Alors la je l'ai vu ce soir et j'ai vraiment mais vraiment kiffer
il es hors norme ce film : j en connais bp qui ont detesté . mais les dialogues sont peut etre long mais tres aboutis et truffé de realisme . on oublie toute starification dans ce film . c du tarantino aussi . en + je m attendais à un film trash limite tendance porno alors que non . seuls les dialogues sont peut etre osés et encore . franchement je l'acheterai en dvd c clair . Et la fin du film aussi sec qu elle soit est vraiment genialissime ^^ . Et mes respect a ZOE BELL pour sa fameuse cascade sans trucage meme si bien sur à la base c'est une cascadeuse et non une actrice mais chapeau !!!
voici le synopsis
C'est à la tombée du jour que Jungle Julia, la DJ la plus sexy d'Austin, peut enfin se détendre avec ses meilleures copines, Shanna et Arlene. Ce TRIO INFERNAL, qui vit la nuit, attire les regards dans tous les bars et dancings du Texas. Mais l'attention dont ces trois jeunes femmes sont l'objet n'est pas forcément innocente.
C'est ainsi que Mike, cascadeur au visage balafré et inquiétant, est sur leurs traces, tapi dans sa voiture indestructible. Tandis que Julia et ses copines sirotent leurs bières, Mike fait vrombir le moteur de son bolide menacant...
Casting :
Kurt Russell (New York 1997)
Rose Mc Gowan (Scream)
Zoe Bell
Rosario Dawson (Sin City)
Vanessa Ferlito (serie 24 h chrono)
Eli Roth (realisateur de Hostel)
Mary Elizabeth Winstead (Destination finale 3)
Tracie Thoms (Le diable s'habille en Prada)
Sydney Tamiia Poitier (serie grey's anatomy)
Quentin Tarantino (realisateur Kill Bill)
Un hommage vibrant au cinéma bis...
Afin de rendre hommage aux films de séries B qui les ont bercés, les réalisateurs Quentin Tarantino et Robert Rodriguez ont décidé, à l'origine, de tourner Grindhouse, un double-programme identique à ceux diffusés dans le cadre des systèmes d'exploitation Grindhouse (ces salles de cinéma qui projetaient des doubles programmes déjantés, mêlant violence et érotisme, entrecoupés de bandes annonces). Les deux films, avec de fausses bandes annonces en guise d'entracte, empruntent aux genres populaires de cette époque : le Planète terreur - un film Grindhouse de Robert Rodriguez est un film de zombie, alors que le Boulevard de la mort - un film Grind House de Quentin Tarantino est un "slasher road-movie" meurtrier dans la veine de Duel ou Hitcher.
... avec une double exploitation
Le concept du double-programme avec fausses bandes annonces en guise d'entracte, parfaitement en phase avec le système d'exploitation Grindhouse, fut jugé inhabituel pour les pays européens par la production du film et ne passa pas les frontières américaines. Les frêres Weinstein, producteurs du projet, décidèrent ainsi que le film serait coupé en deux pour tous les pays non-anglophones. Sortiraient ainsi en salles Boulevard de la mort - un film Grind House (le 13 juin 2007 pour la France) puis, quelques mois plus tard, Planète terreur - un film Grindhouse (le 15 août 2007 pour la France).
Tarantino mélange les genres
Quentin Tarantino, s'il qualifie en premier lieu Boulevard de la mort - un film Grind House de film "gore", précise néanmoins : "J'ai voulu intégrer des courses-poursuites effrénées au slasher-movie. Du coup, le film change de registre en cours de route. A une vingtaine de minutes de la fin, on ne sait même plus à quel genre exactement appartient le film. On s'identifie tellement aux personnages qu'on ne s'en aperçoit pas, mais ce n'est plus le même film."
Un grain de folie
Pour bien respecter le charme désuet de ce genre de films, les deux réalisateurs ont "vieilli" leurs films respectifs en imprimant un grain particulier sur les images ou encore en en se privant pas de pimenter le métrage d'intempestives -et voulues- sautes de pellicules.
Quand Tarantino s'auto-référence...
Dans Boulevard de la mort - un film Grind House, Quentin Tarantino rend hommage à tout un pan méconnu de la culture cinématographique américaine, mais n'en oublie pas de non plus de faire des clins d'oeil... à son propre cinéma. Ainsi, le long métrage est parsemé de références "tarantinesques" telles, entre (nombreuses) autres, la présence des cigarettes Red Apple ou encore la musique immédiatement reconnaissable de Kill Bill : Volume 1 retentissant comme sonnerie de téléphone portable.
Fausses bandes annonces
Pour respecter pleinement le concept du système d'exploitation Grindhouse, les deux films (seulement aux Etats-Unis, où le concept est proposé à 100%), sont entrecoupés de fausses bandes annonces, réalisées par des adeptes du genre: Eli Roth, le maître d'oeuvre d'Hostel, Rob Zombie, le réalisateur déjanté d'Halloween 9 et de Devil's Rejects ou encore Edgar Wright, le farceur de Shaun of the Dead. Une valeur ajoutée que ne pourront malheureusement pas découvrir les spectateurs européens avec le film coupé en deux parties.
Rosario Dawson plus qu'enthousiaste
Jouer sous la direction de Quentin Tarantino semble avoir été une véritable révélation et avoir procuré un plaisir total aux comédiens de Boulevard de la mort - un film Grind House. Ainsi, l'actrice Rosario Dawson ne cache pas son enthousiasme : "Dans ce film, vous allez voir les courses poursuites les plus impressionnantes de votre vie, les nanas les plus délurées que vous ayez jamais vues, et le personnage de tueur psychopathe le plus effrayant auquel vous ayez jamais été confronté. Et en prime, vous allez vous marrer ! Quentin n'avait encore amais fait un film pareil."
Le double-effet Grind House
Les comédiennes Rose McGowan et Marley Shelton présentent la particularité d'apparaître à la fois au générique de Boulevard de la mort - un film Grind House et à celui de Planète terreur - un film Grindhouse.
Références
Boulevard de la mort - un film Grind House multiplie les références au cinéma bis des années 70. Parmi ces références, citons notamment l'oeuvre de Russ Meyer et le long métrage Point limite zéro, réalisé en 1971 par Richard C. Sarafian.
Une BOF toute tarantinesque
A l'instar des précédents longs métrages de Quentin Tarantino, Boulevard de la mort - un film Grind House bénéficie d'une bande originale de haut vol, reflétant l'amour inconsidéré du cinéaste pour la musique, le septième art et leur union. Parmi les artistes présents sur cette BOF, beaucoup d'obscurs noms que Tarantino se fait un plaisir de faire découvrir aux spectateurs, mais également des pointures comme Ennio Morricone, le groupe T-Rex, le chanteur de blues Willy de Ville ou encore Serge Gainsbourg, dont l'un des morceaux (la version américaine de J'aime tomber les filles) habite le générique de fin.
Une cascade de haut vol
La scène de course-poursuite de Boulevard de la mort - un film Grind House, dans laquelle Zoe Bell chevauche le capot du bolide de Kurt Russell à pleine vitesse, est l'un des moments phares du long métrage. Quentin Tarantino raconte : "On a tenté de se rapprocher des courses-poursuites des années 70. On a visionné plusieurs scènes de courses-poursuites : des poursuites de films contemporains, de films des années 90, des années 80 et des années 70. Les poursuites des années 70 sont toujours les plus impressionnantes. Pour une simple raison : à l'époque, les cascadeurs exécutaient les acrobaties eux-mêmes. En ce qui me concerne, je ne voulais ni d'effets infographiques, ni de ralentis." Ainsi, dans cette logique, l'actrice-cascadeuse Zoe Bell a effectué elle-même cette périlleuse acrobatie.
L'hommage de Tarantino à la gent féminine
Avec Boulevard de la mort - un film Grind House, Quentin Tarantino poursuit sa déclaration d'amour cinématographique aux femmes, avec notamment de longues plages de dialogues entre les jeunes et belles héroïnes du long métrage. Mary Elizabeth Winstead, qui incarne l'une d'elles, déclare à ce propos : "Les protagonistes sont attachantes, mais elles n'en sont pas moins faillibles, et les dialogues sonnent juste. Tarantino n'a pas cherché à écrire des dialogues "de filles". C'est comme ça que les filles s'expriment dans la vie. Elles sont aussi grossières que les mecs. Je trouve qu'il a vraiment saisi cette dimension, ce qui est formidable."
Le shérif est de retour
L'acteur Michael Parks poursuit sa drôle de collaboration avec Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Il reprend en effet son personnage du shérif Earl McGraw dans Boulevard de la mort - un film Grind House après l'avoir incarné dans la Nuit en enfer de Rodriguez et le Kill Bill : Volume 1 de Tarantino.
La gueule cassée de Stuntman
C'est Mickey Rourke, vu en Marv dans le Sin City de Robert Rodriguez, qui devait à l'origine incarner le personnage de Stuntman Mike dans Boulevard de la mort - un film Grind House. D'autres acteurs, comme Sylvester Stallone ou encore Ving Rhames (le Marsellus Wallace de Pulp Fiction) furent également un temps considérés. C'est finalement Kurt Russell qui a obtenu le rôle de ce serial-killer écumant les routes à bord de sa voiture meurtrière.
Zoe Bell, la casse-cou de Tarantino
Zoe Bell, qui incarne le personnage de la casse-cou Zoe dans Boulevard de la mort - un film Grind House, connaît ici sa première véritable expérience sur grand écran... en tant qu'actrice ! La jeune néo-zélandaise est surtout connue pour ses activités de cascadeuse : après avoir été la doublure d'Uma Thurman dans le dyptique Kill Bill, elle effectue elle-même toutes les cascades de Boulevard de la mort - un film Grind House en plus d'en tenir l'un des rôles majeurs.
quelques critiques presse :
Cahiers du Cinéma
- Emmanuel Burdeau
Boulevard de la mort est à ce jour le plus rapide, mais aussi le plus modeste et le plus simple des films de Tarantino. Le plus proche sans doute de ce qu'il est, un être pétri de références mais tout sauf "cultivé". C'est à l'évidence un nouveau départ (...) la joie en est décuplée.
L'Ecran Fantastique
- Stéphane du Mesnildot
(...) Tarantino s'attaque avec brio au cinéma d'exploitation. (...) "Boulevard de la mort" offre le paradoxe d'être un film déjanté, en roues libres, mais aussi totalement maîtrisé.
aVoir-aLire.com
- Romain Le Vern
Grindhouse, terme qui servait à désigner les drive-in américains, peut être vu comme l'aboutissement de cette volonté de rendre cette sous-culture accessible au plus grand nombre en vantant la coolitude (...) La grande scène de la collision située en plein milieu du récit, montrée du point de vue des quatre victimes, est un moment de cinéma virtuose.
Les Inrockuptibles
- Patrice Blouin
Un hommage jubilatoire, sexy et expérimental.
Paris Match
- Alain Spira
Son rythme rock'n'roll, ses cascades gore et ses interprètes à tout en font un succulent steak barbare assaisonné de scènes cultes.
Mad Movies
- Fausto Fasulo
(...) si l'on peut reprocher à Tarantino sa propension à tirer la couverture et à se regarder filmer, dans "Boulevard de la mort", il n'a pas oublié le principal : faire jouir le spectateur et imprimer ses rétines d'images inoubliables.
Le Figaroscope
- Jean-Luc Wachtausen
(...) un cocktail explosif a prendre au quinzième degré.
Télérama
- Aurélien Ferenczi
Boulevard de la mort est un exercice de style incroyablement plaisant et au fond très conceptuel (...) C'est aussi toute la grâce de Boulevard de la mort de tourner le dos à la standardisation des blockbusters hollywoodiens et de réussir (...) à être pertinent et moderne.
Le Parisien
- Renaud Baronian
(Pour) Pour l'amateur de belles Américaines - filles et voitures - de castagne, de clins d'oeil référencés et de rire au premier degré, c'est un boulevard pour le paradis...
Metro
- Jérôme Vermelin
(Le boulevard de la mort) n'est pas le meilleur film de son auteur, mais on peut difficilement bouder son plaisir devant cette belle tranche de fun. (...) la synthèse ultime du film du samedi soir.
Libération
- Philippe Azoury
(...) le vidéoclub Tarantino s'est démerdé pour dégotter deux heures de distractions référencées grand train, produisant un savoureux milk-shake à base de gonzesses, de bagnoles, de cascades et de musique seventies rare.
20 Minutes
- Caroline Vié
Tarantino (...) fait la démonstration implacable de son sens de la réalisation comme de son humour macabre (...) ce film jubilatoire est un bonheur d'écriture et de mise en scène.
Le Journal du Dimanche
- Barbara Théate
(Pour) Des dialogues savoureux et quelques scènes d'anthologie (...) pour un "Boulevard de la mort" qui tient de la franche rigolade. Du bon Tarantino, sans l'excellence.
source : allocine
