Sapho a écrit :Sauf que justement, le public visé n'est pas les minettes qui lisaient Twilight mais leurs mères.
Ce n'est pas parce que le journaleux appelle ça du mommy porn que le livre est acheté par des femmes d'âge mûr (surtout que je pourrais ironiser sur les les teen pregnancy, mais ce serait troller ...
De même, la "ménagère de moins de 50 ans" n'est pas uniquement celle de 49 ans et demi ...
Norma, avant le bugg chelou suppresseur de messages, a écrit :
Sapho a écrit :
Sauf que justement, le public visé n'est pas les minettes qui lisaient Twilight mais leurs mères.
Ce n'est pas parce que le journaleux appelle ça du mommy porn que le livre est acheté par des femmes d'âge mûr (surtout que je pourrais ironiser sur les les teen pregnancy, mais ce serait troller ...
De même, la "ménagère de moins de 50 ans" n'est pas uniquement celle de 49 ans et demi ...
Ce genre d'opération marketing me rappelle toujours la sagesse coluchienne : « et dire qu'il suffirait que personne n'achète pour que ça se vende pas ». Mais c'est sans compter avec la misère sexuelle des américaines. Reste la question : pourquoi ce machin marche-t-il en France ? Ou alors on essaie de nous faire croire qu'il marche pour le faire marcher, suivant une logique panurgienne éprouvée.
Sinon, pour le déplacement dans la section livres, je ne suis pas sûr de la pertinence, la section spectacles et autres pitreries aurait été plus adéquate.
Adyton a écrit :Ce genre d'opération marketing me rappelle toujours la sagesse coluchienne : « et dire qu'il suffirait que personne n'achète pour que ça se vende pas ». Mais c'est sans compter avec la misère sexuelle des américaines. Reste la question : pourquoi ce machin marche-t-il en France ? Ou alors on essaie de nous faire croire qu'il marche pour le faire marcher, suivant une logique panurgienne éprouvée.
Non mais faut arrêter d'être con 5 minutes : en quoi lire de l'érotique serait-il signe d'une quelconque misère sexuelle ?
C'est bien condescendant, ce que tu dis là, Adyton.
Adyton a écrit :Ce genre d'opération marketing me rappelle toujours la sagesse coluchienne : « et dire qu'il suffirait que personne n'achète pour que ça se vende pas ». Mais c'est sans compter avec la misère sexuelle des américaines. Reste la question : pourquoi ce machin marche-t-il en France ? Ou alors on essaie de nous faire croire qu'il marche pour le faire marcher, suivant une logique panurgienne éprouvée.
Non mais faut arrêter d'être con 5 minutes : en quoi lire de l'érotique serait-il signe d'une quelconque misère sexuelle ?
C'est bien condescendant, ce que tu dis là, Adyton.
Il parle de la misère sexuelle des ricains.
Elle est peut etre tellement misérable qu ils se doivent de lire dez bouquins à caractere erotiques et plus en l occurence si c'est censé devenir des best seller du à leur publicité au marketing bien ficelé.
Adyton a écrit :Ce genre d'opération marketing me rappelle toujours la sagesse coluchienne : « et dire qu'il suffirait que personne n'achète pour que ça se vende pas ». Mais c'est sans compter avec la misère sexuelle des américaines. Reste la question : pourquoi ce machin marche-t-il en France ? Ou alors on essaie de nous faire croire qu'il marche pour le faire marcher, suivant une logique panurgienne éprouvée.
Non mais faut arrêter d'être con 5 minutes : en quoi lire de l'érotique serait-il signe d'une quelconque misère sexuelle ?
C'est bien condescendant, ce que tu dis là, Adyton.
Il parle de la misère sexuelle des ricains.
Elle est peut etre tellement misérable qu ils se doivent de lire dez bouquins à caractere erotiques
Je répète : en quoi lire des bouquins érotiques serait signe de misère sexuel ?
Ne puis-je pas prendre du plaisir devant du Anais Nine sans pour autant que ma sexuelle soit à chier ? les lecteurs d'Apollinaire ont il des troubles de l'érection ?
Je ne vois pas le lien.
+ 1 avec Norma. On peut avoir une vie sexuelle épanouie ou simplement satisfaisante et d'un autre coté savourer de lire un bouquin érotique ou de regarder un film très sensuel ou même carrément X. On a tous divers moyens d'exprimer sa libido : pourquoi parce qu'on a un (ou plusieurs) partenaire(s) avec qui on s'éclate au pieu, on devrait renoncer aux autres sources d'excitation, comme un livre ou un film coquin ?
Personnellement, je n'ai pas dis qu'il parle de la misère des ricain(e)s mais que le marketing joue dessus + le coté "tous le monde l'a lu lisez le !"...
Après, il y a des ouvrages SM qui m'ont fait triper (même si préfère la pratique à la lecture) mais celui là est bâti selon le schéma "un jour mon prince viendra" ce qui n'est pas mon trip du tout et qu'en plus pour avoir été obligée de lire par politesse un ouvrage similaire bien que de façon certaine plus talentueux en terme de prémisses de l'histoire et d'écriture, je l'ai pas aimé...
donc je ne vais pas cumuler la lecture :
d'un ouvrage sur le thème du prince charmant à l'américaine épicé SM hétérocentré (et sexiste) alors que cela m'est anti-érotique
d'un produit marketing pour ménagère frustrée qui a raté le "bon" prince charmant et s'épanouit sexuellement dans la confection des apple pies pour toute sa famille (je suis hors cible)
d'un ouvrage qui fait l'unanimité sur l'absence de qualité d'écriture, parmi les gens qui savent à peu prés lire pour autre chose que patienter pendant le bronzage sur la plage
Complètement d'accord avec Miss Hada, pas mieux. Si il y en a qui veulent toutefois se faire une idée de la très haute teneur érotico-littéraire du bousin sans avoir à débourser un argent qui gagnerait à être mieux employé en pizza et en bières, j'avoue que je me suis ici pour ma part presque étouffée de rire avec mon infusion fruits rouges: