Je voudrais savoir si quelqun l'a lut et ce qu'il en a pensé. J'en est entendu parlé mais certain le décrivent comme un livre de femme ... en gros je veut surtout savoir si l'on est pas dérouté par le changement de protagoniste et surtout s'il n'y a pas une histoire damoure trop dévelopé parce que franchement ce genre de chose me gonfle ...
Merci d'avance
Willou
La trahison de l'ange
Non non non, on n'achète pas de livres en supermarché !!!! C'est une honte...Willou a écrit :dommage , il avait l'air simpa ...
Je vais éssayé de trouver otre chose ... mais a Intermarché g trouvé un truc plutot simpa mais j'ai oublier le nom... espéron qu'il n'y est pas un passage d'amour ... c'est lassant !
Merci
Willou


Arbor a écrit :Je ne sais pas si ce sont les supermarché qui sont les plus gros concurrents des librairies, car ils ne se situent pas dans les mêmes zones. Peut-être davantage les FNAC ou Virgin ?
La FNAC et Virgin sont au moins des grandes surfaces spécialisées qui ont des vendeurs qui s'y connaissent un tant soit peu... Je te mets au défi de demander un conseil sur un Paul Auster à INTERMARCHE... On va te repondre que c'est les promos sur le kilo de boeuf cette semaine... Tu vois pas le malaise...?

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Pour de la bonne SF — la vraie, la dure avec du poil au torse et sans scènes d'amour coulantes comme du brie— rien de tel qu'un Marion Zimmer Bradley. 
Maintenant, je rejoins les autres sur Intermarché…
J'ai tendance à penser que l'on n'apprécie pas de la même façon un objet trouvé dans une grande surface…
C'est finalement important d'acheter un livre dans une librairie pour le considérer comme… livre. Ou plutôt livre susceptible de nous plaire réellement.
Ch objet a une patine aussi bien physique qu'immatérielle (son histoire). Or la façon dont on entre en possession de cet objet joue bcp sur cette histoire…
La grande surface par définition, ne nous propose pas des objets à conserver, mais à consommer et qui plus est : à consommer immédiatement (mais il y a pléonasme là) Donc rien qui ne doit subir la patine du temps (à l'origine, la bouffe quoi).
Or dans une librairie, et même à la Fnac ( et peut-être même chez Virgin
), y'a-t-il au moins ce cadre (vendeurs, présentation, choix des livres qui ne trahit pas trop une volonté de nous faire consommer massivement un type de livre…) qui présente le livre comme livre. Et non pas comme une pièce de bœuf à peser (pour reprendre Romi).
C'est important, car on ne s'attaque même plus ici à la survie physique des librairies (que la Fnac et Virgin peuvent menacer), mais à leur survie intellectuelle même (qu'est-ce qu'une librairie ? qu'est-ce que l'endroit qui vend des livres… qu'est-ce qu'un livre… bref l'essence/sens même de la librairie, ou du livre…)
aouch. Je suis désolée, je suis encore partie sur mes schreugneugneux de notions de patines.

Maintenant, je rejoins les autres sur Intermarché…
J'ai tendance à penser que l'on n'apprécie pas de la même façon un objet trouvé dans une grande surface…
C'est finalement important d'acheter un livre dans une librairie pour le considérer comme… livre. Ou plutôt livre susceptible de nous plaire réellement.
Ch objet a une patine aussi bien physique qu'immatérielle (son histoire). Or la façon dont on entre en possession de cet objet joue bcp sur cette histoire…
La grande surface par définition, ne nous propose pas des objets à conserver, mais à consommer et qui plus est : à consommer immédiatement (mais il y a pléonasme là) Donc rien qui ne doit subir la patine du temps (à l'origine, la bouffe quoi).
Or dans une librairie, et même à la Fnac ( et peut-être même chez Virgin

C'est important, car on ne s'attaque même plus ici à la survie physique des librairies (que la Fnac et Virgin peuvent menacer), mais à leur survie intellectuelle même (qu'est-ce qu'une librairie ? qu'est-ce que l'endroit qui vend des livres… qu'est-ce qu'un livre… bref l'essence/sens même de la librairie, ou du livre…)
aouch. Je suis désolée, je suis encore partie sur mes schreugneugneux de notions de patines.