Que lisez-vous ?
Ca

J ai commencé les 10 premières pages, mais je constate avec fureur que je n aime pas du tout la narration de ce Frank McCourt.
Je vais devoir le finir quand même.... ca fait vraiment longtemps que je me suis pas acheté de livres (et j en ai un peu marre de relire 100 fois les 5 livres que j ai ...)
En gros, ca raconte l histoire d un jeune enseignant qui débute dans un lycée professionnel dans L Amérique des années 60.
Vu le style d écriture, ca va pas être du "poète disparue" mais c est déjà ca.

J ai commencé les 10 premières pages, mais je constate avec fureur que je n aime pas du tout la narration de ce Frank McCourt.
Je vais devoir le finir quand même.... ca fait vraiment longtemps que je me suis pas acheté de livres (et j en ai un peu marre de relire 100 fois les 5 livres que j ai ...)
En gros, ca raconte l histoire d un jeune enseignant qui débute dans un lycée professionnel dans L Amérique des années 60.
Vu le style d écriture, ca va pas être du "poète disparue" mais c est déjà ca.
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ex-membre 11
- Messages : 3125
- Inscription : mer. mars 01, 2006 6:12 am
J'en connais certain(e)s ici qui l'ont lu à fond ce livre. Ils l'ont presque écrit, même.phoenix85 a écrit :En plus de Sade, je lis ceci :
L'art d'avoir toujours raison de Schopenhauer ...
C'est marrant : en dernier recours, il préconise d'être vulgaire et insultant pour faire sortir "l'adversaire" de ses gonds ... Qui veut tester avec moi ?
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Constance Petersen
- Messages : 1699
- Inscription : sam. mars 25, 2006 10:07 pm

Je viens de finir "Ubik" de Philip K. Dick, qu'un certain nombre d'entre vous connaît bien si j'en crois la fonction "rechercher" du forum.
L'histoire : nous sommes en 1992 pour commencer, même si le livre a été écrit en 1969. Les personnages principaux travaillent pour une entreprise qui lutte contre les télépathes. Mais un accident va se produire et tout va tourner très très bizarrement jusqu'à ce que les personnages principaux se retrouvent en 1939. Pas grand chose à voir avec "Retour vers le furtur", c'est plus compliqué que cela, on touche presque à la métaphysique, au vertige de la distinction entre le réel et l'illusion. C'est un grand roman sur la mort aussi (avec des morts pas vraiment morts), tout en restant un livre tout à fait accessible avec un suspense presque policier et une belle brune aux étranges pouvoirs.
Je ne suis pas très fan de science-fiction à la base, mais j'aime les romans sur les paradoxes spatio-temporels, et là on est dans la Rolls de l'anticipation. D'ailleurs, au fur et à mesure que j'avançais dans le livre, je voyais un nombre non négligeable de films, romans, séries tv qui ont tout pompé sur ce livre, d'Amenabar à Wall-e.
Et en plus notre ami Philip K. aurait pu être président honoraire du PCLV !
(Constance, "je suis vivant et vous êtes morts").
Ce livre est génial!Constance Petersen a écrit :
Je viens de finir "Ubik" de Philip K. Dick, qu'un certain nombre d'entre vous connaît bien si j'en crois la fonction "rechercher" du forum.
L'histoire : nous sommes en 1992 pour commencer, même si le livre a été écrit en 1969. Les personnages principaux travaillent pour une entreprise qui lutte contre les télépathes. Mais un accident va se produire et tout va tourner très très bizarrement jusqu'à ce que les personnages principaux se retrouvent en 1939. Pas grand chose à voir avec "Retour vers le furtur", c'est plus compliqué que cela, on touche presque à la métaphysique, au vertige de la distinction entre le réel et l'illusion. C'est un grand roman sur la mort aussi (avec des morts pas vraiment morts), tout en restant un livre tout à fait accessible avec un suspense presque policier et une belle brune aux étranges pouvoirs.
Je ne suis pas très fan de science-fiction à la base, mais j'aime les romans sur les paradoxes spatio-temporels, et là on est dans la Rolls de l'anticipation. D'ailleurs, au fur et à mesure que j'avançais dans le livre, je voyais un nombre non négligeable de films, romans, séries tv qui ont tout pompé sur ce livre, d'Amenabar à Wall-e.
Et en plus notre ami Philip K. aurait pu être président honoraire du PCLV !
(Constance, "je suis vivant et vous êtes morts").
Je l'ai relu plusieurs fois, mais je ne parviens jamais à me souvenir de tous les ressorts de l'intrigue tellement c'est tordu!
Mais l'auteur devait déjà en être loin dans ses problèmes psychologiques et sa paranoïa pour avoir imaginé ça!
Parce que c'est les vacances ( jusqu'à lundi tout du moins
), je lis un livre qui exclu toute prise de tête.
Les chevaliers ( trois tomes ) de Juliette Benzoni.

Enfin pour ce qui est de la prise de tête, il y en quand même une. Vu que c'est roman historique, tout les personnages s'appellent Beaudoin, Amaury, Renaud. Au bout d'un moment, tu ne sais plus qui est qui.
Mais bon, au final, c'est une saga fort divertissante.
Les chevaliers ( trois tomes ) de Juliette Benzoni.

Enfin pour ce qui est de la prise de tête, il y en quand même une. Vu que c'est roman historique, tout les personnages s'appellent Beaudoin, Amaury, Renaud. Au bout d'un moment, tu ne sais plus qui est qui.
Mais bon, au final, c'est une saga fort divertissante.
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Gaspard le Rat
- Messages : 10
- Inscription : sam. août 30, 2008 7:58 pm
Ouais je poste dans ce topic! c'est si rare!
Je lis "Syllogismes de l'amertume" de Cioran. C'est un recueil de pensées, tout à tout graves ou cocasses. Je ne comprends pas tout...
"Combien j'aimerais périr par la musique, pour me punir d'avoir quelques fois douté de la souveraineté de ses maléfices!"
"Dans les épreuves cruciales, la cigarette nous est d'une aide plus efficace que les Evangiles."
"Dans un monde sans mélancolie, les rossignols se mettraient à roter"
"Avant d'être une erreur de fond, la vie est une faute de goût que la mort ni même la poésie ne parviennent à corriger".
Je lis "Syllogismes de l'amertume" de Cioran. C'est un recueil de pensées, tout à tout graves ou cocasses. Je ne comprends pas tout...
"Combien j'aimerais périr par la musique, pour me punir d'avoir quelques fois douté de la souveraineté de ses maléfices!"
"Dans les épreuves cruciales, la cigarette nous est d'une aide plus efficace que les Evangiles."
"Dans un monde sans mélancolie, les rossignols se mettraient à roter"
"Avant d'être une erreur de fond, la vie est une faute de goût que la mort ni même la poésie ne parviennent à corriger".
