Et alors ?

Je ne crois pas que le sujet existe déjà. Alors? Les lectures que vous ne conseillerez pas à votre pire ennemi?

" Je bande donc je suis " d'Erik Rémès. Un grand n'importe quoi.

Mon Chaton a écrit :" Je bande donc je suis " d'Erik Rémès. Un grand n'importe quoi.

Comme son titre ne le laissait pas augurer.

J'ai également détesté " Glamorama " de Bret Easton Ellis. Un grand n'importe quoi aussi.

Mon Chaton a écrit :J'ai également détesté " Glamorama " de Bret Easton Ellis. Un grand n'importe quoi aussi.

Ah oui! Je ne sais même plus si je suis allé jusqu'au bout...

Déjà que j'ai parfois eu du mal avec American Psycho, étant donné le nombre de descriptions vestimentaires et de biographies d'artistes, j'ai pas voulu me risquer sur un autre Bret Easton Ellis... On dirait que j'ai eu raison...

Da Vinci Code, ou ma découverte des astuces commerciales de ce siècle. Beurk, beurk, beurk. Mauvais, facile, prévisible, absurde.

D'habitude, je ne lis que de très bons livres. Là c'était une expérience. Bien mauvaise.

Moi je dirais Hell de Lolita Pille. Qu'est ce que c'est mal écrit et bourré de clichés geignards. Sans compter les citations de marques toutes les deux phrases.

Sinon, je l'ai pas vraiment détesté, mais je le conseillerai bien à un ennemi : Le Nom de la Rose d'Umberto Eco. À moins que le susdit ennemi soit un universitaire renommé spécialisé en langues mortes et en histoire/théologie.

Parce que faut bien avouer qu'autant à certains moments il est excellent, autant à d'autre il est tellement abscons qu'on a qu'une envie, c'est de le ranger au grenier sans le finir - ou de caler son frigo avec.

Imaginary a écrit :Moi je dirais Hell de Lolita Pille. Qu'est ce que c'est mal écrit et bourré de clichés geignards. Sans compter les citations de marques toutes les deux phrases.

Alors là, je dis +1. Le nombre de faux écrivains qui pullulent avec leur cliché et leur phrase toute faite sur les sujets les plus bateaux du monde.

A la poubelle ! Au bûcher !