En pleine polémique sur internet et les droits d’auteurs, le web deviendra-t-il une machine à faire des « gros sous » ? Pas certain… Pour preuve, ces artistes électro qui partagent en ligne leur musique en écoute gratuite.
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Doigts d’auteurs et bizness fucking
alors moi je dis qu'on n'est pas obligés de faire de l'éléctro pour être des rebelles !!
www.boudiou.net
c'est de la lo-fi grind-folk rock...heu...dancecore !
et puis
http://topmontagne.free.fr/
c'est plutôt du folk.
www.boudiou.net
c'est de la lo-fi grind-folk rock...heu...dancecore !
et puis
http://topmontagne.free.fr/
c'est plutôt du folk.
La vraie question soulevée par Internet est comment rétribuer les auteurs (au delà d'Internet). SACEM, taxe sur les CD vierges, et pourquoi pas sur Internet dans le même esprit ?
Malheureusement, elle a été soulevé par les majors qui accusent une perte importante de leur chiffre d'affaire. Reste à savoir pourquoi !
Hors je ne pense pas qu'Internet en soit l'unique cause. Il a peut-être bon dos de couvrir leur production trop formattée/marketée pour continuer de séduire le public. Elle cache peut-être aussi le fait qu'Internet a permis à beaucoup d'autres artistes signant sur de plus petits labels de se faire connaître.
Autre question: il est connu que lorsque le pouvoir d'achat des ménages diminue, ce sont en général les activités artistiques qui souffrent en premier...
Faire cette taxe uniforme peut pénaliser les internautes qui ne téléchargent pas, mais elle légalise un état de fait. Les procès qui ont eu lieu ces derniers temps ont des conséquences dramatiques pour les personnes incriminées, sur des faits qui se pratiquaient déjà en masse avant Internet, la copie de CD ou de cassettes, pour lesquels aucun droit n'était reversé et aucun procès effectué (sauf en cas de recel). De plus on a pratiqué une taxe sur les CD vierges dans le même esprit, alors pourquoi pas sur Internet?
Enfin je dirais que je n'ai jamais acheté autant d'albums que quand j'ai téléchargé en masse sur Internet. J'ai arrêté quelques temps l'année dernière, le nombre de CD achetés s'en est aussitôt ressenti, franchement en chute libre. Mais je ne représente pas forcément l'auditeur moyen vu que mes goûts musicaux sont autour d'artistes pour la plupart peu connus, voire inconnus... Par contre je me suis toujours strictement conformé à la règle d'acheter ce qui me plaît, même quand je dois commander l'album à l'étranger parce qu'introuvable en France.
Malheureusement, elle a été soulevé par les majors qui accusent une perte importante de leur chiffre d'affaire. Reste à savoir pourquoi !
Hors je ne pense pas qu'Internet en soit l'unique cause. Il a peut-être bon dos de couvrir leur production trop formattée/marketée pour continuer de séduire le public. Elle cache peut-être aussi le fait qu'Internet a permis à beaucoup d'autres artistes signant sur de plus petits labels de se faire connaître.
Autre question: il est connu que lorsque le pouvoir d'achat des ménages diminue, ce sont en général les activités artistiques qui souffrent en premier...
Faire cette taxe uniforme peut pénaliser les internautes qui ne téléchargent pas, mais elle légalise un état de fait. Les procès qui ont eu lieu ces derniers temps ont des conséquences dramatiques pour les personnes incriminées, sur des faits qui se pratiquaient déjà en masse avant Internet, la copie de CD ou de cassettes, pour lesquels aucun droit n'était reversé et aucun procès effectué (sauf en cas de recel). De plus on a pratiqué une taxe sur les CD vierges dans le même esprit, alors pourquoi pas sur Internet?
Enfin je dirais que je n'ai jamais acheté autant d'albums que quand j'ai téléchargé en masse sur Internet. J'ai arrêté quelques temps l'année dernière, le nombre de CD achetés s'en est aussitôt ressenti, franchement en chute libre. Mais je ne représente pas forcément l'auditeur moyen vu que mes goûts musicaux sont autour d'artistes pour la plupart peu connus, voire inconnus... Par contre je me suis toujours strictement conformé à la règle d'acheter ce qui me plaît, même quand je dois commander l'album à l'étranger parce qu'introuvable en France.