Dolly Prane a écrit :Mmmmmpft! Quel scarcasme, c'est trop facile!
Certes, c'est bien vrai, j'ai une tendance à aller vers la facilité qui me perdra...
Pour développer, (rapidement, faut pas déconner, c'est le weekend),
je n'accroche pas trop aux batifollages de clauclau...
Pourquoi ?
(j'ten pose des question moi ?)
En gros... j'aime pas trop cette façon de limiter l'adolescent(e) à un(e) mome futile... J'ai l'impression que Clauclau ne ressent jamais de tristesse (si, qd la meuffe qu'elle kiffe grave se fait peloter par une autre, mais on sent juste de la jalousie), si bien que les moments de joie qu'elle a me semblent pas très marqués (si tu comprends ce que je veux dire, tant mieux, moi pas). Tout ça me rappelle un peu le roman inoubliable "les cornichons aux chocolats" (oui, la comparaison est dure) qu'on m'avait offert jeunette afin que ça réponde à mes questions.... il m'avait rendu très perplexe.
En tant qu'adulte (héhé, oui, adulte !), je ne me reconnais pas du tout dedans, et je pense que jeune, ç'eut été pareil, les ados ne sont pas des neuneus. A quinze ans, on est déjà un être tourmenté.
Ce que je dis ne tient pas forcemment debout, vu que les adultes dans ce roman me semblent aussi plats que les adolescentes, J'accepte donc sans soucis cette réflexion si quelqu'un veut me la renvoyer à la face. Mon raisonnement d'effronde,
Au final, je pense que si j'avais lu clauclau plus jeune,
je ne serais pas plus identifiée aux personnages qu'à ceux des Comtesse de Ségur (sans aucun jugement).
Je sais qu'il faut replacer l'oeuvre dans son contexte, à son époque.
Mais j'ai tout de même du mal et l'ennui me guette bien trop souvent.
Une fois encore, j'ai toujours pas fini de le lire... alors... démontez moi, j'attends que ça !