... quel érotisme... de la prose en boules de geisha...Ray Steam a écrit :Eeeeh oui ...Mattiii a écrit :Ray Steam a écrit : Pour l'anecdote, sais-tu où il cachait les feuillets enroulés qu'il écrivait quand il était enfermé dans la Bastille ?
burk ?![]()
me dit pas que... lol
Que lisez-vous ?
Chemin de croix de Ken Bruen, la dernière enquête de Jack Taylor, le privé anciennement cocaïnomane, anciennement alcoolique, viré de la police irlandaise pour alcoolisme (il faut le faire !). Qui fume comme un pompier. Qui porte la mort et la malédiction pour tous ses proches, sauf la flic lesbienne avec qui il a relation très compliquée. Sa défunte mère confite en dévotion et le père Malachy, l'ancien mentor de sa mère. N'en jetez plus !
Comme toujours, l'enquête est assez secondaire, mais toujours aussi glaçante. Le propos du livre tient surtout à l'homme et à sa bonne ville de Galway, dans une Irlande devenue tigre celtique, qui connait même une certaine libération des moeurs, avec un quartier homo à Galway !
Et c'est toujours aussi bon malgré la terrible noirceur, un peu comme du Jim Thompson relevé d'une pointe d'humour irlandais.
Ken Bruen reste certainement l'un des auteurs majeurs du polar contemporain.
Comme toujours, l'enquête est assez secondaire, mais toujours aussi glaçante. Le propos du livre tient surtout à l'homme et à sa bonne ville de Galway, dans une Irlande devenue tigre celtique, qui connait même une certaine libération des moeurs, avec un quartier homo à Galway !
Et c'est toujours aussi bon malgré la terrible noirceur, un peu comme du Jim Thompson relevé d'une pointe d'humour irlandais.
Ken Bruen reste certainement l'un des auteurs majeurs du polar contemporain.
The end of Mr Y

En anglais, donc je met beaucoup plus de temps que je ne le voudrais mais à la limite ce n'est pas plus mal, ça me laisse le temps de le savourer.
Je n'en suis même pas à la moitié mais pour l'instant j'adore.
Et puis parler de sciences sans utiliser de formules ou autre langage mathématique, c'est agréable. Ça me réconcilierais presque avec mon mini-moi: quand je trouvais les sciences passionnantes et que mon envie d'apprendre ne semblait pas avoir de limites, et que j'aimais l'école...
(
et puis le lycée est passé par là...)

En anglais, donc je met beaucoup plus de temps que je ne le voudrais mais à la limite ce n'est pas plus mal, ça me laisse le temps de le savourer.
Je n'en suis même pas à la moitié mais pour l'instant j'adore.
Et puis parler de sciences sans utiliser de formules ou autre langage mathématique, c'est agréable. Ça me réconcilierais presque avec mon mini-moi: quand je trouvais les sciences passionnantes et que mon envie d'apprendre ne semblait pas avoir de limites, et que j'aimais l'école...
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