"La guerre de la fin du monde" de Mario Vargas Llosa, l'histoire d'une utopie installée au Brésil au... euh... XIXè siècle je pense, et exterminée par le pouvoir en place. C'est bien raconté, assez dense. J'aime beaucoup.
camulus a écrit :En lecture scolaire (tout ceci en même temps), Les illuminations de Rimbaud et La vie est un songe de Calderon. En somme tout un programme très très très peu passionnant à mes yeux
Rimbaud... il faut avoir atteint un certain état d'intensité pour trouver cela bien. Quant à parler sur la poésie... prendre cela comme un exercice où l'on est appelé, soi-même, à devenir poète. Lire les poètes en poète. Assonances. images, bousculades dans les mots et les émotions. Le prof, ici, y fait beaucoup, qui peut introduire à cet univers là.
camulus a écrit :En lecture scolaire (tout ceci en même temps), Les illuminations de Rimbaud et La vie est un songe de Calderon. En somme tout un programme très très très peu passionnant à mes yeux
Rimbaud... il faut avoir atteint un certain état d'intensité pour trouver cela bien. Quant à parler sur la poésie... prendre cela comme un exercice où l'on est appelé, soi-même, à devenir poète. Lire les poètes en poète. Assonances. images, bousculades dans les mots et les émotions. Le prof, ici, y fait beaucoup, qui peut introduire à cet univers là.
Oui l'intensité j'en suis loin, et ma prof a eu beau faire j'ai pas réussi à rentrer dedans . Par contre Voltaire
Si je prends un peu de temps pour moi, je compte lire Mein Kampf de "celui dont on ne doit pas prononcer le nom".
Bon, il faut vraiment que je m'accorde du temps..