J'ai commencé Une Mort Esthétique de P.D. James (P.D. pour Phyllis Dorothy, ça ne s'invente pas).
Comme son titre l'indique, c'est une enquête policière dans un manoir anglais reconverti en clinique spécialisée dans la chirurgie esthétique. J'ai retrouvé l'ambiance habituelle des romans de James : longue introduction pour présenter les différents personnages (il y a même un personnage gay) avant d'arriver au premier meurtre, psychologie très fouillée, ambiance très "cup of tea", pour le moment j'adore.
Policiers, thrillers...
J'aime beaucoup Fred Vargas... Dans les bois éternels est fantastique, ce qui m'a fait acheter Sous les vents de Neptune, Debout les morts, Un lieu incertain et emprunter Pars vite et reviens tard. Jean-Baptiste Adamsberg, c'est mon héros 
J'ai adoré Dix petits nègres, d'Agatha Christie, aussi. J'ai jamais lu quoi que ce soit d'aussi stressant.
J'ai adoré Dix petits nègres, d'Agatha Christie, aussi. J'ai jamais lu quoi que ce soit d'aussi stressant.
Dans la catégorie meilleurs polars gay, il y a Hap Collins et Leonard Pine de Joe R. Lansdale (5 volumes traduits à ce jour).
Hap est blanc, hétéro, démocrate quand ils présentent de bons candidats, et fan de rock garage.
Leonard est noir, gay, républicain (si si !), et fan de country (beuark).
Ils vivent au fin fond du Texas, ce sont les meilleurs amis du monde, et leurs aventures sont prodigieusement déjantées, pleines de rebondissements, avec un bon zeste d'humour.
Certainement l'un des meilleurs cycles contemporains en polar avec Roberts et Brant de Ken Bruen.
Hap est blanc, hétéro, démocrate quand ils présentent de bons candidats, et fan de rock garage.
Leonard est noir, gay, républicain (si si !), et fan de country (beuark).
Ils vivent au fin fond du Texas, ce sont les meilleurs amis du monde, et leurs aventures sont prodigieusement déjantées, pleines de rebondissements, avec un bon zeste d'humour.
Certainement l'un des meilleurs cycles contemporains en polar avec Roberts et Brant de Ken Bruen.
D'accord avec Olivierz sur les aventures d'Hap et Leonard par Lansdale. A pisser de rire par moments en plus de tout le reste.
Sinon pour ce qui me concerne j'aime Dennis Lehane. James Ellroy par dessus tout je pense, American Tabloïd et American Death Trip m'ont fascinée et le reste de ses romans m'a complètement happée. Michaël Connelly quasiment à chaque fois même si je commence à piger ses ficelles hélas. Pareil pour Vargas qui m'a fait rêver quand je l'ai découverte et dont je trouve la solution à coup sûr à mi chemin du livre. J'aime quand même ses ambiances et son commissariat surréaliste donc ça va. J'aime beaucoup aussi Donald Westlake, particulièrement les aventures de Dortmunder, malfrat malchanceux et maladroit qui me font marrer. Didier Daenninckx et Thierry Jonquet m'ont donné des plaisirs rares à la lecture de certains romans. Je conseille Les Orpailleurs de Jonquet, suivi de Moloch à quiconque aime un tant soit peu les polars. J'ai beaucoup aimé la trilogie de Chattam et ses autres livres aussi même quand ce ne sont pas des polars. Ces derniers temps je me suis fait happer par Millenium de Stieg Larson, j'attends que ma mère finisse le deuxième pour me jeter dessus. J'aime aussi beaucoup Henning Mankel qui fait évoluer son héros dépressif Kurt Wallander dans une petite ville de Scanie souvent grisâtre et pluvieuse. Y a sans doute tout un tas d'autres gens auxquels je ne pense pas et d'autres que j'ai du mal à classer, comme Tonino Benacquista que j'aime beaucoup mais qui ne trouve pas forcément sa place dans les polars.
Edit, j'ai oublié Jean-Claude Izzo, auteur de polars se passant à Marseille dont j'ai dévoré les trois tomes des aventures de Fabio Montale.
Sinon pour ce qui me concerne j'aime Dennis Lehane. James Ellroy par dessus tout je pense, American Tabloïd et American Death Trip m'ont fascinée et le reste de ses romans m'a complètement happée. Michaël Connelly quasiment à chaque fois même si je commence à piger ses ficelles hélas. Pareil pour Vargas qui m'a fait rêver quand je l'ai découverte et dont je trouve la solution à coup sûr à mi chemin du livre. J'aime quand même ses ambiances et son commissariat surréaliste donc ça va. J'aime beaucoup aussi Donald Westlake, particulièrement les aventures de Dortmunder, malfrat malchanceux et maladroit qui me font marrer. Didier Daenninckx et Thierry Jonquet m'ont donné des plaisirs rares à la lecture de certains romans. Je conseille Les Orpailleurs de Jonquet, suivi de Moloch à quiconque aime un tant soit peu les polars. J'ai beaucoup aimé la trilogie de Chattam et ses autres livres aussi même quand ce ne sont pas des polars. Ces derniers temps je me suis fait happer par Millenium de Stieg Larson, j'attends que ma mère finisse le deuxième pour me jeter dessus. J'aime aussi beaucoup Henning Mankel qui fait évoluer son héros dépressif Kurt Wallander dans une petite ville de Scanie souvent grisâtre et pluvieuse. Y a sans doute tout un tas d'autres gens auxquels je ne pense pas et d'autres que j'ai du mal à classer, comme Tonino Benacquista que j'aime beaucoup mais qui ne trouve pas forcément sa place dans les polars.
Edit, j'ai oublié Jean-Claude Izzo, auteur de polars se passant à Marseille dont j'ai dévoré les trois tomes des aventures de Fabio Montale.
Effectivement, Dortmunder est un type finalement très attachant, et certaines de ces aventures sont de vrais bijoux.J'aime beaucoup aussi Donald Westlake, particulièrement les aventures de Dortmunder, malfrat malchanceux et maladroit qui me font marrer.
Mais Westlake est vraiment un auteur formidable, multi-casquettes, comme le prouve la lecture d'autres bouquins, comme Le contrat (magnifiquement porté à l'écran sous le titre Je suis un assassin) ou Le couperet (massacré par Costa-Gavras, malgré l'excellente prestation de José Garcia.
Ah Jonquet, qui a eu le mauvais goût de nous quitter.Thierry Jonquet m'ont donné des plaisirs rares à la lecture de certains romans. Je conseille Les Orpailleurs de Jonquet, suivi de Moloch à quiconque aime un tant soit peu les polars.
Comment oublier Mygale, cette histoire aussi terrible qu'irracontable. Mémoires en cage aussi.
Mais le plus grand pour moi, ça reste Jean-Patrick Manchette.