Je peux savoir pourquoi?Blinded a écrit :Je sais, et, étant résolument contre les portages, je n'ai aucune envi de le voir.
Que lisez-vous ?
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Jack Skellington
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yellowfaith
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Et bien pire... lolGoldenvrack a écrit :Hoho, tu a tripoté les fesses des infirmières comme pépé malin?yellowfaith a écrit :
J'ai lue fluide glacial pendant mon hospitalisation j'avais de la fièvre et après j'étais sous morphine....
Du coup, je me suis rendue compte par la suite que; j'ai fais la plupart des conneries présentes dans ce bouquin sans même y penser sur le moment!
C'est désolant comme je suis influençable ...
J'ai fini Préférences de Julien Gracq, un recueil passionnant.
A travers ses critiques (de la vie littéraire dans La littérature à l'estomac, de Sartre et du Nouveau roman dans Pourquoi la littérature respire mal) aussi bien que dans ses éloges (Chateaubriand et Lautréamont ! mais aussi Barbey d'Aurevilly, le surréalisme et le romantisme allemand ainsi que Sur les falaises de marbre de Jünger), c'est presque tout l'univers littéraire (il n'y manque finalement que Stendhal) de Julien Gracq qui se dévoile sous nos yeux, qu'il analyse avec une finesse et une acuité absolument remarquable. En particulier sur Lautréamont (il en profite pour éreinter Le grand Meaulnes, que j'ai toujours trouvé niais, puéril et mal écrit). Mais il ne tranche pas la question posée par Camus dans L'homme révolté : Lautréamont était-il gay ?
J'ai continué sur L'art de la guerre de Sun Tzu, édité et traduit par Jean Levi (le sinologue de l'EDN). Edition passionnante, où se sent la passion et l'érudition de Jean Levi, qui a le grand mérite d'historiciser ledit art, et montre précisément en quoi il est particulièrement daté. Les parallèles sur Clausewitz sont passionnants. Il aurait juste pu parler un peu de Machiavel, même si son Art de la guerre à lui est avant tout politique.
Un recueil de nouvelles hautement recommandable de Colin Thibert : Tirez sur l'ambulance !, où l'humour noir confine au grandiose. Avis aux amateurs de rigolade et de nouvelles à chute.
Je commence ma relecture du deuxième tome de Marx en Pléïade. Comme toujours Maximilien Rubel est aussi passionnant et iconoclaste qu'érudit. Economie et philosophie (aka Manuscrits de 1844) est donc au menu des jours à venir.
A travers ses critiques (de la vie littéraire dans La littérature à l'estomac, de Sartre et du Nouveau roman dans Pourquoi la littérature respire mal) aussi bien que dans ses éloges (Chateaubriand et Lautréamont ! mais aussi Barbey d'Aurevilly, le surréalisme et le romantisme allemand ainsi que Sur les falaises de marbre de Jünger), c'est presque tout l'univers littéraire (il n'y manque finalement que Stendhal) de Julien Gracq qui se dévoile sous nos yeux, qu'il analyse avec une finesse et une acuité absolument remarquable. En particulier sur Lautréamont (il en profite pour éreinter Le grand Meaulnes, que j'ai toujours trouvé niais, puéril et mal écrit). Mais il ne tranche pas la question posée par Camus dans L'homme révolté : Lautréamont était-il gay ?
J'ai continué sur L'art de la guerre de Sun Tzu, édité et traduit par Jean Levi (le sinologue de l'EDN). Edition passionnante, où se sent la passion et l'érudition de Jean Levi, qui a le grand mérite d'historiciser ledit art, et montre précisément en quoi il est particulièrement daté. Les parallèles sur Clausewitz sont passionnants. Il aurait juste pu parler un peu de Machiavel, même si son Art de la guerre à lui est avant tout politique.
Un recueil de nouvelles hautement recommandable de Colin Thibert : Tirez sur l'ambulance !, où l'humour noir confine au grandiose. Avis aux amateurs de rigolade et de nouvelles à chute.
Je commence ma relecture du deuxième tome de Marx en Pléïade. Comme toujours Maximilien Rubel est aussi passionnant et iconoclaste qu'érudit. Economie et philosophie (aka Manuscrits de 1844) est donc au menu des jours à venir.
J'ai fini Ensemble c'est tout de Gavalda.
Je partais avec beaucoup d'a priori avant de le lire, j'ai même failli faire la grimace quand on me l'a offert à Noël.
Et finalement, je ne place absolument pas Gavalda sur le même niveau d'écriture que la grande Sagan, mais j'ai autan voyagé en lisant de livre qu'en lisant ceux de Sagan. Et puis, il n'est nunuche qu'en surface. Ok, les événements sont grosso modo prévisibles, mais entre les lignes, y'a de belles leçons.
Ma sœur m'a dit qu'il existait un film, et, franchement, si Camille a un petit côté Amélie Poulain, je n'aurais pas mis la Tautou dans le rôle, mais on ne parle plus de lecture...
Je partais avec beaucoup d'a priori avant de le lire, j'ai même failli faire la grimace quand on me l'a offert à Noël.
Et finalement, je ne place absolument pas Gavalda sur le même niveau d'écriture que la grande Sagan, mais j'ai autan voyagé en lisant de livre qu'en lisant ceux de Sagan. Et puis, il n'est nunuche qu'en surface. Ok, les événements sont grosso modo prévisibles, mais entre les lignes, y'a de belles leçons.
Ma sœur m'a dit qu'il existait un film, et, franchement, si Camille a un petit côté Amélie Poulain, je n'aurais pas mis la Tautou dans le rôle, mais on ne parle plus de lecture...
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Prince Hypocrite
- Messages : 827
- Inscription : sam. sept. 26, 2009 4:06 pm
La Reine de Lumière, Tome 1 Elora; Mireille Calmel..
Son style ne change pas, toujours simple, bien fait.. Une histoire à l'intrigue toujours aussi compliquée, avec de nombreuses références historiques qui se mélangent, sans oublier la petite pointe de surnaturelle..
Banal me direz-vous.. Oui, sûrement.. Mais c'est Calmel
Et avant ça, j'ai fini The Girl Who Played With Fire, de Stieg Larsson.. Oui, oui, en anglais.. =D
Son style ne change pas, toujours simple, bien fait.. Une histoire à l'intrigue toujours aussi compliquée, avec de nombreuses références historiques qui se mélangent, sans oublier la petite pointe de surnaturelle..
Banal me direz-vous.. Oui, sûrement.. Mais c'est Calmel
Et avant ça, j'ai fini The Girl Who Played With Fire, de Stieg Larsson.. Oui, oui, en anglais.. =D
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Jack Skellington
- Messages : 245
- Inscription : mer. janv. 06, 2010 1:59 pm
Pour la centième fois Bonjour Tristesse de Françoise Sagan.
Un roman qui semble très simple en apprence qui s'avère d'une complexité assez fine.
François Mitterrand, un vie. de Frantz-Olivier Giesbert.
Une vision nuancée est objective du Président de la République, par l'ancien rédacteur en chef du Figaro.
Un roman qui semble très simple en apprence qui s'avère d'une complexité assez fine.
François Mitterrand, un vie. de Frantz-Olivier Giesbert.
Une vision nuancée est objective du Président de la République, par l'ancien rédacteur en chef du Figaro.
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amélie-sens
- Messages : 3378
- Inscription : mer. août 26, 2009 10:29 am
c'est bien je trouve !