John Brunner, Tous à Zanzibar.
J'ai bien apprécié. Sa manière de couper le récit par des messages publicitaires types de la société qu'il nous décrit ou par des portraits de personnages secondaires ne m'a pas dérangée. Au contraire même, il permet comme un regard circulaire autour de l'histoire. Et son anticipation sur notre société est intéressante par certains moments, la toute puissance d'une multinationale (capable d'acheter un pays ici), où la rage d'anonymes dont les nerfs explosent sous la tension permanente de cette société et deviennent des tueurs fous.

et Andreas Eschbach, Des milliards de tapis de cheveux.

J'ai lu parce que je voulais enfin savoir pourquoi diable dans ce livre des hommes consacrent leur vie entière à tisser des tapis de cheveux depuis plusieurs millénaires... !
Maintenant, je vais me mettre à Ursula Le Guin, Les Dépossédés.
Je n'ai jamais lu du Le Guin alors j'ignore où je vais.
