Comment oublier un torchon qui m'a refilé un ulcère et qui m'a donné des envies de meurtre ?
Nouvelle citation :
Voilà comment toujours ma dupe me sert de bourse. Car ce serait profaner le trésor de mon expérience que de dépenser mon temps avec une pareille bécasse sans en retirer plaisir et profit. Je hais [...]. Le bruit court qu'il a, entre mes draps, rempli mon office d'époux. J'ignore si c'est vrai ; mais, moi, sur un simple soupçon de ce genre, j'agirai comme la certitude. Il fait cas de moi. Je n'en agirai que mieux sur lui pour ce que je veux ... [...] est un homme convenable ... Voyons maintenant ... Obtenir se place et donner pleine envergure à ma vengeance : coup double ! Comment ? Comment ? Voyons ... Au bout de quelque temps, faire croire à [...] que [...] est trop familier avec sa femme. [...] a une personne, des manières caressantes, qui prêtent au soupçon ; il est bâti pour rendre les femmes infidèles. [...] est une nature franche et ouverte qui croit honnêtes les gens, pour peu qu'ils le paraissent : il se laissera mener par le nez aussi docilement qu'un âne. Je tiens le plan : il est conçu. Il faut que l'enfer et la nuit produisent à la lumière du monde ce monstrueux embryon !
Les [...] servent à cacher le nom des protagonistes, trop reconnaissables sinon.
Ça devrait parler à quelques littéraires rôdant par là.
Par exemple un de ces sergents qui sue dans sa chemise son ragoût de mouton ; on ne lui presserait pas une goutte de poésie du citron. Ne sait même pas ce que c’est la poésie.
Et c'est une bonne réponse. Je me disais qu'entre la particularité de la syntaxe et la référence au ragoût de mouton (qui signale quand même bien son irlandais), il devait y avoir des pistes. Et va savoir pourquoi j'étais sûre que c'était toi qui allait trouver, aucun rapport - ou si peu - avec les difficultés que l'ouvrage a apparemment donné à ses traducteurs.