(et je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi Leatitia Casta a eu ce rôle ????)
Que lisez-vous ?
En cours de route,

Recueil de deux des retours critiques sur la phénoménologie française post-sartrienne (et son, dixit Janicaud, tournant théologique). Comme toujours par cet auteur, d'une écriture limpide - à connaître un peu le sujet tout de même - et d'une belle exigence de rigueur - aucune pensée qui se voudrait philosophique n'a légitimité à se soustraire à répondre de sa propre cohérence, ni à la demande d'un compte-rendu raisonné de ses prétentions méthodologiques. Inévitable pour qui s'intéresse à la réception des oeuvres de Lévinas, Henry et Marion.

Recueil de deux des retours critiques sur la phénoménologie française post-sartrienne (et son, dixit Janicaud, tournant théologique). Comme toujours par cet auteur, d'une écriture limpide - à connaître un peu le sujet tout de même - et d'une belle exigence de rigueur - aucune pensée qui se voudrait philosophique n'a légitimité à se soustraire à répondre de sa propre cohérence, ni à la demande d'un compte-rendu raisonné de ses prétentions méthodologiques. Inévitable pour qui s'intéresse à la réception des oeuvres de Lévinas, Henry et Marion.

Pour le commentaire de cet excellent ouvrage, profond, grave, et pourtant pédagogique, je copie-colle le coeur du commentaire précédent, qui lui va comme un gant.
Rien à enlever, rien à ajouter : du sur-mesure.Comme toujours par cet auteur, d'une écriture limpide - à connaître un peu le sujet tout de même - et d'une belle exigence de rigueur - aucune pensée qui se voudrait philosophique n'a légitimité à se soustraire à répondre de sa propre cohérence, ni à la demande d'un compte-rendu raisonné de ses prétentions méthodologiques.
Je l'ai offert a mon Papa ^^ !!solveig a écrit :"Où on va, papa?" de Jean-Louis Fournier. Il raconte ses enfants. Tous les deux handicapés. Pas d'chance. Pas d'bol, mais avec Jean-Louis, on en rigole.
Je m'éclate à la lecture de ce livre. Le rire face au handicap, ou comment se fendre la poire plutôt que chialer toutes les larmes de son corps.
Lisez-le, c'est un ordre !!
J'ajoute, avec un retard considérable que ce livre a reçu le prix Fémina 2008.
|
J'ai craqué, j'ai pas pu résister
Il faut dire que lui dire "non", avec sa couverture austère mais attrayante, son titre intéressant et les critiques dithyrambiques que j'ai lues ... Non, je ne pouvais pas passer à côté sans sortir le porte-monnaie ! (ce qui est, en soi, une magnifique connerie quand on voit mon compte en banque
).
En tout cas, j'ai acheté hier et je vais commencer Purifier et détruire. Usages politiques des massacres et génocides de Jacques Sémelin. J'ai hâte, vraiment hâte de rentrer chez moi !

Il faut dire que lui dire "non", avec sa couverture austère mais attrayante, son titre intéressant et les critiques dithyrambiques que j'ai lues ... Non, je ne pouvais pas passer à côté sans sortir le porte-monnaie ! (ce qui est, en soi, une magnifique connerie quand on voit mon compte en banque
En tout cas, j'ai acheté hier et je vais commencer Purifier et détruire. Usages politiques des massacres et génocides de Jacques Sémelin. J'ai hâte, vraiment hâte de rentrer chez moi !

"Voyage au bout de la nuit", de Céline, sur les conseils éclairés d'un et-alorien qui se reconnaîtra.
A part une forte envie de déchirer les pages, ce roman de m'inspire rien. Nan mais c'est bon on a compris qu'il fait parler un gars sans éducation, c'est pas la peine de nous faire chier avec l'équivalent du langage sms du début du XXè siècle.
Il est fort probable que je passe à un autre roman d'ici une dizaine de pages...
A part une forte envie de déchirer les pages, ce roman de m'inspire rien. Nan mais c'est bon on a compris qu'il fait parler un gars sans éducation, c'est pas la peine de nous faire chier avec l'équivalent du langage sms du début du XXè siècle.
Il est fort probable que je passe à un autre roman d'ici une dizaine de pages...
Eh Guillaume, tu nous fais quoi, là ?Nomade a écrit :"Voyage au bout de la nuit", de Céline, sur les conseils éclairés d'un et-alorien qui se reconnaîtra.
A part une forte envie de déchirer les pages, ce roman de m'inspire rien. Nan mais c'est bon on a compris qu'il fait parler un gars sans éducation, c'est pas la peine de nous faire chier avec l'équivalent du langage sms du début du XXè siècle.![]()
Il est fort probable que je passe à un autre roman d'ici une dizaine de pages...
Sinon Céline travaillait effectivement énormément chacun de ses bouquins. J'avais lu que pour réaliser un roman de 600 pages environ, il en écrivait 10'000!