En ce moment je lis...

[insyd]

Le premier tome de buffy contre les vampires "la moisson" qui n'est en fait que la réédition du roman sortie en 99 mais vu que ces livres étaient introuvable sur mon ile à cet époque je me rattrape sur les éditions milady.

[mariasellama]

le cri de la mouette de Emmanuelle Laborit
j'en suis encore au début mais j'aime bien, ça parle d'une jeune fille sourde et sa délivrance en découvrant la langue des signes pour pouvoir communiquer avec les sourds puis l'oralisation avec les entendants.

[shaya]

Le Oates est fini, il était très bien. Entre-temps terminé également Le roman du mariage d'Eugenides, l'auteur de Virgin Suicide. Et ben c'est pas mal du tout non plus ma foi, même si c'est assez difficile de comprendre où l'auteur veut en venir.

Pour l'instant, petite pause féérique avec ça :

g

[Norma]

En cet instant, je lis l'article de Delphine Horvilleur, une réflexion que je trouve assez fine sur la religion et la modernité.

http://www.beit-haverim.com/index.php?/ ... lleur.html

[Luka]

Avant les vacances, j'avais fini et adoré Austerlitz, de W.G. Sebald. C'est fort, complexe et un puits à réflexions.

Pendant ces vacances, j'ai lu le dernier Nothomb (qui n'est pas si mal, même si je ne suis pas certaine d'aimer la fin, ce qui est récurrent pour moi chez Nothomb de toute façon donc...), "Les Fidélités successives" de Nicolas d'Estienne d'Orves, qui est un bon bouquin mais qui malheureusement a manqué d'un éditeur. On pourrait facilement virer une centaine de pages (ce qui, sur 720, ne serait pas négligeable) en répétition, redondances et autres effets stylistiques inutiles. Le dernier paragraphe est lamentable, et si qui que ce soit avait passé suffisamment de temps (ou eu suffisamment de courage?) pour faire un véritable boulot d'édito, il ne serait jamais resté. A part ça, c'est bien construit, intéressant, les personnages sont complexes (même si un peu brouillons parfois, cf. les cent pages en trop) et ça donne une vision originale du Paris collabo. J'ai beaucoup aimé, mais ce n'est pas fini pour moi, ça vaut des premières épreuves.
Ces vacances étant visiblement sous le signe d'une même maison d'édition, j'ai aussi lu Les deux messieurs de Bruxelles, le dernier d'Eric-Emmanuel Schmitt. Ca m'a assez plu, loin de la grosse déception des Dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus. Les nouvelles sont bien ficelées, la première et la deuxième sont plutôt bonnes. Ce n'est pas non plus génialfantastiquemagiquesuper, mais ça m'a plu.
J'espère pouvoir lire encore un livre ou deux avant de reprendre les cours, et de me remettre à lire en anglais, des livres bonsmaispfiouc'estpourlescoursc'estpaspareil.
Ah, j'ai aussi lu une partie de Fragments d'un discours amoureux, de Barthes. Puis ça m'a rappelé les cours. Alors j'ai arrêté.

[Paulette]

Après avoir détesté "No et moi" je tente "rien ne s'oppose à la nuit" de Vigan.
Je croise les doigts.

[arwynia]

Après avoir détesté "No et moi" je tente "rien ne s'oppose à la nuit" de Vigan.
Je croise les doigts.

ça alors c'est drôle. Moi quand j'ai détesté un livre d'un écrivain, à moins que ce soit un classique hyper reconnu éventuellement, je ne le relis plus jamais. Qu'est ce qui te pousse à retenter l'expérience?

[Paulette]

Après avoir détesté "No et moi" je tente "rien ne s'oppose à la nuit" de Vigan.
Je croise les doigts.

ça alors c'est drôle. Moi quand j'ai détesté un livre d'un écrivain, à moins que ce soit un classique hyper reconnu éventuellement, je ne le relis plus jamais. Qu'est ce qui te pousse à retenter l'expérience?

C'est un cadeau, je lis toujours ce qu'on m'offre.
J'essaie de lutter contre mes côtés vieille conne.
(ça commence mieux que No et Moi).

[Tarja Wuormaus]

Il n'y a pas longtemps, j'ai terminer de lire L'étranger d'Albert Camus, là maintenant, je vais finir Barbe Bleu d'Amélie Nothomb.

[Mizc]

Hé c'est quoi le bouquin de Miller que tu lis? J'ai lu Sexus l'été dernier et même si on peut l'élaguer de 400 pages, j'ai trouvé les 200 qui restent vachement bonnes!
!

C'était Tropique du Cancer, j'ai logiquement attaqué par l'un des plus connus J'ai mis une petite centaine de pages à me faire à la narration un peu décousue et sexuellement assez crue (où veut-il donc en venir, pensais-je), et puis je suis tombée raide dingue de sa sincérité sans ambages sur les creux et les pleins de la vie, sur ses hauts et ses bas, ce qu'elle a de beau et de laid, dans l'extase la mort et la créativité, la place de l'artiste toujours tangente à celle du bon à rien ... Le livre ne fait que 400 pages et il les mérite, Sexus est si longuet que ça par contre ?

Comme je suis monomaniaque en auteurs je suis dans Printemps noir (du même auteur mais recueil de nouvelles par contre), que j'apprécie beaucoup aussi, à l'exception de ses tentatives surréalistes qui me laissent assez froide ... On ne peut pas être réceptif à toute littérature d'un auteur