décidèrent de prendre parti quand même, et de se séparer en deux groupes pour l’une et pour l’autre, parce que comme ça ils auraient un peu de lumière aussi, et puis rester tout seul dans le noir quand on est un gentil ça fait peur.
Par ailleurs les méchants, eux, se rongeaient les ongles (qu’ils avaient pourtant trempé dans de l’urine de chat, mais qu’importe) en voyant désespérément la situation leur échapper. Karen écrivait sur son bloc-de-mur-à-elle que Polpi était une chagasse, une menteuse et qu’en plus elle n’avait pas de cœur contrairement à elle, ajoutant par ailleurs que « elle on ne pouvait pas la juger pour ce qu’elle faisait, parce qu’on avait pas tous les éléments en main ». Polpi, tout en essayant de se mutiler avec ses faux ongles, proposait à qui voulait bien de lui montrer son ventre pour prouver sa bonne foi, et cherchait à organiser une exhibition publique de leurs entrailles, afin de savoir enfin laquelle avait un cœur, enfin quoi oui crotte.

Le diable avait du mal à y croire. Il se demandait si l’enfer, c’était pas les autres. Alber-Vincent tentait désespérément d’attirer l’attention par ses gémissements :
« Méééé eeeuuuh c’est moi le méchant d’abord… Pourquoi personne il m’écoute ? J’ai le ténia, la voix de Jeanne Moreau et en plus je suis homophobe… » (c’était faux, mais que ne sommes nous pas prêts à dire pour attirer l’attention des gens ?)
Malheureusement seul Seb l’entendit suffisamment pour lui répondre la seule réponse VRAIMENT pertinente :
« Bah, ça dépend… vous êtes pour Karen ou pour Polpinette ? »
La fin du monde commençait bien.

Mais laissons là ces péripéties stupidement campagnardes et souterraines, n’est-ce pas, pour nous plonger enfin dans la vraie réalité telle qu’elle est vraiment, et sur un seul endroit sur terre, je parle bien sûr de Paris (parce que tout le monde sait que la vraie vie c’est Paris et pas de l’autre côté du périphérique).
Paris, pour ceux qui ne connaissent pas (haaan mais comment font-elles ces gourdasses, moi franchement je ne peux paaaas comprendre) est principalement divisé en deux lieux : la place Monge et la rue Lescaut. Depuis toujours se livrait une guerre larvée entre la grande place vide, ces grands immeubles habités principalement par des vieillards sous respirateur artificiel, et cette foule jeune et nombreuse mais si pauvre inculte et mal habillée (le narrateur le sait vu qu’il s’y rend hebdomadairement pour ses études sociologiques). Il y a des jeunes en place Monge aussi, drapés dans leurs manteaux noirs et leur longue chevelure bouclée, laissant visibles sur trois centimètres un pantalon bouffant rose fushia afin d’exprimer sa part de féminité mais pas trop quand même, on est des hommes et pas des chagasses. Dans ces contrées libérales l’homosexualité était donc tolérée. Mais pas à plus de dix centimètres du sol. Différence capitale avec l’autre centre de la capitale (et oui), vulgairement appelé « la bouche de l’enfer », où la populace brutasse affichait un mâle mépris pour les pédales ainsi qu’un de leurs mollets poilus, livrés à la concupiscence des jeunes filles voilées aux sous-vêtements prunasse. Ce qui ne les empêche pas, car l’homme est complexe, de laisser divaguer leurs fantasmes homosexuels possibles lors de leurs séances de houla-houp vespérales et strictement privées.
Dernièrement cette guerre, larvée rappelons-le, avait trouvé un paroxysme dans quelques échauffourées qui s’étaient calmées subitement grâce à l’apparition du Père-Noël à lunettes national et de son petit ami le lutin hargneux. Du coup toute la population avait oublié et se pressait en foules monstrueuses dans les magasins pour préparer Noël alors qu’il fait super froid dehors. Et tout le monde de penser qu’il ne pouvait plus rien leur arriver, d’affreux, maintenant. Grave erreur ! Car le diable s’apprêtait à ouvrir une succursale de la bouche de l’enfer, du moins quand il aura ouvert la première qui est récalcitrante, la blondasse.
Problème : l’installera-t-il Place Monge ou rue Lescaut ?
Qui va se faire dévorer en premier ?
Qui sera obligé de danser à cause de ses vêtements ?
Est-ce que ça vous arrive de dire « hebdomadairement » ?
Y a-t-il encore des mots en « asse » ?
Polpinette a-t-elle des cheveux ?
Qui entre Polpinette et Karen a le plus gros contrat avec Dior ?
La narrateur va-t-il survivre à son chapitre ignoblement long ?
Est-ce qu’il se lave les dents ?
Est-ce qu’il a une écharpe ?
Est-ce qu’il a déjà goûté ça, les pétasses ?
A-t-il seulement des yeux, le narrateur, ou bien va-t-il les perdre prochainement sous les ongles des fans en colère qui ne se sont MÊME PAS lavé les mains ?
Et la réalité dans tout ça elle est où ?
Est-ce que ça existe la réalité allez savoir ?
Est-ce que vous aimez Emile Zola ?
Raph va-t-il réapparaître pour dire qu’il n’aime PAS Emile Zola ?
Rémi va-t-il revenir de son voyage en Alaska pour soutenir Polpinette ?
Et la fin du monde c’est pour bientôt ?
Et le Diable il est vraiment méchant ?
Et l'enthousiasme, c'est vraiment un péché ?
Et en faire trop, c'est vraiment possible ?
Et le narrateur, il essaierait pas de rallonger son chapitre interminable d’un quart avec ses questions ?
(si, et avec cette ligne-là, c’est fait)
kataklopp
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Message par kataklopp »

J'oubliais... Lâchez vos com, svp... (part se cacher :oops:)
freak
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Message par freak »

kataklopp a écrit :J'oubliais... Lâchez vos com, svp... (part se cacher :oops:)
rhôô lala, là t'exagère quand même! :P Pour la peine je ne te dirais pas que j'ai beaucoup ri en lisant ton chapitre.(je détaille pas, après on va croire que tu me soudois :P)

Ah tas petèt pa conpri ce ke j voulé dir.
je répète:
rhôô lala, la t'exagR kan mem! :P Pr la pèn, je te diré pa ke g bcp ri en lisan ton chap.


:arrow: (je te rejoins!)
captain
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Message par captain »

le chapitre spécial Brandon
parce qu'on l'avait un peu oublié, là je trouve...

Brandon était le seul à n'avoir ni pris parti pour Polpinette ni pour karen, ni pour la place monge ni pour julie lescaut.
d'aucune diraient que ce mec n'a aucune personnalité.
mais c'est faux ! en fait il était le seul à être occupé à AUTRE CHOSE, à savoir examner le démonte pneu pailleté qui avait chu sur le sol dans la cohue.
En effet, seul Brandon avait entendu le petit "clic" provoqué par Sydney en palpouillant le démonte pneu.
Il examina l'objet sous touts les angles, et entendit à nouveau le petit "clic".
aussitot, Déodora la musculeuse lesbienne qui se trouvait pile en face de lui s'effondra inanimée sur le sol.
ça alors ! s'écria t'il !
il visa amanda et appuya sur le bouton.
"CLic" ! amanda sombra aussitot dans l'inconscience !

-Wééééééé ! s'écria Brandon ! c'est un lance-fléchette-qui-endorment-comme-les-vétérinaires-ils-ont-pour-les-tigres !!!
il arrosa la foule confuse dans le but de faire un peu de calme dans ce bordel.
Polpy s'effondra,
Karen tombit,
les trois musculeuses lesbiennent restantes aussirent.
sydney s'évanoua,
Mirlinda se massa les seins une dernière fois avant de gésir,
bizarrement, seule Miranda ne manifestait aucune somnolence ni effet secondaire.
-ben pourquoi ? se demanda Brandon.

Ce qu'il savait c'est que Miranda avait la libido d'une palourde en plein mois de décembre au pôle nord.
-ce qu'il ignorait c'est que le démonte pneu n'avait pas envoyé des fléchettes somnifères mais en fait un aphrodisiaque surpuissant destiné à transformer l' Elue en véritable bombasse nymphomane obsédée du Q pour s'accoupler avec satan à d'innombrables reprises dans des positions effroyables en poussant des grognements gutturaux et des feulements lascifs.
dès que les gonzesses allaient se reveiller, ça allait être la fête !
-Oups ! dit il alors !
avec sa maladresse légendaire, il venant de se tirer une fléchette dans le pied. il perdit connaissance

Que fait tatayet pendant ce temps là ? Seb ne ferait il pas mieux de terminer sa métamorphose ? qui à compté les partouzes depuis le début de cette histoire ? ou est rémi ? miranda va t'elle prendre des photos pour les revendre sur internet ? quoi ? où ? comment ? et surtout d'où ?
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